Parc Montsouris et ses environs, Cité Internationale Universitaire, Parc Georges Brassens, La Ruche de Montparnasse.
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Parc Montsouris.
Gare de Cité universitaire. La ligne B du RER traverse le parc Montsouris. La gare de Cité universitaire, construite en 1930, a remplacé l'ancienne station de Sceaux-Ceinture ouverte le 16 juillet 1867.
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Parc Montsouris.
Statue équestre du Général San Martin par Van Peborgh (1960)
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Parc Montsouris.
Statue de Thomas Paine par S. Borglum (1934). Anglais de naissance, citoyen Français par décret et Américain d'adoption.
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Thomas Paine, né le 29 janvier 1737 à Thetford en Grande-Bretagne et mort le 8 juin 1809 à New York aux États-Unis, est un intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire britannique, américain et français. Il est connu pour son engagement durant la révolution américaine en faveur de l'indépendance des treize colonies britanniques en Amérique du Nord. Il a exposé ses positions dans un célèbre pamphlet intitulé Le Sens commun, publié quelques mois avant la signature de la Déclaration d’indépendance américaine en 1776.
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Parc Montsouris.
Ses écrits, parmi lesquels figure Rights of Man (1791), ont également exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre Le Siècle de la raison (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme et milite en faveur du déisme. Dans Agrarian Justice (1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de revenu de base ou universel, proche du revenu minimum. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt en 1809 à 72 ans.
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Parc Montsouris.
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Parc Montsouris.
Avant d'être un parc, la plaine Montsouris était occupée par les carrières de Montrouge. Une partie de celles-ci a été utilisée pour recevoir les ossements des nombreux cimetières réformés par les grands travaux parisiens. Une nécropole, les « catacombes » rassemble de ce fait près de 6 millions d'âmes. Ce passé avait laissé des traces, et les concepteurs durent faire face à un sous-sol labyrinthique et à la présence de deux voies ferrées. La guerre de 1870 avec la Prusse compliqua la situation. Le parc fut achevé malgré tout en 1878. Créé sous l'impulsion de Napoléon III, le projet fut confié au baron Haussmann. L'empereur voulait alors doter d'un espace vert chacun des points cardinaux de Paris, ce qu'il réalisa, mais après la chute du second Empire. C'est à l'ingénieur Alphand que fut confié ce vaste projet qui donna naissance à un jardin à l'anglaise de 15 hectares et de 1,5 km de circonférence.
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Parc Montsouris.
les Carriers ou Accident de la mine par Henri Bouchard (1900).
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Parc Montsouris.
Maison de Jean Perzel, fabricant de Luminaires d'art, par Michel Roux-Spitz en 1930, premier grand prix de Rome. Jean Mermoz y a habité.
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Parc Montsouris.
Le nom de Montsouris serait issu de « Moque Souris ». Il évoque des temps anciens, où les moulins de la Bièvre périclitaient et où les lieux n'étaient plus habités que par des rongeurs.
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Parc Montsouris.
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Parc Montsouris.
La ligne de Petite Ceinture, voie de chemin de fer, fermée au service régulier des trains de voyageurs depuis 1934, passe par le parc Montsouris. C'est d'abord une tranchée de 150 mètres qui sort du tunnel passant sous la rue Gazan. Puis la voie emprunte un tunnel d'un kilomètre est-ouest qui passe sous le parc. Ce tunnel abrite une colonie de chauve-souris.
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Kiosque à musique.
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Les Naufragés, marbre par Antoine Étex (1859).
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Le pavillon Montsouris. Ce restaurant, créé en 1889 sous la dénomination Pavillon du Lac, habillé d'une verrière en 1930, a reçu de prestigieux clients tels que Lénine et Trotsky, Beauvoir et Sartre, Jouvet et Carné, etc.
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Le pavillon Montsouris.
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Parc Montsouris.
Etendu sur 16 hectares et dessiné par Alphand, le parc commencé en 1867 et terminé en 1878, a coûté la somme considérable pour l'époque de 1 750 000 francs : il avait fallu combler quatre carrières pour stabiliser le terrain. Le lac artificiel de près d’un hectare se vida à la surprise générale le jour de l’inauguration, par suite d’une erreur de construction, et son auteur, dit-on, se suicida.
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Parc Montsouris.
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Parc Montsouris.
Cygne noir.
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Sophora Japonica.
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Premier frisson par René Baucour (1921).
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La Mort du lion, par Edmond Desca.
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Parc Montsouris.
Colonne de la Paix Armée par Jules Coutan (1887).
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Colonne de la Paix Armée par Jules Coutan (1887).
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Parc Montsouris.
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Parc Montsouris.
Monument à la mémoire de la mission Flatters. Avec 39 personnes, Paul Flatters part de Ouargla, le 5 mars 1880 dans la perspective d'étudier la possibilité de créer une nouvelle route commerciale avec l'établissement d'une ligne de chemin de fer transsaharien entre l'Algérie et le Niger. Il descend alors vers le Sud, mais un manque de vivres et les menaces des populations le contraignent à rebrousser chemin
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Parc Montsouris.
Monument à la mémoire de la mission Flatters. Malgré les menaces proférées par l'amenokal touareg Ahitarel ag Mohamed Biska2, qui refuse catégoriquement le passage d'une troupe armée sur son domaine, Flatters décide de repartir. Le 4 décembre, il reprend la route du Sahara pour une seconde expédition de 93 hommes dont sept membres scientifiques et militaire. Pendant deux mois, la colonne progresse sans difficulté majeure vers le Hoggar. Leur chemin s'arrête à Bir el-Garama, où la mission subit l'attaque des Touaregs Hoggar et Ajjers. Tous les Français trouvent la mort. Seuls une vingtaine d'indigènes arrivent à regagner Ouargla.
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Drame au désert, par Georges Gardet (1891).
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Drame au désert, par Georges Gardet (1891).
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Drame au désert, par Georges Gardet (1891).
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Cèdre du Liban.
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La colonne de la station météorologique.
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La mire du Sud (du méridien de Paris). Le méridien de Paris traverse le parc Montsouris. Une stèle, mire sud du méridien de Paris, matérialise approximativement son emplacement. Achevée en 1806, cette œuvre de Vaudoyer, haute de quatre mètres, est appelée la « mire du Sud », ou « mire de l'Observatoire », car elle était placée à l'origine dans le jardin de l'Observatoire de Paris.
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Parc Montsouris.
La mire du Sud (du méridien de Paris). Sur la stèle, désormais classée, on peut lire l'inscription suivante : « DU REGNE DE… [le nom de Napoléon a été gratté] MIRE DE L'OBSERVATOIRE - MDCCCVI » Une mire du Nord est située à Montmartre, dans le parc privé du moulin de la Galette.
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Parc Montsouris.
Pour la célébration du bicentenaire de la naissance de François Arago, Jan Dibbets remporte le concours de l'Hommage à Arago. Entre 1989 et 1994, cent trente-cinq médaillons sont placés le long du méridien de Paris par l'artiste, dont neuf dans le parc entre l'avenue Reille et le boulevard Jourdan.
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Parc Montsouris.
Façade côté parc de l'ancien pavillon de l'administration de l'Observatoire du bureau des Longitudes et de la Marine, siège de l'Association française d'astronomie (AFA) depuis 1983.
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Près du Parc Montsouris.
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Près du Parc Montsouris.
Hôtel style Art Déco
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Près du Parc Montsouris.
Hôtel style Art Déco
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Près du Parc Montsouris.
Pavillon style régionaliste normand
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Près du Parc Montsouris.
Style italien. Maison du romancier populaire Michel Morphy (les mystères de la pornographie cléricale en 1884, une nuit de noces en 1886, première nuit de noces en 1898). Architecte Pierre Humbert.
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Près du Parc Montsouris.
Style italien. Maison du romancier populaire Michel Morphy (les mystères de la pornographie cléricale en 1884, une nuit de noces en 1886, première nuit de noces en 1898). Architecte Pierre Humbert.
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Près du Parc Montsouris.
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Près du Parc Montsouris.
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Près du Parc Montsouris.
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Près du Parc Montsouris.
Atelier de Georges Braque. Architecte Auguste Perret, 1927.
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Près du Parc Montsouris.
Maison de Raymond Fischer, atelier du peintre chinois Oui. Villa Kroyer Kielberg.
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Près du Parc Montsouris.
Maison de Raymond Fischer, atelier du peintre chinois Oui. Villa Kroyer Kielberg.
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Près du Parc Montsouris.
Maison bâtie par l'architecte André Lurçat pour le peintre zurichois Walter Guggenbülh
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Près du Parc Montsouris.
Maison d'Auguste Perret pour Pierre Gault.
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Près du Parc Montsouris.
Maison d'Auguste Perret pour Pierre Gault.
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Rue du parc Montsouris.
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Près du Parc Montsouris.
Architecte G. Buisson.
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Près du Parc Montsouris.
Villa atelier du peintre Ozenfant, première maison de son ami Le Corbusier, avec les fenêtres en bardeau, ce qui donne un plan libre et ce qui nécessite des piliers. A côté, maison de Jean Delechette, 1925.
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Près du Parc Montsouris.
Villa atelier du peintre Ozenfant, première maison de son ami Le Corbusier, avec les fenêtres en bardeau, ce qui donne un plan libre et ce qui nécessite des piliers..
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Près du Parc Montsouris.
Villa atelier du peintre Ozenfant, première maison de son ami Le Corbusier, avec les fenêtres en bardeau, ce qui donne un plan libre et ce qui nécessite des piliers..
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Réservoir d'eau de Montsouris.
Le réservoir de Montsouris fut construit au XIXe siècle par l’ingé-nieur Eugène Belgrand, sur l’un des plus hauts points du sud de Paris, pour y accueillir les eaux souterraines captées dans la région de Sens (89) et acheminées alors par l’aqueduc de la Vanne sur plus de 150 km. Commencés en 1869, les travaux ne seront achevés que 5 ans plus tard, en 1874, suite aux troubles de la Commune et à la guerre contre la Prusse. Autrefois appelé réservoir « de la Vanne » puis « de Montrouge », le réservoir de Montsouris fut longtemps la plus grande réserve d’eau potable de la capitale, voire du monde. D’une surface de 60 000 m², ses deux étages superposés ont offert dès l’origine une capacité maximale de stockage de plus de 200 000 m³ d’eau. Pavillons construits en 1900 par l'ingénieur Baratte.
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Réservoir d'eau de Montsouris.
140 ans plus tard, le réservoir de Montsouris pourvoit toujours à la consommation des Parisiens. Dans le lanternon principal convergent aujourd’hui non plus les eaux souterraines conduites par l’aqueduc de la Vanne, mais celles de l’aqueduc du Loing, acheminées sur plus de 100 km. Tout au long de son trajet, l’eau circule de façon gravitaire. Protégée de l’air, elle conserve ainsi la température initiale de sa source.L’édifice, composé de 2 étages, comprend 4 compartiments de 254 m de longueur sur 127 m de largeur chacun. Il comporte au total 1 800 piliers permettant de soutenir une multitude de voûtes et d’arcades sur les deux niveaux du réservoir.
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Réservoir d'eau de Montsouris.
Vue du lanternon principal d’arrivée des eaux au réservoir de Montsouris. Il possède deux bâches qui accueillent aujourd’hui l’eau acheminée par l’aqueduc du Loing, du Lunain et de la Voulzie. Cette eau jaillit depuis des canali-sations verticales, nommées tulipes, avant d’être dirigée vers les différents comparti-ments du réservoir
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Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants Arméniens. En 1927, le diplomate et philanthrope arménien Boghos NUBAR (1851-1930) a fait une donation de trois millions de francs à la Cité internationale pour financer l’édification d’un pavillon arménien. a Maison des Étudiants Arméniens ou Fondation Marie NUBAR – a été inaugurée le 16 décembre 1930, six mois après la mort de son fondateur.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants Arméniens. Le bâtiment est l’œuvre de l’architecte Léon NAFILYAN, installé à Paris dans les années 1920. Il a conçu le projet dans un style qui perpétue les traditions architecturales arméniennes en empruntant à l’architecture religieuse les principales caractéristiques du décor sculpté qui orne les façades du pavillon. Haut de six étages, cet élégant bâtiment se caractérise par un grand luxe décoratif.
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Cité internationale universitaire de Paris.
> Maison des Étudiants Arméniens. L'idée de la Cité internationale universitaire de Paris germe dans l'esprit de ses fondateurs - André Honnorat, ministre de l'Instruction Publique et Paul Appell, recteur de Paris - à la fois en réaction au traumatisme de la Première Guerre mondiale et comme une réponse à la crise du logement (notamment estudiantine) qui sévit à Paris à cette époque. Le terrain choisi pour la réalisation du projet se situe au sud de la capitale, sur la ceinture des fortifications de Thiers édifiées en 1845. « Leur déclassement, voté en 1919, doit permettre l’extension de la ville : lotissement de l’emprise du rempart et aménagement d’une ceinture d’espaces verts autour de la ville (parcs, jardins, terrains de sport, etc.). Après de longues tractations, une convention est finalement signée en 1921. La première résidence pour étudiants ouvre ses portes en 1925 grâce à Émile Deutsch de la Meurthe, homme d’affaires lorrain à la tête des Pétroles Jupiter. Industriel philanthrope, celui-ci avait exprimé son intention de construire des « hameaux-jardins » permettant d’accueillir 350 étudiants méritants mais peu fortunés dans des « logements salubres et aérés encadrés de verdure ». En faisant don de 10 millions de francs-or, Émile Deutsch de la Meurthe devient ainsi le premier mécène de la Cité.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Le Collège néerlandais est considéré comme l’un des chefs d’œuvre de la Cité internationale. C’est la seule oeuvre en France de Willem Marinus DUDOK, l’un des architectes les plus éminents de l’école hollandaise de l’entre deux guerres. Sa forme orthogonale, son imbrication de volumes géométriques et son dépouillement décoratif en font un témoignage majeur du courant architectural moderniste des années 1920. Quelques éléments d’architecture renvoient pourtant à la culture nationale néerlandaise. Ainsi, la tour d’angle évoque les beffrois médiévaux des villes du nord des Pays Bas.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Rosa Abreu de Grancher. Elle a été ouverte en 1933 pour loger les étudiants cubains à Paris. Elle a vu le jour grâce à une donation de Pierre Sanchez Abreu et de sa sœur Rosalia. La Fondation porte le nom de leur tante, Rosa ABREU, d’origine cubaine, et de son défunt mari, le professeur français Jacques-Joseph Grancher, qui travailla avec Louis Pasteur sur le vaccin antirabique.
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Fondation Rosa Abreu de Grancher. Les travaux de construction de la Fondation Rosa Abreu de Grancher ont été lancés en 1930. C’est l’architecte Albert Laprade, co-auteur de la Résidence Lucien PAYE et futur créateur du musée des Arts d’Afrique et d’Océanie à Paris, qui fut chargé du projet. Il s’est inspiré de la cathédrale de La Havane pour bâtir un élégant édifice de style colonial espagnol.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. En 1930, une Maison de l’Indochine a ouvert ses portes à la Cité internationale. Elle avait été créée à l’initiative d’un comité composé en majorité d’industriels français installés en Asie du Sud-Est, présidée par Raphaël Fontaine. Deux architectes, Pierre MARTIN et Maurice VIEU, ont conçu le bâtiment, qui abritait à l’origine 100 chambres. Ils se sont inspirés de la tradition architecturale indochinoise, comme le montrent les larges débords des toitures ou encore les angles des toits relevés en “bec de tourterelle”.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. une fresque restaurée du peintre vietnamien LÊ PHÔ (1929) est installée dans le hall d’accueil de la maison.
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Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. La bibliothèque. Le rouge est la couleur du bonheur.
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Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
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Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
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Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
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Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
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Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
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Maison des provinces de France. Les premiers dons en faveur de la création de la Maison des Provinces de France sont dus à l’américain Murry GUGGENHEIM et à un citoyen anonyme de Mulhouse. Tous deux souhaitaient édifier au sein de la Cité internationale une fondation destinée aux étudiants d’origine alsacienne redevenus français en 1918.
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Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des provinces de France. La Maison des Provinces de France a été signée par l’architecte en chef du Château de Versailles, Armand GUERITTE. Malgré le nombre élevé de chambres du pavillon, il a su éviter « l’effet caserne » en concevant un élégant – et imposant – bâtiment de briques. Construite en « U », la maison est agrémentée de deux arcades et d’une façade couronnée des 36 écussons des Provinces de France. A gauche, la Savoie et l'Artois. Au centre, la Bourgogne, le Languedoc, le Roussillon et la Champagne. A droite, le Dauphiné.
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