Le Panorama fut édifié en 1860 par l'architecte Gabriel Davioud, avec le concours du peintre Langlois. Le Panorama étai tun vaste tableau circulaire développé sur la paroi intérieure d'une rotonde et qui donnait l'illusion de la réalité. Puis ce fut, en 1893, le Palais de Glace. Depuis 1961, c'est le Théâtre du Rond-Point.
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Ancien hôtel Lehon.
Hôtel du Rond-point. Lehon été l'ambassadeur de Belgique. Sa femme était la maîtresse du duc de Morny. Née Fanny Mosselman (1808-1880), la comtesse Le Hon est la fille d’un riche banquier belge, François-Dominique Mosselmann. C’est l’une des femmes les plus en vue et les plus courtisée de son époque. Par sa fortune et ses relations, la comtesse Le Hon financera l’ascension politique de Morny.
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Ancien hôtel Lehon.
Hôtel particulier construit en 1874 dans le style néo-Louis XV pour Félicie Sabatier d'Espeyran par l'architecte Henri Parent. Cette construction a fait disparaître – ou, du moins, rendu complètement méconnaissable – le somptueux hôtel que le duc de Morny avait fait construire dans les années 1840 dans le goût néo-Renaissance par les architectes Louis Moreau et Victor Lemaire pour sa maîtresse, la comtesse Le Hon (1808-1880).
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Ancien hôtel Lehon.
Hôtel du Rond-point.
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Ancien hôtel de Morny.
En juillet 1952, Marcel Dassault apprend que les deux immeubles des n° 7 et 9 sont mis en vente par la famille Sabatier d'Espeyran. Marcel Dassault souhaite disposer d'une vaste salle de réception, mais la désirant sans piliers, il est nécessaire d'effectuer des travaux neufs. Aussi rachète-t-il successivement, le long de l'avenue des Champs-Élysées, l'hôtel de Morny puis l'immeuble suivant, abritant une brasserie alsacienne, une agence de voyage et des bureaux. Il peut ainsi faire agrandir l'hôtel du Rond-Point en doublant la construction en longueur le long de l'avenue, en 1962. Cet agrandissement fait disparaître le petit hôtel que le duc de Morny avait fait construire pour lui-même (surnommé plaisamment à l'époque « la niche à Fidèle ») en 1844 et qui s'ouvrait sur les Champs-Élysées.
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Ancien hôtel de Morny.
En respectant le style original de la façade, l'industriel peut ainsi disposer au rez-de-chaussée d'un salon de réception de style Louis XVI de 400 m², de trois étages de bureaux où il installe son magazine Jours de France, et d'une salle de cinéma de 82 places en sous-sol.
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Ancien hôtel de Morny.
Partie de 1890.
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Ancien hôtel de Morny.
A gauche, l'ancienne partie, à droite la nouvelle. On voit la différence par les volets.
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Ancien hôtel de Morny.
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Ancien hôtel de Morny.
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Champs Elysées
Entrée du magasin Abercrombie & Fitch. Le groupe Abercrombie & Fitch ne porte que le nom d'une compagnie fondée en 1892 par David T. Abercrombie et Ezra H. Fitch. En effet, le premier magasin Abercrombie & Fitch vit le jour en 1892 à Manhattan, à New York. Il était spécialisé dans la vente d'articles de randonnée et était réputé pour ses fusils de chasse, ses cannes à pêche et ses tentes, bien loin de l'image actuelle du groupe.
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Champs Elysées
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Champs Elysées
Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
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Champs Elysées
Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
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Champs Elysées
Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
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Hôtel de la Païva
Née à Moscou en 1819, dans une famille de réfugiés juifs polonais, Esther Lachmann a connu une enfance misérable. Mariée à 17 ans à un modeste tailleur français, Antoine Villoing, elle abandonne rapidement enfant et mari, pour faire fortune ailleurs. Son objectif, c’est Paris où elle arrive sous le nom de Thérèse. Jeune et belle, elle attire le regard des hommes… et fait ses débuts de prostituée dans le quartier des Lorettes. Elle devient rapidement l’une des courtisanes les plus en vue du Paris du second Empire.
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Hôtel de la Païva
Son mariage avec le marquis de Païva y Araujo - dont elle se débarrasse promptement - lui vaut un titre de noblesse. Sa liaison avec Guido Henckel von Donnersmarck, richissime propriétaire de mines en Silésie, cousin de Bismarck, lui procure une très confortable fortune et le titre de comtesse. C’est cette fortune qui lui permet de s’offrir sur les Champs-Elysées une demeure qu’elle souhaite aussi ostentatoire que possible, manifestant aux yeux de tous son incroyable réussite.
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Hôtel de la Païva
La Païva fit appel à l'architecte Pierre Manguin pour construire l'hôtel dans le style de la renaissance italienne avec un jardin suspendu. Elle l'inaugura en 1866. Elle y reçut des gens célèbres : les Goncourt, Théophile Gautier, Gambetta, Renan, Taine... En 1882, soupçonnée d'espionnage, elle dut quitter la France et se retirer en Silésie où elle décéda deux ans plus tard. Les portes en bronze sculpté sont de Eugène Legrain.
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Hôtel de la Païva
Vestibule. L'hôtel de la Païva est un hôtel particulier construit entre 1856 et 1865 au 25, avenue des Champs-Élysées par la Païva (Thérèse Lachman, 1819-1884, aventurière russe d'origine polonaise très modeste, devenue marquise portugaise, puis comtesse prussienne). Elle y donnait des fêtes restées célèbres.
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Hôtel de la Païva
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Hôtel de la Païva
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Hôtel de la Païva
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Hôtel de la Païva
En bas de l'escalier, vers le vestibule.
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Hôtel de la Païva
L’escalier d’onyx.
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Hôtel de la Païva
Vers le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. L'architecte Manguin s'est entouré des sculpteurs: Louis-Ernest Barrias, Léon Cugnot, Eugène Delaplanche, Eugène Legrain, Ernest Carrier-Belleuse et Jules Dalou.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Cheminée à la royale, de style renaissance.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. La Païva aurait servi de modèle au sculpteur Delaplanche pour ces allégories de l’Harmonie et de la Musique qui ornent la cheminée en marbre rouge. Le vase est d'inspiration Médicis.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Relief de style XVIIIe, "Amours dansants", de Delaplanche.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Petits Amours, de Dalou.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Les muses, deux paires sont l’œuvre de Jules Dalou et deux autres de Nathan. Erato et Melpomène.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Uranie et Euterpe.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Calliope et Polymnie.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Clio et Thalia.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Le plafond est de Paul Baudry, sa peinture représente « Le Jour pourchassant la Nuit ».
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Le grand salon.
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Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon. Les lambris brun et or comme les portes, sont ornés de lapis-lazuli.
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Hôtel de la Païva
Le grand salon.
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Hôtel de la Païva
Le petit salon de musique.
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Le petit salon de musique.
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Hôtel de la Païva
Le petit salon de musique.
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Le petit salon de musique.
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Le petit salon de musique.
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Le petit salon de musique.
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Le petit salon de musique.
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Le petit salon de musique.
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Hôtel de la Païva
Le petit salon de musique. Vénus sortant du bain, peinture d'Henri Picou.
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Le petit salon de musique.
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Hôtel de la Païva
Vers la salle à manger.
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La salle à manger. Vers le grand salon.
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Hôtel de la Païva
La salle à manger, nouveauté du 19ème siècle.
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La salle à manger.
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Hôtel de la Païva
La salle à manger. Faune à la flûte de Pan de Dalou.
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La salle à manger. Faune à la flûte double de Dalou.
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Hôtel de la Païva
La salle à manger. La Bacchante, et le grand oiseau sont des sculptures de J Dalou.
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La salle à manger. Dessus de cheminée de A. Jacquemart.
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Hôtel de la Païva
La salle à manger. Le plafond à coupole, à l’italienne, c’est « Diane » alanguie avec un cerf, directement issue d’un plat de Bernard Palissy est du jeune Jules Dalou.
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Hôtel de la Païva
La salle à manger. Au dessus des portes, peintes par Gabriel Ranvier, des allégories de la chasse,
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La salle à manger. la pêche,
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La salle à manger. la récolte,
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La salle à manger. les vendanges.
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La salle à manger.
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La salle à manger. Les lambris incrustés de marbre sont d'Antoine Kneib, ébéniste.
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La salle à manger.
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La salle à manger. Plafond du bar.
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La salle à manger. Le bar.
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La salle à manger. Le bar.
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Le salon d'hiver.
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Le salon d'hiver.
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Hôtel de la Païva
A gauche, Néera, une hétaïre du IVe siècle av. J.-C. en Grèce. A droite, Dryas.
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L’escalier d’onyx. Cet escalier en onyx jaune, probablement unique au monde, qui faisait affirmer à Théophile Gautier : « Comme la vertu, le vice a ses degrés »
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx. Amphitrite, bas-relief de Léon Cugnot.
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L’escalier d’onyx. Sous la coupole, quatre villes italiennes peintes par Pierre Bisset.
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L’escalier d’onyx. Statue de Pétrarque de Léon Cugnot.
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L’escalier d’onyx. Statue en marbre représentant Virgile, datée de 1865 et réalisée par Louis-Ernest Barrias.
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L’escalier d’onyx. Statue de Dante, par Jean-Paul Aubé.
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L’escalier d’onyx.
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Hôtel de la Païva
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Le cabinet de toilette mauresque. Murs recouverts de panneaux d’agate, de faïence de Deck et de céramiques de Venise, sol en onyx, plafond à caissons.
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Le cabinet de toilette mauresque.
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Le cabinet de toilette mauresque. Baignoire en argent avec trois robinets, le troisième étant utilisé pour verser du lait ou du champagne.
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Le cabinet de toilette mauresque.
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Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque.
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Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
