Notre-Dame.
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Notre-Dame-de-Paris.
La façade a été commencée sous l’épiscopat d’Eudes de Sully à partir de 1200 par le troisième architecte et poursuivie sous ses successeurs, notamment Guillaume d’Auvergne, après 1220 par le quatrième. La tour Nord est achevée en 1240 et celle du Sud en 1250.
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Notre-Dame-de-Paris.
Sur cette façade, 28 statues représentent les rois de Juda et d’israël, ancêtres du Christ. Au-dessus de ces personnages, de part et d’autres de la façade, on trouve les statues d’Adam et Eve. Ces statues ont été refaites par Viollet-le-Duc au XIXe siècle.
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Notre-Dame-de-Paris.
La rose, large de 9,60 m, la plus grande à l'époque (1220-1225), est flanquée de doubles fenêtres. Une belle galerie à jour faite d'arcatures relie les deux tours qui n'ont pas reçues les flèches prévues.
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Notre-Dame-de-Paris.
Au centre, une grande rose, dont le diamètre mesure presque 10 mètres, forme une auréole à la statue de la Vierge Marie qui est encadrée par deux anges et nous présente son enfant, Jésus, le Fils de Dieu.
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Notre-Dame-de-Paris.
La tour sud, à gauche, abrite le bourdon Emmanuel de 13 tonnes, de 1686 et épargné par la révolution. Un nouveau bourdon, Marie, lui a été adjoint, afin de l'économiser. Sa réalisation a été confiée à la fonderie Royal Rijsbouts, à Asten aux Pays-Bas en 2013. Dans la tour nord, depuis le 23 mars 2013, pour les 850 ans de Notre Dame, huit nouvelles cloches se font entendre. Elles ont été fondues par l'entreprise Cornille-Havard à Villedie-les-Poêles.
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Notre-Dame-de-Paris.
Les trois grands portails ne sont pas tout à fait identiques. Le portail central, appelé portail du Jugement, est plus élevé et plus large que les deux autres, le portail Sainte-Anne (à droite ou au Sud) et le portail de la Vierge (à gauche ou au Nord). Celui-ci est surmonté d’un gâble triangulaire. Sur les piliers, à gauche, statue de saint Etienne, puis allégories de l'Eglise et de la Synagogue, et à droite, statue de st Denis.
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Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Statue de saint Etienne.
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Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Allégorie de l'Eglise.
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Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Allégorie de la Synagogue.
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Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Statue de st Denis.
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Le portail de la Vierge.
Porte en bois aux ferrures de fer forgé du XIIIe siècle.
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Le portail de la Vierge.
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Le portail de la Vierge.
Il retrace, selon la tradition de l’Eglise, la mort de Marie, sa montée au Paradis et son couronnement en tant que reine du Ciel. A droite, allégorie de l'Egise.
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Le portail de la Vierge.
A gauche, l’empereur Constantin, un ange, Saint Denis portant sa tête et encore un ange. Les piédroits des deux portes sont consacrés à la vie des hommes. On peut distinguer à gauche et à droite, d’une part les signes du Zodiaque représentant les douze mois de l’année, d’autre part les travaux des mois. Sur le trumeau central figurent à gauche les saisons, à droite les âges de la vie.
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Le portail de la Vierge.
Aux piédroits et aux faces latérales du trumeau, petits bas-reliefs représentant les travaux des mois chez le pauvre et chez le riche.
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Le portail de la Vierge.
Au trumeau, la Vierge à l’Enfant. La partie inférieure du trumeau, sous les pieds de la Vierge est ornée d’un superbe bas-relief en trois séquences représentant le passage d’Adam et Ève au jardin d’Éden ou paradis terrestre, et la tentation d’Adam suivie du péché originel. La seconde partie du bas-relief représente le péché originel. Le couple se trouve aux pieds de l’arbre de la connaissance du bien et du mal aux fruits défendus. Le diable a la forme d’une femme séduisante munie d’une longue queue de serpent. Il s’agit en fait de Lilith, personnage biblique absente de la bible canonique, mais présente dans les écrits rabbiniques du Talmud de Babylone.
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Le portail de la Vierge.
Au trumeau, la Vierge à l’Enfant. La dernière scène de ce bas-relief représente l’expulsion des premiers hommes hors du jardin d’Éden. Il s'agit du mythe expliquant le passage de la Nature à la Culture, (selon Lévy-Strauss) l'Homme quittant là le statut animal. Dieu avait averti le serpent que la femme serait dorénavant sa pire ennemie et lui écraserait la tête. Le fait d’avoir précisément placé cette scène sous les pieds de la Vierge Marie, elle qui réhabilite totalement la femme et est nommée "nouvelle Eve, est hautement symbolique.
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Le portail de la Vierge.
A droite, Saint Jean-Baptiste, Saint-Etienne, Sainte Geneviève et le Pape Saint Sylvestre. Saint Denis et Sainte Geneviève sont avec Saint Marcel les saints patrons de Paris. Aux piédroits et aux faces latérales du trumeau, petits bas-reliefs représentant les travaux des mois chez le pauvre et chez le riche.
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Le portail de la Vierge.
A droite, Saint Jean-Baptiste, Saint-Etienne, Sainte Geneviève et le Pape Saint Sylvestre. Saint Denis et Sainte Geneviève sont avec Saint Marcel les saints patrons de Paris.
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Le portail de la Vierge.
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Le portail de la Vierge.
En bas, à gauche,les trois prophètes qui ont annoncé son destin glorieux et, à droite, les rois dont elle descend. Au-dessus, la Vierge Marie est représentée dans son dernier sommeil :au cours de sa dormition, en présence du Christ et des apôtres, elle a été enlevée au ciel. Au-dessus encore, un ange couronne Marie tandis que le Christ, assis sur le même trône que sa mère, lui tend un sceptre. Dans la partie inférieure, au-dessus du trumeau, nous distinguons sous un dais représentant la Jérusalem Céleste un grand coffre : c’est l’Arche d’Alliance dont le contenu matérialisait autrefois la promesse faite par Dieu à son peuple.
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Portail du Jugement Dernier.
Le Portail du Jugement représente le Jugement Dernier tel qu’il est écrit dans l’Evangile de Saint Matthieu.
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Portail du Jugement Dernier.
De chaque coté, les statues des douze apôtres. A gauche, Barthélemy, Simon, Jacques le Mineur, André, Jean et Pierre. Au pied des douze apôtres, des médaillons représentant les vertus et les vices qui leur sont opposés. .
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Portail du Jugement Dernier.
De chaque coté, les statues des douze apôtres. A gauche, Barthélemy, Simon, Jacques le Mineur, André, Jean et Pierre. Au pied des douze apôtres, des médaillons représentant les vertus et les vices qui leur sont opposés.
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Portail du Jugement Dernier.
Le Christ est placé entre les deux portes sur un pilier central que l’on appelle le trumeau. C'est une des œuvres les plus remarquables d’Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume. À l’arrière, sur les portes, les pentures et leurs arabesques, sont une fort belle restitution du XIXe siècle.
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Portail du Jugement Dernier.
A droite, Paul, Jacques le Majeur, Thomas, Philippe, Jude et Matthieu
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Portail du Jugement Dernier.
A droite, Paul, Jacques le Majeur, Thomas, Philippe, Jude et Matthieu. Aux piédroits sous les grandes statues, deux rangées de bas-reliefs représentent les Vertus et les Vices.
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Portail du Jugement Dernier.
Représentation de l’enfer au bas des voussures de droite : remarquez sur la cinquième voussure le diable couronné et grassouillet écrasant trois damnés : un riche, un évêque et un roi.
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Portail du Jugement Dernier.
Au linteau inférieur, les morts ressuscitent et sortent de leur tombe. Juste au-dessus, au linteau supérieur, l’archange Michel pèse leur âme et, suivant la vie qu’ils ont menée sur la terre et l’amour qu’ils ont manifesté envers Dieu et les hommes, les élus sont conduits à gauche vers le Paradis (à la droite du Christ) tandis que les damnés sont menés par un diable vers l’enfer à droite. Cependant le Christ au tympan, majestueusement assis sur son trône de gloire, montre les plaies de ses mains et de son flanc tandis que les deux anges qui l’entourent portent respectueusement les instruments de la Passion : celui de gauche la lance et les clous de la Croix, celui de droite la Croix elle-même. De chaque coté, Marie et Jean l’Evangéliste sont placés ici comme au pied de la Croix le jour de sa Crucifixion.
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Portail du Jugement Dernier.
Au-dessus, comme dans les autres portails, les voussures sont occupées par la cour céleste (anges, patriarches, prophètes, docteurs de l’Eglise, martyrs et vierges) et l’on peut remarquer la place très réduite prise sur l’enfer tout à fait à droite. A gauche, en bas de la deuxième voussure, Abraham tenant des âmes dans un repli de son manteau.
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Portail sainte Anne.
Son tympan est le remploi d’un tympan précédent fait une cinquantaine d’années plus tôt pour la cathédrale précédente (l’ancienne cathédrale Saint-Etienne). Dans les niches, les deux statues sont, à droite, saint Denis et à gauche, la Synagogue.
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Portail sainte Anne.
A gauche, Élie, la veuve de Sarepta, Salomon et saint Pierre.
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Portail sainte Anne.
A gauche, Élie, la veuve de Sarepta, Salomon et saint Pierre.
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Portail sainte Anne.
Au trumeau, Saint Marcel, évêque de Paris au Ve siècle, qui écrase un dragon symbolisant les fléaux dont son diocèse était alors affligé.
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Portail sainte Anne.
A droite, Saint Paul, le roi David, la sibylle (Les sibylles, « prophètes » du Christ) et Isaïe.
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Portail sainte Anne.
A droite, Saint Paul, le roi David, la sibylle (Les sibylles, « prophètes » du Christ) et Isaïe.
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Portail sainte Anne.
Sous un dais et sur un trône, une Vierge à l’Enfant encore de style roman, porte une couronne et un sceptre et serre sur ses genoux son fils qui tient le Livre de la Loi. Elle nous regarde et nous montre l’Enfant qui nous bénit. De part et d’autre du trône se trouvent un ange puis à gauche un évêque de Paris et peut-être son trésorier, à droite un roi de France. L’évêque pourrait être Saint Germain et le roi Childebert, mais aucun de ces trois derniers personnages n’a pu être identifié avec certitude. Le mariage de Joachim et d’Anne et celui de Marie et de Joseph sont représentés dans le linteau inférieur, tandis qu’au linteau supérieur figurent les scènes de la venue sur terre du Christ, allant de l’Annonciation jusqu’à l’Epiphanie.
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Façade nord.
Les gigantesques arcs-boutants, dotés de longues gargouilles grimaçantes et appuyés sur de massives culées, montrent clairement que la cathédrale est aussi une lourde et impressionnante construction de pierre.
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Façade nord.
Les gargouilles de Notre-Dame ont été mises en place à l’extrémité des gouttières pour évacuer l’eau de pluie de la toiture et ne désignent que les extrémités des conduits d’écoulement des eaux. Elles ont souvent la forme d’animaux fantastiques, voire effrayants. Elles datent du Moyen Âge.
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Façade nord.
La tour Nord.
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Façade nord.
Elle est divisée en trois étages, en léger retrait les uns par rapport aux autres. Le niveau inférieur est celui du portail surmonté de son grand gable. Le niveau moyen est constitué d’une gigantesque verrière comprenant l’impressionnante rosace, merveille du XIIIe siècle, surmontant une claire-voie. Enfin l’étage supérieur est celui du pignon triangulaire masquant l’extrémité des combles du bras nord du transept.
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Façade nord.
Le portail du Cloître se situe au niveau du bras nord du transept, et a été construit vers 1250 par l’architecte Jean de Chelles. Les six grandes statues des piédroits détruites à la Révolution n’ont pas été reconstituées au XIXe siècle, lors de la grande restauration menée par Eugène Viollet-le-Duc.
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Façade nord.
La partie inférieure du tympan, le linteau, représente des scènes de l’enfance du Christ. Ces sculptures sont parmi les plus belles œuvres sculptées sur ce thème. Elles montrent le rôle de Marie dès l’enfance de Jésus. Les quatre scènes représentées sont la naissance de Jésus dans une humble crèche, l’offrande au temple de Jérusalem après la naissance de Jésus, la persécution des enfants par le roi Hérode et la fuite en Égypte de Joseph et Marie pour protéger l’Enfant. La partie supérieure du tympan présente le très populaire Miracle de Théophile, un des « Miracles de la Vierge » dont le Moyen Âge tardif était friand. Théophile, clerc de l’évêque d’Adana en Asie Mineure, était jaloux de ce dernier. Pour le supplanter, il vend son âme au diable. Le pacte est consigné sur un parchemin que ce dernier emporte. Avec l’aide du diable, Théophile parvient à humilier son évêque. Mais il se repent et, ne sachant comment sortir de la situation où il s’est mis, il implore la Vierge. Celle-ci menace le diable et le force ainsi à remettre le parchemin.
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Façade nord.
Au trumeau du portail, une statue de la Vierge sans enfant. Cette statue a pu échapper à la destruction en 1793, mais l’enfant Jésus qu’elle portait a été brisé. On dit que c’est l’épouse de saint Louis, Marguerite de Provence, qui aurait servi de modèle au sculpteur.
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Façade nord.
Le maître d’œuvre Pierre de Montreuil construisit cette petite porte sans trumeau, appelée pour des raisons évidentes « le portail rouge », vers 1270. Elle avait été commandée par Louis IX. Cette porte était réservée aux chanoines du chapitre, pour améliorer leur circulation entre Notre-Dame et l’« Enclos Cannonial », quartier de l’Île de la Cité réservé aux demeures des chanoines et situé au nord-est de la cathédrale entre le fleuve et cette dernière.
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Façade nord.
Saint-Louis est représenté sur le tympan à gauche de la Vierge, couronnée par un ange. L’épouse de Saint-Louis Marguerite de Provence, se trouve à droite du Christ. Aux voussures entourant le tympan on peut voir des scènes de la vie de saint Marcel, évêque de Paris.
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La flèche.
Une première flèche fut construite au-dessus de la croisée du transept vers 1250. C’était un clocher qui a comporté au XVIIe siècle jusqu’à cinq cloches. Elle fut démontée de 1786 à 1792. En 1860, Viollet-le-Duc charge le charpentier Bellu de mettre en place une seconde flèche. Lle coq situé au sommet de la flèche contient trois reliques : une parcelle de la Sainte Couronne d’épines, une relique de saint Denis et une de sainte Geneviève.
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Les douze apôtres.
La flèche est gardée par les statues, réalisées en cuivre repoussé, des 12 apôtres (disposées en quatre rangées — une à chacun des points cardinaux — de trois apôtres, ceux-ci étant placés les uns en dessous des autres). Chaque groupe d’apôtres est précédé par un animal symbolisant l’un des quatre évangélistes. Le bœuf pour Luc. Le 3ème, St Philippe.
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Les douze apôtres.
L’homme (ou l’ange) pour Mathieu, St Pierre, St Jean et St André.
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Les douze apôtres.
L’aigle pour Jean. Jacques le Majeur, , St Thomas. Saint Thomas est représenté sous les traits de Viollet-le-Duc. Le visage tourné vers le ciel, il semble contempler son œuvre. Il tient dans sa main droite une règle sur laquelle il signe son œuvre.
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Les douze apôtres.
et le lion pour Marc (absent). Ces statues sont l’œuvre de Geoffroi-Dechaume, et constituent un remarquable ensemble en pleine harmonie avec l’esprit du XIIIe siècle. Le 2ème, St Paul.
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Façade nord.
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Façade nord.
La Mort de Marie.
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Façade nord.
L'Ensevelissement de la Vierge.
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Façade nord.
L'Assomption de la Vierge.
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Façade nord.
La Glorification de la Vierge.
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Façade nord.
Le Couronnement de Marie.
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Façade nord.
Les deux derniers sont un Jugement Dernier avec Marie intercédant auprès du Christ,
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Façade nord.
et une représentation du miracle de Théophile.
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Les cloches de Notre-Dame de Paris.
D'avant la période révolutionnaire, il ne subsiste qu'une seule cloche, le bourdon Emmanuel fondu en 1686 par Florentin Le Gay, toujours en place dans la tour sud. Lors de la grande restauration de la cathédrale au milieu du XIXe siècle, quatre cloches nouvelles furent bénites en 1856, réalisées par la fonderie Guillaume et Besson à Angers. pour marquer le 850e Anniversaire de la cathédrale en 2013 l'élaboration d'une nouvelle sonnerie composée de neuf nouvelles cloches maintenant en place dans les tours nord et sud, en complément du bourdon Emmanuel. Les quatre cloches de 1856, qui ont sonné toutes les grandes heures de la cathédrale et de l'histoire de France aux XIXe et XXe siècles, dont la libération de Paris en 1944, ont donc été déposées et sont présentées ici.
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Les cloches de Notre-Dame de Paris.
Denise-David. Poids 1047 kg
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Les cloches de Notre-Dame de Paris.
Hyacinthe-Jeanne. Poids 1245 kg
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Les cloches de Notre-Dame de Paris.
Angélique Françoise. Poids 2490 . Il manque la troisième, Antoinette-Charlotte. Poids 1761 kg.
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Chevet de la cathédrale.
Le chevet est constitué par un demi-cercle situé dans la partie la plus à l’est de la cathédrale. Il correspond à l’abside de l’intérieur de l’édifice. Le chevet est la partie la plus ancienne du sanctuaire. Il fut bâti durant la première phase de construction, de 1163 à 1180.
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Chevet de la cathédrale.
Une série d’admirables grands arcs-boutants dotés d’élégants pinacles soutient son mur supérieur arrondi. Les premiers arcs-boutants auraient été construits peu avant 1230, par le quatrième architecte de la cathédrale. Ils furent remplacés au début du XIVe siècle par de nouveaux. Ceux-ci, d’une portée de 15 mètres, furent lancés par Jean Ravy pour soutenir le chœur et son chevet.
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Chevet de la cathédrale.
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Chevet de la cathédrale.
Les apôtres sont tous tournés vers Paris, excepté l’un d’eux, saint Thomas patron des architectes, lequel se retourne vers la flèche. Celui-ci ressemble étrangement à Viollet-le-Duc, l’architecte de la flèche se retournant comme pour contempler une dernière fois son œuvre.
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Le square Jean-XXIII.
Vue du chevet de la cathédrale et de ses trois niveaux de fenêtres. Les fenêtres des chapelles rayonnantes comme celles des tribunes sont surmontées d’un gable. Il en va de même de la partie inférieure des culées des grands arcs-boutants. Une frise de billettes court sous la balustrade supérieure
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Le square Jean-XXIII.
La fontaine de la Vierge, œuvre d'Alphonse Vigoureux, rajoutée en 1845.
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Façade sud.
Commencé par Jean de Chelles en 1258, le portail Saint-Étienne fut terminé par Pierre de Montreuil. Au-dessus du portail se trouve un beau gable ajouré surmonté de la magnifique rosace sud de la cathédrale offerte par saint Louis. Comme sa sœur du nord, la rosace sud, voit son diamètre atteindre 13,1 mètres, et, si l’on y ajoute la claire-voie sous-jacente, la hauteur totale de la verrière atteint presque 19 mètres.
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Façade sud.
Au dernier étage de la façade, un remarquable pignon s’élève au-dessus de la rosace. C’est un des plus beaux exemples des pignons construits à l'époque (1257). Il est lui-même percé d’une rose ajourée, qui éclaire le comble du transept. Deux grands pyramidions le flanquent formant les parties supérieures des contreforts qui contrebutent la rosace. Trois statues décorent le sommet. Celle du sommet représente le Christ apparaissant en songe à saint Martin, revêtu de la moitié du manteau donné par ce dernier au pauvre de la légende. Les deux autres statues situées à gauche et à droite de la base du pignon, représentent saint Martin et saint Étienne.
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Façade sud.
De chaque coté du portail, six statues modernes d'apôtres.
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Façade sud.
Le tympan du portail Saint-Étienne est occupé par des bas-reliefs qui racontent la vie du premier martyr chrétien, saint Étienne. Saint Étienne prêchant le christianisme et saint Étienne mené devant le juge au registre inférieur, la lapidation de saint Étienne et sa mise au tombeau au registre médian, et le Christ bénissant entouré de deux anges au registre supérieur. La triple voussure de l’Intrados de la porte est sculptée de pas moins de vingt et un martyrs, auxquels des anges offrent des couronnes. On retrouve là saint Denis sans tête, saint Vincent, saint Eustache, saint Maurice, saint Laurent avec son gril, saint Clément, saint Georges, et d’autres dont l’identité n’a pu être déterminée clairement.
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Façade sud.
De chaque côté du portail trois statues d’apôtres, elles aussi modernes, destinées à remplacer celles fracassées pendant la Révolution.
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Façade sud.
De chaque côté du portail trois statues d’apôtres, elles aussi modernes, destinées à remplacer celles fracassées pendant la Révolution.
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Façade sud.
Le trumeau est occupé par une grande statue de saint Étienne, œuvre de Geoffroi-Dechaume exécutée au XIXe siècle.
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Façade sud.
De chaque côté du portail trois statues d’apôtres, elles aussi modernes, destinées à remplacer celles fracassées pendant la Révolution.
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Façade sud.
De chaque côté du portail trois statues d’apôtres, elles aussi modernes, destinées à remplacer celles fracassées pendant la Révolution.
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Façade sud.
Les chimères sont des statues fantastiques et diaboliques et souvent grotesques. Elles n’ont qu’un effet décoratif.
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Façade sud.
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Façade sud.
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Façade sud.
Saint Marcel avec à ses pieds le dragon.
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Notre-Dame-de-Paris.
On vient du monde entier por se faire photographier lors de son mariage. La robe dissimule une échelle pour être à la hauteur de l'évènement...
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La nef.
La nef se compose d’une sorte d’« avant-nef » ou narthex de deux travées situées sous et entre les tours, suivies de huit autres travées. Le vaisseau central d’une largeur de 12 mètres entre les axes des colonnes est bordé de deux collatéraux à voûtes quadripartites tant au nord qu’au sud. Deux rangées de sept chapelles latérales, construites entre les arcs-boutants du vaisseau s’ouvrent, de la quatrième à la dixième travée, sur les collatéraux extérieurs.
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La nef.
L’élévation est à trois niveaux. Le premier est constitué des grandes arcades ouvrant sur les collatéraux intérieurs.
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La nef.
Les vitraux modernes. Le second correspond à une tribune à claire-voie ouvrant sur la nef par des baies composées de trois arcades, lesquelles reposent sur de fines colonnettes. Au-dessus de ces arcades, les remplages de ces baies sont pleins. Les tribunes sont garnies de petites roses. Enfin le troisième niveau est celui des fenêtres hautes qui comportent deux lancettes surmontées d’un oculus. En 1965, les fenêtres hautes de la nef et les roses des tribunes ont enfin été garnies de vitraux colorés qui sont l’œuvre de Jacques Le Chevallier.
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Le choeur.
Le nouvel autel, en bronze, a été réalisé par Jean Touret et Sébastien Touret, artistes d’art sacré, en 198978. On peut y voir les quatre évangélistes (Saint Mathieu, Saint Luc, Saint Marc et Saint Jean), ainsi que les quatre grands prophètes de l’Ancien Testament, à savoir Ézéchiel, Jérémie, Isaïe et Daniel.
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Le choeur.
La pietà de Nicolas Coustou est placée derrière l’autel. De part et d’autre de celui-ci se trouvent les statues des deux rois, Louis XIII par Guillaume Coustou et Louis XIV sculpté par Antoine Coysevox. Une série de six statues d’ange en bronze entourent l’ensemble et portent chacun un instrument de la Passion du Christ : une couronne d’épines, les clous de la crucifixion, l’éponge imbibée de vinaigre, l’inscription qui surmontait la croix, le roseau avec lequel le Christ fut fouetté et la lance lui ayant transpercé le cœur
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Le choeur.
La pietà de Nicolas Coustou, implantée au début du XVIIIe siècle.
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Le choeur.
Les stalles en bois sculpté sont installées des deux côtés du chœur. Il y en avait 114. Il en reste 78, dont 52 hautes et 26 basses. Elles ont été réalisées au début du XVIIIe siècle par Jean Noël et Louis Marteau d’après les plans de René Charpentier et Jean Dugoulon. De chaque côté, les stalles se terminent par une stalle archiépiscopale, surmontée d'un baldaquin avec des groupes d’anges sculptés par Dugoulon. L’une de ces deux stalles est réservée à l’archevêque, l’autre étant destinée à un hôte important. Le bas-relief de la stalle de droite représente le martyre de saint Denis, celui de gauche la guérison de Childebert Ier par saint Germain, évêque de Paris. Au premier plan, les quatre évangélistes de l'autel.
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Le choeur.
Les hauts dossiers des stalles sont ornés de bas-reliefs et séparés par des trumeaux décorés de rinceaux et des instruments de la Passion. Sur le dossier de la stalle archiépiscopale, le martyre de saint Denis. Derrière les stalles, l'orgue de choeur de 1969 créé par Robert Boisseau.
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Le choeur.
Sur le dossier de la stalle archiépiscopale, la guérison de Childebert Ier par saint Germain, évêque de Paris.
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Le choeur.
Les hauts dossiers des stalles sont ornés de bas-reliefs représentant des scènes de la vie de la vierge et du Christ et des figures allégoriques, et séparés par des trumeaux décorés de rinceaux et des instruments de la Passion.
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Le choeur.
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La nef.
Les voûtes sont sexpartites (une croisée pour deux travées) avec retombées d'arcs une pile sur deux.
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La nef.
Clef de voûte.
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La nef.
La chaire, reconstitution gothique de Viollet-le-Duc.
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La nef.
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Le transept.
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Bas-côté.
La nef est flanquée de deux doubles bas-côtés où s'ouvrent les chapelles latérales.
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Bas-côté.
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Bas-côté.
Chapelles latérales sud.
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Chapelle saint Joseph.
Statue de Saint-Joseph et de l'enfant Jésus, 1865, sculpteur Adolphe-Victor-Geoffroy Dechaume. Autel et confessionnal d'après les dessins de Viollet-le-Duc, 1860.
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Chapelle saint Joseph.
Statue de Saint-Joseph et de l'enfant Jésus, 1865, sculpteur Adolphe-Victor-Geoffroy Dechaume. Autel et confessionnal d'après les dessins de Viollet-le-Duc, 1860.
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Chapelle saint Joseph.
Prédication de Saint Pierre à Jérusalem (may de 1642), peinture de Charles Poerson. On appelle Mays à Notre-Dame une série de 76 tableaux offerts à la cathédrale par la Confrérie des Orfèvres, presque chaque année en date du premier mai (d’où leur nom), en hommage à la Vierge Marie, et ce de 1630 à 1707. Les mays furent dispersés à la Révolution et beaucoup disparurent. Récupérés ensuite, ils embarrassèrent au XIXe siècle le restaurateur Viollet-le-Duc qui, orienté vers la pureté de l’art gothique, n’avait que faire de cette encombrante décoration baroque ou classique. Certains se retrouvent actuellement au musée du Louvre, d’autres dans quelques églises ou dans divers musées français. Il en reste une cinquantaine actuellement. Les plus importants furent fort heureusement récupérés par la cathédrale et ornent aujourd’hui les chapelles latérales de la nef de Notre-Dame.
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Chapelle Sainte-Anne.
Nativité de la Vierge de Louis et Matthieu Le Nain, vers 1640.
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Chapelle Sainte-Anne.
May de 1637, La conversion de Saint Paul par Laurent de La Hyre.
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Chapelle Sainte-Anne.
L'arbre de Jessé par Edouard Didron, 1864.
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Chapelle Saint Pierre.
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Chapelle Saint Pierre.
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Statue dite Notre Dame de Paris.
Elle date du XIVe siècle et provient de la chapelle Saint-Aignan située dans l'ancien cloître des Chanoines de l'Île de la Cité. Elle fut transférée à Notre-Dame en 1818 et placée d'abord au trumeau du Portail de la Vierge en remplacement de la Vierge du XIIIe siècle mutilée en 1793. En 1855, Viollet-le-Duc la posa à son emplacement actuel..
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Saint Thomas d'Aquin fontaine de la sagesse.
Toile peinte par Antoine Nicolas, Langres, 1648 - ? Don du couvent de l'Annonciation du faubourg Saint-Honoré à Paris à l'occasion du septième centenaire de la mort de Saint Thomas, 1974.
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Clôture méridionale du chœur : Apparitions du Christ Ressuscité.
La clôture sud, datant du règne de Philippe IV le Bel (début du XIVe siècle), est constituée de neuf scènes des apparitions du Christ après sa Résurrection. À l’inverse des scènes de la clôture nord, celles-ci sont bien séparées les unes des autres grâce à la présence de colonnettes les isolant complètement. Le Christ ressuscité apparaît à Marie-Madeleine. Le Christ apparaît aux Saintes femmes.
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Clôture méridionale du chœur : Apparitions du Christ Ressuscité.
Le Christ apparaît à Pierre et Jean. Le Christ apparaît de disciples à Emmaüs.
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Clôture méridionale du chœur : Apparitions du Christ Ressuscité.
Le Christ apparaît de disciples à Emmaüs. Le Christ apparaît aux apôtres dans le Cénacle.
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Clôture méridionale du chœur : Apparitions du Christ Ressuscité.
Le Christ apparaît à Thomas. Le Christ apparaît aux apôtres au bord du lac de Tibériade.
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Clôture méridionale du chœur : Apparitions du Christ Ressuscité.
Le Christ apparaît aux apôtres et disciples en Galilée. Le Christ apparaît au jour de l'Ascension.
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Chapelle Saint-Denis.
Saint Denis, premier Evêque de Paris, mort en 1250. Peintures murales : vie de saint Denis, d'après les dessins de Viollet-le-Duc, architecte. Icône de Saint Denis l'Aréopagite.
118
Chapelle Saint-Denis.
Armoire des Saintes Huiles, d'après les dessins de Viollet-le-Duc, architecte. Mausolée de Monseigneur Denis-Auguste Affre, archevêque de Paris en 1840, tué lors des émeutes de Juin 1848.
119
Chapelle Sainte-Madeleine.
Sépulture de Mgr Sibour. Ce dernier, comme Mgr Affre et Mgr Darboy, fut assassiné au cours du XIXe siècle. Il fut poignardé par un prêtre à l'esprit dérangé (et destitué).
120
Chapelle Sainte-Madeleine.
Peintures murales d'après Viollet le Duc.
121
Chapelle Sainte-Madeleine.
Vitraux : grisaille d'Alfred Gerente.
122
La Chapelle Saint-Guillaume.
123
La Chapelle Saint-Guillaume.
124
La Chapelle Saint-Guillaume.
Monument de Jean Jouvenel des Ursins et de son épouse Michelle de Vitry (XVe siècle).
125
La Chapelle Saint-Guillaume.
Monument de Jean Jouvenel des Ursins et de son épouse Michelle de Vitry (XVe siècle).
126
La Chapelle Saint-Guillaume.
Chapelle Saint-Guillaume : mausolée du lieutenant-général Henri Claude d'Harcourt par Jean-Baptiste Pigalle.
127
Chapelle Saint-Georges.
128
Chapelle Saint-Georges.
129
Chapelle Saint-Georges.
Statue de saint Georges.
130
Chapelle Saint-Georges.
Tombeau de Mgr Georges Darboy (fusillé en 1871 avec 30 autres prêtres pris en otage par les Communards.), œuvre de Jean-Marie Bonnassieux.
131
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Statue de Notre Dame des Sept Douleurs par Corbon, Second Empire. Vitraux de Lusson.
132
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Statue de Notre Dame des Sept Douleurs par Corbon, Second Empire. La chapelle axiale expose depuis peu un coffre-fort de verre rouge, contenant la couronne d'épines du Christ, relique pillée en 1250 à Constantinople par les croisés Francs (dont Baudouin II de Courtenay), rachetée par St-Louis et transférée de la Sainte-Chapelle à Notre-Dame en 1792. Vitraux de Lusson.
133
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Ancienne Chapelle Saint-Nicaise, Saint-Louis et Saint-Rigobert ou Chapelle des Gondi. Sur le maître-autel, bas-reliefs de Michel Pascal.
134
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Vitraux de N Coffetier.
135
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Priant d'Albert de Gondi, duc de Retz, maréchal de France, mort en 1602.
136
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Vitraux d'Alfred Gerente. Priant de Pierre de Gondi, Evêque de Paris, mort en 1616.
137
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Priant de Pierre de Gondi, Evêque de Paris, mort en 1616.
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Le choeur.
139
Le choeur.
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