Les Invalides, le Pont Alexandre III, le Grand et le Petit Palais.
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Les Invalides.
L’hôtel des Invalides est un monument parisien dont la construction fut ordonnée par Louis XIV par l'édit royal du 24 février 1670, pour abriter les invalides de ses armées. Aujourd'hui, il accueille toujours des invalides, mais également la cathédrale Saint-Louis des Invalides, plusieurs musées et une nécropole militaire avec notamment le tombeau de Napoléon Ier. Cet immense complexe architectural, conçu par Libéral Bruand et Jules Hardouin-Mansart, est un des chefs-d’œuvre les plus importants de l'architecture classique française.
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L’entrée monumentale ou « porte Royale » s’apparente à un arc de triomphe couronné d’un grand fronton circulaire sur lequel est sculpté un Louis XIV équestre entre la Prudence et la Justice par Coustou. Sur le socle, une inscription rappelle le rôle du roi dans la fondation des invalides : Louis le Grand, par munificence royale pour ses soldats et prévoyant pour la suite des temps, a fondé cet édifice en l'an 1675. Sur l'arc, des trophées militaires. A gauche, Arès/mars, à droite, Athéna/Minerve par Coustou. L'agrafe au-dessus de la porte représente Hercule, entouré de la dépouille du lion de Némée. Le tympan est sculpté de l'emblème des rois de France : un écusson à trois fleurs de lys.
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A partir de 1668, le roi Louis XIV décide de créer un grand établissement où seront logés les soldats invalides de ses armées. Il souhaite ainsi assurer leur subsistance et leur tranquillité pour le reste de leurs jours. Le projet retenu est celui de Libéral Bruant (1636-1697) et le site choisi est la plaine de Grenelle. Le parti de l’architecte est un ensemble de cinq cours, centré sur une cour royale. Une église est prévue à l’arrière de la cour royale, côté sud. Par son plan en grille, l’hôtel des Invalides rappelle le palais de l’Escurial, résidence des rois d’Espagne. Les travaux sont menés de 1671 à 1678 dans un style assez sévère.
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Les lucarnes du toit sont traitées en casques de soldats, rappelant ainsi la fonction du bâtiment.
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Entrée Nord., côté cour.
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Vue générale sur la cour d'honneur des Invalides. Ses nombreuses arcades la font ressembler à un cloître. Elle a une longueur de 102 mètres et une largeur de 64 mètres.
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Vue générale sur la cour d'honneur des Invalides.
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Jules Hardouin-Mansart (1646-1708) est un jeune architecte lancé quand Louvois lui demande d'élaborer un projet d'église monumentale pour les Invalides, puisque Bruant, jusqu'ici en charge des travaux de l'Hôtel, n'y parvient pas. Hardouin-Mansart réagit rapidement en adaptant un projet inabouti de chapelle funéraire conçu par son grand-oncle François Mansart pour les Bourbons à Saint-Denis. Hardouin-Mansart s'appuie sur l'existant : la nef conçue par Bruant subsiste, avec son entrée au nord (ici), destinée au culte quotidien des vieux soldats, tandis que le roi dispose, par le sud, d'un accès grandiose qui lui est réservé.
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Les artistes les plus réputés sont engagés et placés sous la direction de Girardon et de Le Brun, puis Hardouin-Mansart impose une nouvelle génération d'artistes : Coysevox, Coustou, de la Fosse, Jouvenet parmi les plus importants. Le programme symbolique présente de multiples variations sur un même thème unitaire : le roi de France tient son pouvoir directement de Dieu. Le roi, lieutenant de Dieu sur terre, a pour mission de défendre la vraie foi, c'est-à-dire la religion catholique. Comme son ancêtre et modèle saint Louis, Louis XIV doit pourchasser l'hérésie.
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Les travaux durent une trentaine d'années, retardés et limités par les contraintes financières causées par les guerres continuelles du royaume. Hardouin-Mansart renonce ainsi, au sud, à compléter l'accès à l'église royale par une grande place en partie cernée par une colonnade en hémicycle.
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Canons français XVIIe-XIXe siècles en bronze Canons classiques français, à parti de 1666.
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Canons français XVIIe-XIXe siècles en bronze. Canons des systèmes Gribeauval et Valée, à partir de 1764. Ils sont moins ornementés que les canons classiques.
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Plaque commémorative aux Invalides à Paris.
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L'entrée de la cour.
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Sculptures et lucarnes sculptées en trophées d’armes décorant la cour d'honneur.
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Entrée de l'église des soldats.
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Entrée de l'église des soldats. La statue de Napoléon Ier au milieu de la galerie du midi est l’œuvre de Charles-Emile Seurre (1798-1858). Placée en 1833 au sommet de la colonne Vendôme, puis après avoir été exposée de 1863 à 1870 au carrefour de Courbevoie, actuelle place de la Défense, elle est transférée ici en 1911. Au-dessus de l'entrée, on voit le toit de l'église des soldats, puis l'église du Dôme.
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Entrée sud, celle pour le roi. Libéral Bruant est écarté par Louvois pour la construction de l’église prévue initialement. L’église Saint-Louis sera l’œuvre de Jules Hardouin-Mansart (1646-1708). Elle comprend deux parties distinctes. - une « église de soldats », relativement austère, réservée aux pensionnaires. C’est une nef à trois vaisseaux terminée par un chœur où est placé le maître-autel. - une « église royale », monumentale par ses proportions. De plan centré, elle est couronnée par une coupole couverte par un dôme. Commencée après 1677, l’église royale sera inaugurée en 1706. Pour compléter la composition, une colonnade en arc de cercle inspirée de la basilique Saint-Pierre de Rome est prévue côté place Vauban. Elle n’a jamais été exécutée. Le plan de l’église royale est une croix grecque inscrite dans un plan carré. L’édifice est couvert d’une terrasse surmontée d’un dôme sur tambour. Chaque façade s’organise autour d’un jeu de colonnes superposées.
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A gauche, statue de Saint Louis par N. Coustou.. Au dessus, deux des quatre vertus cardinales : la force (le bouclier) la justice (la balance),
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A droite, statue de Charlemagne par A. Coysevox. Au dessus, les deux autres vertus cardinales : la tempérance (tranvase un liquide d'un vase dans un autre) et la prudence (serpent et miroir).
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La porte sud du dôme, en bronze, décorée à l'or.
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La porte sud du dôme, en bronze, décorée à l'or.
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La double coupole en pierre de taille édifiée par Hardouin-Mansart est une véritable prouesse technique. Un premier rang de fenêtres éclaire l’intérieur du tambour et la première coupole qui est ouverte à son sommet, tandis qu’un deuxième rang de fenêtres – invisibles à l’intérieur –, pratiqué dans l’attique du dôme, éclaire la deuxième coupole, fermée à son sommet.
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Le dôme est recouvert de trophées dorés. Il est surmonté d’un lanternon et d’une flèche recouverte de feuille d’or. Il culmine à plus de 100m. De forme ovoïde, la coupole est entourée de pots à feu.
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L'église royale. Le plan intérieur a été fortement transformé, entre 1842 et 1853, par le creusement de l'excavation et l'érection du grand autel à baldaquin lié au tombeau de Napoléon. Néanmoins, on perçoit encore l'organisation initiale autour d'un espace central en forme de croix grecque qui délimite quatre chapelles latérales.
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L'église royale. Le plan intérieur a été fortement transformé, entre 1842 et 1853, par le creusement de l'excavation et l'érection du grand autel à baldaquin lié au tombeau de Napoléon. Néanmoins, on perçoit encore l'organisation initiale autour d'un espace central en forme de croix grecque qui délimite quatre chapelles latérales.
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L'église royale. Le plan intérieur a été fortement transformé, entre 1842 et 1853, par le creusement de l'excavation et l'érection du grand autel à baldaquin lié au tombeau de Napoléon. Néanmoins, on perçoit encore l'organisation initiale autour d'un espace central en forme de croix grecque qui délimite quatre chapelles latérales. Avant l'édification de la verrière, en 1873, le choeur était commun aux deux églises ; le souverain et les pensionnaires pouvaient ainsi assister, chacun de leur côté, à une même célébration.
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Le tambour de la coupole est percé de grandes fenêtres au niveau inférieur et de petites fenêtres au niveau supérieur. Ces dernières éclairent la fresque de la coupole. La coupole inférieure (percée en son centre) est découpée en douze quartiers, chacun dédié à un apôtre peint par Jouvenet. Ils forment une sorte de piédestal visuel à l'imposante composition de Charles de La Fosse qui orne la coupole sommitale : "entrant dans la gloire, parmi les anges, saint Louis présente au Christ sa couronne, son épée et son blason". À la base du tambour, une frise fleurdelisée présente douze portraits de rois de France, commençant par Clovis et s'achevant par Louis XIV.
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Sur la photo, en haut, saint Louis présente ses armes au Christ en présence de la Vierge et des anges Saint Louis porte les symboles de la royauté : couronne, blason fleurdelysé et manteau royal. À la droite du Christ, sont déposées les reliques de la Passion : la colonne du Christ aux outrages, la croix, les clous, l’éponge imbibée de vinaigre, la lance et la couronne d’épines. En bas, Dieu et la Vierge sont en-tourés d’anges musiciens.
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Saint Jean.
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Saint Marc.
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Saint Luc.
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Saint Matthieu.
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Réalisé par Louis Visconti (1791-1853), entre 1842 et 1853, l’ensemble est en bronze et marbre. Le maître-autel à baldaquin, présente des colonnes torsadées. Celui-ci remplace celui qui a été détruit pendant la Révolution. Derrière lui, on aperçoit le haut d’une vitre monumentale qui sépare l’église du Dôme, de l’église Saint-Louis.
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Le tombeau de Napoléon 1er en quartzite rouge, entouré de douze statues de femmes en marbre blanc, appelées Victoires.
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Le tombeau renferme cinq cercueils : le premier en fer-blanc, le second en bois d’acajou, les deux suivants en plomb, le 5e en bois d’ébène. Sur ce dernier est gravé le nom : Napoléon. Au sol, une mosaïque polychrome rappelle les principales batailles de l’Empire tandis que douze statues colossales de Victoires sculptées par Pradier sont adossées aux piliers de la crypte. Une galerie circulaire abrite dix bas-reliefs de marbre blanc de Simart, tous consacrés à l’œuvre de Napoléon.
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Tombeau de Joseph-Napoléon Bonaparte, frère ainé de Napoléon, sous l'une des quatre petites coupoles latérales.
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Dôme de la petite coupole, au dessus du tombeau de Joseph-Napoléon Bonaparte.
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A droite, le monument de Turenne.
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Le monument de Turenne. Dans les écoinçons, la Force et la Justice.
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Le monument de Vauban. Dans les écoinçons, la Tempérance et la Prudence.
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Tombeau du maréchal Foch.
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Tombeau du maréchal Foch.
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Dôme de la petite coupole, au dessus du tombeau du maréchal Foch.
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Dôme de la petite coupole, au dessus du tombeau du maréchal Foch.
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Tombeau du maréchal Lyautey.
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Tombeau du maréchal Lyautey.
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Tombeau de Jérôme Napoléon.
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Tombeau du grand maréchal du palais Duroc.
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Tombeau du général Bertrand. Il fut le compagnon de Napoléon à Sainte-Hélène.
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L’accès à la crypte se fait par un escalier menant à une lourde porte de bronze encadrée de deux statues de Duret.
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L’accès à cette crypte se fait par un escalier menant à une lourde porte de bronze encadrée de deux statues de Duret.
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La porte est surmontée de cette inscription tirée du testament de l’Empereur : Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine au milieu de ce peuple français que j’ai tant aimé.
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Le tombeau est réalisé l'architecte Louis Visconti (1791-1853), qui fait réaliser sous le Dôme d'importantes transformations en perçant une immense excavation pour accueillir le tombeau. Le corps de l'Empereur Napoléon Ier, y est déposé le 2 avril 1861. Le tombeau, façonné dans des blocs de quartzite rouge, placé sur un socle de granit vert des Vosges, est cerné d'une couronne de lauriers et d'inscriptions rappelant les grandes victoires de l'Empire.
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Dans la galerie circulaire, une suite de dix bas-reliefs sculptés par Simart figurent les principales actions civiles du règne.
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Le tombeau mesure près de 4 mètres de long et plus de 2 mètres de large.
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Les victoires en marbre blanc sculptées par Pradier.
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Dans la galerie circulaire, une suite de dix bas-reliefs sculptés par Simart figurent les principales actions civiles du règne. Actions dans le domaine des travaux publics.
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Actions pour le commerce et l'industrie.
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La cour des comptes.
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Le code Napoléon.
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La centralisation admistrative, loi du XXVIII pluviose an VIII. Plaque de marbre par Simart.
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Au fond de la crypte, au-dessus de la dalle sous laquelle repose le Roi de Rome, est érigée une statue de l'Empereur en Imperator romain., portant les emblèmes impériaux. Statue de Simart.
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La dalle sous laquelle repose le Roi de Rome.
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En 1676, le jeune architecte Jules Hardouin-Mansart est chargé de construire une église sur le site parisien des Invalides. Dédié au roi Louis IX, canonisé sous le nom de saint Louis, et consacré à la Sainte Trinité, le bâtiment de style classique ouvre ses portes aux pensionnaires dès 1679. Jules Hardouin-Mansart complète cette église des soldats par la chapelle royale ou Dôme, inauguré par Louis XIV en août 1706. Le roi et les soldats peuvent assister aux mêmes messes, mais ils n’entrent pas par les mêmes accès. Le monarque emprunte la riche entrée du Dôme, tandis que les soldats passent par la porte donnant sur la cour d’honneur. Cette dualité de l’église s’est renforcée avec l’édification du tombeau de Napoléon dans le Dôme à partir de 1842, avant de devenir définitive à la suite de la pose, en 1873, d’une verrière entre les deux parties de l’édifice.
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Longtemps siège du vicariat général aux armées, l’église Saint-Louis des Invalides devient officiellement cathédrale du diocèse aux armées françaises en 1986. De ce fait, malgré la séparation des églises et de l’État, la cathédrale arbore l’emblème national entre ses murs. Derrière l'autel, la grande verrière qui sépare les deux églises. On peut donc voir l'arrière de la croix de l'église royale.
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La nef est scandée d'arcades en plein cintre qui la séparent des bas-côtés. Conformément au style classique, les pilastres sont coiffés de chapiteaux corinthiens. Au deuxième niveau de l'élévation, les larges tribunes s'ouvent sur la nef par une suite d'arcades en anse de panier.
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L'orgue de tribune est l'œuvre du facteur du roi, Alexandre Thierry. Il a été construit entre 1679 et 1687, et restauré plusieurs fois depuis. Le buffet date de 1683. Le dessin est de Jules Hardouin-Mansart, la réalisation est due à Germain Pillon. À noter que la première représentation du Requiem de Berlioz a été donnée à l'église Saint-Louis-des-Invalides en 1837. Deux atlantes squpportent le buffet de l'orgue. Dans des médaillons, des chérubins.
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L'ornementation sur la cuve de la chaire à prêcher : hommes, femmes et enfants convergent, de droite et de gauche, vers Jésus. Sur les côtés, deux plaques représentent les quatre évangélistes, groupés deux par deux. Sur le dosseret, les Commandements de Dieu et les commandements de l'Église.
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Stèle en l'honneur de Bon-Adrien Jeannot de Moncey, duc de Conegliano. C'est un général français de la Révolution et un maréchal d'Empire. Il est encore actuellement le seul militaire de la gendarmerie à qui cette dignité a été remise.
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Sous la voûte de l’église des soldats figurent des bannières aux effigies diverses. Ce sont des trophées de guerre, des drapeaux ayant appartenu aux ennemis de la France à travers l’histoire.
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Sous la voûte de l’église des soldats figurent des bannières aux effigies diverses. Ce sont des trophées de guerre, des drapeaux ayant appartenu aux ennemis de la France à travers l’histoire.
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Caveau ou crypte des Gouverneurs. A l'origine, lieu de sépulture des gouverneurs de l'ancien régime, à la demande de Napoléon, le grands chefs militaires français y furent inhumés.
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Caveau ou crypte des Gouverneurs.
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Caveau ou crypte des Gouverneurs.
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Caveau ou crypte des Gouverneurs.
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Caveau ou crypte des Gouverneurs.
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Caveau ou crypte des Gouverneurs.
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L'armure du dauphin a été réalisée pour Henri d’Orléans, devenu roi de France sous le nom d’Henri II de 1547 à 1559. L'armure mesure 1,79 m et pèse 19,7 kg. Ce poids nous indique qu’elle était destinée à un usage militaire. Deux armuriers milanais se sont vraisemblablement partagés sa réalisation : Filippo et Francesco Negroli, spécialisés dans le travail de la damasquinure.
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Rondache. Atelier Français. Vers 1550 A l’entour d’un masque de faune cerné de feuilles d’acanthe, rayonnent six figures de termes,
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Rondache.
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Bourguignotte «Médicis». Atelier Français. Vers 1550. Chaque face du timbre de cette bourguignotte entièrement dorée et d’un exceptionnel travail, représente, enserré entre des cuirs bleuis, le combat des Centaures et des Lapithes. La frise de postes et de cosses de pois agrémentant la crête figure sur l'armure dite d'Henri II du Louvre. Deux portraits attestent que cette pièce remarquable appartenait aux collections des Médicis à la fin du XVIe siècle..
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L'armet (de l’italien elmetto et de l’ancien français helmet, petit heaume), est une armure de tête, un casque fermé qui apparaît au XIVe siècle.
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Le morion est un casque européen en usage aux XVIe et XVIIe siècles, ouvert. Il est caractérisé par sa haute crête.
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En hauteur, le Morion de Charles IX. Pierre Redon, Paris vers 1570.
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Pistolet.
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Masse d'armes.
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Un ensemble équestre pour le roi Érik XIV4 de Suède, dit «armure d'Hercule» Eliseus Ubaerts. Vers 1563-1564 Ensemble commandé par le roi Erik XIV à Eliseus Libaerts mais jamais livré, le bateau transportant l’orfèvre et son œuvre ayant été détourné par les Danois vers Copenhague. Acquis par l’électeur Christian II de Saxe en 1606, il est conservé à Dresde. Son décor se compose de 22 médaillons historiés sur un fond de rinceaux gravés à l’eau-forte et dorés. Ceux de la barde relatent les travaux d’Hercule, ceux de l'armure du cavalier l’histoire de
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Un ensemble équestre pour le roi Érik XIV4 de Suède, dit «armure d'Hercule» Eliseus Ubaerts. Vers 1563-1564.
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Armure de Maximilien II, dite « Armure d’Hercule ». Paris, vers 1555-1560 Son décor repoussé, enrichi de damasquinures précieuses, présente de nombreux points communs avec celui de l’armure dite d’Henri II de New York. Le mythe d’Hercule se déploie parmi les rinceaux peuplés. Bien qu’elle semble issue de l’atelier ayant exécuté les pièces «aux rinceaux» réunies ici et bien que soient conservés, à Philadelphie et à Munich, des projets pour le décor du plastron dessinés par un ornemaniste français, cette armure a été attribuée à Eliseus Libaerts
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Demi-armure dite d'Henri III. ». Atelier Français. Paris (?), vers 1570 Considérée comme un présent offert à l’Empereur Maximilien II par le futur Henri III, au moment de son éphémère royauté polonaise, cette armure illustre l’évolution du décor « aux rinceaux » dans les années 1570. Repoussés en plus fort relief et avec un dessin plus épais, les ornements se déploient librement, indépendamment des articulations ou des différentes pièces constituant le harnois. Les tassettes de cette œuvre ont été
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Armure dite d'Henri II. ». Atelier Français. Vers 1555-1560. Provenant du château de la Wattburg en Thuringe, cette remarquable armure se caractérise par ce décor « aux rinceaux » qui a coexisté, avant de les supplanter, avec les ornements bellifontains «à cuirs et cartouches». Dix-sept des dessins préparatoires à ces motifs sont conservés à Munich.
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Armure dite d'Henri II. ». Atelier Français. Vers 1555-1560. Au thème initial de l’Abondance, s'est substitué celui des rois antiques triomphants repris sur le plastron. De fait, le traitement de cette pièce est moins soigné et plus hésitant que celui de la dossière dont les motifs de grandes dimensions sont repoussés en plus fort relief. Deux petites couronnes
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Armure dite d'Henri II. ». Atelier Français. Vers 1550. Le thème général du décor repoussé et ciselé de cette armure est la rivalité entre César et Pompée, la défaite de ce dernier à Pharsale, sa fuite en Egypte où il est assassiné et l’envoi de sa tête à César. Plusieurs détails de cette ornementation virtuose ont été repris par Etienne Delaune sur des estampes exposées ici. Le décor poli au blanc, sans aucun apport de dori^e, de damasquinure ou de noirci a laissé penser que cette pièce serait restée inachevée après la mort accidentelle d’Henri II. Aucun élément emblématique et sources documentaires précises (il n’a intégré les collections de la Couronne qu’en 1671) ne prouvent cependant l’appartenance de ce harnois au souverain.
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Armure de François 1er et barde complémentaire. Travail de Jôrg Seusenhofer (armurier) et Degen Pirger (graveur). Innsbruck, 1539-1540. Commandée en 1539 par le frère de Charles Quint, futur empereur Ferdinand Ier, à l'armurier Jôrg Seusenhofer d'Innsbruck et à ses compagnons, cette armure devait être offerte en présent diplomatique au roi François Ier dont elle rappelle la haute stature. L'ensemble correspond à un «Doppelküriss» constitué de «pièces de complément» permettant le montage de plusieurs harnois : le «Feldküriss» (harnois de guerre), le «Stechküriss» (harnois de joute), le «Freiturnier» (harnois de tournoi) et le «Plankengestech» (harnois de joute à la barrière) dont plusieurs éléments sont conservés au Leibrüstkammer de Vienne. Considérée comme une œuvre maîtresse de l'atelier d'Innsbruck, l'armure de François Ier se distingue par sa remarquable qualité formelle et par son décor qui repose sur l'utilisation de motifs emblématiques (fleurs de lys) ou ornementaux (rinceaux, grotesques...) gravés, parfois repoussés et dorés. La barde de cheval complémentaire rassemble des éléments de commandes impériales distinctes, en 1547 et 1582.
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Armure de Louis XIV. Travail de Francesco et Giovan Battista da Garbagnate, Brescia, d. 1668. Le présent d’une armure à Louis XIV par la République de Venise procédait d'une intention politique héritée d’une longue tradition : en 1606, Henri IV faisant parvenir une armure aux Vénitiens ; en 1639, le Sénat offrait des armes à feu à Louis XIII. En 1668, l’année du traité d’Aix-la-Chapelle qui met un terme à la guerre de Dévolution marquée par la campagne de Flandre, la République envoie au roi cette armure chargée d’une riche ornementation qui en relate les épisodes victorieux. A cette époque, Brescia, l’un des grands centres spécialisés dans la production armurière, était sur le déclin. La forge de l’armure commandée à Giovan Battista da Garbagnate s’en ressent ; à l’inverse, la gravure réalisée par son frère Francesco est d’une remarquable maîtrise. Le programme iconographique s’ordonne autour du siège de Lille (août 1668), l’évènement marquant de la campagne aux yeux du souverain.
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Un canon avec ces boulets.
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Armure dite de Louis XIII et barde équestre. Travail français, vers 1630-1640. Ensemble de grande qualité ayant deux origines distinctes : l'armure du cavalier et ses pièces complémentaires pour le montage d'un harnois de guerre ont été réalisées, vers 1630, dans le style français ; la barde de cheval et son chanfrein, travail d'un armurier milanais (poinçon ROM ROM), dans le dernier quart du XVe siècle, ont été gravés et dorés postérieurement pour être utilisés avec le harnois de cavalier. L'appartenance de l'armure et de la barde au roi Louis XIII n'est pas attestée par des sources anciennes ; on sait seulement qu'elles furent acquises au siècle dernie
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Armure de cavalier et barde de cheval. Travail de l'Egypte mamelouke, vers 1550. C'est au XIVe siècle, au Proche-Orient semble-t-il, qu'est mis au point ce type d'armure lamellaire associant aux mailles annulaires des plaques de métal plein ; cette construction sera largement utilisée sur les armures ottomanes jusqu'au XVIIIe siècle. Les bardes de cheval complètes réalisées selon cette technique sont rares, outre la pièce présentée ici, citons une quinzaine d'exemplaires répartis entre les musées d'Istanbul, New-York, Florence, Turin, Berne, Dresde... dont la provenance commune pourrait correspondre à l'ancien arsenal de Sainte-Irène à Istanbul partiellement dispersé au XIXe siècle.
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Les Invalides.
Jean Tassel, Le duc d'Enghien reçoit la capitulation de Dunkerque en 1646. École française, vers 1647 Huile sur toile : 2.39 m x 2.85 m Cette grande composition figure la reddition, le 11 octobre 1646, de la place de Dunkerque assiégée par Louis II de Bourbon, duc d'Enghien, qui deviendra la même année prince de Condé. Face au paysage maritime de la ville, le duc d'Enghien équipé à l'antique, reçoit les supplications des anciens sujets du roi Philippe IV d'Espagne. En 1559 lors du traité de Cateau-Cambrésis, la France avait dû céder à l'Espagne la place de Dunkerque dont le retour, sous la régence d'Anne d’Autriche, eut un grand retentissement. Historique : le tableau aurait été peint pour un château situé à proximité de Dijon où le duc d'Enghien, devenu prince de Condé à la mort de son père deux mois plus tard et nommé gouverneur de Bourgogne, fit son entrée triomphale le 24 mars 1647. Cette œuvre magistrale, d'une extrême qualité picturale et beauté esthétique, se distingue par le traitement du sujet qui correspond à un évènement politique déterminant de la période pré-classique. Jean Tassel (Langres, 1608-1667) fut élève de son père Michel Tassel avec lequel il est souvent confondu. En 1643, il voyage à Rome et c'est à l’époque de son retour vers 1647 qu'il réalise ce tableau qui se ressent de l'influence
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Les Invalides.
Plan en relief du fort Saint-Nicolas.
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Les Invalides.
Plan en relief du château d'If.
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Les Invalides.
Néolithique, 8000 av JC. Chalcolithique, 3000 av JC. Age du bronze, 2000 av JC.
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Les Invalides.
Premier âge du fer, 800 av JC.
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Les Invalides.
Second âge du fer, 400 av JC.
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Les Invalides.
Dernier âge du fer.
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Les Invalides.
Les armes des grandes invasions, 400 ap JC.
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Les Invalides.
Indicateur de vitesse "Etévé", 1912, pour les premiers aéroplanes.
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Les Invalides.
Taxis de la Bataille de la Marne.
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Les Invalides.
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Les Invalides.
Objets fabriqués par les soldats, dans les tranchées, à base de balles.
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Les Invalides.
Objets fabriqués par les soldats, dans les tranchées, à base de balles.
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Les Invalides.
Objets fabriqués par les soldats, dans les tranchées, à base de balles.
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Les Invalides.
Moteur rotatif le Rhône, 1916. Pour les avions.
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Les Invalides.
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Les Invalides.
Le débarquement de Provence, 15 août-12 septembre 1944.
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Pont Alexandre III.
Ce pont porte le nom du tsar de Russie Alexandre III (1845-1894). nauguré pour l'Exposition universelle de Paris en 1900, le pont était destiné à symboliser l'amitié franco-russe, instaurée par la signature de l'alliance conclue en 1891 entre l’empereur Alexandre III (1845-1894) et le président de la République française Sadi Carnot. La construction de cet ouvrage d'art fut confiée aux ingénieurs Jean Résal et Amédée Alby, ainsi qu'aux architectes Cassien-Bernard et Gaston Cousin pour la partie décorative.
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Pont Alexandre III.
Deux des quatre pylônes surmontés de renommées en bronze doré. Les proues de galère, les cartouches et la décoration de ces quatre pylônes sont dus au sculpteur Abel Poulin
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Pont Alexandre III.
Une proue de galère.
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Pont Alexandre III.
Rive gauche, aval : Pégase tenu par la Renommée de la Guerre par Léopold Steiner, rive gauche aval. A la base, La France sous Louis XIV (Laurent Marqueste).
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Pont Alexandre III.
Rive gauche, amont : La Renommée au combat, de Pierre Granet. A la base, La France à la Renaissance (Jules Coutan).
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Pont Alexandre III.
La France à la Renaissance (Jules Coutan).
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Pont Alexandre III.
Rive droite, amont : La Renommée des arts, par Emmanuel Frémiet. A la base, La France du Moyen Âge (Alfred-Charles Lenoir)
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Pont Alexandre III.
La Renommée des arts, par Emmanuel Frémiet
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Pont Alexandre III.
Rive droite, aval : La Renommée des sciences, par Emmanuel Frémiet. A la base, La France moderne (Gustave Michel). Les groupes de lions conduits par des enfants aux entrées du pont ont pour auteurs : rive droite, Georges Gardet ; rive gauche, Jules Dalou.
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Pont Alexandre III.
La Renommée des sciences, par Emmanuel Frémiet.
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Pont Alexandre III.
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Pont Alexandre III.
Le pont est illuminé par 32 candélabres en bronze qui ont été réalisés par l'établissement Lacarrière, également connu pour la réalisation du lustre monumental de l'Opéra Garnier.
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Pont Alexandre III.
Les Amours soutenant les quatre lampadaires, d'Henri Désiré Gauquié.
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Pont Alexandre III.
Groupe de la Ronde des Amours par Henri Désiré Gauquié.
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Pont Alexandre III.
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Pont Alexandre III.
Génie au trident par André Massoulle.
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Pont Alexandre III.
Fillette à la conque par Léopold Morice.
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Pont Alexandre III.
Côté amont.
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Pont Alexandre III.
Nymphes de la Neva par Georges Récipon, vec les armes de la Russie.
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Pont Alexandre III.
Revers des Nymphes de la Neva.
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Grand Palais.
Le « Grand Palais des Beaux-Arts » est édifié à Paris à partir de 1897, pour l'exposition universelle prévue du 15 avril au 12 novembre 19001, en lieu et place du vaste mais inconfortable Palais de l'Industrie de 1855. Les architectes Henri Deglane, Albert Louvet, Albert-Félix-Théophile Thomas et Charles Girault ne peuvent être départagés lors du concours et sont choisis pour réaliser une synthèse de leurs propositions respectives et faire œuvre commune.
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Grand Palais.
Georges Récipon, L’Harmonie triomphant de la Discorde, quadrige, côté Seine.
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Grand Palais.
Georges Récipon, L'Immortalité devançant le Temps, côté Champs-Élysées.
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Petit Palais.
Le Petit Palais, construit à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 par l'architecte Charles Girault, abrite le musée des Beaux-Arts de la ville de Paris. Au-dessus de la porte d'entrée : La Ville de Paris protégeant les Arts du sculpteur Jean-Antoine Injalbert avec une femme assise tenant dans son bras gauche un navire symbolisant Paris et entourée par les Muses ; sur la droite, un groupe avec La Seine et ses affluents de Maurice Ferrary ; sur la gauche, le groupe Les Quatre Saisons.
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Petit Palais.
La façade fait près de 150 m de long, centrée par un porche monumental surmonté d'un dôme. Des colonnes ioniques à volutes en diagonales en ornent la face principale ainsi que le péristyle semi-circulaire de la cour intérieure. Le décor est complété par de nombreux bas-reliefs.
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