Sommières, le château de Villevieille, la chapelle de St Julien de Montredon

<center>Sommières</center>Le pont Romain. Les Gaulois avaient installé un oppidum sur la colline, mais l'importance de la ville date de la construction du pont par les Romains, au Ier s., à un carrefour stratégique entre la voie Domitienne et la route reliant Nîmes à Lodève.
Sommières
Le pont Romain. Les Gaulois avaient installé un oppidum sur la colline, mais l'importance de la ville date de la construction du pont par les Romains, au Ier s., à un carrefour stratégique entre la voie Domitienne et la route reliant Nîmes à Lodève.
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<center>Sommières</center>Le pont Romain. Même en comptant avec les travaux de restauration des XVIIe et XIXe s., son état de conservation est étonnant, sachant qu'il a traversé près de 20 siècles (il a été construit entre 19 et 31 de notre ère par l'empereur Tibère ). Certaines arches furent pourtant englobées dans les maisons et la voirie de la ville lors de son développement au Moyen Âge, réduisant ainsi la largeur du cours naturel de la rivière, mais provoquant en retour une sorte de goulet d'étranglement aux eaux qui continuent à déborder de nos jours lors des crues.
Sommières
Le pont Romain. Même en comptant avec les travaux de restauration des XVIIe et XIXe s., son état de conservation est étonnant, sachant qu'il a traversé près de 20 siècles (il a été construit entre 19 et 31 de notre ère par l'empereur Tibère ). Certaines arches furent pourtant englobées dans les maisons et la voirie de la ville lors de son développement au Moyen Âge, réduisant ainsi la largeur du cours naturel de la rivière, mais provoquant en retour une sorte de goulet d'étranglement aux eaux qui continuent à déborder de nos jours lors des crues.
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<center>Sommières</center>Le pont Romain. Sa longueur totale est de 189 mètres. Sept de ses dix-sept arches sont encore visibles sur Vidourle. Les autres sont absorbées par la construction des maisons.
Sommières
Le pont Romain. Sa longueur totale est de 189 mètres. Sept de ses dix-sept arches sont encore visibles sur Vidourle. Les autres sont absorbées par la construction des maisons.
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<center>Sommières</center>Le pont Romain.
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Le pont Romain.
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<center>Sommières</center>Le pont Romain.
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Le pont Romain.
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<center>Sommières</center>Le pont Romain.
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Le pont Romain.
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<center>Sommières</center>Vidourle. En matière de linguistique, le Vidourle constitue la frontière généralement admise entre les variantes languedociennes et provençales de la langue d'Oc.
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Vidourle. En matière de linguistique, le Vidourle constitue la frontière généralement admise entre les variantes languedociennes et provençales de la langue d'Oc.
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<center>Sommières</center> Vidourle
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Vidourle
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<center>Sommières</center> Vidourle et la tour du château.
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Vidourle et la tour du château.
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<center>Sommières</center> Vidourle
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Vidourle
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<center>Sommières</center>La tour de l'Horloge. Située au bout du pont, sur la sixième pile, c'était la seule porte de la ville du côté de la rivière. Construite à l'époque médiévale, elle est contemporaine des remparts mais a subi de nombreuses restaurations. Un beffroi la surmonte désormais. Notez les gargouilles en formes de canons. Sur la façade apparaissent en relief les armes de la ville qui évoquent le fleuve, le pont et ses deux tours (celle qui faisait face à l'Horloge a disparu en 1715). La cloche a été installée en 1657 (1323 kg).
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La tour de l'Horloge. Située au bout du pont, sur la sixième pile, c'était la seule porte de la ville du côté de la rivière. Construite à l'époque médiévale, elle est contemporaine des remparts mais a subi de nombreuses restaurations. Un beffroi la surmonte désormais. Notez les gargouilles en formes de canons. Sur la façade apparaissent en relief les armes de la ville qui évoquent le fleuve, le pont et ses deux tours (celle qui faisait face à l'Horloge a disparu en 1715). La cloche a été installée en 1657 (1323 kg).
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<center>Sommières</center> Porte du Bourguet. Elle a été ouverte en 1608 dans une des tours du rempart de la ville et refaite dans son état actuel en 1752. La porte a été restaurée après les inondations de 2002 et les battants en bois d'origine ont été remplacés.
Sommières
Porte du Bourguet. Elle a été ouverte en 1608 dans une des tours du rempart de la ville et refaite dans son état actuel en 1752. La porte a été restaurée après les inondations de 2002 et les battants en bois d'origine ont été remplacés.
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<center>Sommières</center>Rue Antonin Paris.
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Rue Antonin Paris.
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<center>Sommières</center>Rue Antonin Paris.
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Rue Antonin Paris.
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<center>Sommières</center>Rue Antonin Paris.
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Rue Antonin Paris.
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<center>Sommières</center>Rue Antonin Paris.
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Rue Antonin Paris.
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<center>Sommières</center>Rue Antonin Paris.
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Rue Antonin Paris.
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<center>Sommières</center>Place Saussine. Elle a été ouverte en 1608 dans une des tours du rempart de la ville et refaite dans son état actuel en 1752. La porte a été restaurée après les inondations de 2002 et les battants en bois d'origine ont été remplacés.  Ici, les anciens greniers à sel.
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Place Saussine. Elle a été ouverte en 1608 dans une des tours du rempart de la ville et refaite dans son état actuel en 1752. La porte a été restaurée après les inondations de 2002 et les battants en bois d'origine ont été remplacés. Ici, les anciens greniers à sel.
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<center>Sommières</center>Place Saussine. Le masque grimaçant sur l'une des façades,s elon la légende, tirerait la langue aux protestants.
Sommières
Place Saussine. Le masque grimaçant sur l'une des façades,s elon la légende, tirerait la langue aux protestants.
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<center>Sommières</center>Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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<center>Sommières</center>Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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<center>Sommières</center>Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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<center>Sommières</center>Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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<center>Sommières</center>Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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<center>Sommières</center>Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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Un hôtel particulier de la rue des Baumes.
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<center>Sommières</center>Un hôtel particulier de la rue des Baumes. Baume veut dire grotte en langue d'oc, ce qui explique le nom de cette rue surtout quand on sait que sous les maisons se trouvent des petites cavités creusées dans le calcaire où l'on recueille l'eau d'infiltration,
Sommières
Un hôtel particulier de la rue des Baumes. Baume veut dire grotte en langue d'oc, ce qui explique le nom de cette rue surtout quand on sait que sous les maisons se trouvent des petites cavités creusées dans le calcaire où l'on recueille l'eau d'infiltration,
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<center>Sommières</center>
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons.
Sommières
Eglise St Pons.
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons. Il est couramment admis que ses origines remontent au Xe siècle mais que Sommières fut évangélisée dans la seconde moitié du IVe siècle par St Flour, 1er évêqué de Lodève.
Il ne reste rien de l'Église première (église certainement Romane). Lors des guerres de religion (1575), Danville y établit le culte calviniste jusqu'en 1581, où Sommières, place de sûreté des protestants, construisit un temple à proximité de l'Église.
Mgr. Cohon, le 29 mai 1664, vint visiter la ville et trouva l'ancienne église ruinée.
De 1684 à 1687, d'importants travaux furent effectués, un choeur fut ajouté.
L'Édit de Nantes ayant été révoqué entre temps, le Temple voisin fut abattu et les matériauxx récupérés furent utilisés à la restauration de l'Église.
En 1748, on effectua de nouvelles réparations. Le clocher fut reconstruit par l'entrepreneur Saussines.
Sommières
Eglise St Pons. Il est couramment admis que ses origines remontent au Xe siècle mais que Sommières fut évangélisée dans la seconde moitié du IVe siècle par St Flour, 1er évêqué de Lodève. Il ne reste rien de l'Église première (église certainement Romane). Lors des guerres de religion (1575), Danville y établit le culte calviniste jusqu'en 1581, où Sommières, place de sûreté des protestants, construisit un temple à proximité de l'Église. Mgr. Cohon, le 29 mai 1664, vint visiter la ville et trouva l'ancienne église ruinée. De 1684 à 1687, d'importants travaux furent effectués, un choeur fut ajouté. L'Édit de Nantes ayant été révoqué entre temps, le Temple voisin fut abattu et les matériauxx récupérés furent utilisés à la restauration de l'Église. En 1748, on effectua de nouvelles réparations. Le clocher fut reconstruit par l'entrepreneur Saussines.
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons. A partir de 1793, on célébra dans l'Eglise le culte de la raison et en germinal an X les Protestants s'emparèrent du bâtiment.
A la suite de la transaction de 1805, les catholiques reprirent possession de leur Eglise.
Des réparations sommaires eurent lieu ; mais en 1840, l'architecte Départemental reconnut que le bâtiment devait être entièrement reconstruit. L'entrée fut placée à l'opposé de celle qu'elle occupait alors (vers l'est).
Les travaux de démolition commencèrent le 1e, juin 1846 et la première pierre fut posée le 4 août suivant (Municipalité Boisson). Mais par suite d'un mouvement de terrain il fallut entreprendre d'autres travaux de consolidation et de reconstruction partielle.
Commencés en 1864, ils furent terminés vers la fin de février 1867 dans le style néo-gothique. (Municipalité Aubanel).
Sommières
Eglise St Pons. A partir de 1793, on célébra dans l'Eglise le culte de la raison et en germinal an X les Protestants s'emparèrent du bâtiment. A la suite de la transaction de 1805, les catholiques reprirent possession de leur Eglise. Des réparations sommaires eurent lieu ; mais en 1840, l'architecte Départemental reconnut que le bâtiment devait être entièrement reconstruit. L'entrée fut placée à l'opposé de celle qu'elle occupait alors (vers l'est). Les travaux de démolition commencèrent le 1e, juin 1846 et la première pierre fut posée le 4 août suivant (Municipalité Boisson). Mais par suite d'un mouvement de terrain il fallut entreprendre d'autres travaux de consolidation et de reconstruction partielle. Commencés en 1864, ils furent terminés vers la fin de février 1867 dans le style néo-gothique. (Municipalité Aubanel).
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons.
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Eglise St Pons.
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons.
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Eglise St Pons.
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons. Cet édifice néogothique possède, curieusement, des tribunes. L’intérieur est animé d'un décor peint couvrant presque toutes les parois.
Sommières
Eglise St Pons. Cet édifice néogothique possède, curieusement, des tribunes. L’intérieur est animé d'un décor peint couvrant presque toutes les parois.
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons.
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Eglise St Pons.
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<center>Sommières</center>Eglise St Pons.
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Eglise St Pons.
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<center>Sommières</center>Place de l'église. La Place de l'Église se nommait autrefois  Le Planet.
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Place de l'église. La Place de l'Église se nommait autrefois Le Planet.
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<center>Sommières</center>Le château. La montée des Régordanes mène au château en grimpant à flanc de colline, Le château initial date du VIIIe s, et fut reconstruit au Moyen Âge. Il possédait deux tours, mais la seconde fut détruite par les catholiques en l573, alors qu'ils cherchaient à déloger les protestants qui l'occupaient.
Sommières
Le château. La montée des Régordanes mène au château en grimpant à flanc de colline, Le château initial date du VIIIe s, et fut reconstruit au Moyen Âge. Il possédait deux tours, mais la seconde fut détruite par les catholiques en l573, alors qu'ils cherchaient à déloger les protestants qui l'occupaient.
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<center>Sommières</center>Le château. L'histoire de la ville et de la tour sont étroitement liées à celle de la maison des Bermond d'Anduze et de Sauve.  Nous n’avons malheureusement que des mentions lacunaires sur ses premiers propriétaires, les Bermond de Sauve et d’Anduze, car cette famille, une des plus brillantes et sans doute la plus puissante du Languedoc oriental, en demeurant fidèle au comte de Toulouse, malgré la croisade royale, disparut dans la tourmente avec ses archives. Nous pouvons seulement affirmer que les Bermond battent monnaie à Sommières depuis le premier quart du XIe siècle et que la ville obtiendra seulement en 1222 sa charte communale. Ce château, c’est la citadelle dominant Sommières, tour à tour fief de la plus puissante famille du Languedoc oriental, forteresse royale française de la croisade, place de sûreté protestante, puis prison ... pour les mêmes.
Sommières
Le château. L'histoire de la ville et de la tour sont étroitement liées à celle de la maison des Bermond d'Anduze et de Sauve. Nous n’avons malheureusement que des mentions lacunaires sur ses premiers propriétaires, les Bermond de Sauve et d’Anduze, car cette famille, une des plus brillantes et sans doute la plus puissante du Languedoc oriental, en demeurant fidèle au comte de Toulouse, malgré la croisade royale, disparut dans la tourmente avec ses archives. Nous pouvons seulement affirmer que les Bermond battent monnaie à Sommières depuis le premier quart du XIe siècle et que la ville obtiendra seulement en 1222 sa charte communale. Ce château, c’est la citadelle dominant Sommières, tour à tour fief de la plus puissante famille du Languedoc oriental, forteresse royale française de la croisade, place de sûreté protestante, puis prison ... pour les mêmes.
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<center>Sommières</center>Le château. En 1226, peut-être après un siège, la moitié du château est sous le contrôle du roi de France. Les actes conservés dans les archives de la sénéchaussée de Beaucaire, plus prolixes, mentionnent une reconstruction au château en 1228 - 29 avec des matériaux pris à l’église voisine.
Pierre d’Athies, sénéchal de Beaucaire de 1239 à 1241 et Pons Gaucelin, viguier de Sommières, mettent même en coupe réglée toutes les localités voisines pour se procurer du bois pour la reconstruction. Les travaux semblent se poursuivre jusqu’en 1261 sous le contrôle du viguier Pierre de Gache3.
En 1248, Saint Louis avait d’ailleurs échangé avec Bermond de Sauve, co-seigneur de Sommières, ce que ce dernier détenait encore dans cette ville contre le château du Caylar (Gard).
Sommières
Le château. En 1226, peut-être après un siège, la moitié du château est sous le contrôle du roi de France. Les actes conservés dans les archives de la sénéchaussée de Beaucaire, plus prolixes, mentionnent une reconstruction au château en 1228 - 29 avec des matériaux pris à l’église voisine. Pierre d’Athies, sénéchal de Beaucaire de 1239 à 1241 et Pons Gaucelin, viguier de Sommières, mettent même en coupe réglée toutes les localités voisines pour se procurer du bois pour la reconstruction. Les travaux semblent se poursuivre jusqu’en 1261 sous le contrôle du viguier Pierre de Gache3. En 1248, Saint Louis avait d’ailleurs échangé avec Bermond de Sauve, co-seigneur de Sommières, ce que ce dernier détenait encore dans cette ville contre le château du Caylar (Gard).
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<center>Sommières</center>Le château. Les travaux royaux se matérialisent par l’érection du donjon de Montlaur et de deux logis pour le viguier, le tout clos d’une double enceinte de murailles. La tour de Montlaur,
Sommières
Le château. Les travaux royaux se matérialisent par l’érection du donjon de Montlaur et de deux logis pour le viguier, le tout clos d’une double enceinte de murailles. La tour de Montlaur, "qui avait 9 pieds (3 mètres) d’épaisseur", selon Giry, fut abattue pendant le siège de 1573 puis reconstruite car elle est figurée sur la gravure du siège de 1622 par Melchior Tavernier. Le siège de 1573 par Damville détruisit également la tour de la Bistourre au sommet de la Vignasse et une partie des courtines du front d’attaque qui furent reconstruites aussitôt.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château. Après la révocation de l’Edit de Nantes en 1685, des casernes adossées aux murs intérieurs seront construites dans la cour. Il semble qu’on puisse en attribuer la construction à Jacques Cubizol, architecte nîmois mentionné dans les devis des ingénieurs militaires Niquet et Duplessis en 1688 et 16911.
Sommières
Le château. Après la révocation de l’Edit de Nantes en 1685, des casernes adossées aux murs intérieurs seront construites dans la cour. Il semble qu’on puisse en attribuer la construction à Jacques Cubizol, architecte nîmois mentionné dans les devis des ingénieurs militaires Niquet et Duplessis en 1688 et 16911.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château. La tour Bermond, que nous désignerons comme telle par opposition à la tour de Montlaur explicitement désignée sur le plan du XVIIIe siècle, est la plus ancienne construction visible sur le site. Elle est construite en grand appareil de bossage rustique à liseré probablement issu de la carrière de calcaire de Junas à 2 kilomètres à l’est. Elle s’élève à 25 mètres de haut.
Sommières
Le château. La tour Bermond, que nous désignerons comme telle par opposition à la tour de Montlaur explicitement désignée sur le plan du XVIIIe siècle, est la plus ancienne construction visible sur le site. Elle est construite en grand appareil de bossage rustique à liseré probablement issu de la carrière de calcaire de Junas à 2 kilomètres à l’est. Elle s’élève à 25 mètres de haut.
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<center>Sommières</center>Le château. Archère pour gaucher.
Sommières
Le château. Archère pour gaucher.
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<center>Sommières</center>Le château. Les deux niveaux intérieurs sont voûtés en berceau brisé longitudinal et prennent chacun jour, au levant et au couchant, par une étroite fenêtre ébrasée vers l’extérieur et haut placée dans la salle.
Sommières
Le château. Les deux niveaux intérieurs sont voûtés en berceau brisé longitudinal et prennent chacun jour, au levant et au couchant, par une étroite fenêtre ébrasée vers l’extérieur et haut placée dans la salle.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château. Salle du haut.
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Le château. Salle du haut.
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<center>Sommières</center>Le château. Vue de la salle du bas.
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Le château. Vue de la salle du bas.
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<center>Sommières</center>Le château. Vendu aux enchères sous l’Empire, le château fut morcelé entre plusieurs propriétaires mais le préfet obligea la mairie à acheter la tour subsistante qui sera classée Monument historique avec le beffroi en 1912 (5/2/1809). Le logement du gouverneur, s’étendant à l’est, sera utilisé comme école à partir de 1879 ; puis rasé en 1936. Cette année-là, la municipalité fit construire deux réservoirs d’eau dans la cour, ce qui entraîna la destruction de l’ensemble des casernes qui la bordaient depuis le XVIIe siècle. La commune vient de se rendre acquéreur de la Vignasse, pour en faire un jardin. Seul l’emplacement du donjon de Montlaur, assiette du premier château, est aujourd’hui propriété privée.
Sommières
Le château. Vendu aux enchères sous l’Empire, le château fut morcelé entre plusieurs propriétaires mais le préfet obligea la mairie à acheter la tour subsistante qui sera classée Monument historique avec le beffroi en 1912 (5/2/1809). Le logement du gouverneur, s’étendant à l’est, sera utilisé comme école à partir de 1879 ; puis rasé en 1936. Cette année-là, la municipalité fit construire deux réservoirs d’eau dans la cour, ce qui entraîna la destruction de l’ensemble des casernes qui la bordaient depuis le XVIIe siècle. La commune vient de se rendre acquéreur de la Vignasse, pour en faire un jardin. Seul l’emplacement du donjon de Montlaur, assiette du premier château, est aujourd’hui propriété privée.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le château.
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Le château.
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<center>Sommières</center>Le Couvent des Ursulines.
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Le Couvent des Ursulines.
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<center>Sommières</center>Le Couvent des Ursulines.
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Le Couvent des Ursulines.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>Ruelle perpendiculaire à la rue Taillade.
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Ruelle perpendiculaire à la rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade. Dans cette rue taillée au flanc de la colline, de nombreux hôtels ont été construits aux XVIIe et XVIIIe s. Etant donné la configuration des lieux, les emplacements étaient rares et recherchés. Aussi les façades des immeubles sont-elles resserrées à l'extrême, les seuls développements possibles ne pouvant être trouvés que pour les appartements.
Sommières
La rue Taillade. Dans cette rue taillée au flanc de la colline, de nombreux hôtels ont été construits aux XVIIe et XVIIIe s. Etant donné la configuration des lieux, les emplacements étaient rares et recherchés. Aussi les façades des immeubles sont-elles resserrées à l'extrême, les seuls développements possibles ne pouvant être trouvés que pour les appartements.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade. L'hôtel d'Albenas puise ses origines au XVIIe s mais a été transformé au siècle suivant. La modeste porte puis un étroit passage conduisent à un escalier monumental qui a conservé sa belle rampe en fer forgé.
Sommières
La rue Taillade. L'hôtel d'Albenas puise ses origines au XVIIe s mais a été transformé au siècle suivant. La modeste porte puis un étroit passage conduisent à un escalier monumental qui a conservé sa belle rampe en fer forgé.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>La rue Taillade.
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La rue Taillade.
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<center>Sommières</center>Rue Max Dormoy. Ancienne rue du Pont, elle a été construite sur les six premières arches du pont romain et les caves des maisons qui le bordent.
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Rue Max Dormoy. Ancienne rue du Pont, elle a été construite sur les six premières arches du pont romain et les caves des maisons qui le bordent.
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<center>Sommières</center>Rue Max Dormoy.
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Rue Max Dormoy.
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<center>Sommières</center>Rue Max Dormoy.
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Rue Max Dormoy.
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<center>Sommières</center>Rue Max Dormoy.
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Rue Max Dormoy.
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<center>Sommières</center>Rue Max Dormoy. A droite de la tour de l'horloge était située l'ancienne maison consulaire. Au fronton de la porte, un relief rappelle qu'autrefois Sommières était siège d'une cour royale de justice.
Sommières
Rue Max Dormoy. A droite de la tour de l'horloge était située l'ancienne maison consulaire. Au fronton de la porte, un relief rappelle qu'autrefois Sommières était siège d'une cour royale de justice.
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<center>Sommières</center>La place Jean-Jaurès est le marché haut, ou place au Blé, car on y négociait jadis les céréales. Elle est aussi bordé d’arcades.
Sommières
La place Jean-Jaurès est le marché haut, ou place au Blé, car on y négociait jadis les céréales. Elle est aussi bordé d’arcades.
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<center>Sommières</center>Place des Docteurs Dax. La place du Marché est très pittoresque. Ses arcades de style roman, bien que de formes et de dimensions diverses, constituent un ensemble harmonieux et permettent une surélévation des maisons en cas de crue.
Sommières
Place des Docteurs Dax. La place du Marché est très pittoresque. Ses arcades de style roman, bien que de formes et de dimensions diverses, constituent un ensemble harmonieux et permettent une surélévation des maisons en cas de crue.
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<center>Sommières</center>Place des Docteurs Dax. De la rue Max Dormoy, un passage permet de descendre sur la place des Docteurs-Dax, ou Marché bas : très curieuse, elle est bordée d’arcades de style roman, de formes et de dimensions diverses, qui permettent une surélévation des maisons en cas de crue car les eaux peuvent atteindre plus de 3 m.
Sommières
Place des Docteurs Dax. De la rue Max Dormoy, un passage permet de descendre sur la place des Docteurs-Dax, ou Marché bas : très curieuse, elle est bordée d’arcades de style roman, de formes et de dimensions diverses, qui permettent une surélévation des maisons en cas de crue car les eaux peuvent atteindre plus de 3 m.
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<center>Sommières</center>Place des Docteurs Dax.
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Place des Docteurs Dax.
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<center>Le château de Villevieille </center>Construit au Xe s. au sommet d'une colline, à l'emplacement d'un ancien oppidum qui commandait le franchissement du Vidourle, il a été restauré à la Renaissance et au XVIIIe s. De ses origines médiévales, il garde son aspect massif. Le château de Villevieille est connu comme possession des Bermond, seigneurs de Sauve et d'Anduze depuis le XIe siècle et le reste jusque vers 1240, quand Saint-Louis dépossède Pierre Bermond, petit-fils du comte de Toulouse, de tous ses biens en Bas-Languedoc. Saint-Louis y séjournera en 1270, avant de partir pour la huitième croisade. Le château est acheté par Pierre Scatisse, trésorier royal en 1365 puis par Bernard de Pavée en 1529.
Durant les guerres de Religion après le troisième siège de Sommières, Louis XIII y signe le 17 août 1622 la capitulation de la ville.
Le château est resté inoccupé de 1913 à 1960 date à laquelle le comte et la comtesse de David-Beauregard entreprennent sa restauration.
Le château de Villevieille
Construit au Xe s. au sommet d'une colline, à l'emplacement d'un ancien oppidum qui commandait le franchissement du Vidourle, il a été restauré à la Renaissance et au XVIIIe s. De ses origines médiévales, il garde son aspect massif. Le château de Villevieille est connu comme possession des Bermond, seigneurs de Sauve et d'Anduze depuis le XIe siècle et le reste jusque vers 1240, quand Saint-Louis dépossède Pierre Bermond, petit-fils du comte de Toulouse, de tous ses biens en Bas-Languedoc. Saint-Louis y séjournera en 1270, avant de partir pour la huitième croisade. Le château est acheté par Pierre Scatisse, trésorier royal en 1365 puis par Bernard de Pavée en 1529. Durant les guerres de Religion après le troisième siège de Sommières, Louis XIII y signe le 17 août 1622 la capitulation de la ville. Le château est resté inoccupé de 1913 à 1960 date à laquelle le comte et la comtesse de David-Beauregard entreprennent sa restauration.
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Le château de Villevieille
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<center>Le château de Villevieille </center>La partie médiévale est constituée de quatre tours rectangulaires : au nord-est, la tour de Saint-Baudile, la plus ancienne, date de la fin du XIe siècle, au sud-est, la tour du Pigeonnier date du début du XIIIe siècle alors qu'au sud-ouest et au nord-ouest les tours du Portail et de Montredon ont été édifiées vers 1320. Une cour d’honneur précède la cour intérieure qui est fermée par les bâtiments et un mur de clôture couronné de balustres dans lequel s’ouvre un portail monumental à bossages et fronton.
Le château de Villevieille
La partie médiévale est constituée de quatre tours rectangulaires : au nord-est, la tour de Saint-Baudile, la plus ancienne, date de la fin du XIe siècle, au sud-est, la tour du Pigeonnier date du début du XIIIe siècle alors qu'au sud-ouest et au nord-ouest les tours du Portail et de Montredon ont été édifiées vers 1320. Une cour d’honneur précède la cour intérieure qui est fermée par les bâtiments et un mur de clôture couronné de balustres dans lequel s’ouvre un portail monumental à bossages et fronton.
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<center>Le château de Villevieille </center>La cour intérieure et ses façades Renaissance. François de Pavée, vers 1530, rénove l’ancien logis féodal faisant de la façade située côté cour intérieure un des plus anciens témoignages d'architecture de la Renaissance du Languedoc .
Une nouvelle aile est ajoutée, par son arrière-petit-fils Raymond de Pavée au temps de Louis XIV.
Le château de Villevieille
La cour intérieure et ses façades Renaissance. François de Pavée, vers 1530, rénove l’ancien logis féodal faisant de la façade située côté cour intérieure un des plus anciens témoignages d'architecture de la Renaissance du Languedoc . Une nouvelle aile est ajoutée, par son arrière-petit-fils Raymond de Pavée au temps de Louis XIV.
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<center>Le château de Villevieille </center>Le blason des Beauregard.
Le château de Villevieille
Le blason des Beauregard.
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<center>Le château de Villevieille </center>Le potager.
Le château de Villevieille
Le potager.
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<center>Le château de Villevieille </center>La terrasse a été rajoutée au XVIIIe. Le Rez-de-chaussée date d’avant la renaissance, le premier étage d’après la renaissance et la balustrade et le deuxième étage du XVIIIe.
Le château de Villevieille
La terrasse a été rajoutée au XVIIIe. Le Rez-de-chaussée date d’avant la renaissance, le premier étage d’après la renaissance et la balustrade et le deuxième étage du XVIIIe.
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<center>Le château de Villevieille </center>La salle à manger et ses cuirs de Flandres
Le château de Villevieille
La salle à manger et ses cuirs de Flandres
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre saisons.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre saisons.
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre saisons.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre saisons.
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre saisons. Printemps et été.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre saisons. Printemps et été.
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre saisons. Auromne et Hiver.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre saisons. Auromne et Hiver.
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre continents.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre continents.
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre continents.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre continents.
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre continents. L'Amérique et l'Afrique.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre continents. L'Amérique et l'Afrique.
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<center>Le château de Villevieille </center>Buffet des quatre continents. L'Asie et l'Europe.
Le château de Villevieille
Buffet des quatre continents. L'Asie et l'Europe.
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<center>Le château de Villevieille </center>Poignée de porte.
Le château de Villevieille
Poignée de porte.
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<center>Le château de Villevieille </center>Serrure
Le château de Villevieille
Serrure
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<center>Le château de Villevieille </center>François de Pavée, vers 1530, rénove l’ancien logis féodal faisant de la façade située côté cour intérieure un des plus anciens témoignages d'architecture de la Renaissance du Languedoc .
Le château de Villevieille
François de Pavée, vers 1530, rénove l’ancien logis féodal faisant de la façade située côté cour intérieure un des plus anciens témoignages d'architecture de la Renaissance du Languedoc .
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<center>Le château de Villevieille </center>Une chapelle et des décors intérieurs datent du XVIIIe siècle
Le château de Villevieille
Une chapelle et des décors intérieurs datent du XVIIIe siècle
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Le château de Villevieille
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<center>Le château de Villevieille </center>Chambre de Louis XIII.
Le château de Villevieille
Chambre de Louis XIII.
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<center>Le château de Villevieille </center>Chambre de Louis XIII.
Le château de Villevieille
Chambre de Louis XIII.
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<center>Le château de Villevieille </center>Chambre de Louis XIII.
Le château de Villevieille
Chambre de Louis XIII.
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<center>Le château de Villevieille </center>Chambre de Louis XIII.
Le château de Villevieille
Chambre de Louis XIII.
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<center>Le château de Villevieille </center>Chambre de Louis XIII. Armoire Louis XIII.
Le château de Villevieille
Chambre de Louis XIII. Armoire Louis XIII.
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<center>Le château de Villevieille </center>Chambre de Louis XIII. Armoire Louis XIII.
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Chambre de Louis XIII. Armoire Louis XIII.
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<center>Le château de Villevieille </center>Le grand salon et ses gypseries
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Le grand salon et ses gypseries
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>Isolée au milieu des vignes, la Chapelle Saint-Julien est une église romane constituée par la juxtaposition de deux édifices : côté nord, une chapelle du XIe s. à décor de bandes lombardes typiques du premier art roman et côté sud, une chapelle du XIIe s., plus petite. Au commencement c’était un tout petit habitat de la fin de l’âge du Fer (environ cent ans avant notre ère). Puis, un latifundium se dessine, immense. L’habitat gallo-romain qui nous intéresse ici semble avoir débuté au IIe siècle et s’est poursuivi jusqu’à la fin de l’empire romain, le haut moyen âge et a terminé son existence fin XIVe siècle.
Chapelle St Julien de Montredon.
Isolée au milieu des vignes, la Chapelle Saint-Julien est une église romane constituée par la juxtaposition de deux édifices : côté nord, une chapelle du XIe s. à décor de bandes lombardes typiques du premier art roman et côté sud, une chapelle du XIIe s., plus petite. Au commencement c’était un tout petit habitat de la fin de l’âge du Fer (environ cent ans avant notre ère). Puis, un latifundium se dessine, immense. L’habitat gallo-romain qui nous intéresse ici semble avoir débuté au IIe siècle et s’est poursuivi jusqu’à la fin de l’empire romain, le haut moyen âge et a terminé son existence fin XIVe siècle.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>les étapes des constructions :
1- Construction de l’église primitive : paléochrétienne ? Ve/VIe ? siècle.
2- ou mérovingienne ? VIe/VIIe siècle.
3- ou carolingienne ? VIIIe/IXe siècle ? Enfin, après quelque 3 à 5 siècles de service, la primitive église, certainement vétuste, ou trop petite, a été arasée et a fait place à une nouvelle construction, sans doute sous l’impulsion des seigneurs de Montredon, lesquels connaissaient alors une époque de prospérité en ces XIe et XIIe siècles, inhérente à la région, et qui se poursuivra jusqu’au premier tiers du XIIIe.
Chapelle St Julien de Montredon.
les étapes des constructions : 1- Construction de l’église primitive : paléochrétienne ? Ve/VIe ? siècle. 2- ou mérovingienne ? VIe/VIIe siècle. 3- ou carolingienne ? VIIIe/IXe siècle ? Enfin, après quelque 3 à 5 siècles de service, la primitive église, certainement vétuste, ou trop petite, a été arasée et a fait place à une nouvelle construction, sans doute sous l’impulsion des seigneurs de Montredon, lesquels connaissaient alors une époque de prospérité en ces XIe et XIIe siècles, inhérente à la région, et qui se poursuivra jusqu’au premier tiers du XIIIe.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>Le
Chapelle St Julien de Montredon.
Le "Lombard", qui marque très fortement de son sceau, tout l’extérieur de l’église "majeure" , est la première expression de l’art roman. Le style lombard présente toutes les facettes de sa définition quand le visiteur s’approche du monument historique : sur l’abside règnent trois registres de trois arcatures lombardes s’appuyant sur des modillons, et ponctués par deux bandes lombardes (verticales) ou lésènes, et, plus haut, un couronnement en "dents d’engrenage" qui sont du plus bel effet. Les arcatures règnent également en haut des murs latéraux. L’église est construite extérieurement et intérieurement en petit appareil en travertin (pierre calcaire dure, silicifiée partiellement, et d’extraction locale).
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Chapelle St Julien de Montredon.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>L’intérieur est de configuration architectonique très classique.
Chapelle St Julien de Montredon.
L’intérieur est de configuration architectonique très classique.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>Trois travées en plein cintre à l’origine, mais effondrées au XVIIe siècle et réparées aussitôt en conservant les amorces romanes mais en complétant par des croisées d’ogives qui ont l’avantage d’être plus souples aux vibrations sismiques et surtout plus légères, limitant ainsi le contrebutement des murs latéraux.
Chapelle St Julien de Montredon.
Trois travées en plein cintre à l’origine, mais effondrées au XVIIe siècle et réparées aussitôt en conservant les amorces romanes mais en complétant par des croisées d’ogives qui ont l’avantage d’être plus souples aux vibrations sismiques et surtout plus légères, limitant ainsi le contrebutement des murs latéraux.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>
Chapelle St Julien de Montredon.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>En haut de chaque piédroit, une imposte historiée avec des quadrupèdes affrontés à l’endroit de l’angle apparent de la pierre -ou des oiseaux dans la même position- ou, tout autrement, des motifs géométriques divers.
Chapelle St Julien de Montredon.
En haut de chaque piédroit, une imposte historiée avec des quadrupèdes affrontés à l’endroit de l’angle apparent de la pierre -ou des oiseaux dans la même position- ou, tout autrement, des motifs géométriques divers.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>L’archaïsme des sculptures, leurs expressions naïves, le fait d’être frustes, signent obligatoirement un travail antérieur au XIIe siècle, dans notre région.
On peut conclure que l’édifice a été très probablement construit au cours du dernier tiers du XIe siècle.
Chapelle St Julien de Montredon.
L’archaïsme des sculptures, leurs expressions naïves, le fait d’être frustes, signent obligatoirement un travail antérieur au XIIe siècle, dans notre région. On peut conclure que l’édifice a été très probablement construit au cours du dernier tiers du XIe siècle.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>
Chapelle St Julien de Montredon.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>
Chapelle St Julien de Montredon.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>Trois piliers doublement engagés dans les murs de chaque côté et opposés aux contreforts extérieurs, trois arcs de décharge soulagent toute la construction haute de l’édifice.
Chapelle St Julien de Montredon.
Trois piliers doublement engagés dans les murs de chaque côté et opposés aux contreforts extérieurs, trois arcs de décharge soulagent toute la construction haute de l’édifice.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>Enfin, le voûtement de la chapelle apparemment unique en son genre dans la construction d’édifices religieux, a été traité en BATIERE (en forme de bât) ou plus simplement, on a obtenu des lignes droites (obliques) sur une ligne courbe au départ.
Chapelle St Julien de Montredon.
Enfin, le voûtement de la chapelle apparemment unique en son genre dans la construction d’édifices religieux, a été traité en BATIERE (en forme de bât) ou plus simplement, on a obtenu des lignes droites (obliques) sur une ligne courbe au départ.
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>En rainurant horizontalement le zénith du demi-cercle et en construisant un pyramidion, puis dans la suite logique de la pente de celui-ci, on a complété, en posant un petit diaphragme entre la partie tombante de l’arc et le mur vertical de la chapelle. Ainsi, de la pointe à la base, la ligne oblique est-elle absolument rectiligne et peut recevoir dans sa rainure une suite de dalles jointives sur lesquelles on a posé, vers l’extérieur, et par dessus, d’autres dalles identiques, se recouvrant partiellement l’une l’autre (en écailles de poisson).
Chapelle St Julien de Montredon.
En rainurant horizontalement le zénith du demi-cercle et en construisant un pyramidion, puis dans la suite logique de la pente de celui-ci, on a complété, en posant un petit diaphragme entre la partie tombante de l’arc et le mur vertical de la chapelle. Ainsi, de la pointe à la base, la ligne oblique est-elle absolument rectiligne et peut recevoir dans sa rainure une suite de dalles jointives sur lesquelles on a posé, vers l’extérieur, et par dessus, d’autres dalles identiques, se recouvrant partiellement l’une l’autre (en écailles de poisson).
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<center>Chapelle St Julien de Montredon.</center>Au passage, nous nous arrêtons un instant devant une niche à objet du culte qui a reçu une pierre de dédicace romaine. Probablement du IIe siècle et trouvée dans l’environnement immédiat de la chapelle et dont le texte serait :   VICINI (n et i liés) VARATUN(UM) suite illisible.   PORTI (cus ? ). Etant d’une façon certaine une pierre de dédicace, il s’agirait de l’érection d’un monument en l’honneur ou de l’empereur, ou d’un consul, ou d’un tribun, ou d’une divinité, d’un général (?) etc
Chapelle St Julien de Montredon.
Au passage, nous nous arrêtons un instant devant une niche à objet du culte qui a reçu une pierre de dédicace romaine. Probablement du IIe siècle et trouvée dans l’environnement immédiat de la chapelle et dont le texte serait : VICINI (n et i liés) VARATUN(UM) suite illisible. PORTI (cus ? ). Etant d’une façon certaine une pierre de dédicace, il s’agirait de l’érection d’un monument en l’honneur ou de l’empereur, ou d’un consul, ou d’un tribun, ou d’une divinité, d’un général (?) etc
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