Arc de Triomphe de l'Etoile et les Catacombes

<center>Arc de Triomphe. </center> Par un décret impérial daté du 18 février 1806, Napoléon Ier ordonne la construction d’un arc de triomphe consacré à perpétuer le souvenir des victoires des armées français. Son projet initial est d'ériger le monument « à l’entrée des boulevards, près du lieu où était la Bastille. Le ministre de l'Intérieur Champagny avise l'Empereur que le choix de la Bastille serait dispendieux et le convainc d'ériger l'Arc à l'ouest de Paris sur la place de l'Étoile. On choisit l’architecte Jean-François Chalgrin qui s'inspire de l'arc tétrapyle de Janus et de l'arc de Titus à Rome. En 1810, les quatre piles s'élèvent à environ un mètre au-dessus du sol. En 1811, Chalgrin meurt assez subitement. Lors des premières défaites napoléoniennes (campagne de Russie en 1812), et des événements de 1814, l'Arc de Triomphe est élevé jusqu'aux voûtes , mais la construction est interrompue puis abandonnée sous la Restauration. En 1823, Louis XVIII reprend la construction avec les architectes Louis-Robert Goust puis Huyot et sous la direction de Héricart de Thury. L'Arc doit désormais commémorer l'expédition victorieuse d'Espagne. En 1830, Louis-Philippe reprend la pensée initiale de Napoléon mais, dans un esprit de réconciliation, associe les armées qui ont combattu entre 1792-1815. C’est Louis-Philippe et Adolphe Thiers qui décident du choix des thèmes et des sculpteurs. L'arc de triomphe de l'Étoile est inauguré le 29 juillet 1836 pour le sixième anniversaire des Trois Glorieuses.
Arc de Triomphe.
Par un décret impérial daté du 18 février 1806, Napoléon Ier ordonne la construction d’un arc de triomphe consacré à perpétuer le souvenir des victoires des armées français. Son projet initial est d'ériger le monument « à l’entrée des boulevards, près du lieu où était la Bastille. Le ministre de l'Intérieur Champagny avise l'Empereur que le choix de la Bastille serait dispendieux et le convainc d'ériger l'Arc à l'ouest de Paris sur la place de l'Étoile. On choisit l’architecte Jean-François Chalgrin qui s'inspire de l'arc tétrapyle de Janus et de l'arc de Titus à Rome. En 1810, les quatre piles s'élèvent à environ un mètre au-dessus du sol. En 1811, Chalgrin meurt assez subitement. Lors des premières défaites napoléoniennes (campagne de Russie en 1812), et des événements de 1814, l'Arc de Triomphe est élevé jusqu'aux voûtes , mais la construction est interrompue puis abandonnée sous la Restauration.
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<center>Arc de Triomphe. </center>
Arc de Triomphe.
En 1823, Louis XVIII reprend la construction avec les architectes Louis-Robert Goust puis Huyot et sous la direction de Héricart de Thury. L'Arc doit désormais commémorer l'expédition victorieuse d'Espagne. En 1830, Louis-Philippe reprend la pensée initiale de Napoléon mais, dans un esprit de réconciliation, associe les armées qui ont combattu entre 1792-1815. C’est Louis-Philippe et Adolphe Thiers qui décident du choix des thèmes et des sculpteurs. L'arc de triomphe de l'Étoile est inauguré le 29 juillet 1836 pour le sixième anniversaire des Trois Glorieuses.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Ses dimensions : Haut de 49,54 m, large de 44,82 m et profond de 22,21.  La hauteur de la grande voûte est de 29,19 m et sa largeur de 14,62 m. La petite voûte mesure 18,68 m de haut et 8,44 m de large. Il pèse 50 000 t. Le 7 août 1919, un as de l'aviation, Charles Godefroy, réussit à passer en avion (avec un appareil biplan Nieuport 17) sous l'Arc de Triomphe.
Arc de Triomphe.
Ses dimensions : Haut de 49,54 m, large de 44,82 m et profond de 22,21. La hauteur de la grande voûte est de 29,19 m et sa largeur de 14,62 m. La petite voûte mesure 18,68 m de haut et 8,44 m de large. Il pèse 50 000 t. Le 7 août 1919, un as de l'aviation, Charles Godefroy, réussit à passer en avion (avec un appareil biplan Nieuport 17) sous l'Arc de Triomphe.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sous la grande voûte,  la dépouille du Soldat inconnu, tué lors de la Première Guerre mondiale, y a été inhumée le 28 janvier 1921. 8 corps anonymes sont choisis et un soldat, en déposant un bouquet sur un des corps, sélectionne celui qui sera le soldat inconnu.
Arc de Triomphe.
Sous la grande voûte, la dépouille du Soldat inconnu, tué lors de la Première Guerre mondiale, y a été inhumée le 28 janvier 1921. 8 corps anonymes sont choisis et un soldat, en déposant un bouquet sur un des corps, sélectionne celui qui sera le soldat inconnu.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Deux ans plus tard, André Maginot, alors ministre de la Guerre, a soutenu le projet d’y installer une « flamme du souvenir » qui a été allumée pour la première fois le 11 novembre 1923 par le ministre.
Arc de Triomphe.
Deux ans plus tard, André Maginot, alors ministre de la Guerre, a soutenu le projet d’y installer une « flamme du souvenir » qui a été allumée pour la première fois le 11 novembre 1923 par le ministre.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Elle commémore le souvenir des soldats morts au combat et ne s’éteint jamais : elle est ravivée chaque soir à 18 h 30 par des associations d'anciens combattants ou de victimes de guerre.
Arc de Triomphe.
Elle commémore le souvenir des soldats morts au combat et ne s’éteint jamais : elle est ravivée chaque soir à 18 h 30 par des associations d'anciens combattants ou de victimes de guerre.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Des plaques, à même le sol, commémorent des évènements importants de l'histoire : la proclamation de la République le 4 septembre 1870, la restitution de l'Alsace-Lorraine le 11 novembre 1918 et l'Appel du 18 juin 1940. Cinq autres inscriptions sont gravées au sol du côté de l'avenue de la Grande Armée. Elles commémorent les conflits majeurs du XXème siècle : la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), la guerre d'Indochine (1946-1954), la guerre de Corée (1950-1953) et la guerre d'Algérie (1954-1962).
Arc de Triomphe.
Des plaques, à même le sol, commémorent des évènements importants de l'histoire : la proclamation de la République le 4 septembre 1870, la restitution de l'Alsace-Lorraine le 11 novembre 1918 et l'Appel du 18 juin 1940. Cinq autres inscriptions sont gravées au sol du côté de l'avenue de la Grande Armée. Elles commémorent les conflits majeurs du XXème siècle : la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), la guerre d'Indochine (1946-1954), la guerre de Corée (1950-1953) et la guerre d'Algérie (1954-1962).
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<center>Arc de Triomphe. </center> L'appel du 18 juin 1940.
Arc de Triomphe.
L'appel du 18 juin 1940.
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<center>Arc de Triomphe. </center>
Arc de Triomphe.
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Arc de Triomphe.
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<center>Arc de Triomphe. </center>
Arc de Triomphe.
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<center>Arc de Triomphe. </center> L'élévation de cet arc monumental tétrapyle est la suivante : devant les façades principales des piédroits, le premier registre est orné de groupes en ronde-bosse sur des piédestaux. Ce bandeau est surmonté d'un premier entablement constitué d'une frise de grecques et d'une corniche saillante. Le second registre est animé de grands cadres de pierre rectangulaires, ornée d’un bas-relief, et surmonté d'un entablement, comprenant une frise historiée, sous une corniche saillante. Le troisième registre dans la partition verticale de l'édifice est un important étage d'attique orné de 30 boucliers.
Arc de Triomphe.
L'élévation de cet arc monumental tétrapyle est la suivante : devant les façades principales des piédroits, le premier registre est orné de groupes en ronde-bosse sur des piédestaux. Ce bandeau est surmonté d'un premier entablement constitué d'une frise de grecques et d'une corniche saillante. Le second registre est animé de grands cadres de pierre rectangulaires, ornée d’un bas-relief, et surmonté d'un entablement, comprenant une frise historiée, sous une corniche saillante. Le troisième registre dans la partition verticale de l'édifice est un important étage d'attique orné de 30 boucliers.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. Le programme iconographique comprend : quatre haut-reliefs posés sur des socles élevés, adossés aux piédroits et hauts de 18 mètres ; au-dessus des quatre groupes ainsi que sur les côtés de l'arc se trouvent      six bas-reliefs plus petits, retraçant des scènes de la Révolution et de l'Empire. Les grandes arcades sont rehaussées dans leurs écoinçons de figures allégoriques représentant des personnages de la mythologie romaine (Renommées ou Victoires), exécutées par James Pradier Ici, deux Renommées, avec le pied posé sur un globe, leurs mains tenant une trompette.
Arc de Triomphe.
Face Sud. Le programme iconographique comprend : quatre haut-reliefs posés sur des socles élevés, adossés aux piédroits et hauts de 18 mètres ; au-dessus des quatre groupes ainsi que sur les côtés de l'arc se trouvent six bas-reliefs plus petits, retraçant des scènes de la Révolution et de l'Empire. Les grandes arcades sont rehaussées dans leurs écoinçons de figures allégoriques représentant des personnages de la mythologie romaine (Renommées ou Victoires), exécutées par James Pradier Ici, deux Renommées, avec le pied posé sur un globe, leurs mains tenant une trompette.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. Le Départ des volontaires de 1792,
aussi appelé La Marseillaise par François Rude. Les funérailles du général Marceau le 20 septembre 1796, par Henri Lemaire
Arc de Triomphe.
Face Sud. Le Départ des volontaires de 1792, aussi appelé La Marseillaise par François Rude. Les funérailles du général Marceau le 20 septembre 1796, par Henri Lemaire
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. Le Départ des volontaires de 1792,
aussi appelé La Marseillaise par François Rude. Le départ des volontaires évoque l’année 1792, avec la levée de 200 000 volontaires pour défendre la France, contre les années coalisées sous la Révolution. Ce haut-relief représente le rassemblement de tous les Français, pour défendre la nation en partant au combat. L'ensemble et la diversité du peuple français est mis en avant par la diversité des soldats, jeunes et moins jeunes. Au-dessus d'eux, le Génie de la Guerre les guide. Cette figure fut vite considérée comme une allégorie de la Marseillaise. L'architecture générale mélange le style antique (le Génie de la Guerre casqué et ailé portant l'égide, les drapés, les cuirasses, les armes, le nu) avec le style appartenant au romantisme caractéristique du XIXe siècle en France (gestes véhéments, expression marquée des visages, mouvement général).
Arc de Triomphe.
Face Sud. Le Départ des volontaires de 1792, aussi appelé La Marseillaise par François Rude. Le départ des volontaires évoque l’année 1792, avec la levée de 200 000 volontaires pour défendre la France, contre les années coalisées sous la Révolution. Ce haut-relief représente le rassemblement de tous les Français, pour défendre la nation en partant au combat. L'ensemble et la diversité du peuple français est mis en avant par la diversité des soldats, jeunes et moins jeunes. Au-dessus d'eux, le Génie de la Guerre les guide. Cette figure fut vite considérée comme une allégorie de la Marseillaise. L'architecture générale mélange le style antique (le Génie de la Guerre casqué et ailé portant l'égide, les drapés, les cuirasses, les armes, le nu) avec le style appartenant au romantisme caractéristique du XIXe siècle en France (gestes véhéments, expression marquée des visages, mouvement général).
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. Le Triomphe de 1810 par Jean-Pierre Cortot. La bataille d'Aboukir le 25 juillet 1799, par Seurre aîné.
Arc de Triomphe.
Face Sud. Le Triomphe de 1810 par Jean-Pierre Cortot. La bataille d'Aboukir le 25 juillet 1799, par Seurre aîné.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. Le Triomphe de 1810 par Jean-Pierre Cortot. Le triomphe de Napoléon évoque l’année 1810 et l’apogée du règne de Napoléon : succession de victoires, mariage avec Marie-Louise d’Autriche, qui lui donnera un héritier. L’Empereur est vêtu à l’antique, entouré des allégories d’une ville, agenouillée, qui demande sa protection à l’Histoire gravant les explexploits du héros, de la Victoire qui lui attribue la couronne de lauriers. En haut de la scène, la Renommée sonne la trompette.
Arc de Triomphe.
Face Sud. Le Triomphe de 1810 par Jean-Pierre Cortot. Le triomphe de Napoléon évoque l’année 1810 et l’apogée du règne de Napoléon : succession de victoires, mariage avec Marie-Louise d’Autriche, qui lui donnera un héritier. L’Empereur est vêtu à l’antique, entouré des allégories d’une ville, agenouillée, qui demande sa protection à l’Histoire gravant les explexploits du héros, de la Victoire qui lui attribue la couronne de lauriers. En haut de la scène, la Renommée sonne la trompette.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. Le second registre est animé de grands cadres de pierre rectangulaires, ornée d’un bas-relief, et surmonté d'un entablement, comprenant une frise historiée, sous une corniche saillante. Le troisième registre dans la partition verticale de l'édifice est un important étage d'attique orné de 30 boucliers. Sur les boucliers sont gravés les noms de grandes batailles de la Révolution et de l'Empire : Valmy, Jemappes, Fleurus, Montenotte, Lodi, Castiglione, Rivoli, Arcole, Pyramides, Aboukir, Alkmaar, Zurich, Héliopolis, Marengo, Hohenlinden, Ulm, Austerlitz, Iéna, Friedland, Somosierra, Essling, Wagram, Moskowa, Lützen, Bautzen, Dresde, Hanau, Montmirail, Montereau et Ligny. (11 sur chacun des deux grands côtés et 4 sur chacun des deux petits). L'attique est couronnée d’une balustrade composée de masques à tête de méduse et de palmettes.
Arc de Triomphe.
Face Sud. Le second registre est animé de grands cadres de pierre rectangulaires, ornée d’un bas-relief, et surmonté d'un entablement, comprenant une frise historiée, sous une corniche saillante. Le troisième registre dans la partition verticale de l'édifice est un important étage d'attique orné de 30 boucliers. Sur les boucliers sont gravés les noms de grandes batailles de la Révolution et de l'Empire : Valmy, Jemappes, Fleurus, Montenotte, Lodi, Castiglione, Rivoli, Arcole, Pyramides, Aboukir, Alkmaar, Zurich, Héliopolis, Marengo, Hohenlinden, Ulm, Austerlitz, Iéna, Friedland, Somosierra, Essling, Wagram, Moskowa, Lützen, Bautzen, Dresde, Hanau, Montmirail, Montereau et Ligny. (11 sur chacun des deux grands côtés et 4 sur chacun des deux petits). L'attique est couronnée d’une balustrade composée de masques à tête de méduse et de palmettes.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. La frise s'intitule le Départ des Armées, par Brun, G. Jacquot et Laité. Les grands personnages de la Révolution et de l'Empirer sont représentés autour de l'autel de la Patrie, distribuant les étendards aux armées sur le départ. La frise continue jusqu'au milieu des petites façades latérales. Dans les écoinçons, deux Renommées, avec le pied posé sur un globe, leurs mains tenant une trompette.
Arc de Triomphe.
Face Sud. La frise s'intitule le Départ des Armées, par Brun, G. Jacquot et Laité. Les grands personnages de la Révolution et de l'Empirer sont représentés autour de l'autel de la Patrie, distribuant les étendards aux armées sur le départ. La frise continue jusqu'au milieu des petites façades latérales. Dans les écoinçons, deux Renommées, avec le pied posé sur un globe, leurs mains tenant une trompette.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. Les funérailles du général Marceau le 20 septembre 1796, par Henri Lemaire. À la bataille d’Altenkirchen en 1796, l’archiduc d’Autriche, chef de l’armée ennemie vient rendre hommage au général Marceau, mort au combat. Dans la frise, Talleyrand, Mirabeau, Custine, Foy, Desaix, le Duc de Chartres, Masséna, Kléber, Houchard, Kellermann, Daboville, Lefebvre, Augereau, Dumouriez, Miranda, Gouvion-Saint-Cyr, Eugène et Joséphine de Beauharnais, David, Gossec, Rouget de l'Isle.
Arc de Triomphe.
Face Sud. Les funérailles du général Marceau le 20 septembre 1796, par Henri Lemaire. À la bataille d’Altenkirchen en 1796, l’archiduc d’Autriche, chef de l’armée ennemie vient rendre hommage au général Marceau, mort au combat. Dans la frise, Talleyrand, Mirabeau, Custine, Foy, Desaix, le Duc de Chartres, Masséna, Kléber, Houchard, Kellermann, Daboville, Lefebvre, Augereau, Dumouriez, Miranda, Gouvion-Saint-Cyr, Eugène et Joséphine de Beauharnais, David, Gossec, Rouget de l'Isle.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Sud. La bataille d'Aboukir le 25 juillet 1799, par Seurre aîné. La scène représente Napoléon Bonaparte faisant prisonnier le pacha Mustapha Kinceï à Aboukir en 1798, pendant sa campagne d’Égypte. Dans la frise, Chénier, Moitte, Roland, Me Roland, Penthièvre, Marceau, Hoche, Soult, Carnot, Cambronne, Joubert, La Tour d'Auvergne, Championnet, Jourdan, Beurnonville, La Fayette, Sieyes, Duc d'Orléans, Bailly, Duc de Bourbon.
Arc de Triomphe.
Face Sud. La bataille d'Aboukir le 25 juillet 1799, par Seurre aîné. La scène représente Napoléon Bonaparte faisant prisonnier le pacha Mustapha Kinceï à Aboukir en 1798, pendant sa campagne d’Égypte. Dans la frise, Chénier, Moitte, Roland, Me Roland, Penthièvre, Marceau, Hoche, Soult, Carnot, Cambronne, Joubert, La Tour d'Auvergne, Championnet, Jourdan, Beurnonville, La Fayette, Sieyes, Duc d'Orléans, Bailly, Duc de Bourbon.
21
<center>Arc de Triomphe. </center> Face Est. Dans les écoinçons, figure allégorique représentant la Cavalerie, par Achille-Joseph-Étienne Valois. Au deuxième plan, Figure allégorique représentant la Marine, par Charles Émile Seurre.
Arc de Triomphe.
Face Est. Dans les écoinçons, figure allégorique représentant la Cavalerie, par Achille-Joseph-Étienne Valois. Au deuxième plan, Figure allégorique représentant la Marine, par Charles Émile Seurre.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Est. Figure allégorique représentant la Marine, par Charles Émile Seurre.
Arc de Triomphe.
Face Est. Figure allégorique représentant la Marine, par Charles Émile Seurre.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Est. La bataille de Jemappes le 6 novembre 1792, par Carlo Marochetti. Dans les écoinçons, figures allégoriques représentant la cavalerie par Achille-Joseph-Étienne Valois.
Arc de Triomphe.
Face Est. La bataille de Jemappes le 6 novembre 1792, par Carlo Marochetti. Dans les écoinçons, figures allégoriques représentant la cavalerie par Achille-Joseph-Étienne Valois.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Est. La bataille de Jemmappes le 6 novembre 1792, par Carlo Marochetti. Sur la façade sud de l’Arc de triomphe, cette scène évoque la bataille de Jemmapes, le 6 novembre 1792, et la victoire des volontaires français contre l’armée autrichienne. On y voit le général Dumouriez, le chapeau à la main, encourager ses troupes. Le cinquième homme derrière le général est le duc de Chartres, colonel de l’armée révolutionnaire, futur Louis-Philippe.
Arc de Triomphe.
Face Est. La bataille de Jemmappes le 6 novembre 1792, par Carlo Marochetti. Sur la façade sud de l’Arc de triomphe, cette scène évoque la bataille de Jemmapes, le 6 novembre 1792, et la victoire des volontaires français contre l’armée autrichienne. On y voit le général Dumouriez, le chapeau à la main, encourager ses troupes. Le cinquième homme derrière le général est le duc de Chartres, colonel de l’armée révolutionnaire, futur Louis-Philippe.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Nord. La Résistance de 1814 par Antoine Étex. Le passage du pont d'Arcole le 15 novembre 1796, par Jean-Jacques Feuchère. Dans les écoinçons, deux Victoires tendant une couronnes de laurier.
Arc de Triomphe.
Face Nord. La Résistance de 1814 par Antoine Étex. Le passage du pont d'Arcole le 15 novembre 1796, par Jean-Jacques Feuchère. Dans les écoinçons, deux Victoires tendant une couronnes de laurier.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Nord. La Résistance de 1814 par Antoine Étex. La Résistance de Antoine Étex évoque l’année 1814 et appelle à résister aux envahisseurs russes et autrichiens qui sont entrés dans la capitale. Un guerrier, le glaive à la main, retenu par son père et sa femme, semble prêt à se battre. Un cavalier au second plan évoque le sacrifice pendant que le génie de l’avenir appelle à la résistance.
Arc de Triomphe.
Face Nord. La Résistance de 1814 par Antoine Étex. La Résistance de Antoine Étex évoque l’année 1814 et appelle à résister aux envahisseurs russes et autrichiens qui sont entrés dans la capitale. Un guerrier, le glaive à la main, retenu par son père et sa femme, semble prêt à se battre. Un cavalier au second plan évoque le sacrifice pendant que le génie de l’avenir appelle à la résistance.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Nord. Le passage du pont d'Arcole le 15 novembre 1796, par Jean-Jacques Feuchère. Napoléon Bonaparte franchissant le pont d’Arcole en Italie, en brandissant le drapeau tricolore en 1796, au cours de la campagne d’Italie. A droite, dans la frise qui représente le Retour des Armées, par Louis-Denis Caillouette, François Rude et Seurre aîné, le chariot de l'armée d'Italie transporte le groupe sculpté antique représentant le Tibre, provenant de Rome.
Arc de Triomphe.
Face Nord. Le passage du pont d'Arcole le 15 novembre 1796, par Jean-Jacques Feuchère. Napoléon Bonaparte franchissant le pont d’Arcole en Italie, en brandissant le drapeau tricolore en 1796, au cours de la campagne d’Italie. A droite, dans la frise qui représente le Retour des Armées, par Louis-Denis Caillouette, François Rude et Seurre aîné, le chariot de l'armée d'Italie transporte le groupe sculpté antique représentant le Tibre, provenant de Rome.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Nord. La Paix de 1815 par Antoine Étex. La prise d'Alexandrie le 3 juillet 1798, par John-Étienne Chaponnière (1835).
Arc de Triomphe.
Face Nord. La Paix de 1815 par Antoine Étex. La prise d'Alexandrie le 3 juillet 1798, par John-Étienne Chaponnière (1835).
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Nord. La Paix de 1815 par Antoine Étex. La Paix de Antoine Étex évoque l’année 1815, l’année de la deuxième abdication de Napoléon 1er. Le retour à la monarchie aurait ramené la paix à la France, qui a vécu régulièrement des troubles politiques depuis plus de vingt ans. Dans cette allégorie, le guerrier a rangé son glaive au fourreau, les enfants étudient, les paysans aiguisent les socs des charrues, les moissons sont abondantes et des branches d’oliviers et de chêne encadrent Minerve, la déesse de la guerre.
Arc de Triomphe.
Face Nord. La Paix de 1815 par Antoine Étex. La Paix de Antoine Étex évoque l’année 1815, l’année de la deuxième abdication de Napoléon 1er. Le retour à la monarchie aurait ramené la paix à la France, qui a vécu régulièrement des troubles politiques depuis plus de vingt ans. Dans cette allégorie, le guerrier a rangé son glaive au fourreau, les enfants étudient, les paysans aiguisent les socs des charrues, les moissons sont abondantes et des branches d’oliviers et de chêne encadrent Minerve, la déesse de la guerre.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Nord. La prise d'Alexandrie le 3 juillet 1798, par John-Étienne Chaponnière (1835). Le héros de la campagne d’Égypte, général Kléber, est représenté au centre. Blessé à la tête, il pointe son épée vers l’ennemie à Alexandrie en Egypte, en 1798. A gauche, dans la frise, sur le chariot de l'armée d'Egypte, ce sphinx pourrait évoquer celui de Tanis. Au-dessous l'obélisque peut représenter celui de Louxor, arrivé à Paris en 1833. Les deux armées convergent vers l'allégorie de la France entourée de l'Abondance et de la Victoire, pour déposer à leurs pieds les trophées qu'elles on rapportés.
Arc de Triomphe.
Face Nord. La prise d'Alexandrie le 3 juillet 1798, par John-Étienne Chaponnière (1835). Le héros de la campagne d’Égypte, général Kléber, est représenté au centre. Blessé à la tête, il pointe son épée vers l’ennemie à Alexandrie en Egypte, en 1798. A gauche, dans la frise, sur le chariot de l'armée d'Egypte, ce sphinx pourrait évoquer celui de Tanis. Au-dessous l'obélisque peut représenter celui de Louxor, arrivé à Paris en 1833. Les deux armées convergent vers l'allégorie de la France entourée de l'Abondance et de la Victoire, pour déposer à leurs pieds les trophées qu'elles on rapportés.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Ouest. La bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805, par Jean-François-Théodore Gechter
Arc de Triomphe.
Face Ouest. La bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805, par Jean-François-Théodore Gechter
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Ouest. La bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805, par Jean-François-Théodore Gechter.  Figures allégoriques représentant l'infanterie par Théophile Bra.
Arc de Triomphe.
Face Ouest. La bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805, par Jean-François-Théodore Gechter. Figures allégoriques représentant l'infanterie par Théophile Bra.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Face Ouest. La bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805, par Jean-François-Théodore Gechter. Au nord du monument, le relief évoque la bataille d'Austerlitz, le 2 décembre 1805, la date de premier anniversaire du couronnement de Napoléon Ier. À son retour à Paris, Napoléon ordonnera l'érection de l'Arc de triomphe à la place d’Étoile. On y voit Napoléon au centre droit, retenir la Garde impériale de sa main pendant que les cavaliers russes et autrichiens s'enfoncent dans le lac de Sokolnitz, dont la glace a cédé sous leurs pieds.
Arc de Triomphe.
Face Ouest. La bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805, par Jean-François-Théodore Gechter. Au nord du monument, le relief évoque la bataille d'Austerlitz, le 2 décembre 1805, la date de premier anniversaire du couronnement de Napoléon Ier. À son retour à Paris, Napoléon ordonnera l'érection de l'Arc de triomphe à la place d’Étoile. On y voit Napoléon au centre droit, retenir la Garde impériale de sa main pendant que les cavaliers russes et autrichiens s'enfoncent dans le lac de Sokolnitz, dont la glace a cédé sous leurs pieds.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers).
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers).
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers).
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers).
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers).
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers).
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers). Figure allégorique représentant l'Artillerie, par Debay père.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les noms des grandes batailles de la Révolution et de l'Empire sont gravés (24 sur chacun des quatre piliers). Figure allégorique représentant l'Artillerie, par Debay père.
38
<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Ouest.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Ouest.
39
<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Ouest.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Ouest.
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<center>Arc de Triomphe. </center>Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Nord.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Nord.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Est.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Est.
42
<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Sud.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles sont regroupées quatre par quatre et se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités. Pilier Sud.
43
<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Ouest.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Ouest.
44
<center>Arc de Triomphe. </center> Attributs des victoires de l'Ouest, par Jean-Joseph Espercieux. La scène indique les batailles de Jemmapes et de Fleurus.
Arc de Triomphe.
Attributs des victoires de l'Ouest, par Jean-Joseph Espercieux. La scène indique les batailles de Jemmapes et de Fleurus.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Sud.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Sud.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Attributs des victoires du Sud, par Antoine-François Gérard. La scène indique les batailles de Marengo, de Rivoli, d'Arcole et de Lodi.
Arc de Triomphe.
Attributs des victoires du Sud, par Antoine-François Gérard. La scène indique les batailles de Marengo, de Rivoli, d'Arcole et de Lodi.
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<center>Arc de Triomphe. </center>
Arc de Triomphe.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Nord. Armées du Nord des Ardennes, de la Moselle, du Rhin, de Sambre et Meuse, de Rhin et Moselle, de Hollande, de Hanobre..
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Nord. Armées du Nord des Ardennes, de la Moselle, du Rhin, de Sambre et Meuse, de Rhin et Moselle, de Hollande, de Hanobre..
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<center>Arc de Triomphe. </center> Attributs des victoires du Nord, par François Joseph Bosio. La scène indique les batailles d'Austerlitz, d'Iéna, de Friedland, d'Ulm, de Wagram et d'Eylau.
Arc de Triomphe.
Attributs des victoires du Nord, par François Joseph Bosio. La scène indique les batailles d'Austerlitz, d'Iéna, de Friedland, d'Ulm, de Wagram et d'Eylau.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Est. Armées du Danube, d'Helvétie, des Grisons, des Alpes, du Var, d'Italie, de Rome, de Naples.
Arc de Triomphe.
Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés. Quatre bas-reliefs se situent au-dessus des noms des personnalités de la Révolution et de l'Empire. Ils portent le nom de batailles célèbres de la Révolution et de l'Empire. Sur les piliers sont gravés les noms de 32 (4+4 sur chacun des quatre piliers) batailles de la Révolution et de l'Empire. Elles se positionnent de part et d'autre des tableaux des personnalités.Pilier Est. Armées du Danube, d'Helvétie, des Grisons, des Alpes, du Var, d'Italie, de Rome, de Naples.
51
<center>Arc de Triomphe. </center> Attributs des victoires de l'Est, par Valcher. La scène indique les batailles d'Alexandrie, des Pyramides, d'Aboukir et d'Héliopolis.
Arc de Triomphe.
Attributs des victoires de l'Est, par Valcher. La scène indique les batailles d'Alexandrie, des Pyramides, d'Aboukir et d'Héliopolis.
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<center>Arc de Triomphe. </center>
Arc de Triomphe.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Figure allégorique représentant l'Artillerie par Debay père.
Arc de Triomphe.
Figure allégorique représentant l'Artillerie par Debay père.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Figure allégorique représentant l'Artillerie par Debay père.
Arc de Triomphe.
Figure allégorique représentant l'Artillerie par Debay père.
55
<center>Arc de Triomphe. </center> L’escalier en colimaçon permet d’atteindre son sommet en grimpant 284 marches.
Arc de Triomphe.
L’escalier en colimaçon permet d’atteindre son sommet en grimpant 284 marches.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Une Marianne.
Arc de Triomphe.
Une Marianne.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Une Marianne.
Arc de Triomphe.
Une Marianne.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Buste de Louis Philippe.
Arc de Triomphe.
Buste de Louis Philippe.
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<center>Arc de Triomphe. </center> Inscriptions à l'intérieur de l'Arc de Triomphe relatant la construction du monument.
Arc de Triomphe.
Inscriptions à l'intérieur de l'Arc de Triomphe relatant la construction du monument.
60
<center>Arc de Triomphe. </center> Le musée présente des documents originaux, gravures, dessins, photos, maquettes sur la construction de l'Arc et les faits historiques comme le retour des cendres de Napoléon Ier le 15 décembre 1840, la veillée funèbre de Victor Hugo le 29 mai 1885, le défilé de la Victoire du 14 juillet 1919, l'arrivée du corps du Soldat inconnu le 28 janvier 1921, l'hommage du général De Gaulle sur la tombe du Soldat inconnu dans Paris libéré le 26 août 1944.
Arc de Triomphe.
Le musée présente des documents originaux, gravures, dessins, photos, maquettes sur la construction de l'Arc et les faits historiques comme le retour des cendres de Napoléon Ier le 15 décembre 1840, la veillée funèbre de Victor Hugo le 29 mai 1885, le défilé de la Victoire du 14 juillet 1919, l'arrivée du corps du Soldat inconnu le 28 janvier 1921, l'hommage du général De Gaulle sur la tombe du Soldat inconnu dans Paris libéré le 26 août 1944.
61
<center>Arc de Triomphe. </center> La tête de lion est issue de la grande corniche.
Arc de Triomphe.
La tête de lion est issue de la grande corniche.
62
<center>Arc de Triomphe. </center> Le pied est issu du groupe sculpté la résistance situé sur le piédroit sud-ouest, côté avenue de la Grande-Armée.
Arc de Triomphe.
Le pied est issu du groupe sculpté la résistance situé sur le piédroit sud-ouest, côté avenue de la Grande-Armée.
63
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue Foch. Au fond, le Mont Valérien.
Arc de Triomphe.
Avenue Foch. Au fond, le Mont Valérien.
64
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue de la Grande-Armée. Au fond, le Mont Valérien, les tours dde la Défense avec son Arche, la tour du Palais des congrés, porte Maillot.
Arc de Triomphe.
Avenue de la Grande-Armée. Au fond, le Mont Valérien, les tours dde la Défense avec son Arche, la tour du Palais des congrés, porte Maillot.
65
<center>Arc de Triomphe. </center> Les tours dde la Défense avec son Arche
Arc de Triomphe.
Les tours dde la Défense avec son Arche
66
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue Carnot et Avenue Mac-Mahon.
Arc de Triomphe.
Avenue Carnot et Avenue Mac-Mahon.
67
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue Mac-Mahon et Avenue  de Wagram. Au fond, le nouveau Palais de Justice.
Arc de Triomphe.
Avenue Mac-Mahon et Avenue de Wagram. Au fond, le nouveau Palais de Justice.
68
<center>Arc de Triomphe. </center> A gauche, le clocher de l'église Sainte-Odile, près de la Porte de Champerret.
Arc de Triomphe.
A gauche, le clocher de l'église Sainte-Odile, près de la Porte de Champerret.
69
<center>Arc de Triomphe. </center> Le nouveau Palais de Justice.
Arc de Triomphe.
Le nouveau Palais de Justice.
70
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue Hoche  et avenue de Friedland. Au fond, le Sacré-Coeur, à droite le clocher de l’église Saint-Augustin.
Arc de Triomphe.
Avenue Hoche et avenue de Friedland. Au fond, le Sacré-Coeur, à droite le clocher de l’église Saint-Augustin.
71
<center>Arc de Triomphe. </center> Au fond, le Sacré-Coeur, à droite le clocher de l’église Saint-Augustin. Au premier plan, une des plus belles terrasses de Paris.
Arc de Triomphe.
Au fond, le Sacré-Coeur, à droite le clocher de l’église Saint-Augustin. Au premier plan, une des plus belles terrasses de Paris.
72
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue de Friedland et avenue des Champs-Élysées. A droite, le Grand Palais.
Arc de Triomphe.
Avenue de Friedland et avenue des Champs-Élysées. A droite, le Grand Palais.
73
<center>Arc de Triomphe. </center> A droite, Saint Eustache, Beaubourg. Au centre, église de la Madeleine (toit vert). A gauche, l'opéra Garnier.
Arc de Triomphe.
A droite, Saint Eustache, Beaubourg. Au centre, église de la Madeleine (toit vert). A gauche, l'opéra Garnier.
74
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue des Champs-Élysées. Au fond, le Louvre, Notre Dame, le Grand palais. A droite, les Invalides, la tour Montparnasse.
Arc de Triomphe.
Avenue des Champs-Élysées. Au fond, le Louvre, Notre Dame, le Grand palais. A droite, les Invalides, la tour Montparnasse.
75
<center>Arc de Triomphe. </center> A gauche, le Grand Palais et Notre-Dame. Au fond, le Panthéon, à sa gauche, les bâtiments de la bibliothèque nationale, à sa droite, Saint Sulpice, les deux tours de la basilique Sainte-Clotilde.
Arc de Triomphe.
A gauche, le Grand Palais et Notre-Dame. Au fond, le Panthéon, à sa gauche, les bâtiments de la bibliothèque nationale, à sa droite, Saint Sulpice, les deux tours de la basilique Sainte-Clotilde.
76
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue Marceau et avenue d'Iéna. Au centre, les Invalides et la tour Montparnasse. A droite, la tour Eiffel.
Arc de Triomphe.
Avenue Marceau et avenue d'Iéna. Au centre, les Invalides et la tour Montparnasse. A droite, la tour Eiffel.
77
<center>Arc de Triomphe. </center> Entre le dôme des Invalides et la tour Montparnasse, le clocher de la cathédrale américaine. Ne pas confondre avec l'église américaine, dont on aperçoit le clocher vert à gauche des Invalides. A droite, l’église Saint-Pierre-de-Chaillot, derrière l'Église orthodoxe grecque et les bulbes de l'église Russe.
Arc de Triomphe.
Entre le dôme des Invalides et la tour Montparnasse, le clocher de la cathédrale américaine. Ne pas confondre avec l'église américaine, dont on aperçoit le clocher vert à gauche des Invalides. A droite, l’église Saint-Pierre-de-Chaillot, derrière l'Église orthodoxe grecque et les bulbes de l'église Russe.
78
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue d'Iéna et avenue Kléber.
Arc de Triomphe.
Avenue d'Iéna et avenue Kléber.
79
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue  Kléber, avenue Victor-Hugo et avenue Foch.
Arc de Triomphe.
Avenue Kléber, avenue Victor-Hugo et avenue Foch.
80
<center>Arc de Triomphe. </center> Avenue  Victor-Hugo et avenue Foch.
Arc de Triomphe.
Avenue Victor-Hugo et avenue Foch.
81
<center>Place Denfert Rochereau. </center> La place et le Lion de Belfort. Le Lion de Belfort est une sculpture en plaques de cuivre repoussé d'Auguste Bartholdi.
Place Denfert Rochereau.
La place et le Lion de Belfort. Le Lion de Belfort est une sculpture en plaques de cuivre repoussé d'Auguste Bartholdi.
82
<center>Place Denfert Rochereau. </center> Lors du salon de sculpture de 1878 à Paris, Bartholdi expose hors concours un modèle en plâtre reproduisant le lion au tiers de sa taille définitive. Le conseil municipal parisien l'acquiert en 1880  et souhaite l'installer aux Buttes-Chaumont, mais la pétition des habitants du 14e arrondissement — qui souhaitent en faire un symbole fort de Paris — décide de sa place définitive, place Denfert-Rochereau. La sculpture est une réplique, réduite au tiers de sa taille initiale, du Lion de Belfort (taillé dans la roche à Belfort), soit une hauteur de 4 m pour une longueur de 7 m. Elle symbolise la résistance du colonel Denfert-Rochereau (un médaillon en bronze à l'effigie du colonel est ajouté à la sculpture en 1920) durant le siège de la place forte de Belfort pendant la guerre franco-prussienne de 1870.
Place Denfert Rochereau.
Lors du salon de sculpture de 1878 à Paris, Bartholdi expose hors concours un modèle en plâtre reproduisant le lion au tiers de sa taille définitive. Le conseil municipal parisien l'acquiert en 1880 et souhaite l'installer aux Buttes-Chaumont, mais la pétition des habitants du 14e arrondissement — qui souhaitent en faire un symbole fort de Paris — décide de sa place définitive, place Denfert-Rochereau. La sculpture est une réplique, réduite au tiers de sa taille initiale, du Lion de Belfort (taillé dans la roche à Belfort), soit une hauteur de 4 m pour une longueur de 7 m. Elle symbolise la résistance du colonel Denfert-Rochereau (un médaillon en bronze à l'effigie du colonel est ajouté à la sculpture en 1920) durant le siège de la place forte de Belfort pendant la guerre franco-prussienne de 1870.
83
<center>Les Catacombes de Paris. </center> Les catacombes de Paris, terme utilisé pour nommer l'ossuaire municipal, sont à l'origine une partie des anciennes carrières souterraines situées dans le 14e arrondissement de Paris, reliées entre elles par des galeries d'inspection. Elles sont transformées en ossuaire municipal à la fin du XVIIIe siècle avec le transfert des restes d'environ six millions d'individus, évacués des divers cimetières parisiens jusqu'en 1861 pour des raisons de salubrité publique. Elles prennent alors le nom abusif de « catacombes », par analogie avec les nécropoles souterraines de la Rome antique, bien qu'elles n'aient jamais officiellement servi de lieu de sépulture.
Les Catacombes de Paris.
Les catacombes de Paris, terme utilisé pour nommer l'ossuaire municipal, sont à l'origine une partie des anciennes carrières souterraines situées dans le 14e arrondissement de Paris, reliées entre elles par des galeries d'inspection. Elles sont transformées en ossuaire municipal à la fin du XVIIIe siècle avec le transfert des restes d'environ six millions d'individus, évacués des divers cimetières parisiens jusqu'en 1861 pour des raisons de salubrité publique. Elles prennent alors le nom abusif de « catacombes », par analogie avec les nécropoles souterraines de la Rome antique, bien qu'elles n'aient jamais officiellement servi de lieu de sépulture.
84
<center>Les Catacombes de Paris. </center> Près de trois cents kilomètres de galeries s'étalent sous Paris intra-muros, sur parfois trois niveaux de carrières. La profondeur moyenne est d'environ vingt mètres sous le niveau du sol naturel.  À la fin du XVIIIe siècle, pour faire face à la saturation des cimetières parisiens et aux problèmes croissants d'insalubrité, la décision est prise de déplacer les ossements dans une partie des carrières situées hors de la barrière d'Enfer du mur des Fermiers généraux, sous la plaine de Montsouris, appartenant alors au territoire de Montrouge. Les catacombes se présentent sous la forme de tunnels, à l'intérieur desquels la température est constamment de 14 °C.
Les Catacombes de Paris.
Près de trois cents kilomètres de galeries s'étalent sous Paris intra-muros, sur parfois trois niveaux de carrières. La profondeur moyenne est d'environ vingt mètres sous le niveau du sol naturel. À la fin du XVIIIe siècle, pour faire face à la saturation des cimetières parisiens et aux problèmes croissants d'insalubrité, la décision est prise de déplacer les ossements dans une partie des carrières situées hors de la barrière d'Enfer du mur des Fermiers généraux, sous la plaine de Montsouris, appartenant alors au territoire de Montrouge. Les catacombes se présentent sous la forme de tunnels, à l'intérieur desquels la température est constamment de 14 °C.
85
<center>Les Catacombes de Paris. </center> Tout le long du parcours souterrain sont gravées des inscriptions de ce type : 5 J. 1847, signifiant que ce pilier fut le cinquième d’une série exécutée en 1847 sous les ordres de Juncher, Inspecteur général des Carrières de 1842 à 1851. Vous circulez dans des galeries en pierres sèches (hagues) derrières lesquelles se trouvent des bourrages en terre bloquant le haut de la carrière.
Les Catacombes de Paris.
Tout le long du parcours souterrain sont gravées des inscriptions de ce type : 5 J. 1847, signifiant que ce pilier fut le cinquième d’une série exécutée en 1847 sous les ordres de Juncher, Inspecteur général des Carrières de 1842 à 1851. Vous circulez dans des galeries en pierres sèches (hagues) derrières lesquelles se trouvent des bourrages en terre bloquant le haut de la carrière.
86
<center>Les Catacombes de Paris. </center>
Les Catacombes de Paris.
87
<center>Les Catacombes de Paris. </center> On aperçoit au plafond des marques anciennes d’outillage (utilisation de la laie).Tracé sur le ciel de carrière lors de l’ouverture de l’ossuaire au public, le trait noir devait permettre aux visiteurs du XIXe siècle de se repérer dans les galeries.
Les Catacombes de Paris.
On aperçoit au plafond des marques anciennes d’outillage (utilisation de la laie).Tracé sur le ciel de carrière lors de l’ouverture de l’ossuaire au public, le trait noir devait permettre aux visiteurs du XIXe siècle de se repérer dans les galeries.
88
<center>Les Catacombes de Paris. </center> Le parcours emprunte les étroites galeries de consolidation de l'aqueduc d'Arcueil, réalisé pour Marie de Médicis, et qui permettait d'approvisionner en eau le palais du Luxembourg. Ces consolidations ont été réalisées par Guillaumot à la suite de plusieurs effondrements en mars 1782 et mai 1784, dus à des infiltrations d'eau. L'aqueduc est soutenu par un massif de maçonnerie, longé par deux galeries latérales, liées de place en place par des galeries transversales. Depuis le percement de l'avenue Reille en 1860 qui a interrompu le parcours de l'aqueduc, cette portion est définitivement à sec.
Les Catacombes de Paris.
Le parcours emprunte les étroites galeries de consolidation de l'aqueduc d'Arcueil, réalisé pour Marie de Médicis, et qui permettait d'approvisionner en eau le palais du Luxembourg. Ces consolidations ont été réalisées par Guillaumot à la suite de plusieurs effondrements en mars 1782 et mai 1784, dus à des infiltrations d'eau. L'aqueduc est soutenu par un massif de maçonnerie, longé par deux galeries latérales, liées de place en place par des galeries transversales. Depuis le percement de l'avenue Reille en 1860 qui a interrompu le parcours de l'aqueduc, cette portion est définitivement à sec.
89
<center>Les Catacombes de Paris. </center>
Les Catacombes de Paris.
90
<center>Les Catacombes de Paris. </center> L'Ateliercorrespond aux anciennes carrières de pierre calcaire du Lutétien, à l'aspect brut et pourvues de nombreux départs de galeries fermés par des grilles. C'est un des rares secteurs des carrières souterraines qui ait conservé son aspect de fin d'exploitation. Le ciel de carrière est soutenu par des piliers tournés (pris dans la masse) ou à bras (formées de pierres superposées) et les parois sont formées de hagues maintenant les bourrages.
Les Catacombes de Paris.
L'Ateliercorrespond aux anciennes carrières de pierre calcaire du Lutétien, à l'aspect brut et pourvues de nombreux départs de galeries fermés par des grilles. C'est un des rares secteurs des carrières souterraines qui ait conservé son aspect de fin d'exploitation. Le ciel de carrière est soutenu par des piliers tournés (pris dans la masse) ou à bras (formées de pierres superposées) et les parois sont formées de hagues maintenant les bourrages.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Un pilier tourné, pierres laissées en place par les carriers.
Les Catacombes de Paris.
Un pilier tourné, pierres laissées en place par les carriers.
92
<center>Les Catacombes de Paris. </center> Les consolidations par hagues et bourrages sont utilisées dès la fin du XVe siècle. Les hagues sont des murets de pierres sèches qui retiennent les bourrages et empêchent les effondrements. Les bourrages sont surtout constitués de déchets d’exploitation. Un  piliers à bras, blocs empilés avec calage du ciel de carrière.
Les Catacombes de Paris.
Les consolidations par hagues et bourrages sont utilisées dès la fin du XVe siècle. Les hagues sont des murets de pierres sèches qui retiennent les bourrages et empêchent les effondrements. Les bourrages sont surtout constitués de déchets d’exploitation. Un piliers à bras, blocs empilés avec calage du ciel de carrière.
93
<center>Les Catacombes de Paris. </center>
Les Catacombes de Paris.
94
<center>Les Catacombes de Paris. </center>
Les Catacombes de Paris.
95
<center>Les Catacombes de Paris. </center> Sculptures de Port-Mahon. Ces sculptures réalisées dans la pierre de 1777 à 1782 sont l'œuvre d'un carrier nommé Décure, dit Beauséjour, vétéran des armées de Louis XV. Il s'agirait d'un soldat enrôlé en 1756 dans l'armée de Richelieu lors de l'opération de reconquête de Minorque. Réformé, il entra à l'Inspection des carrières afin de compléter sa modeste solde.
Les Catacombes de Paris.
Sculptures de Port-Mahon. Ces sculptures réalisées dans la pierre de 1777 à 1782 sont l'œuvre d'un carrier nommé Décure, dit Beauséjour, vétéran des armées de Louis XV. Il s'agirait d'un soldat enrôlé en 1756 dans l'armée de Richelieu lors de l'opération de reconquête de Minorque. Réformé, il entra à l'Inspection des carrières afin de compléter sa modeste solde.
96
<center>Les Catacombes de Paris. </center> Sculptures de Port-Mahon. Travaillant la journée aux travaux de consolidation sous la direction de Guillaumot, il sculpte après son travail et représente une maquette ainsi que diverses vues du fort de Port-Mahon, la principale ville de l'île de Minorque, aux Baléares, où il aurait été un temps prisonnier des Anglais. Voulant parfaire son œuvre, il engage la création d'un escalier d'accès depuis le niveau supérieur de la carrière ; mais il provoque ainsi un fontis qui le tue sur le coup.
Les Catacombes de Paris.
Sculptures de Port-Mahon. Travaillant la journée aux travaux de consolidation sous la direction de Guillaumot, il sculpte après son travail et représente une maquette ainsi que diverses vues du fort de Port-Mahon, la principale ville de l'île de Minorque, aux Baléares, où il aurait été un temps prisonnier des Anglais. Voulant parfaire son œuvre, il engage la création d'un escalier d'accès depuis le niveau supérieur de la carrière ; mais il provoque ainsi un fontis qui le tue sur le coup.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Sculptures de Port-Mahon.
Les Catacombes de Paris.
Sculptures de Port-Mahon.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center>
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Petites pyramides de sylex sur lait de chaux.
Les Catacombes de Paris.
Petites pyramides de sylex sur lait de chaux.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Puits de Port-Mahon.
Puits appelé « bain de pieds des carriers ». Ce puits, aménagé par les ouvriers des chantiers de consolidation, permet de descendre au niveau de la nappe phréatique. Doté d'un garde-fou, il doit son nom à la transparence de l'eau, qui le rend peu visible. Ce puits constitue le premier forage géologique réalisé sous Paris dont la coupe oryctognostique a été levée en 1814 par Héricart de Thury. Il vise à la reconnaissance de la constitution géologique du sous-sol.
Les Catacombes de Paris.
Puits de Port-Mahon. Puits appelé « bain de pieds des carriers ». Ce puits, aménagé par les ouvriers des chantiers de consolidation, permet de descendre au niveau de la nappe phréatique. Doté d'un garde-fou, il doit son nom à la transparence de l'eau, qui le rend peu visible. Ce puits constitue le premier forage géologique réalisé sous Paris dont la coupe oryctognostique a été levée en 1814 par Héricart de Thury. Il vise à la reconnaissance de la constitution géologique du sous-sol.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Graffitis anciens.
Les Catacombes de Paris.
Graffitis anciens.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Graffitis récents.
Les Catacombes de Paris.
Graffitis récents.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Passage dit des « doubles carrières ».
Les Catacombes de Paris.
Passage dit des « doubles carrières ».
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Passage dit des « doubles carrières ».
Les Catacombes de Paris.
Passage dit des « doubles carrières ».
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Passage dit des « doubles carrières ». Arc doubleau du XXe siècle.
Les Catacombes de Paris.
Passage dit des « doubles carrières ». Arc doubleau du XXe siècle.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Banc de Laine : calcaire ferme parfois dur (cliquart). Grignard : calcaire coquillier grossier. Banc de Souchet : calcaire ferme sous cavé pour être extrait. Banc d'appareil : calcaire ferme propre à tailler des pierres d'appareil. Haut Banc : calcaire ferme particulièrement épais.
Les Catacombes de Paris.
Banc de Laine : calcaire ferme parfois dur (cliquart). Grignard : calcaire coquillier grossier. Banc de Souchet : calcaire ferme sous cavé pour être extrait. Banc d'appareil : calcaire ferme propre à tailler des pierres d'appareil. Haut Banc : calcaire ferme particulièrement épais.
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Les Catacombes de Paris.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Détection de malformations ou de maladies. En haut, vertèbre atteinte d'arthrose sévère et côtes gauches fracturées. En bas, infection osseuse des membres inférieurs et arthrite de phalanges d'une main.
Les Catacombes de Paris.
Détection de malformations ou de maladies. En haut, vertèbre atteinte d'arthrose sévère et côtes gauches fracturées. En bas, infection osseuse des membres inférieurs et arthrite de phalanges d'une main.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Fémur gauche fracturé, arqué et épaissi par un cal osseux. Tibia fracturé en baïonnette et excroissance osseuse sur le péroné..
Les Catacombes de Paris.
Fémur gauche fracturé, arqué et épaissi par un cal osseux. Tibia fracturé en baïonnette et excroissance osseuse sur le péroné..
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> L’aménagement du site et l’organisation des transferts d’ossements sont confiés à Charles-Axel Guillaumot, inspecteur au service de l’Inspection générale des carrières de Paris, ou IGC. Ce service, instauré le 4 avril 1777 par Louis XVI, a pour mission de surveiller et de consolider les carrières désaffectées, suite à une série de graves effondrements du sol parisien au milieu du XVIIIe siècle.

Les premières évacuations ont lieu de 1785 à 1787 et touchent le cimetière le plus important de Paris, les Saints-Innocents, précédemment condamné en 1780 après un usage consécutif de près de dix siècles. Les sépultures, les fosses communes et les charniers sont vidés de leurs os, lesquels sont transportés à la tombée de la nuit pour éviter les réactions hostiles de la population parisienne et de l’Église. Les os sont ensuite déversés par deux puits de service de la carrière, puis répartis et entassés dans les galeries par les ouvriers carriers.
Les Catacombes de Paris.
L’aménagement du site et l’organisation des transferts d’ossements sont confiés à Charles-Axel Guillaumot, inspecteur au service de l’Inspection générale des carrières de Paris, ou IGC. Ce service, instauré le 4 avril 1777 par Louis XVI, a pour mission de surveiller et de consolider les carrières désaffectées, suite à une série de graves effondrements du sol parisien au milieu du XVIIIe siècle. Les premières évacuations ont lieu de 1785 à 1787 et touchent le cimetière le plus important de Paris, les Saints-Innocents, précédemment condamné en 1780 après un usage consécutif de près de dix siècles. Les sépultures, les fosses communes et les charniers sont vidés de leurs os, lesquels sont transportés à la tombée de la nuit pour éviter les réactions hostiles de la population parisienne et de l’Église. Les os sont ensuite déversés par deux puits de service de la carrière, puis répartis et entassés dans les galeries par les ouvriers carriers.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Les transferts se poursuivent après la Révolution jusqu’en 1814 avec la suppression de cimetières paroissiaux du centre de Paris tels que Saint-Eustache, Saint-Nicolas-des-Champs et le couvent des Bernardins. Ils reprennent de nouveau en 1840 lors des travaux d’urbanisme de Louis-Philippe et lors des chantiers haussmanniens de 1859 à 1860. Le site est consacré « Ossuaire municipal de Paris » le 7 avril 1786 et s’approprie dès ce moment le terme mythique de « Catacombes », en référence aux catacombes de Rome, objet de fascination publique depuis leur découverte.
Les Catacombes de Paris.
Les transferts se poursuivent après la Révolution jusqu’en 1814 avec la suppression de cimetières paroissiaux du centre de Paris tels que Saint-Eustache, Saint-Nicolas-des-Champs et le couvent des Bernardins. Ils reprennent de nouveau en 1840 lors des travaux d’urbanisme de Louis-Philippe et lors des chantiers haussmanniens de 1859 à 1860. Le site est consacré « Ossuaire municipal de Paris » le 7 avril 1786 et s’approprie dès ce moment le terme mythique de « Catacombes », en référence aux catacombes de Rome, objet de fascination publique depuis leur découverte.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Les ossements, précédemment laissés en vrac, sont soigneusement organisés en murs, sur le modèle des hagues de carriers. En façade, les rangées de tibias alternent avec celles de crânes, tandis que derrière les parements s’entassent les os restants, souvent très fragmentés par les conséquences de leur chute.
Les Catacombes de Paris.
Les ossements, précédemment laissés en vrac, sont soigneusement organisés en murs, sur le modèle des hagues de carriers. En façade, les rangées de tibias alternent avec celles de crânes, tandis que derrière les parements s’entassent les os restants, souvent très fragmentés par les conséquences de leur chute.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center>  En façade, les rangées de tibias alternent avec celles de crânes, tandis que derrière les parements s’entassent les os restants, souvent très fragmentés par les conséquences de leur chute.
Les Catacombes de Paris.
En façade, les rangées de tibias alternent avec celles de crânes, tandis que derrière les parements s’entassent les os restants, souvent très fragmentés par les conséquences de leur chute.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center>Un coeur.
Les Catacombes de Paris.
Un coeur.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Au milieu d'une galerie qui s'élargit en rotonde, la fontaine de la Samaritaine est réalisée en 1810 afin de recueillir les eaux de la nappe phréatique, découverte par les ouvriers lors des travaux d'aménagement de l'ossuaire. Elle fait référence à l'épisode du Christ et de la Samaritaine au puits de Jacob, évoqué par l'inscription : « Quiconque boit de cette eau aura encore soif. Mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura point soif dans l'éternité… » Elle fut également nommée « source de Léthé » ou « de l'oubli », par analogie avec le fleuve de la mythologie grecque, où les âmes des morts se désaltéraient pour oublier les circonstances de leur existence.
Les Catacombes de Paris.
Au milieu d'une galerie qui s'élargit en rotonde, la fontaine de la Samaritaine est réalisée en 1810 afin de recueillir les eaux de la nappe phréatique, découverte par les ouvriers lors des travaux d'aménagement de l'ossuaire. Elle fait référence à l'épisode du Christ et de la Samaritaine au puits de Jacob, évoqué par l'inscription : « Quiconque boit de cette eau aura encore soif. Mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura point soif dans l'éternité… » Elle fut également nommée « source de Léthé » ou « de l'oubli », par analogie avec le fleuve de la mythologie grecque, où les âmes des morts se désaltéraient pour oublier les circonstances de leur existence.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Des monuments maçonnés de style antique et égyptien sont également aménagés dans le parcours, aux formes de piliers doriques, d’autels, de cippes ou de tombeaux. Des noms inspirés de la littérature religieuse ou romantique et de l’Antiquité sont donnés à certains lieux .
Les Catacombes de Paris.
Des monuments maçonnés de style antique et égyptien sont également aménagés dans le parcours, aux formes de piliers doriques, d’autels, de cippes ou de tombeaux. Des noms inspirés de la littérature religieuse ou romantique et de l’Antiquité sont donnés à certains lieux .
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> La lampe sépulcrale. Dans un renfoncement s'élève une colonne de pierre surmontée d'une vasque de forme antique, dite « lampe sépulcrale ». Ce monument, le premier réalisé dans l'ossuaire, servait à brûler de la résine de poix, l'air étant progressivement corrompu par les dépôts d'ossements, ce qui rendait l'air difficilement respirable pour les ouvriers chargés des transferts. L'entretien d'un foyer était en effet le meilleur moyen d'assurer une ventilation lors de travaux souterrains. Elle servait ainsi à veiller les morts et, plus prosaïquement, à améliorer la circulation de l'air, avant la construction des puits d'aération
Les Catacombes de Paris.
La lampe sépulcrale. Dans un renfoncement s'élève une colonne de pierre surmontée d'une vasque de forme antique, dite « lampe sépulcrale ». Ce monument, le premier réalisé dans l'ossuaire, servait à brûler de la résine de poix, l'air étant progressivement corrompu par les dépôts d'ossements, ce qui rendait l'air difficilement respirable pour les ouvriers chargés des transferts. L'entretien d'un foyer était en effet le meilleur moyen d'assurer une ventilation lors de travaux souterrains. Elle servait ainsi à veiller les morts et, plus prosaïquement, à améliorer la circulation de l'air, avant la construction des puits d'aération
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Le sarcophage du Lacrymatoire ou « tombeau de Gilbert » qui n'a de tombeau que son nom puisqu'il s'agit là encore en réalité d'une consolidation. Il est dédié à Nicolas Gilbert (1750-1780), poète maudit dont quelques vers sont gravés sur le monument. C'est l'ingénieur des Mines Caly qui proposa l'idée insolite d'édifier cette fausse tombe au milieu de milliers d'ossements dépourvus de sépulture.
Les Catacombes de Paris.
Le sarcophage du Lacrymatoire ou « tombeau de Gilbert » qui n'a de tombeau que son nom puisqu'il s'agit là encore en réalité d'une consolidation. Il est dédié à Nicolas Gilbert (1750-1780), poète maudit dont quelques vers sont gravés sur le monument. C'est l'ingénieur des Mines Caly qui proposa l'idée insolite d'édifier cette fausse tombe au milieu de milliers d'ossements dépourvus de sépulture.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Ces galeries  contiennent les restes des victimes des combats des Tuileries et de la Révolution
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Ces galeries contiennent les restes des victimes des combats des Tuileries et de la Révolution
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Ces galeries  contiennent les restes des victimes des combats des Tuileries et de la Révolution
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Ces galeries contiennent les restes des victimes des combats des Tuileries et de la Révolution
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Une vaste salle entièrement ceinte d'ossements, dite « crypte de la Passion » ou « rotonde des tibias », est dotée d'une étrange sculpture d'ossements, en forme de tonneau. Celui-ci est exclusivement constitué de tibias, autour d'un pilier de consolidation. C'est dans cette salle que se déroule le concert clandestin du 2 avril 1897.
Les Catacombes de Paris.
Une vaste salle entièrement ceinte d'ossements, dite « crypte de la Passion » ou « rotonde des tibias », est dotée d'une étrange sculpture d'ossements, en forme de tonneau. Celui-ci est exclusivement constitué de tibias, autour d'un pilier de consolidation. C'est dans cette salle que se déroule le concert clandestin du 2 avril 1897.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Puits d'aération.
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Puits d'aération.
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<center>Les Catacombes de Paris. </center> Puits d'aération. Sa hauteur est de 20 m.
Les Catacombes de Paris.
Puits d'aération. Sa hauteur est de 20 m.
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