Stèle à la mémoire du savant astronome belge Godefroy Wendelin (1580-1660). Aux environs de 1630, il mesura la distance entre la Terre et le Soleil avec la méthode d'Aristarque de Samos. La valeur qu'il obtint était égale à 60% de la valeur exacte (243 fois la distance de la Terre à la Lune alors que la vraie valeur est d'environ 384 fois ; Aristarque avait trouvé environ 20 fois).
Installé en Provence de 1598 à 1612 il crée en 1603 le premier observatoire météorologique et astronomique de son genre sur les hauteurs de Lardiers sur la montagne de Lure (près de Forcalquier où il s'est installé.) A partir des observations des satellites de Jupiter Vendelin et son confrère Peiresc "furent les premiers à montrer que la troisième loi de Kepler s'appliquait aux satellites de Jupiter, apportant ainsi la preuve que ces lois étaient bien lois universelles."
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Montagne de Lure.
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Exposition de gigots.
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Cherchez l'intrus.
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Notre Dame de Lure.
L’abbaye Notre-Dame de Lure est une ancienne abbaye fondée au XIIe siècle et située dans la forêt de la montagne de Lure sur la commune de Saint-Étienne-les-Orgues, à 1 200 m d’altitude.
La légende rapporte que l'ermite saint Donat, vivant près de Peyruis, serait venu se retirer dans ce lieu particulièrement isolé et y fonder l’abbaye Notre-Dame de Lure au VIe siècle. Elle aurait été détruite au XIe, puis donnée à l’Abbaye Notre-Dame de Boscodon qui la refonde en 1166.
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Notre Dame de Lure.
Plus probablement, elle a été fondée ex nihilo en 1165 par essaimage de l'abbaye de Boscodon, elle-même filiale de l'abbaye Notre-Dame de Chalais (l'abbaye-mère, près de Voreppe en Isère). Elle se fit sous la conduite de leur abbé, Guigues de Revel.
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Notre Dame de Lure.
Ses abbés ont une haute réputation, ce qui permet à l’abbaye d’attirer de nombreux dons. Elle est rattachée au chapitre d’Avignon en 1318, ce qui aggrava la décadence déjà commencée. L’abbaye est sécularisée au début du XVe siècle.
L’église est abandonnée, et tombe en ruines au début du XVIIe siècle. Elle est reconstruite de 1637 à 1659
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Notre Dame de Lure.
Le portail et l'oculus de la façade ne datent que de la fin du XIXème. Il n'est pas certain qu'il y ait eu à l'époque chalaisienne d'entrée de ce côté. On entrait alors par une petite porte qui se trouve sur la gauche : le portail roman. Il y avait à la place de l'occulus deux baies.
Le clocher quant à lui, date du XXème. A l'origine il se trouvait à la croisée du transept.
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Notre Dame de Lure.
Elle a la forme d'une croix latine et se compose d'une nef de quatre travées voûtées en plein cintre (environ 10 m sous voûte), prolongée par un cœur à chevet plat, le sanctuaire étant légèrement surélevé ; au niveau de la quatrième travée, s'ouvre un faux transept qui donne accès à 2 chapelles. Le transept et les chapelles sont couverts d'une voûte en berceau légèrement brisé.
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Notre Dame de Lure.
Outre les fresques murales et deux statues du XVIIème, la chapelle est très austère. Ceci est conforme à la tradition chalaisienne, aucune sculpture ne vient distraire le moine lors de sa prière.
Au dessus de l'occulus, on peut voir la trace des deux anciennes baies.
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L'oculus.
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Vers le nord-ouest, l'édifice a été agrandi, dès la fin du XIIe par l'adjonction d'un faux collatéral, qui se présente sous la forme d'une galerie, couverte d'une voûte en demi-berceau.
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Cette salle est appelée faux collatéral car elle est séparée de la nef centrale par un mur. On ne sait pas précisément à quoi elle servait.
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Notre Dame de Lure.
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Notre Dame de Lure.
Ne reste des communs de l'abbaye plus que deux salles voûtées. L'une d'entre elles constitue le sous-sol de l'ermitage actuel.
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Notre Dame de Lure.
La voûte.
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Notre Dame de Lure.
La voûte.
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Mallefougasse.
Malefougasse vient de Lala focacia (1274) du latin mala (mauvais) et focacia (fouagasse).
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Mallefougasse.
Mallefougasse représente un parfait spécimen architectural avec ses maisons de pierres, ses rues étroites coupées de venelles, ses passages couverts et ses andrônes (passage étroit entre deux maisons et qui servait de canal d'écoulement des eaux de pluies).
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
Le clocher roman de l'église Saint-Jean-Baptiste de Mallefougasse est un rare spécimen du premier art roman provençal, dont quelques parties ont été conservées. Le reste de l’église date du XIIe siècle, d’importants travaux ayant lieu au milieu du XVIIe siècle.
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Mallefougasse.
Une bulle du pape Gélase II, datant de 1118, recense cette église au nombre des prieurés de l'abbaye bénédictine de Saint- André de Villeneuve- Lès-Avignon.
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Mallefougasse.
Son beau clocher carré, un peu plus récent, est caractéristique de la transition entre premier et second art roman. On peut y admirer ses baies géminées, ses arcades en plein cintre, ses colonnes galbées et ses chapiteaux de type corinthien.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
De très belles fresques du XVIIe siècle sont cachées sous des peintures du XIXe siècle.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
Escaler du clocher.
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Mallefougasse.
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Mallefougasse.
Le four.
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Mallefougasse.
Voûte du four.
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L’église paroissiale Notre-Dame-et-Saint-Martin est l’ancienne église d’une abbaye de moines augustins.
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La congrégation des chanoines réguliers de Cruis est fondée au XIe siècle, l’abbaye Saint-Martin en étant le centre. Prospère, elle compte à son apogée 14 églises sous sa dépendance dans le diocèse de Sisteron. L’abbaye Saint Martin eut un long conflit avec les évêques de Sisteron à propos du privilège d’exemption, conflit clos par le rattachement de l’abbaye à la mense de l’évêque de Sisteron (en 1456). Les chapiteaux de la façade sont à un tournant dans l’évolution des formes décoratives, au début du XVIe siècle, les crochets de la période précédente devenant des feuillages.
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Le très grand autel avec son immense retable du XVIIe, en bois couvert de dorures. Il fait 6,2 m de large sur 7 m de haut : outre la partie centrale et les deux parties latérales, il comporte aussi deux ailerons et est recouvert de 4000 feuilles d'or.
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L'antependium (devant d’autel) est en cuir de Cordoue peint et repoussé, du XVIIe siècle. La Descente de Croix est attribuée à Nicolas Mignard.
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Le chœur est du XVe siècle. Le retable, primitivement destiné au couvent des Clarisses à Siteron, possédait un tableau différent à sa cime. Le tableau représentant Marie-Madeleine est une copie. L’original est peint sur les deux faces, ce qu'on a découvert à l'occasion du remplacement des vitraux du chœur en 1983. Le dos du tableau représente un évêque regardant un soleil au pied d'un autel. L’œuvre au dos, appelée L’Évêque au soleil noir, date comme la Marie-Madeleine de la fin du XVIIIe siècle. Le personnage représenté sur le tableau est identifié comme étant saint Denys l'Aréopagite par Régis Bertrand de l’université de Provence. C'est en tout cas l'unique toile représentant cette scène, qui figure sur deux vitraux, l'un à Bourges l'autre à Chartres et des fresques à Aurons dans les Alpes-Maritimes.
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Huile sur toile : Retour de la Saint Famille de Jérusalem par L. Albanel (1861).
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La Pierre de Cruis a été mise au jour à la limite de la commune de Montlaux, sur une éminence où se trouvent également quelques tombes médiévales. C’est un bloc de grès qui mesure 90 cm sur 90, elle est ornée d’un demi-cercle au centre, et de quatre figures animales dans les angles (un aigle et un lion à visage humain en haut, un basilic et un agneau (disparu) en bas). D’après l’inscription (Horologio) et le trou central qui a pu accueillir un style, la Pierre est souvent interprétée comme un cadran solaire. Si cela se révélait exact, ce serait un des très rares cadrans solaires médiévaux (ceux des cathédrales de Strasbourg et de Chartres datant du XVIe siècle). Cette utilisation n’est pas certaine : l’ornement semi-circulaire, plutôt que de servir à indiquer l’heure, a pu simplement servir de symbole du temps qui passe. Elle peut dater du XIe ou du XIIe siècles.
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Le tableau du Baptême du Christ, est une œuvre de jeunesse de Monticelli qui a peint aussi une toile représentant l'intérieur de l'église avec le retable.
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Bras reliquaires.
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La crèche remonte au milieu du XIXe siècle : les treize santons de 60 cm de haut sont classés.
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Le cloitre de l'ancienne abbaye de Saint Martin.
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Le cloitre.
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Enfeus en arc brisé, avec une marqueterie en métal représentant le taureau de St Luc.
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Enfeus en arc brisé, avec une marqueterie en métal représentant l'aigle de St Jean.
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Enfeus en arc brisé, avec une marqueterie en métal représentant le lion de St Marc.
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Enfeus en arc brisé, avec une marqueterie en métal représentant l'homme de St Matthieu.
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Colonne du XIIe siècle.
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un bas-relief : les obsèques d'un moine du XIVe siècle
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Ancien réfectoire de l'abbaye, magasin de Mr Micoulin, fabricant de nougats, de calissons, etc.
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Lavoir de la cime de Viere.
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Ce pigeonnier a la particularité d'avoir un pignon incurvé.
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St Etienne les orgues.
Le "Château" est en fait un pavillon de chasse du XVIIe siècle. C'est Jules Bouillot, descendant de scieurs de long venus de Haute Loire, qui fit construire la tour.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Maison de Jean-Joseph Tardieu (1778-1842), marchand droguiste, juge de paix et maire.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Un pigeonnier.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Maison de Del Bosco (peintre, assembleur d'outils), ayant appartenue à une famille de notables, les Marguerier.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Maison de colporteur droguiste avec les fleurs des herboristes au dessus de la porte.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Croix des apothicaires, descendants des colporteurs droguistes.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
L'église actuelle est une ancienne chapelle dédiée à St Etienne et qui dépendait de l'abbaye de St Victor de Marseille.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Tableau de la lapidation de St Etienne.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Ste Barbe.
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St Etienne les orgues.
St Etienne.
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St Etienne les orgues.
St Clair.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Crèche de Suzanne Carraz.
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St Etienne les orgues.
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St Etienne les orgues.
Fenêtres murées, pour réduire l'impôt sur les portes et fenêtres (de 1789 à 1926).
