Chambéry

<center>Le château des ducs de Savoie.</center> La ville est surnommée la « Cité des ducs » car acquise par la maison de Savoie en 1232, elle devient la capitale politique des comtes de Savoie en 1295 lors de l'achat du château et de l'établissement officiel du Conseil résident, puis du duché de Savoie de 1416 jusqu'à son transfert à Turin en 1562. Chambéry demeure toutefois la capitale historique des États de Savoie. Grâce à la maîtrise des grands cols alpins et de la route d'Italie, qui leur a valu le surnom de Portiers des Alpes, les comtes, puis ducs de Savoie, devenus rois de Sardaigne en 1718, ont exercé une influence certaine en Europe, notamment en instaurant un véritable laboratoire de l'« absolutisme éclairé ». De 1792 à 1815 et depuis 1860, la ville fait partie de la France. Centre de la façade Napoléon III.
Le château des ducs de Savoie.
La ville est surnommée la « Cité des ducs » car acquise par la maison de Savoie en 1232, elle devient la capitale politique des comtes de Savoie en 1295 lors de l'achat du château et de l'établissement officiel du Conseil résident, puis du duché de Savoie de 1416 jusqu'à son transfert à Turin en 1562. Chambéry demeure toutefois la capitale historique des États de Savoie. Grâce à la maîtrise des grands cols alpins et de la route d'Italie, qui leur a valu le surnom de Portiers des Alpes, les comtes, puis ducs de Savoie, devenus rois de Sardaigne en 1718, ont exercé une influence certaine en Europe, notamment en instaurant un véritable laboratoire de l'« absolutisme éclairé ». De 1792 à 1815 et depuis 1860, la ville fait partie de la France. Centre de la façade Napoléon III.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Dans l'enceinte du château se trouve la Sainte-Chapelle (1408-1430), qui a abrité de 1453 à 1578 le Saint-Suaire, avant qu'il soit transféré à Turin, pour suivre le changement de capitale des États de Savoie. La façade, réalisée au XVIIe siècle, est un chef-d'œuvre baroque de l'architecte turinois Amedeo di Castellamonte.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Dans l'enceinte du château se trouve la Sainte-Chapelle (1408-1430), qui a abrité de 1453 à 1578 le Saint-Suaire, avant qu'il soit transféré à Turin, pour suivre le changement de capitale des États de Savoie. La façade, réalisée au XVIIe siècle, est un chef-d'œuvre baroque de l'architecte turinois Amedeo di Castellamonte.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> La Sainte-Chapelle a été construite de 1408 à 1430 par le maître d'œuvre Nicolet Robert, sous l'impulsion d'Amédée VIII. La façade baroque, dessinée par Amedeo di Castellamonte, célèbre architecte de Turin, s’explique par le programme de restauration de l’édifice, lancé par la duchesse de Savoie, Christine de France, entre 1655 et 1663.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
La Sainte-Chapelle a été construite de 1408 à 1430 par le maître d'œuvre Nicolet Robert, sous l'impulsion d'Amédée VIII. La façade baroque, dessinée par Amedeo di Castellamonte, célèbre architecte de Turin, s’explique par le programme de restauration de l’édifice, lancé par la duchesse de Savoie, Christine de France, entre 1655 et 1663.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Yolande de France (1434-1478), épouse du duc Amédée IX et sœur de Louis XI, fera entreprendre la construction du clocher. Les  travaux, confiés au maître-maçon Blaise Neyrand,    originaire de Saint-Pourçain-sur-Sioule, commencent  en  1466 et se  prolongent jusque  dans les années 1470. La flèche fut abbattue par Albitte, le
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Yolande de France (1434-1478), épouse du duc Amédée IX et sœur de Louis XI, fera entreprendre la construction du clocher. Les travaux, confiés au maître-maçon Blaise Neyrand, originaire de Saint-Pourçain-sur-Sioule, commencent en 1466 et se prolongent jusque dans les années 1470. La flèche fut abbattue par Albitte, le "Robespierre savoyard".
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> De 1502 à 1578, la Chapelle du Château a abrité le Saint Suaire, aujourd'hui à Turin, d'où son nom de
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
De 1502 à 1578, la Chapelle du Château a abrité le Saint Suaire, aujourd'hui à Turin, d'où son nom de "Sainte-Chapelle". Son arrivée en Europe reste mystérieuse car son histoire n’est réellement connue qu’à partir du XIIIe siècle. A cette époque le suaire est détenu par la famille de Charny, à Lirey, près de Troyes, et fait déjà l’objet d’ostensions publiques. En 1453, Marguerite de Charny, sans héritier, décide de le vendre aux ducs de Savoie, famille catholique, puissante et riche. Après l’installation de la Cour à Turin le Duc Emmanuel-Philibert fait déplacer le suaire. Propriété personnelle de la Maison de Savoie, la relique ne quittera plus Turin, malgré les suppliques des chambériens et des chanoines de la Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle de Chambéry.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Les décors sculptés de Jean Prindale et de son atelier ont disparu dans l’incendie de 1532. Après l’incendie, les verrières réalisées quelques années auparavant, entre 1521 à 1527, par les peintres-verriers Blaise de Lyon, Jean Baudichon et Jean de l'Arpe, sont réparées et certaines parties refaites par un peintre chambérien, Gaspard Masery, entre 1541 et 1548. L’ensemble reproduit neuf scènes de la Passion du Christ.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Les décors sculptés de Jean Prindale et de son atelier ont disparu dans l’incendie de 1532. Après l’incendie, les verrières réalisées quelques années auparavant, entre 1521 à 1527, par les peintres-verriers Blaise de Lyon, Jean Baudichon et Jean de l'Arpe, sont réparées et certaines parties refaites par un peintre chambérien, Gaspard Masery, entre 1541 et 1548. L’ensemble reproduit neuf scènes de la Passion du Christ.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Remarquables vitraux du XVIe siècle, restaurés en 2002. De bas en haut : la Flagellation, le Couronnement d'épines, le portage de Croix.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Remarquables vitraux du XVIe siècle, restaurés en 2002. De bas en haut : la Flagellation, le Couronnement d'épines, le portage de Croix.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Dans la verrière centrale, en bas, le vitrail représentant les saintes Femmes au tombeau est une composition qui rappelle la présence du Suaire de Turin dans la chapelle au XVIe siècle. Au-dessus, la mise au tombeau et la Crucifixion.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Dans la verrière centrale, en bas, le vitrail représentant les saintes Femmes au tombeau est une composition qui rappelle la présence du Suaire de Turin dans la chapelle au XVIe siècle. Au-dessus, la mise au tombeau et la Crucifixion.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> La Pentecôte, la Résurrection.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
La Pentecôte, la Résurrection.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Saint Matthieu.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Saint Matthieu.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Saint Jean.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Saint Jean.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Les voûtes sont ornées d’étonnantes peintures en trompe-l’œil. En 1836, le roi Charles-Albert avait lancé un programme de restauration et fait peindre la chapelle en trompe-l’œil selon la mode du temps. Le piémontais Casimir Vicario, qui avait travaillé deux ans auparavant à la cathédrale de Chambéry, en est l’auteur.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Les voûtes sont ornées d’étonnantes peintures en trompe-l’œil. En 1836, le roi Charles-Albert avait lancé un programme de restauration et fait peindre la chapelle en trompe-l’œil selon la mode du temps. Le piémontais Casimir Vicario, qui avait travaillé deux ans auparavant à la cathédrale de Chambéry, en est l’auteur.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> La belle porte en chêne de l’entrée fut sculptée par l’artiste et architecte franc-comtois, François Cuénot ; auteur également du magnifique buffet d’orgues mis en place en 1675.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
La belle porte en chêne de l’entrée fut sculptée par l’artiste et architecte franc-comtois, François Cuénot ; auteur également du magnifique buffet d’orgues mis en place en 1675.
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<center>La Sainte-Chapelle de Chambéry.</center> Dans le clocher (ou tour Yolande), est installé le Grand carillon qui sonne de ses 70 cloches202. Œuvre de la fonderie Paccard à Sevrier, c'est le quatrième plus grand carillon au monde et le premier d'Europe.
La Sainte-Chapelle de Chambéry.
Dans le clocher (ou tour Yolande), est installé le Grand carillon qui sonne de ses 70 cloches202. Œuvre de la fonderie Paccard à Sevrier, c'est le quatrième plus grand carillon au monde et le premier d'Europe.
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la Sainte-Chapelle de Chambéry.
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<center>Le château des ducs de Savoie.</center>  Il est l'ancienne résidence des comtes et ducs de Savoie. Il abrite aujourd'hui la préfecture et le conseil départemental. C'est un ensemble de bâtiments datant du Moyen Âge au XXe siècle. Il se compose notamment de trois tours construites aux XIVe et XVe siècles, de dépendances médiévales et d'un grand corps de logis des XVIIIe et XIXe siècles édifié à la place des anciens appartements des comtes.
Le château des ducs de Savoie.
Il est l'ancienne résidence des comtes et ducs de Savoie. Il abrite aujourd'hui la préfecture et le conseil départemental. C'est un ensemble de bâtiments datant du Moyen Âge au XXe siècle. Il se compose notamment de trois tours construites aux XIVe et XVe siècles, de dépendances médiévales et d'un grand corps de logis des XVIIIe et XIXe siècles édifié à la place des anciens appartements des comtes.
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<center>Le château des ducs de Savoie.</center> Salle des délibérations du conseil départemental de la Savoie. Armoiries de Chambery, de la Savoie et de Moûtiers.
Le château des ducs de Savoie.
Salle des délibérations du conseil départemental de la Savoie. Armoiries de Chambery, de la Savoie et de Moûtiers.
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<center>Le château des ducs de Savoie.</center> Salle des délibérations du conseil départemental de la Savoie. Saint Jean de Maurienne.
Le château des ducs de Savoie.
Salle des délibérations du conseil départemental de la Savoie. Saint Jean de Maurienne.
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<center>Le château des ducs de Savoie.</center> Salle des délibérations du conseil départemental de la Savoie. Albertville.
Le château des ducs de Savoie.
Salle des délibérations du conseil départemental de la Savoie. Albertville.
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Château de Chambéry.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Ancienne église du couvent des Franciscains - construite au 15è siècle, avec la sobriété de l'esprit franciscain - consacrée en 1488 - elle devint
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Ancienne église du couvent des Franciscains - construite au 15è siècle, avec la sobriété de l'esprit franciscain - consacrée en 1488 - elle devint "cathédrale" en 1779 et fut mise sous le patronage de saint François de Sales après 1801. Deux contreforts massifs divisent la façade gothique, de molasse grise, en trois parties verticales de hauteurs différentes.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> La façade principale édifiée en 1522, en gothique flamboyant d'une simplicité propre à une église franciscaine, laisse apparaître clairement la structure de l'édifice : une nef centrale assez élevée (23 mètres sous voûtes), flanquée de bas-côtés.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
La façade principale édifiée en 1522, en gothique flamboyant d'une simplicité propre à une église franciscaine, laisse apparaître clairement la structure de l'édifice : une nef centrale assez élevée (23 mètres sous voûtes), flanquée de bas-côtés.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> La façade n'offre pas la grandeur habituelle des cathédrales. Ceci s'explique par la modestie franciscaine mais aussi par le sous-sol marécageux qui a nécessité l'installation de plus de 30000 pilotis de mélèze. De telles fondations n'ont pas permis la construction d'une structure élancée.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
La façade n'offre pas la grandeur habituelle des cathédrales. Ceci s'explique par la modestie franciscaine mais aussi par le sous-sol marécageux qui a nécessité l'installation de plus de 30000 pilotis de mélèze. De telles fondations n'ont pas permis la construction d'une structure élancée.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Les vantaux ont été sculptés au début du 16e siècle par le franciscain Jean Sermeri.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Les vantaux ont été sculptés au début du 16e siècle par le franciscain Jean Sermeri.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Dans le choeur, un autel massif, présente la statue de St François de Sales, patron de l'édifice. Lers colonnes sont dépouvues de chapiteaux, ce qui est une caractéristique du gothique flamboyant
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Dans le choeur, un autel massif, présente la statue de St François de Sales, patron de l'édifice. Lers colonnes sont dépouvues de chapiteaux, ce qui est une caractéristique du gothique flamboyant
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> La particularité la plus frappante réside dans l'architecture du bas-côté et des chapelles latérales du côté sud (à droite en regardant vers le chœur). Une seule voûte assez complexe couvre à la fois la chapelle et le bas-côté. Les chapelles sont polygonales, ce qui donne à l'extérieur une succession inhabituelle de contreforts d'angles. Elles se poursuivent jusqu'à la chapelle axiale de l'abside, au nombre de neuf au total.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
La particularité la plus frappante réside dans l'architecture du bas-côté et des chapelles latérales du côté sud (à droite en regardant vers le chœur). Une seule voûte assez complexe couvre à la fois la chapelle et le bas-côté. Les chapelles sont polygonales, ce qui donne à l'extérieur une succession inhabituelle de contreforts d'angles. Elles se poursuivent jusqu'à la chapelle axiale de l'abside, au nombre de neuf au total.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Du côté nord, les deux chapelles de l'abside sont aveugles, ainsi que la suivante qui est la salle du Trésor.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Du côté nord, les deux chapelles de l'abside sont aveugles, ainsi que la suivante qui est la salle du Trésor.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Statue en noyer datant du 15e siècle.
La Révolution qui avait vidé la cathédrale de tout objet religieux, avait épargné la statue de la Vierge.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Statue en noyer datant du 15e siècle. La Révolution qui avait vidé la cathédrale de tout objet religieux, avait épargné la statue de la Vierge.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> En 1847, le facteur Augustin Zeiger construit un instrument qu'il fait entendre pour la première fois le 24 janvier de cette même année, jour de la St François de Sales. De l'intérieur, le volume est cependant assez impressionnant par la longueur, plus de 70 mètres, sur 34 de largeur. Il n'y a pas de transept.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
En 1847, le facteur Augustin Zeiger construit un instrument qu'il fait entendre pour la première fois le 24 janvier de cette même année, jour de la St François de Sales. De l'intérieur, le volume est cependant assez impressionnant par la longueur, plus de 70 mètres, sur 34 de largeur. Il n'y a pas de transept.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> La cathédrale abrite le plus vaste ensemble de peintures en trompe-l'œil d'Europe (près de 6 000 m2). Après la révolution piémontaise de 1821, le duc Charles-Félix de Savoie fait venir de nombreux artistes. Les peintures en trompe-l'œil sont déjà une des spécialités de Chambéry. Fabrizio Sevesi a réalisé un premier trompe-l'œil dans le chœur de la cathédrale en 1810.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
La cathédrale abrite le plus vaste ensemble de peintures en trompe-l'œil d'Europe (près de 6 000 m2). Après la révolution piémontaise de 1821, le duc Charles-Félix de Savoie fait venir de nombreux artistes. Les peintures en trompe-l'œil sont déjà une des spécialités de Chambéry. Fabrizio Sevesi a réalisé un premier trompe-l'œil dans le chœur de la cathédrale en 1810.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Puis de 1834 à 1835 ce sont les murs et les voutes qui sont revêtus de décors de style gothique flamboyant par Casimir Vicario. Il semble faire faire apparaître le ciel à travers les remplages gothiques avec son décor bleu en arrière plan.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Puis de 1834 à 1835 ce sont les murs et les voutes qui sont revêtus de décors de style gothique flamboyant par Casimir Vicario. Il semble faire faire apparaître le ciel à travers les remplages gothiques avec son décor bleu en arrière plan.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Une peinture funéraire de 1497 représentant l'avocat Mathieu de Morine et sa femme.
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Une peinture funéraire de 1497 représentant l'avocat Mathieu de Morine et sa femme.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> La Vierge assise tenant l'Enfant Jésus, XVIe.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
La Vierge assise tenant l'Enfant Jésus, XVIe.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> 12.	Chapelle saint Joseph : vitraux de Gsell (1868) représentant la vie de saint Joseph. Statue de saint Joseph : I8è siècle
Statues de sainte Thérèse de Lisieux et du Curé d’Ars.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
12. Chapelle saint Joseph : vitraux de Gsell (1868) représentant la vie de saint Joseph. Statue de saint Joseph : I8è siècle Statues de sainte Thérèse de Lisieux et du Curé d’Ars.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> 13.	Chapelle saint Léger : Tombeau d'Antoine Favre (1557-1624). juriste, président du sénat de Savoie, ami de saint François de Sales.
Tombeau du cardinal Billiet, archevêque de Chambéry de 1840 à 1873
Vitraux : de gauche à droite : saint François de Sales remet à Jacqueline Favre, tille d'Antoine, l'habit de la Visitation - saint Léger, évêque d'Autun, s’offre en otage pour le salut de sa ville - Pie IX remet à Mgr Billiet le chapeau de cardinal.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
13. Chapelle saint Léger : Tombeau d'Antoine Favre (1557-1624). juriste, président du sénat de Savoie, ami de saint François de Sales. Tombeau du cardinal Billiet, archevêque de Chambéry de 1840 à 1873 Vitraux : de gauche à droite : saint François de Sales remet à Jacqueline Favre, tille d'Antoine, l'habit de la Visitation - saint Léger, évêque d'Autun, s’offre en otage pour le salut de sa ville - Pie IX remet à Mgr Billiet le chapeau de cardinal.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Chapelle des Bienheureux de la Maison de Savoie : Vitraux de Nicod (1924). A gauche : Louise de Savoie, fille d'Amédée IX, Clarisse (+ 1503) Boniface de Savoie, archevêque de Cantorbéry (+1270). Au centre : Amédée IX, duc de Savoie (+1472) fait l’aumône.
À droite : Humbert III, comte de Savoie, bienfaiteur de l'abbaye d'Hautecombe (+1189) - Marguerite de Savoie, religieuse dominicaine (+1464)
Crucifix - statue de sainte Jeanne d'Arc.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Chapelle des Bienheureux de la Maison de Savoie : Vitraux de Nicod (1924). A gauche : Louise de Savoie, fille d'Amédée IX, Clarisse (+ 1503) Boniface de Savoie, archevêque de Cantorbéry (+1270). Au centre : Amédée IX, duc de Savoie (+1472) fait l’aumône. À droite : Humbert III, comte de Savoie, bienfaiteur de l'abbaye d'Hautecombe (+1189) - Marguerite de Savoie, religieuse dominicaine (+1464) Crucifix - statue de sainte Jeanne d'Arc.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Chapelle des Bienheureux de la Maison de Savoie : Vitraux de Nicod (1924). A gauche : Louise de Savoie, fille d'Amédée IX, Clarisse (+ 1503) Boniface de Savoie, archevêque de Cantorbéry (+1270). Au centre : Amédée IX, duc de Savoie (+1472) fait l’aumône.
À droite : Humbert III, comte de Savoie, bienfaiteur de l'abbaye d'Hautecombe (+1189) - Marguerite de Savoie, religieuse dominicaine (+1464)
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Chapelle des Bienheureux de la Maison de Savoie : Vitraux de Nicod (1924). A gauche : Louise de Savoie, fille d'Amédée IX, Clarisse (+ 1503) Boniface de Savoie, archevêque de Cantorbéry (+1270). Au centre : Amédée IX, duc de Savoie (+1472) fait l’aumône. À droite : Humbert III, comte de Savoie, bienfaiteur de l'abbaye d'Hautecombe (+1189) - Marguerite de Savoie, religieuse dominicaine (+1464)
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center>	Chapelle saint Crépin : patron de la Confrérie des cordonniers et des tamieurs. - Autel - retable du 17è siècle. Le tableau représente Saint Crépin (S. Crispinus) et son frère Saint Crépinien (S. Crispinianus), deux martyrs du III siècle.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Chapelle saint Crépin : patron de la Confrérie des cordonniers et des tamieurs. - Autel - retable du 17è siècle. Le tableau représente Saint Crépin (S. Crispinus) et son frère Saint Crépinien (S. Crispinianus), deux martyrs du III siècle.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center>	Chapelle de la Sainte Famille : autrefois chapelle saint Côme et saint Damien, patrons de la confrérie des chirurgiens -
Autel - retable du 17è siècle.
Peintures de Casimir Vicario : 1835
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Chapelle de la Sainte Famille : autrefois chapelle saint Côme et saint Damien, patrons de la confrérie des chirurgiens - Autel - retable du 17è siècle. Peintures de Casimir Vicario : 1835
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> La Sainte Famille.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
La Sainte Famille.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center>
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> Dans le baptistère, des fresques courent de part et d'autre du panneau central qui représente le baptême du Christ. Autour de la Vierge et de saint Joseph sont groupés 28 Saints dont les 12 apôtres, les Pères de l'Eglise et des Saints régionaux identifiés par leurs emblèmes ou par des initiales. A gauche, Marie, 	Saint Pierre et ses clefs,  St Matthieu qui commence son évangile par la généalogie du Christ
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
Dans le baptistère, des fresques courent de part et d'autre du panneau central qui représente le baptême du Christ. Autour de la Vierge et de saint Joseph sont groupés 28 Saints dont les 12 apôtres, les Pères de l'Eglise et des Saints régionaux identifiés par leurs emblèmes ou par des initiales. A gauche, Marie, Saint Pierre et ses clefs, St Matthieu qui commence son évangile par la généalogie du Christ
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<center>La cathédrale Saint-François-de-Sales.</center> St Joseph époux de Marie,
St Jean et l’aigle son symbole - nous transporte au sein de la Trinité,
St Jacques (frère de Jean) portant le bourdon des pèlerins de Compostelle,
St Jacques dit le Mineur et le bâton avec lequel il fut tué,
St André et la croix en X de son supplice,
St Jude portant le volume de la lettre qu’il écrivit,
St Matthias, choisi par les 11 pour remplacer Judas. Sur la paroi latérale, St Bernard de Menthon (+1081) - patron des montagnards,
St Augustin (+430) - évêque d’Hippone,
St Jérôme (+420) - le solitaire du désert, érudit de la Parole de Dieu.
La cathédrale Saint-François-de-Sales.
St Joseph époux de Marie, St Jean et l’aigle son symbole - nous transporte au sein de la Trinité, St Jacques (frère de Jean) portant le bourdon des pèlerins de Compostelle, St Jacques dit le Mineur et le bâton avec lequel il fut tué, St André et la croix en X de son supplice, St Jude portant le volume de la lettre qu’il écrivit, St Matthias, choisi par les 11 pour remplacer Judas. Sur la paroi latérale, St Bernard de Menthon (+1081) - patron des montagnards, St Augustin (+430) - évêque d’Hippone, St Jérôme (+420) - le solitaire du désert, érudit de la Parole de Dieu.
80
<center> Le musée savoisien.</center> Le cloître gothiquede la cathédrale  abrite aujourd'hui le musée.
Le musée savoisien.
Le cloître gothiquede la cathédrale abrite aujourd'hui le musée.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center> Vénus de Détrier.
Le musée savoisien.
Vénus de Détrier.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center>
Le musée savoisien.
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<center> Le musée savoisien.</center> Tore
Le musée savoisien.
Tore
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<center> Le musée savoisien.</center> Ceinture à  fermeture à tête d'animal
Le musée savoisien.
Ceinture à fermeture à tête d'animal
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<center> Le musée savoisien.</center> Portrait présumé de Marguerite de Valois, fille de François Ier, soeur d'Henri II, duchesse de Savoie par son mariage avec Emmanuel-Philibert.
Le musée savoisien.
Portrait présumé de Marguerite de Valois, fille de François Ier, soeur d'Henri II, duchesse de Savoie par son mariage avec Emmanuel-Philibert.
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<center> Peintures murales de Cruet</center>Ces peintures du château de Cruet illustrent le roman médiéval Berthe au grand pied d'Adenet le Roi (1275) et la jeunesse de Charlemagne par Gérard d'Amiens. Scène du coucher Royal.
Peintures murales de Cruet
Ces peintures du château de Cruet illustrent le roman médiéval Berthe au grand pied d'Adenet le Roi (1275) et la jeunesse de Charlemagne par Gérard d'Amiens. Scène du coucher Royal.
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<center> Peintures murales de Cruet</center>
Peintures murales de Cruet
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<center> Peintures murales de Cruet</center> Charlemagne et Girart chassent à courre
Peintures murales de Cruet
Charlemagne et Girart chassent à courre
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<center> Peintures murales de Cruet</center> Un messager leur annonce la mort du duc de Bourgogne
Peintures murales de Cruet
Un messager leur annonce la mort du duc de Bourgogne
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<center> Peintures murales de Cruet</center> Adoubement de Girart
Peintures murales de Cruet
Adoubement de Girart
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<center> Peintures murales de Cruet</center> Campement de Charlemagne
Peintures murales de Cruet
Campement de Charlemagne
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<center> Peintures murales de Cruet</center> Une intervention divine, se manifestant sous le forme d'une nuée, contraint Roland et Oliviers, lors d'un combat davant Vienne, à faire la paix
Peintures murales de Cruet
Une intervention divine, se manifestant sous le forme d'une nuée, contraint Roland et Oliviers, lors d'un combat davant Vienne, à faire la paix
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<center> Peintures murales de Cruet</center> Siège de Vienne par les troupes de Charlemagne A gauche, Aymeri tente de tuer la duchesse de Bourgogne lors d'un repas
Peintures murales de Cruet
Siège de Vienne par les troupes de Charlemagne A gauche, Aymeri tente de tuer la duchesse de Bourgogne lors d'un repas
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<center> Peintures murales de Cruet</center> Siège de Vienne par les troupes de Charlemagne
Peintures murales de Cruet
Siège de Vienne par les troupes de Charlemagne
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<center> Le musée savoisien.</center> Vue ancienne de Chambéry.
Le musée savoisien.
Vue ancienne de Chambéry.
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<center> Le musée savoisien.</center> Vue ancienne de Chambéry.
Le musée savoisien.
Vue ancienne de Chambéry.
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La rue de Boigne. Le percement de cette rue est pensé et financé par le général Benoît de Boigne et se déroule de 1824 à 1830. La particularité de cette nouvelle artère est la présence de part et d'autre de la voie, de portiques à la turinoise sous lesquels s'installent familles de notables, commerces de luxe ou salons de thé.
La rue de Boigne. Le percement de cette rue est pensé et financé par le général Benoît de Boigne et se déroule de 1824 à 1830. La particularité de cette nouvelle artère est la présence de part et d'autre de la voie, de portiques à la turinoise sous lesquels s'installent familles de notables, commerces de luxe ou salons de thé.
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La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger. Edifice construit par l'architecte Trivelly, de 1824 à 1830. Devanture de 1930
La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger. Edifice construit par l'architecte Trivelly, de 1824 à 1830. Devanture de 1930
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La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger.
La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger.
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La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger.
La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger.
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La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger.
La rue de Boigne. Pâtisserie le fidèle berger.
110
La rue de Boigne, vers les quatre-sans-cul.
La rue de Boigne, vers les quatre-sans-cul.
111
La rue de Boigne vers le château.
La rue de Boigne vers le château.
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Monument en l'honneur des frères Joseph et Xavier de Maistre. Le premier fut un homme politique et philosophe de la Contre-Révolution ; le second, écrivain, est l'auteur du Voyage autour de ma chambre.
Monument en l'honneur des frères Joseph et Xavier de Maistre. Le premier fut un homme politique et philosophe de la Contre-Révolution ; le second, écrivain, est l'auteur du Voyage autour de ma chambre.
113
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Hôtel de Monfalcon, XVIIIe, véritable palais à l'italienne.
Hôtel de Monfalcon, XVIIIe, véritable palais à l'italienne.
115
Place du château.
Place du château.
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La Tour de la trésorerie. Il y eut des trésoriers de Savoie depuis le Moyen Age. La Trésorerie générale avait ses locaux depuis 1727 au château de Chambéry, dans la tour à laquelle elle donna son nom.
La Tour de la trésorerie. Il y eut des trésoriers de Savoie depuis le Moyen Age. La Trésorerie générale avait ses locaux depuis 1727 au château de Chambéry, dans la tour à laquelle elle donna son nom.
117
Rue de la Trésorerie.
Rue de la Trésorerie.
118
Rue Juiverie. Le ghetto fut vidé en 1468 de ses habitants.
Rue Juiverie. Le ghetto fut vidé en 1468 de ses habitants.
119
Hôtel d'Alinges.
Hôtel d'Alinges.
120
Hôtel d'Alinges. Cour Renaissance.
Hôtel d'Alinges. Cour Renaissance.
121
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice, typique de l'architecture aristocratique locale. Les Chabod appartiennent à une vieille famille de marchands, originaire de Chambéry, dont l'origine est complexe. et hôtel est clui de Thomas François Chabod, marquis de SaintMaurice († 1682), ambassadeur de Savoie.0
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice, typique de l'architecture aristocratique locale. Les Chabod appartiennent à une vieille famille de marchands, originaire de Chambéry, dont l'origine est complexe. et hôtel est clui de Thomas François Chabod, marquis de SaintMaurice († 1682), ambassadeur de Savoie.0
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L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
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L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
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L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
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L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
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L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
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L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
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L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
L'hôtel des comtes Chabod-de-Saint-Maurice.
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Rue Basse du Château. C'était l’accès le plus direct au château des Ducs, depuis le XIVème siècle, jusqu’à l’ouverture de la rue de Boigne, en 1830. Dans cette rue se trouve la dernière passerelle couverte, en bois. l y reste aussi plusieurs “banches“, ce sont des étals de pierre sur le devant des boutiques. Les commerçants y travaillaient dessus pour des questions d’éclairage et d’honnêteté envers la clientèle.
Rue Basse du Château. C'était l’accès le plus direct au château des Ducs, depuis le XIVème siècle, jusqu’à l’ouverture de la rue de Boigne, en 1830. Dans cette rue se trouve la dernière passerelle couverte, en bois. l y reste aussi plusieurs “banches“, ce sont des étals de pierre sur le devant des boutiques. Les commerçants y travaillaient dessus pour des questions d’éclairage et d’honnêteté envers la clientèle.
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Une traboule, passage sous voûtes permettant de communiquer entre les rues.
Une traboule, passage sous voûtes permettant de communiquer entre les rues.
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La place Saint-Léger. A gauche, l'hôtel de Montjoie, 2e moitié 17e siècle. En face, l'hôtel Dieulefis.
La place Saint-Léger. A gauche, l'hôtel de Montjoie, 2e moitié 17e siècle. En face, l'hôtel Dieulefis.
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Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
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Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
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Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
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Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
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Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
Cour à l'arrière de l'hôtel de Montjoie.
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L'hôtel de Montjoie. Entrée  par la cour.
L'hôtel de Montjoie. Entrée par la cour.
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L'hôtel de Montjoie.
L'hôtel de Montjoie.
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L'hôtel de Montjoie. L'escalier et sa rampe.
L'hôtel de Montjoie. L'escalier et sa rampe.
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L'hôtel de Montjoie. L'escalier et sa rampe.
L'hôtel de Montjoie. L'escalier et sa rampe.
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Vue d'une cour intérieure traversée par l'Allée Henry Planche. Parmi les curiosités observables sur la place Saint-Léger figurent en particulier les « allées » perpendiculaires à la place. Une quinzaine de ces allées permettent ainsi de desservir les diverses entrées des immeubles très profonds qui cernent la place, ou de rejoindre pour certaines d'autres rues de la ville.
Vue d'une cour intérieure traversée par l'Allée Henry Planche. Parmi les curiosités observables sur la place Saint-Léger figurent en particulier les « allées » perpendiculaires à la place. Une quinzaine de ces allées permettent ainsi de desservir les diverses entrées des immeubles très profonds qui cernent la place, ou de rejoindre pour certaines d'autres rues de la ville.
150
La profondeur des bâtiments qui a conduit au percement de ces longues allées devait compenser la faible largeur des façades sur la place décidée lors de leur construction, vraisemblablement en raison des taxes dues au titre du droit de toisage à partir du XIVe siècle, une taxe par ailleurs particulièrement lourde à Chambéry. Certaines de ces allées débouchent également sur des cours intérieures centrales.
La profondeur des bâtiments qui a conduit au percement de ces longues allées devait compenser la faible largeur des façades sur la place décidée lors de leur construction, vraisemblablement en raison des taxes dues au titre du droit de toisage à partir du XIVe siècle, une taxe par ailleurs particulièrement lourde à Chambéry. Certaines de ces allées débouchent également sur des cours intérieures centrales.
151
La porte de Celse Morin, dans les allées. Porte édifiée vers 1550 par Celse MORIN ( conseiller au Parlement Français de Chambéry pour sa maison de Saint Antoine ).
La porte de Celse Morin, dans les allées. Porte édifiée vers 1550 par Celse MORIN ( conseiller au Parlement Français de Chambéry pour sa maison de Saint Antoine ).
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La porte de Celse Morin, dans les allées. Porte édifiée vers 1550 par Celse MORIN ( conseiller au Parlement Français de Chambéry pour sa maison de Saint Antoine ).
La porte de Celse Morin, dans les allées. Porte édifiée vers 1550 par Celse MORIN ( conseiller au Parlement Français de Chambéry pour sa maison de Saint Antoine ).
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Hôtel Lambert de la Croix. XVIe.
Hôtel Lambert de la Croix. XVIe.
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Hôtel Lambert de la Croix. XVIe.
Hôtel Lambert de la Croix. XVIe.
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La place Saint-Léger, avec la fontaine des Marmousets.
La place Saint-Léger, avec la fontaine des Marmousets.
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La place Saint-Léger. A Chambéry, de l’église paroissiale de Saint Léger construite en 1240 et démolie pour insalubrité en 1760, il ne restait que l’horloge. On l’installa sur un immeuble qui bordait la nouvelle place St Léger créée suite à la démolition. Le 22 août 1897, un incendie ravage le sud de la place St Léger à la hauteur de l’horloge. Les immeubles sont reconstruits entre 1902 et 1908 principalement par l’architecte Victor Denarié. C’est lui qui dessine le beffroi qui portera l’horloge remaniée. Les décors sont exécutés par le sculpteur Jean Carle. On élève le beffroi et son horloge en 1902, en surplomb de l’angle des immeublesde la place St Léger et de la nouvelle rue Porte-Reine.
La place Saint-Léger. A Chambéry, de l’église paroissiale de Saint Léger construite en 1240 et démolie pour insalubrité en 1760, il ne restait que l’horloge. On l’installa sur un immeuble qui bordait la nouvelle place St Léger créée suite à la démolition. Le 22 août 1897, un incendie ravage le sud de la place St Léger à la hauteur de l’horloge. Les immeubles sont reconstruits entre 1902 et 1908 principalement par l’architecte Victor Denarié. C’est lui qui dessine le beffroi qui portera l’horloge remaniée. Les décors sont exécutés par le sculpteur Jean Carle. On élève le beffroi et son horloge en 1902, en surplomb de l’angle des immeublesde la place St Léger et de la nouvelle rue Porte-Reine.
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La place Saint-Léger. L'hôtel Dieulefis, à l’origine sis aux 64-66 de la place Saint-Léger et anciennement dénommé hôtel de Mellarède, remonte à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle. Il possède un décor sculpté et une lucarne, et la protection concerne la façade et la toiture
La place Saint-Léger. L'hôtel Dieulefis, à l’origine sis aux 64-66 de la place Saint-Léger et anciennement dénommé hôtel de Mellarède, remonte à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle. Il possède un décor sculpté et une lucarne, et la protection concerne la façade et la toiture
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L'hôtel Dieulefis
L'hôtel Dieulefis
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L'hôtel Dieulefis.
L'hôtel Dieulefis.
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L'hôtel Dieulefis.
L'hôtel Dieulefis.
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L'hôtel Dieulefis.
L'hôtel Dieulefis.
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L'hôtel Dieulefis.
L'hôtel Dieulefis.
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La place Saint-Léger. Entrée de l'allée Roger Dumaz, héros de la résistance. Beau balcon en fer forgé.
La place Saint-Léger. Entrée de l'allée Roger Dumaz, héros de la résistance. Beau balcon en fer forgé.
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L'hôtel Chollet du Bourget.
L'hôtel Chollet du Bourget.
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L'hôtel Chollet du Bourget.
L'hôtel Chollet du Bourget.
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L'hôtel Chollet du Bourget.
L'hôtel Chollet du Bourget.
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L'hôtel Chollet du Bourget.
L'hôtel Chollet du Bourget.
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L'hôtel Chollet du Bourget.
L'hôtel Chollet du Bourget.
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Dans cette maison du comte de Saint Laurent, Mme de Warens hébergea Jean-Jacques Rousseau de 1732 à 1740.
Dans cette maison du comte de Saint Laurent, Mme de Warens hébergea Jean-Jacques Rousseau de 1732 à 1740.
173
Hôtel particulier du comte de Saint-Laurent.
Hôtel particulier du comte de Saint-Laurent.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> âtie sur les vestiges d'un temple romain dédié au dieu Mercure, possiblement à partir du VIe siècle, l'église serait à ce titre la plus ancienne de Chambéry et l'une des plus anciennes de Savoie. Église prieurale de Lémenc, elle conserve une partie de l’architecture romane de l'église du XIe siècle ainsi que l'architecture gothique de sa reconstruction au début du XVIe siècle.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
âtie sur les vestiges d'un temple romain dédié au dieu Mercure, possiblement à partir du VIe siècle, l'église serait à ce titre la plus ancienne de Chambéry et l'une des plus anciennes de Savoie. Église prieurale de Lémenc, elle conserve une partie de l’architecture romane de l'église du XIe siècle ainsi que l'architecture gothique de sa reconstruction au début du XVIe siècle.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> À l'intérieur, l'église comprend un vaisseau à nef unique, sobre en ornements, donnant sur un chœur de 21 mètres de profondeur.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
À l'intérieur, l'église comprend un vaisseau à nef unique, sobre en ornements, donnant sur un chœur de 21 mètres de profondeur.
183
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>La nef a conservé pour une grande partie ses murs et ses fenêtres romanes.  Dans le chœur la Vierge et l’ange de la visitation ont été sculptés au 17ème siècle.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La nef a conservé pour une grande partie ses murs et ses fenêtres romanes. Dans le chœur la Vierge et l’ange de la visitation ont été sculptés au 17ème siècle.
184
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La lumière pénètre au-travers de larges verrières et les vitraux datant de la fin du XIXe siècle sont l'œuvre du peintre-verrier lyonnais Lucien Bégule. De gauche à droite : Adoration des Bergers, remise des clés à saint Pierre, la Pentecôte.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La lumière pénètre au-travers de larges verrières et les vitraux datant de la fin du XIXe siècle sont l'œuvre du peintre-verrier lyonnais Lucien Bégule. De gauche à droite : Adoration des Bergers, remise des clés à saint Pierre, la Pentecôte.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
186
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Sépulture du général-comte de Boigne sculptée par Benedetto Cacciatori en 1831
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Sépulture du général-comte de Boigne sculptée par Benedetto Cacciatori en 1831
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Chapelle Saint Bernard. Vitrail de Louis Balmet.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Chapelle Saint Bernard. Vitrail de Louis Balmet.
188
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Deux vitraux de J. Magnin, de 1885,  encadrent un de J.M. Pirot.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Deux vitraux de J. Magnin, de 1885, encadrent un de J.M. Pirot.
189
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>Le vitrail situé sur la façade au sommet de l’entrée représente un blasonnement ecclésiastique : un blason parti, au premier d'azur à la croix d'or, au second de gueules à la clé d'or et à la clé d'argent passées en sautoir (symbole héraldique des armoiries papales), le tout surmonté d'un tortil sur lequel est inscrit en lettres capitales le nom de « Lemenc » et cerclé par deux branches et par des blasons de la Savoie et des croix tréflées d'argent sur le pourtour.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Le vitrail situé sur la façade au sommet de l’entrée représente un blasonnement ecclésiastique : un blason parti, au premier d'azur à la croix d'or, au second de gueules à la clé d'or et à la clé d'argent passées en sautoir (symbole héraldique des armoiries papales), le tout surmonté d'un tortil sur lequel est inscrit en lettres capitales le nom de « Lemenc » et cerclé par deux branches et par des blasons de la Savoie et des croix tréflées d'argent sur le pourtour.
190
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Cette  crypte constitue l'un des vestiges « parmi les plus anciens de la chrétienté de Savoie et toujours une énigme pour les archéologues. Telle qu'elle subsiste de nos jours, la crypte est longue de 25 mètres et peut se décomposer en trois parties : l’entrée de la crypte d'où est prise la photo, la crypte intermédiaire et la crypte gothique. La voûte de la nef est recouverte de fresques peintes aux environs de 1510.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Cette crypte constitue l'un des vestiges « parmi les plus anciens de la chrétienté de Savoie et toujours une énigme pour les archéologues. Telle qu'elle subsiste de nos jours, la crypte est longue de 25 mètres et peut se décomposer en trois parties : l’entrée de la crypte d'où est prise la photo, la crypte intermédiaire et la crypte gothique. La voûte de la nef est recouverte de fresques peintes aux environs de 1510.
191
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Elle  possède en son centre une rotonde de six colonnes dont l'usage et l’époque de construction ne sont pas connus. Il pourrait s'agir d'un baptistère de l'époque carolingienne, soit du IXe siècle, mais un certain nombre d'observations contredisent cette hypothèse.  Il est donc aussi avancé l'hypothèse d'un reliquaire monumental datant de la construction de l’église au XIe siècle, où le centre de la cuve qui aurait servi au baptême dans l’hypothèse précédente serait donc utilisée pour disposer les reliques, avec un oculus permettant aux fidèles d'apercevoir les reliques.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Elle possède en son centre une rotonde de six colonnes dont l'usage et l’époque de construction ne sont pas connus. Il pourrait s'agir d'un baptistère de l'époque carolingienne, soit du IXe siècle, mais un certain nombre d'observations contredisent cette hypothèse. Il est donc aussi avancé l'hypothèse d'un reliquaire monumental datant de la construction de l’église au XIe siècle, où le centre de la cuve qui aurait servi au baptême dans l’hypothèse précédente serait donc utilisée pour disposer les reliques, avec un oculus permettant aux fidèles d'apercevoir les reliques.
192
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> L'oculus permettant aux fidèles d'apercevoir les reliques.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
L'oculus permettant aux fidèles d'apercevoir les reliques.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La rotonde de la crypte de Lémenc.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La rotonde de la crypte de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La rotonde de la crypte de Lémenc.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La rotonde de la crypte de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La rotonde de la crypte de Lémenc.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La rotonde de la crypte de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La rotonde de la crypte de Lémenc.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La rotonde de la crypte de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La rotonde de la crypte de Lémenc.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La rotonde de la crypte de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La rotonde de la crypte de Lémenc.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La rotonde de la crypte de Lémenc.
199
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> La crypte intermédiaire (ou médiane) comporte trois nefs romanes voûtées en berceau. peintures murales de la Renaissance réalisées par le peintre et maître verrier Jean Baudichon en 1510, et possède également quatre sibylles et des banderoles ornées d'inscription
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
La crypte intermédiaire (ou médiane) comporte trois nefs romanes voûtées en berceau. peintures murales de la Renaissance réalisées par le peintre et maître verrier Jean Baudichon en 1510, et possède également quatre sibylles et des banderoles ornées d'inscription
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>  Sibylles.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Sibylles.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>  Sibylles.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Sibylles.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Dans l’abside on peut voir une
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Dans l’abside on peut voir une "Mise au Tombeau" en calcaire polychrome. Ce groupe sculptural de la fin du 15ème siècle provient de l’église des Antonins de Chambéry.
205
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Dans l’abside gothique, créée lors de l’agrandissement de la crypte au XVème siècle, a été transporté un
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Dans l’abside gothique, créée lors de l’agrandissement de la crypte au XVème siècle, a été transporté un "Sépulcre". C’est un ensemble de douze statues du XVème siècle représentant la Mise au tombeau. A droite et à gauche du Christ mort, tenant son suaire, se trouvent Nicodème et Joseph d’Arimathie. Le Christ, Joseph d’Arimathie et Nicomède sont plus grands que nature pour attirer l’attention. Derrière, on peut reconnaître Saint Jean qui soutient la Vierge, Marie Madeleine et deux saintes femmes.
206
<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center> Joseph d’Arimathie.
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
Joseph d’Arimathie.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
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<center>L'église Saint-Pierre de Lémenc. </center>
L'église Saint-Pierre de Lémenc.
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L'église Saint-Pierre de Lémenc.
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Hôtel de Marches et de Bellegarde.
Hôtel de Marches et de Bellegarde.
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Hôtel de Marches et de Bellegarde. (XVIIe – XVIIIe siècle)
Rendu célèbre par Hérault de Séchelles
sous la révolution
Habité par Pie VII (1804) et Napoléon Ier (1805)
Hôtel de Marches et de Bellegarde. (XVIIe – XVIIIe siècle) Rendu célèbre par Hérault de Séchelles sous la révolution Habité par Pie VII (1804) et Napoléon Ier (1805)
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Hôtel de Marches et de Bellegarde.
Hôtel de Marches et de Bellegarde.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf. Portail côté rue Croix d'Or.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf. Portail côté rue Croix d'Or.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf. Portail côté rue Croix d'Or.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf. Portail côté rue Croix d'Or.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf. Vue de la cour à l'arrière de la cathédrale.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf. Vue de la cour à l'arrière de la cathédrale.
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L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
L'Hôtel Castagnery de Chateauneuf.
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Rue Saint-Real.
Rue Saint-Real.
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Le théâtre Charles-Dullin porte le nom du comédien savoyard Charles Dullin depuis 1949. Il est construit à partir de 1820 grâce à une donation du comte de Boigne.
Le théâtre Charles-Dullin porte le nom du comédien savoyard Charles Dullin depuis 1949. Il est construit à partir de 1820 grâce à une donation du comte de Boigne.
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Carré Curial (ancienne caserne). Les bâtiments anciens, ceux de l'ancienne caserne, prennent la forme d'un quadrilatère dont chaque côté mesure environ 100 mètres comprenant deux étages et des combles aménagés. Ceux-ci reprennent le plan des Invalides. On trouve en son centre une cour bordée de nombreux portiques en péristyle.
Carré Curial (ancienne caserne). Les bâtiments anciens, ceux de l'ancienne caserne, prennent la forme d'un quadrilatère dont chaque côté mesure environ 100 mètres comprenant deux étages et des combles aménagés. Ceux-ci reprennent le plan des Invalides. On trouve en son centre une cour bordée de nombreux portiques en péristyle.
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La médiathèque Jean-Jacques Rousseau réalisée par l'architecte Aurelio Galfetti en 1992.
La médiathèque Jean-Jacques Rousseau réalisée par l'architecte Aurelio Galfetti en 1992.
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L'Espace culturel André Malraux est accolé à la Médiathèque Jean-Jacques Rousseau. L'escalier monumental permet l'accès au théâtre.
L'Espace culturel André Malraux est accolé à la Médiathèque Jean-Jacques Rousseau. L'escalier monumental permet l'accès au théâtre.
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs érigée en 1838 par le sculpteur grenoblois Victor Sappey en l'honneur du général comte de Boigne.
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs érigée en 1838 par le sculpteur grenoblois Victor Sappey en l'honneur du général comte de Boigne.
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. La fontaine présente dans son plan la croix de Savoie. Quatre éléphants réunis par la croupe, réalisés en fonte de fer, jettent l’eau par leurs trompes dans un bassin de forme octogonale. Ils portent chacun une tour de combat surmontée d’un bas-relief ou d’une inscription.
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. La fontaine présente dans son plan la croix de Savoie. Quatre éléphants réunis par la croupe, réalisés en fonte de fer, jettent l’eau par leurs trompes dans un bassin de forme octogonale. Ils portent chacun une tour de combat surmontée d’un bas-relief ou d’une inscription.
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. Sur les éléphants se dresse une grande colonne, symbolisée par un tronc de palmier. Elle porte en son sommet la statue du Général et sa base est ornée d'une grande variété de trophées : « Des armes persanes, mogholes, hindoues ; divers objets rappelant les mœurs, les arts et la civilisation des peuples que le général de Boigne a combattus ou gouvernés, composent les trophées »
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. Sur les éléphants se dresse une grande colonne, symbolisée par un tronc de palmier. Elle porte en son sommet la statue du Général et sa base est ornée d'une grande variété de trophées : « Des armes persanes, mogholes, hindoues ; divers objets rappelant les mœurs, les arts et la civilisation des peuples que le général de Boigne a combattus ou gouvernés, composent les trophées »
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. Le général-comte de Boigne est vêtu de son costume de lieutenant-général de Sa Majesté le roi de Sardaigne3. Son manteau relevé sur son épaule gauche laisse apparaître sa main posée sur un sabre oriental, tandis que sa main droite tient un document sur lequel est inscrit « dons à la Ville de Chambéry », représentant l'ensemble des donations accordées à la ville par le comte de Boigne
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. Le général-comte de Boigne est vêtu de son costume de lieutenant-général de Sa Majesté le roi de Sardaigne3. Son manteau relevé sur son épaule gauche laisse apparaître sa main posée sur un sabre oriental, tandis que sa main droite tient un document sur lequel est inscrit « dons à la Ville de Chambéry », représentant l'ensemble des donations accordées à la ville par le comte de Boigne
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. La statue en bronze a été fondue à Paris dans les ateliers de Charles Crozatier. Elle pèse 750 kg et mesure 2,82 m de hauteur.
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs. La statue en bronze a été fondue à Paris dans les ateliers de Charles Crozatier. Elle pèse 750 kg et mesure 2,82 m de hauteur.
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs.
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs.
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs.
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs.
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Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs.
Fontaine des éléphants ou des quatre sans culs.
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