On doit la construction de Sauvan à Joseph-Palamède de Forbin-Janson, mort en 1728.
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Château de Sauvan.
Sauvan a été édifié de 1721 à 1728. Son architecte J.B. Franque,qui exerça surtout ses talents à Avignon, confie à la réalisation à un certain rRollin qu'on dit être son élève. Sauvan et toutes ces terres puis revendues en 1810 à l'abbé Henri Sollier. Le château passa ensuite à sa nièce, Marie-Rose Chambaud de Cochet, épouse en 1902 du comte Paul Servan de Bezaure. En 1981 Jean-Claude et Robert Allibert en devinrent les propriétaires. Ils ont effectué un remarquable travail de restauration et l'ont entièrement remeublé, en retrouvant une partie du mobilier d'origine.
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Château de Sauvan.
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Au fond, le village de Mane.
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Château de Sauvan.
Mane.
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Château de Sauvan.
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Château de Sauvan.
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Montfuron.
L'église de Montfuron est dédiée à Notre-Dame, à saint Clair et à saint Elzéar. L'intérieur est divisé en deux nefs romanes sur deux cryptes : la nef de la Vierge, la plus ancienne ; la net Principale, la plus grande, construite postérieurement. Entre les deux nefs, la chaire de pierre et de plâtre.
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Montfuron.
Saint Elzéar et Delphine de Signes aux pieds de la Vierge et de l'Enfant Jésus.
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Montfuron.
Saint Elzéar et Delphine de Signes aux pieds de la Vierge et de l'Enfant Jésus.
Toile. 1809. Auteur : Guis, professeur de dessin au Collège des Jésuites de Forcalquier.
Vierge en Assomption avec l'Enfant Jésus qui bénit de sa main droite et porte, dans sa main gauche, une sphère crucifère, signe de l'universalité de son message.
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Montfuron.
La mort de saint Joseph.
Huile sur toile. XVIIe siècle. Anonyme. Restaurée en 1993
Saint Joseph est accompagné du Christ, de la Vierge Marie et d'un troisième personnage qui tient le lys de la pureté. Sous la colombe du Saint-Esprit, un ange lui tend la couronne chrétienne, symbole de sainteté, une récompense glorieuse.
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Montfuron.
La Sainte Famille.
Huile sur toile. Anonyme. XVIIe siècle. Restaurée en 1993.
Scène idéale de la vie de famille : le couple Marie-Joseph accompagne Jésus déjà enfant. Joseph tient le lys évoquant la pureté, la paix, l'innocence et le mariage.
Toute une symbolique du rôle des parents : la mère mène son fils par la main et Joseph, l'incite à suivre ce chemin de la Vie, inspiré par la Toute-Puissance qui domine la scène avec, en intercesseur, la colombe de l'Esprit Saint.
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Montfuron.
La litre funéraire.
Anonyme. Pas de datation précise (XVIIIe siècle ?). Nombreux repeints. Décor exécuté à la détrempe sur l'enduit brut. Restaurée en 2003.
Un des rares témoignages de Haute-Provence de cette tradition de l'Ancien régime qu'on retrouve aussi à Simiane et à Sainte-Tulle. Les familles seigneuriales bienfaitrices possédaient le droit de litre, c'est à dire de représenter leurs armes, à intervalles réguliers, sur une bande noire peinte sur les murs intérieurs de l'église à l'occasion du décès du chef de famille.
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Montfuron.
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Montfuron.
Vierge à l'enfant. Alors que l'Enfant est souvent représenté bébé au bras de sa mère, il est, ici, d'un âge plus avancé et se tient debout sur le globe étoilé évoquant l'universalité de son message, soutenu dans une attitude pleine de prévenance.
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Montfuron.
Saint Clair guérissant un aveugle.
Saint Jean-Baptiste.
Anonyme XIXe siècle.
Saint Clair qui fut prêtre et martyr dans le Vexin, au neuvième siècle, est un des trois patrons de l'église avec Elzéar et Notre-Dame. Saint Jean-Baptiste bénit de la main droite ; un ruban est drapé au-dessus de la croix (Ecce agnus Dei) qu'il tient de la main gauche. A la corde est attaché un agneau, un de ses attributs en raison da la célèbre scène où voyant Jésus venir à lui, il déclare "Voici l'Agneau de Dieu ".
La représentation du village vers 1850 a été rajoutée en 1995.
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Montfuron.
Le baptême du Christ par Saint-Jean-Baptiste.
Huile sur toile. Anonyme. XIXe. Tous les éléments sont rassemblés sur le tableau : la colombe du Saint-Esprit, le Christ les pieds dans l'eau du Jourdain, Saint Jean-Baptiste qui vivait en ermite dans le désert, vêtu d'une peau de bête, recouvert ici du manteau rouge du martyre.
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Montfuron.
Buste reliquaire de saint Elzéar.
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Montfuron.
Saint Jean-Baptiste bénit de la main droite ; un ruban est drapé au-dessus de la croix (Ecce agnus Dei) qu'il tient de la main gauche. A la corde est attaché un agneau, un de ses attributs en raison da la célèbre scène où voyant Jésus venir à lui, il déclare "Voici l'Agneau de Dieu ".
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Montfuron.
Le bras de saint Elzear.
Reliquaire. XVIIIe siècle ?
Attribué à saint Elzéar par tradition plus que par certitude.
L'ouverture pratiquée dans l'avant-bras contenait la relique visible, fragment du membre du saint.
Le reliquaire est ici posé sur un thabor, petit piédestal destiné à supporter l'ostensoir pendant le salut, afin de le mieux mettre en vue.
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Montfuron.
Statue du Sacré-Cœur.
Marseille, atelier Gallad, 1884.
Statue intéressante pour le témoignage qu'elle porte sur le socle, reproduit sur la photographie à côté. Le village y est représenté avant la construction de l'école à l'époque de Jules Ferry.
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Montfuron.
Saint Antoine de Padoue.
Statue fabriquée à Marseille, bénie le 12 juin 1898.
Saint Antoine de Padoue naquit au Portugal (Lisbonne 1195), mais il passa le plus clair de sa vie en Italie où il mourut à Arcella (Padoue) en 1231
