Le Palais de Justice, la place Dauphine, la Sainte Chapelle, la Conciergerie, le Nouveau Palais de Justice, le Parc Martin-Luther-King, le Square des Batignolles.

<center>Palais de Justice. </center>La façade qui domine la Cour du Mai, de toute l'entrée principale du Palais, fut reconstruite entre 1783 et 1786 en style néo-classique avec colonnade.
Palais de Justice.
La façade qui domine la Cour du Mai, de toute l'entrée principale du Palais, fut reconstruite entre 1783 et 1786 en style néo-classique avec colonnade.
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<center>Palais de Justice. </center>
Palais de Justice.
La façade principale, dite de la Cour de Mai, sur le boulevard du Palais, a été reconstruite vers 1780. L'attique du pavillon central est ornée de quatre statues en pierre de 1781: De gauche à droite, l'Abondance, par Pierre-François Berruer, la Prudence et la justice, par Félix Lecomte , la Force de Pierre-François Berruer. L'Horloge est surmontée de deux génies ailés portant un écusson frappé des armes royales, sculpté par Augustin Pajou
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<center>Palais de Justice. </center>La grille monumentale en fer forgé, très ouvragée avec des dorures, qui ouvre sur la cour du Mai a été exécutée en 1776 par le maître serrurier Bigonnet.
Palais de Justice.
La grille monumentale en fer forgé, très ouvragée avec des dorures, qui ouvre sur la cour du Mai a été exécutée en 1776 par le maître serrurier Bigonnet.
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<center>Palais de Justice. </center>En face du palais de justice.
Palais de Justice.
En face du palais de justice.
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<center>Le palais de la Cité. </center> Emplacement de la chapelle Saint-Michel où fut baptisé Philippe II Auguste.
Le palais de la Cité.
Emplacement de la chapelle Saint-Michel où fut baptisé Philippe II Auguste.
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<center>Le palais de la Cité. </center> Plaque rappelant la chapelle Saint-Michel où fut baptisé Philippe II Auguste.
Le palais de la Cité.
Plaque rappelant la chapelle Saint-Michel où fut baptisé Philippe II Auguste.
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<center>Le palais de la Cité. </center> Aau nord-est, le roi Jean II le Bon (1350-1364) fit édifier entre 1350 et 1353, sur un ancien terrain marécageux, une tour dont le beffroi était dominé par un lanternon et qui devint par la suite la tour de l'Horloge du palais de la Cité. De forme Carrée, haute de 47m, elle accueillit vers 1370 la première horloge publique à Paris.
Le palais de la Cité.
Aau nord-est, le roi Jean II le Bon (1350-1364) fit édifier entre 1350 et 1353, sur un ancien terrain marécageux, une tour dont le beffroi était dominé par un lanternon et qui devint par la suite la tour de l'Horloge du palais de la Cité. De forme Carrée, haute de 47m, elle accueillit vers 1370 la première horloge publique à Paris.
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<center>Le palais de la Cité. </center> L'horloge du palais de la Cité.
Le palais de la Cité.
L'horloge du palais de la Cité.
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<center>Le palais de la Cité. </center>
Le palais de la Cité.
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<center>Le palais de la Cité. </center> Au milieu se trouvent deux tours jumelles: la tour d'Argent (à droite) et la tour de César (à gauche). Toutes deux remontent au règne de Philippe le Bel et, contrairement à la tour Bonbec, n’ont jamais été crénelées.
Le palais de la Cité.
Au milieu se trouvent deux tours jumelles: la tour d'Argent (à droite) et la tour de César (à gauche). Toutes deux remontent au règne de Philippe le Bel et, contrairement à la tour Bonbec, n’ont jamais été crénelées.
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<center>Le palais de la Cité. </center> Au milieu se trouvent deux tours jumelles: la tour d'Argent (à droite) et la tour de César (à gauche). Toutes deux remontent au règne de Philippe le Bel et, contrairement à la tour Bonbec, n’ont jamais été crénelées.
Le palais de la Cité.
Au milieu se trouvent deux tours jumelles: la tour d'Argent (à droite) et la tour de César (à gauche). Toutes deux remontent au règne de Philippe le Bel et, contrairement à la tour Bonbec, n’ont jamais été crénelées.
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<center>Les bords de Seine. </center>
Les bords de Seine.
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<center>Les bords de Seine. </center>
Les bords de Seine.
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<center>Le palais de la Cité. </center> La tour de droite, vers l’ouest en aval de la Seine porte le nom de tour Bonbec. Cette tour est la plus ancienne puisque ses oubassements remontent au règne de Saint-Louis. Elle fut surhaussée au XVIe siècle et reçut alors une toiture en poivrière.
Le palais de la Cité.
La tour de droite, vers l’ouest en aval de la Seine porte le nom de tour Bonbec. Cette tour est la plus ancienne puisque ses oubassements remontent au règne de Saint-Louis. Elle fut surhaussée au XVIe siècle et reçut alors une toiture en poivrière.
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<center>Le palais de la Cité. </center> Cour de cassation.
Le palais de la Cité.
Cour de cassation. Les locaux de la cour de cassation ont été construit par l'architecte Joseph-Louis Duc de 1861 à 1892.
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<center>Le palais de la Cité. </center> Cour de cassation. Le dôme du pavillon central prévu par Lenormand était plus élevé que celui qui fut érigé et dont les formes légèrement convexes s’harmonisent avec le fronton. Les sculptures furent réalisées dans les années 1865-1866 sous la direction de Hayon, qui demeurait place Dauphine. Les enfants entourant le médaillon, au-dessus du balcon d’honneur seraient dus au ciseau d’Henri-Michel-Antoine Chapu (1833-1891) et les cariatides à celui d’Eugène-Louis Lequesne (1815-1887). Les sculptures du fronton représentent, à gauche, la loi protégeant l’innocence, et à droite, la loi punissant le crime, entourant les armes de l’Empire.
Le palais de la Cité.
Cour de cassation. Le dôme du pavillon central prévu par Lenormand était plus élevé que celui qui fut érigé et dont les formes légèrement convexes s’harmonisent avec le fronton. Les sculptures furent réalisées dans les années 1865-1866 sous la direction de Hayon, qui demeurait place Dauphine. Les enfants entourant le médaillon, au-dessus du balcon d’honneur seraient dus au ciseau d’Henri-Michel-Antoine Chapu (1833-1891) et les cariatides à celui d’Eugène-Louis Lequesne (1815-1887). Les sculptures du fronton représentent, à gauche, la loi protégeant l’innocence, et à droite, la loi punissant le crime, entourant les armes de l’Empire.
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<center>Palais de Justice. </center>La galerie Marchande.
Palais de Justice.
La galerie Marchande.
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<center>Palais de Justice. </center>La galerie Marchande. On y trouve des beaux frontons, probablement de la fin du XVIIIe s., et dont les attributs rappellent d'anciennes juridictions.
Palais de Justice.
La galerie Marchande. On y trouve des beaux frontons, probablement de la fin du XVIIIe s., et dont les attributs rappellent d'anciennes juridictions.
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<center>Palais de Justice. </center>
Palais de Justice.
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<center>Palais de Justice. </center>La salle des Pas-Perdus. Elle se compose de deux immenses nefs séparées par un rang d'arcades à plein cintre.
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Elle se compose de deux immenses nefs séparées par un rang d'arcades à plein cintre.
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<center>Palais de Justice. </center>La salle des Pas-Perdus . Incendiée en 1618, la Grand-Salle fut reconstruite par Salomon de Brosse en 1622. Après le nouvel incendie de la Commune (1871), elle fut refaite par Duc et Daumet, dans l'esprit de l'ancienne.
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus . Incendiée en 1618, la Grand-Salle fut reconstruite par Salomon de Brosse en 1622. Après le nouvel incendie de la Commune (1871), elle fut refaite par Duc et Daumet, dans l'esprit de l'ancienne.
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<center>Palais de Justice. </center>La salle des Pas-Perdus. Un monument a été élevé en 1821 à la mémoire de Berryer, par Chapu sur les dessins de Lebas. L’artiste glissa une tortue sous les pieds de la Justice (représentée par une femme à droite de Berryer) symbolisant la sagesse et aussi la lenteur de la justice. Bien que royaliste, il passa sur ses convictions pour défendre les révolutionnaires de 1848 dont faisait partie Louis Blanc.. Il a aussi défendu le maréchal Ney.
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Un monument a été élevé en 1821 à la mémoire de Berryer, par Chapu sur les dessins de Lebas. L’artiste glissa une tortue sous les pieds de la Justice (représentée par une femme à droite de Berryer) symbolisant la sagesse et aussi la lenteur de la justice. Bien que royaliste, il passa sur ses convictions pour défendre les révolutionnaires de 1848 dont faisait partie Louis Blanc.. Il a aussi défendu le maréchal Ney.
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<center>Palais de Justice. </center>La salle des Pas-Perdus. Elevé en 1826, cette statue représente Malesherbes, le défenseur de Louis XVI. A ses côtés, se trouvent les représentations de la France (une femme assise) et de la Fidélité (qui caresse un chien). La statue de Malesherbes fut commandée à Jacques Edmée Dumont. Les deux autres sont de François Joseph Bosio.
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Elevé en 1826, cette statue représente Malesherbes, le défenseur de Louis XVI. A ses côtés, se trouvent les représentations de la France (une femme assise) et de la Fidélité (qui caresse un chien). La statue de Malesherbes fut commandée à Jacques Edmée Dumont. Les deux autres sont de François Joseph Bosio.
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<center>Palais de Justice. </center>La salle des Pas-Perdus. Un escalier imposant, à double révolution, conduit aux chambres du Tribunal civil et au Greffe.
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Un escalier imposant, à double révolution, conduit aux chambres du Tribunal civil et au Greffe.
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<center>Palais de Justice. </center>
Palais de Justice.
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<center>Palais de Justice. </center>La 1er Chambre du tribunal civil. Probablement chambre de saint Louis à l'origine, elle fit partie plus tard des locaux du Parlement de Paris. C'est là qu'à partir du 6 avril 1793 siégea le Tribunal révolutionnaire, là que furent condamnés tant de personnages célèbres, dont Marie-Antoinette. Restaurée en 1866, incendiée en 1871, la Grand-Chambre a été rétablie dans le style primitif de Louis XII (1502) par Duc et Daumet.
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Probablement chambre de saint Louis à l'origine, elle fit partie plus tard des locaux du Parlement de Paris. C'est là qu'à partir du 6 avril 1793 siégea le Tribunal révolutionnaire, là que furent condamnés tant de personnages célèbres, dont Marie-Antoinette. Restaurée en 1866, incendiée en 1871, la Grand-Chambre a été rétablie dans le style primitif de Louis XII (1502) par Duc et Daumet.
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<center>Palais de Justice. </center>La 1er Chambre du tribunal civil. Ancienne Grand-Chambre ou Chambre Dorée, à nervures surbaissées et pendentifs.
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Ancienne Grand-Chambre ou Chambre Dorée, à nervures surbaissées et pendentifs.
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<center>Palais de Justice. </center>La 1er Chambre du tribunal civil. Le porc-épic est le symbole de Louis XII, à coté des fleurs de lis.
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Le porc-épic est le symbole de Louis XII, à coté des fleurs de lis.
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<center>Palais de Justice. </center>La 1er Chambre du tribunal civil.
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil.
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<center>Palais de Justice. </center>La 1er Chambre du tribunal civil. Dans le coin, un
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Dans le coin, un "divan" pour le roi, c'est de là que vient l'expression le "lit de justice".
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<center>Palais de Justice. </center>La 1ère Chambre du tribunal civil. C'est par cette porte qu'est entrée Marie-Antoinette.
Palais de Justice.
La 1ère Chambre du tribunal civil. C'est par cette porte qu'est entrée Marie-Antoinette.
31
<center>Palais de Justice. </center>Chambre des Criées. C'est là où on vend les faillites, à la bougie.
Palais de Justice.
Chambre des Criées. C'est là où on vend les faillites, à la bougie.
32
<center>Palais de Justice. </center>Le dépôt était la prison des hommes, la souricière, la prison des femmes.
Palais de Justice.
Le dépôt était la prison des hommes, la souricière, la prison des femmes.
33
<center>Palais de Justice. </center>La galerie des Prisonniers et la galerie Lamoignon forment une longue galerie aux voûtes aplaties et en partie neuve.
Palais de Justice.
La galerie des Prisonniers et la galerie Lamoignon forment une longue galerie aux voûtes aplaties et en partie neuve.
34
<center>Palais de Justice. </center>Vestibule de Harlay. A l'extrémité de la galerie Lamoignon se trouve le vestibule de Harlay (œuvre de Duc). Harlay fut maître des requêtes sous Henri IV. Au fond, la statue de Charlemagne. Avec Napoléon 1er elle encadre une immense porte métallique qui donne aujourd’hui accès au « self de Harlay ». Il s’agit de l’œuvre de Philippe Lemaire en 1860.
Palais de Justice.
Vestibule de Harlay. A l'extrémité de la galerie Lamoignon se trouve le vestibule de Harlay (œuvre de Duc). Harlay fut maître des requêtes sous Henri IV. Au fond, la statue de Charlemagne. Avec Napoléon 1er elle encadre une immense porte métallique qui donne aujourd’hui accès au « self de Harlay ». Il s’agit de l’œuvre de Philippe Lemaire en 1860.
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<center>Palais de Justice. </center>Vestibule de Harlay. A une extrémité on remarque les statues de saint Louis à gauche et de Philippe Auguste à droite. Elles sont l’œuvre de Philippe Lemaire en 1860. Entre ces deux statues une porte donne accès à la Chambre civile de la Cour de cassation.
Palais de Justice.
Vestibule de Harlay. A une extrémité on remarque les statues de saint Louis à gauche et de Philippe Auguste à droite. Elles sont l’œuvre de Philippe Lemaire en 1860. Entre ces deux statues une porte donne accès à la Chambre civile de la Cour de cassation.
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<center>Palais de Justice. </center>Vestibule de Harlay. Le personnage central tient une balance repkiée, ca qui veut dire que la justice veille.
Palais de Justice.
Vestibule de Harlay. Le personnage central tient une balance repkiée, ca qui veut dire que la justice veille.
37
<center>Palais de Justice. </center>La Cour de cassation offre dans ses chambres et bureaux un très intéressant et complet ensemble de décor Second Empire.
Palais de Justice.
La Cour de cassation offre dans ses chambres et bureaux un très intéressant et complet ensemble de décor Second Empire.
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<center>Palais de Justice. </center>Chambre civile de la Cour de cassation.
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation.
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<center>Palais de Justice. </center>Chambre civile de la Cour de cassation. En haut, à gauche, la galerie qui a été ajoutée pour le procés du maréchal Pétain.
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. En haut, à gauche, la galerie qui a été ajoutée pour le procés du maréchal Pétain.
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<center>Palais de Justice. </center>Chambre civile de la Cour de cassation
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation
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<center>Palais de Justice. </center>Chambre civile de la Cour de cassation. Tapisserie du XIX, représentant Mardochée et Ester.
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. Tapisserie du XIX, représentant Mardochée et Ester.
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<center>Palais de Justice. </center>Chambre civile de la Cour de cassation. Le haut du lustre rappelle le mortier (chapeau) du juge.
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. Le haut du lustre rappelle le mortier (chapeau) du juge.
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<center>Palais de Justice. </center>Chambre civile de la Cour de cassation. Le plafond, dû à Bonnat en 1901, représente la justice qui sépare les bons et les méchants.
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. Le plafond, dû à Bonnat en 1901, représente la justice qui sépare les bons et les méchants.
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<center>Palais de Justice. </center>Chambre civile de la Cour de cassation
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation
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<center>Palais de Justice. </center>Place Dauphine.
Palais de Justice.
Place Dauphine.
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<center>Palais de Justice. </center> La façade sud néo-gothique., rythmée par 8 colonnes et deux demi colonnes doriques, évoque un temple antique par son coté longitudinal (et non par sa façade). La porte centrale est de forme trapézoïdale, plus évasée en bas qu’en haut, ce qui rappelle l’architecture égyptienne. Duc dira s’être inspiré de la façade du temple de Denderah en Egypte. Les lions de l’escalier ont été sculptés par Isidore Bonheur car le célèbre sculpteur animalier Antoine-Louis Barye avait refusé cette commande. A la base de la façade on trouve des figures allégoriques de grande sévérité afin d’en imposer. Ces figures représentent des vertus qui sont encensées en un lieu de justice. De gauche à droite en regardant la façade, on trouve  : la prudence et la vérité (d’Augustin Dumont), le châtiment et la protection (de François Jouffroy), la force et l’équité (de Jean-Louis Jaley).
Palais de Justice.
La façade sud néo-gothique., rythmée par 8 colonnes et deux demi colonnes doriques, évoque un temple antique par son coté longitudinal (et non par sa façade). La porte centrale est de forme trapézoïdale, plus évasée en bas qu’en haut, ce qui rappelle l’architecture égyptienne. Duc dira s’être inspiré de la façade du temple de Denderah en Egypte. Les lions de l’escalier ont été sculptés par Isidore Bonheur car le célèbre sculpteur animalier Antoine-Louis Barye avait refusé cette commande. A la base de la façade on trouve des figures allégoriques de grande sévérité afin d’en imposer. Ces figures représentent des vertus qui sont encensées en un lieu de justice. De gauche à droite en regardant la façade, on trouve : la prudence et la vérité (d’Augustin Dumont), le châtiment et la protection (de François Jouffroy), la force et l’équité (de Jean-Louis Jaley).
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<center>Palais de Justice. </center>La façade sud néo-gothique.  La protection (de François Jouffroy), la force et l’équité (de Jean-Louis Jaley).
Palais de Justice.
La façade sud néo-gothique. La protection (de François Jouffroy), la force et l’équité (de Jean-Louis Jaley).
48
<center>Square de la place Dauphine. </center>La place Dauphine naît de la fusion de plusieurs îlots. Décidée par Henri IV, sa construction débute en 1607. D'abord appelée place royale, elle est baptisée place Dauphine en l’honneur du dauphin, le futur Louis XIII, né en 1601. Débaptisée à la Révolution, elle devient, entre 1792 et 1814, la place de Thionville. Elle s’ouvre, d'un côté, sur le Palais de Justice et, de l’autre, sur la statue équestre d'Henri IV. L'actuel n°26 correspondrait à l'emplacement du bûcher sur lequel périt, le 11 ou le 18 mars 1314, Jacques de Molay, le dernier maître de l'Ordre du Temple.
Square de la place Dauphine.
La place Dauphine naît de la fusion de plusieurs îlots. Décidée par Henri IV, sa construction débute en 1607. D'abord appelée place royale, elle est baptisée place Dauphine en l’honneur du dauphin, le futur Louis XIII, né en 1601. Débaptisée à la Révolution, elle devient, entre 1792 et 1814, la place de Thionville. Elle s’ouvre, d'un côté, sur le Palais de Justice et, de l’autre, sur la statue équestre d'Henri IV. L'actuel n°26 correspondrait à l'emplacement du bûcher sur lequel périt, le 11 ou le 18 mars 1314, Jacques de Molay, le dernier maître de l'Ordre du Temple.
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<center>Square de la place Dauphine. </center>Par un bail à cens et à rentes du 10 mars 1607, le roi fit don à son fidèle et vieux serviteur Achille Ier de Harlay, premier président à mortier du parlement de Paris, des terrains formant l'extrémité occidentale de l'île, en récompense de ses loyaux services pendant la Ligue. Il reçoit l'autorisation de créer une place triangulaire, la seconde place royale de Paris aménagée au XVIIe siècle. À charge pour lui de construire ces nouveaux bâtiments dans l'esprit de la Place Royale et conformes au plan imposé par le roi et le Grand Voyer Sully : un « promenoir » entouré de maisons « d’un même ordre », comprenant deux étages, dont les trumeaux seraient décorés de tables de pierre se détachant sur la brique, et dont les arcades du rez-de-chaussée abriteraient les boutiques.
Square de la place Dauphine.
Par un bail à cens et à rentes du 10 mars 1607, le roi fit don à son fidèle et vieux serviteur Achille Ier de Harlay, premier président à mortier du parlement de Paris, des terrains formant l'extrémité occidentale de l'île, en récompense de ses loyaux services pendant la Ligue. Il reçoit l'autorisation de créer une place triangulaire, la seconde place royale de Paris aménagée au XVIIe siècle. À charge pour lui de construire ces nouveaux bâtiments dans l'esprit de la Place Royale et conformes au plan imposé par le roi et le Grand Voyer Sully : un « promenoir » entouré de maisons « d’un même ordre », comprenant deux étages, dont les trumeaux seraient décorés de tables de pierre se détachant sur la brique, et dont les arcades du rez-de-chaussée abriteraient les boutiques.
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<center>Square de la place Dauphine. </center>Les bâtiments furent, soit modifiés, démolis, reconstruits, ou rehaussés, à partir du XVIIIe siècle.
Square de la place Dauphine.
Les bâtiments furent, soit modifiés, démolis, reconstruits, ou rehaussés, à partir du XVIIIe siècle.
51
<center>Square de la place Dauphine. </center>Place Dauphine : passage ouest, le seul qui subsiste. Des trente-deux maisons uniformes d'origine, il ne reste intacts que ces deux pavillons d'angle sur le Pont Neuf.
Square de la place Dauphine.
Place Dauphine : passage ouest, le seul qui subsiste. Des trente-deux maisons uniformes d'origine, il ne reste intacts que ces deux pavillons d'angle sur le Pont Neuf.
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<center>La statue équestre d'Henri IV. </center> Elle est située derrière la place Dauphine, sur le Pont Neuf. Le monument est une statue équestre de bronze représentant le roi de France Henri IV en armure, couronné de laurier et tenant un sceptre à fleurs de lys dans sa main droite. Henri IV regarde dans la direction du quai des Orfèvres, tandis que le cheval regarde le quai de l'Horloge.
La statue équestre d'Henri IV.
Elle est située derrière la place Dauphine, sur le Pont Neuf. Le monument est une statue équestre de bronze représentant le roi de France Henri IV en armure, couronné de laurier et tenant un sceptre à fleurs de lys dans sa main droite. Henri IV regarde dans la direction du quai des Orfèvres, tandis que le cheval regarde le quai de l'Horloge.
53
<center>La statue équestre d'Henri IV. </center> La statue est posée sur un piédestal sur lequel sont des bas-reliefs. Celui de gauche représente Henri IV faisant entrer des vivres dans Paris assiégé.
La statue équestre d'Henri IV.
La statue est posée sur un piédestal sur lequel sont des bas-reliefs. Celui de gauche représente Henri IV faisant entrer des vivres dans Paris assiégé.
54
<center>L'île aux Juifs.</center> C'est sur cette dernière qu'a été brûlé le 11 mars 1314 Jacques de Molay, grand maître des Templiers.
L'île aux Juifs.
C'est sur cette dernière qu'a été brûlé le 11 mars 1314 Jacques de Molay, grand maître des Templiers.
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<center>Tribunal correctionnel.</center>
Tribunal correctionnel.
Les locaux du Tribunal correctionnel ont été construit, par l'architecte Albert Tournaire, de 1907 à 1914.
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<center>Tribunal correctionnel.</center>
Tribunal correctionnel.
Sur la tour, un cadran solaire orné d'un bas-relief: le Temps et 1a Justice, sculpté par Jean-Antonin Injalbert.
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<center>Tribunal correctionnel.</center>L'architecte a orné la façade de quatre statues allégoriques représentant la Vérité,
Tribunal correctionnel.
L'architecte a orné la façade de quatre statues allégoriques représentant la Vérité, de Henri Lombard,
58
<center>Tribunal correctionnel.</center>la Loi,
Tribunal correctionnel.
la Loi de André Allar,
59
<center>Tribunal correctionnel.</center>l'Eloquence
Tribunal correctionnel.
l'Eloquence de Raoul Verlet,
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<center>Tribunal correctionnel.</center>et la Clémence.
Tribunal correctionnel.
et la Clémence de Jules Coutan.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>La Sainte-Chapelle, merveille d'architecture gothique (1246-1248), malheureusement enfermée dans un cadre ingrat, est un des joyaux de Paris. Saint Louis fit élever la chapelle pour y placer la Couronne d'épines et un fragment de la vraie Croix que lui avaient envoyés, de Constantinople, Jean de Brienne et l'empereur Baudouin II. Ils étaient enfermés dans la boule placée au-dessous de la croix et sont aujourd'hui à Notre-Dame.
La construction est peut-être de Pierre de Montreuil, les plans sont de 1241, commencée en janvier 1246, l'église était consacrée dès le 25 avril 1248.
La Sainte-Chapelle.
La Sainte-Chapelle, merveille d'architecture gothique (1246-1248), malheureusement enfermée dans un cadre ingrat, est un des joyaux de Paris. Saint Louis fit élever la chapelle pour y placer la Couronne d'épines et un fragment de la vraie Croix que lui avaient envoyés, de Constantinople, Jean de Brienne et l'empereur Baudouin II. Ils étaient enfermés dans la boule placée au-dessous de la croix et sont aujourd'hui à Notre-Dame. La construction est peut-être de Pierre de Montreuil, les plans sont de 1241, commencée en janvier 1246, l'église était consacrée dès le 25 avril 1248.
62
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>La Sainte-Chapelle brûla en 1630 et fut reconstruite très lentement. Sa démolition fut envisagée dès 1790 mais, au XIXe, le Moyen Age connut heureusement, une grande faveur et l'édifice fut restauré, vers la fin du règne de Louis-Philippe, par Duban, Lassus, Viollet-le-Duc et Bœswillwald. La flèche fut dressée en 1857.
La Sainte-Chapelle.
La Sainte-Chapelle brûla en 1630 et fut reconstruite très lentement. Sa démolition fut envisagée dès 1790 mais, au XIXe, le Moyen Age connut heureusement, une grande faveur et l'édifice fut restauré, vers la fin du règne de Louis-Philippe, par Duban, Lassus, Viollet-le-Duc et Bœswillwald. La flèche fut dressée en 1857.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Des gâbles, délicatement sculptés, surmontent les fenêtres hautes. Au-dessus, une balustrade fait le tour de l'édifice.
La Sainte-Chapelle.
Des gâbles, délicatement sculptés, surmontent les fenêtres hautes. Au-dessus, une balustrade fait le tour de l'édifice.
64
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Le chevet, le soir.
La Sainte-Chapelle.
Le chevet, le soir.
65
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>A la façade s'adossent deux porches superposés. En bas, le le Couronnement de la Vierge. Le Jugement dernier est représenté sur le portail de la chapelle haute.
La Sainte-Chapelle.
A la façade s'adossent deux porches superposés. En bas, le le Couronnement de la Vierge. Le Jugement dernier est représenté sur le portail de la chapelle haute.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Au-dessus du porche supérieur, la grande rose à meneaux flamboyants, reconstruite sous Charles VIII, est surmontée d'une balustrade découpée en fleurs de lis; sur l'appui de la balustrade, deux anges couronnent le chiffre du roi Charles.
La Sainte-Chapelle.
Au-dessus du porche supérieur, la grande rose à meneaux flamboyants, reconstruite sous Charles VIII, est surmontée d'une balustrade découpée en fleurs de lis; sur l'appui de la balustrade, deux anges couronnent le chiffre du roi Charles.
67
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>La statuaire des portails avait été intégralement détruit à la Révolution, ne laissant subsister que les contours. On doit la reconstitution à Geoffroy-Dechaume, qui a également mené les recherches préalables. La porte de la chapelle basse est décorée au trumeau d'une statue de la Vierge, et au tympan d'un bas-relief Couronnement de la Vierge. Tout ce décor est du XIXe s.
La Sainte-Chapelle.
La statuaire des portails avait été intégralement détruit à la Révolution, ne laissant subsister que les contours. On doit la reconstitution à Geoffroy-Dechaume, qui a également mené les recherches préalables. La porte de la chapelle basse est décorée au trumeau d'une statue de la Vierge, et au tympan d'un bas-relief Couronnement de la Vierge. Tout ce décor est du XIXe s.
68
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Le Jugement dernier est représenté sur le portail de la chapelle haute.
La Sainte-Chapelle.
Le Jugement dernier est représenté sur le portail de la chapelle haute.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Le Christ du Jugement dernier entouré de deux anges portant les instruments de la Passion la croix et les clous à droite ; la couronne d'épines et la lance à gauche). Le linteau représente la résurrection générale des morts, avec au milieu, saint Michel procédant à la pesée des âmes et part et d'autre, les morts qui soulèvent leur dalle funéraire au son des olifants des anges. À gauche, Abraham reçoit dans son sein les âmes élues, symbolisées par de petits personnages nus sur ses genoux. A droite une sympathique représentation de l'enfer, composée de petits diablotins entremêlés.
La Sainte-Chapelle.
Le Christ du Jugement dernier entouré de deux anges portant les instruments de la Passion la croix et les clous à droite ; la couronne d'épines et la lance à gauche). Le linteau représente la résurrection générale des morts, avec au milieu, saint Michel procédant à la pesée des âmes et part et d'autre, les morts qui soulèvent leur dalle funéraire au son des olifants des anges. À gauche, Abraham reçoit dans son sein les âmes élues, symbolisées par de petits personnages nus sur ses genoux. A droite une sympathique représentation de l'enfer, composée de petits diablotins entremêlés.
70
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Il y a deux chapelles superposées, celle du rez-de-chaussée, qui est fort basse, destinée aux serviteurs, et celle du premier étage, réservée à la famille royale et aux grands officiers.
La Sainte-Chapelle.
Il y a deux chapelles superposées, celle du rez-de-chaussée, qui est fort basse, destinée aux serviteurs, et celle du premier étage, réservée à la famille royale et aux grands officiers.
71
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>A l'intérieur de la chapelle basse (haut de 6,60 m), 14 colonnes monostyles et clefs de voûte. Le chœur est formé d'un rond-point à sept pans. Les deux colonnes noires qui percent le chœur étaient en fait destinées à soutenir la lourde châsse de l'étage supérieur. Dallage entièrement composé de pierres tombales, parmi lesquelles on voit encore celle de Jacques Boileau.
La Sainte-Chapelle.
A l'intérieur de la chapelle basse (haut de 6,60 m), 14 colonnes monostyles et clefs de voûte. Le chœur est formé d'un rond-point à sept pans. Les deux colonnes noires qui percent le chœur étaient en fait destinées à soutenir la lourde châsse de l'étage supérieur. Dallage entièrement composé de pierres tombales, parmi lesquelles on voit encore celle de Jacques Boileau.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Les fleurs de lys du manteau de la Vierge sur le fond azur des voûtes se retrouvent sur les colonnes en alternance avec des tours sur fond pourpre, armes de la reine Blanche de Castille, mère de Louis IX.
La Sainte-Chapelle.
Les fleurs de lys du manteau de la Vierge sur le fond azur des voûtes se retrouvent sur les colonnes en alternance avec des tours sur fond pourpre, armes de la reine Blanche de Castille, mère de Louis IX.
73
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Le plafond est parsemé de fleurs de lys alors que celui de la chapelle haute est couvert d'étoiles : c'est un exemple de l'alternance constante entre symboles royaux et divins.
La Sainte-Chapelle.
Le plafond est parsemé de fleurs de lys alors que celui de la chapelle haute est couvert d'étoiles : c'est un exemple de l'alternance constante entre symboles royaux et divins.
74
<center>La Sainte-Chapelle.  </center>Les croisées d'ogives sont encadrées par des bandes rouges ornées de L dorés.
La Sainte-Chapelle.
Les croisées d'ogives sont encadrées par des bandes rouges ornées de L dorés.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> La Vierg et le Christ.
La Sainte-Chapelle.
La Vierg et le Christ.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Les murs latéraux sont animés d'arcatures aveugles trilobées et de 12 médaillons figurant les apôtres.
La Sainte-Chapelle.
Les murs latéraux sont animés d'arcatures aveugles trilobées et de 12 médaillons figurant les apôtres.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> La voûte surbaissée est épaulée par des étrésillons ajourés qui relient les colonnes des bas-côtés aux murs latéraux.
La Sainte-Chapelle.
La voûte surbaissée est épaulée par des étrésillons ajourés qui relient les colonnes des bas-côtés aux murs latéraux.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
La Sainte-Chapelle.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
La Sainte-Chapelle.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> La chapelle haute. Cette chapelle royale marquait la perfection des solutions qui permettaient les poussées de voûtes sur de minces colonnes, entraînant ainsi la suppression des murs remplacés par les verrières.
La Sainte-Chapelle.
La chapelle haute. Cette chapelle royale marquait la perfection des solutions qui permettaient les poussées de voûtes sur de minces colonnes, entraînant ainsi la suppression des murs remplacés par les verrières.
92
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> L'architecture (20,50 m sous voûte) disparaît toute entière sous les dorures et les enluminures du XIXe s., mais l'ornement principal, ce sont les vitraux. Chacune des 15 fenêtres (15,40 m sur 4,25 m) est un écrin éblouissant. Ces vitraux ont été habilement restaurés par Lusson, d'après les cartons de Steinheil et sous la direction de F. de Guilhermy, on distingue mal les parties anciennes des modernes (sur 1 134 scènes, 720 remonteraient au XIIIe s).
La Sainte-Chapelle.
L'architecture (20,50 m sous voûte) disparaît toute entière sous les dorures et les enluminures du XIXe s., mais l'ornement principal, ce sont les vitraux. Chacune des 15 fenêtres (15,40 m sur 4,25 m) est un écrin éblouissant. Ces vitraux ont été habilement restaurés par Lusson, d'après les cartons de Steinheil et sous la direction de F. de Guilhermy, on distingue mal les parties anciennes des modernes (sur 1 134 scènes, 720 remonteraient au XIIIe s).
93
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> A droite, en entrant. Histoire des reliques de la Passion. La verrière de l'histoire des reliques de la Passion est la seule à se lire en boustrophédon (système de lecture serpentant depuis le bas, de gauche à droite, puis de droite à gauche,  jusqu'en haut).
La Sainte-Chapelle.
A droite, en entrant. Histoire des reliques de la Passion. La verrière de l'histoire des reliques de la Passion est la seule à se lire en boustrophédon (système de lecture serpentant depuis le bas, de gauche à droite, puis de droite à gauche, jusqu'en haut).
94
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails de l'Histoire des reliques de la Passion. Dans la partie basse des lancettes, elle illustre le récit de la découverte des reliques par sainte Hélène à Jérusalem, jusqu'à leur arrivée dans le royaume de France.
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Histoire des reliques de la Passion. Dans la partie basse des lancettes, elle illustre le récit de la découverte des reliques par sainte Hélène à Jérusalem, jusqu'à leur arrivée dans le royaume de France.
95
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails de l'Histoire des reliques de la Passion. Saint Louis, son frère Robert et une reine, probablement Blanche de Castille, sont représentés plusieurs fois dans les différentes scènes de la translation.
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Histoire des reliques de la Passion. Saint Louis, son frère Robert et une reine, probablement Blanche de Castille, sont représentés plusieurs fois dans les différentes scènes de la translation.
96
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails de l'Histoire des reliques de la Passion.
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Histoire des reliques de la Passion.
97
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Le Livre des rois. Chaque baie est composée de quatre lancettes et surmontée de trois roses. Celles du chœur ne comportent que deux lancettes.
La Sainte-Chapelle.
Le Livre des rois. Chaque baie est composée de quatre lancettes et surmontée de trois roses. Celles du chœur ne comportent que deux lancettes.
98
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails du Livre des rois
La Sainte-Chapelle.
Détails du Livre des rois
99
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> le Livre d'Esther
La Sainte-Chapelle.
le Livre d'Esther
100
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> les Livres de Judith et de Job
La Sainte-Chapelle.
les Livres de Judith et de Job
101
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> A droite, les Livres de Jérémie et de Tobie. A gauche, le Livre d'Ezéquiel
La Sainte-Chapelle.
A droite, les Livres de Jérémie et de Tobie. A gauche, le Livre d'Ezéquiel
102
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Le choeur. Au centre, la Passion. A droite, Saint-Jean Baptiste et le livre de Daniel. A gauche, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
La Sainte-Chapelle.
Le choeur. Au centre, la Passion. A droite, Saint-Jean Baptiste et le livre de Daniel. A gauche, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Le choeur. Au centre, la Passion. A droite, Saint-Jean Baptiste et le livre de Daniel. A gauche, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
La Sainte-Chapelle.
Le choeur. Au centre, la Passion. A droite, Saint-Jean Baptiste et le livre de Daniel. A gauche, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
104
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Le choeur. A gauche, le Livre d'Isaïe et l'Arbre de Jessé et, en haut, un bout du Livre des Juges. A droite, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
La Sainte-Chapelle.
Le choeur. A gauche, le Livre d'Isaïe et l'Arbre de Jessé et, en haut, un bout du Livre des Juges. A droite, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
105
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> De gauche à droite : Deutéronome & Josué ; livre des Juges ; l'arbre de Jessé et Isaïe.
La Sainte-Chapelle.
De gauche à droite : Deutéronome & Josué ; livre des Juges ; l'arbre de Jessé et Isaïe.
106
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Livre des nombres.
La Sainte-Chapelle.
Livre des nombres.
107
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> L'Exode
La Sainte-Chapelle.
L'Exode
108
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails de l'Exode.
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Exode.
109
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> A gauche, en trant. La Genèse
La Sainte-Chapelle.
A gauche, en trant. La Genèse
110
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails de la Genèse.
La Sainte-Chapelle.
Détails de la Genèse.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails de la Genèse.
La Sainte-Chapelle.
Détails de la Genèse.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Détails de la Genèse.
La Sainte-Chapelle.
Détails de la Genèse.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Au milieu d'une jolie arcature à jour qui traverse l'abside dans toute sa largeur, s'élève un baldaquin ogival, en bois, sous lequel étaient exposées les reliques (celles qui restent sont presque toutes, aujourd'hui, à Notre-Dame).
La Sainte-Chapelle.
Au milieu d'une jolie arcature à jour qui traverse l'abside dans toute sa largeur, s'élève un baldaquin ogival, en bois, sous lequel étaient exposées les reliques (celles qui restent sont presque toutes, aujourd'hui, à Notre-Dame).
114
<center>La Sainte-Chapelle.  </center> La grande châsse contenant les 22 reliques de la Passion du Christ, parmi lesquelles le fragment de la Vraie Croix et la Couronne d'Épines, était jadis exposée sur la tribune, et fut fondue à la Révolution. Les reliques subsistantes sont aujourd'hui conservées dans le trésor de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
La Sainte-Chapelle.
La grande châsse contenant les 22 reliques de la Passion du Christ, parmi lesquelles le fragment de la Vraie Croix et la Couronne d'Épines, était jadis exposée sur la tribune, et fut fondue à la Révolution. Les reliques subsistantes sont aujourd'hui conservées dans le trésor de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
La Sainte-Chapelle.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center> Deux escaliers de bois montent à la plate-forme.
La Sainte-Chapelle.
Deux escaliers de bois montent à la plate-forme.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
La Sainte-Chapelle.
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<center>La Sainte-Chapelle.  </center>
La Sainte-Chapelle.
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