La Basilique, le Musée d'Art et d'Histoire, la Maison d’éducation de la Légion d’Honneur.

<center> Basilique Saint Denis. </center>Le premier édifice s’élève sur la sépulture de saint Denis, un évêque missionnaire qui meurt sous le joug de l'autorité romaine dans la seconde partie du IIIe siècle. La façade (1135-1140) et le chevet (1140-1144) œuvre de l'abbé Suger, constituent un véritable hymne à la lumière, un manifeste du nouvel art gothique naissant tandis que  les autres parties de l'église actuelle édifiées au temps de Saint Louis de 1230 à 1280, témoignage de l'apogée de l'art gothique, dit rayonnant, dont le transept, d’une ampleur exceptionnelle, a permis d'accueillir les tombeaux royaux. Quarante-deux rois, trente-deux reines, soixante-trois princes et princesses, dix grands du royaume y reposèrent. Avec plus de soixante-dix gisants et tombeaux monumentaux, la nécropole royale de la basilique s’impose aujourd’hui comme le plus important ensemble de sculpture funéraire du XIIe au XVIe siècle en Europe..
Basilique Saint Denis.
Le premier édifice s’élève sur la sépulture de saint Denis, un évêque missionnaire qui meurt sous le joug de l'autorité romaine dans la seconde partie du IIIe siècle. La façade (1135-1140) et le chevet (1140-1144) œuvre de l'abbé Suger, constituent un véritable hymne à la lumière, un manifeste du nouvel art gothique naissant tandis que les autres parties de l'église actuelle édifiées au temps de Saint Louis de 1230 à 1280, témoignage de l'apogée de l'art gothique, dit rayonnant, dont le transept, d’une ampleur exceptionnelle, a permis d'accueillir les tombeaux royaux. Quarante-deux rois, trente-deux reines, soixante-trois princes et princesses, dix grands du royaume y reposèrent. Avec plus de soixante-dix gisants et tombeaux monumentaux, la nécropole royale de la basilique s’impose aujourd’hui comme le plus important ensemble de sculpture funéraire du XIIe au XVIe siècle en Europe..
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<center> Basilique Saint Denis. </center>La façade avec ses trois portails et son unique tour. La tour nord a disparu en 1846. Elle révèle une époque de transition : le plein cintre des porches et des arcades est caractéristique de l'architecture romane, la structure verticale en trois parties et la rosace portent singulièrement le gothique en eux. Suger a en effet opté pour la façade rappelant celui des abbatiales normandes mais en intégrant pour la première fois une rose au-dessus du portail central surmonté d'une baie à trois arcs. Les deux portails latéraux sont surmontés de deux niveaux de baies à trois arcades.
Basilique Saint Denis.
La façade avec ses trois portails et son unique tour. La tour nord a disparu en 1846. Elle révèle une époque de transition : le plein cintre des porches et des arcades est caractéristique de l'architecture romane, la structure verticale en trois parties et la rosace portent singulièrement le gothique en eux. Suger a en effet opté pour la façade rappelant celui des abbatiales normandes mais en intégrant pour la première fois une rose au-dessus du portail central surmonté d'une baie à trois arcs. Les deux portails latéraux sont surmontés de deux niveaux de baies à trois arcades.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>La façade, couronnée par une courtine crénelée, est percée de trois portails dont les ébrasements étaient ornés de statues-colonnes. Consacrés en 1140, ces portails sont les premiers portails royaux de l'art gothique, mais l'étendue des modifications et restaurations effectuées au cours des siècles rend plus difficile l'identification de leur apparence d'origine.
Basilique Saint Denis.
La façade, couronnée par une courtine crénelée, est percée de trois portails dont les ébrasements étaient ornés de statues-colonnes. Consacrés en 1140, ces portails sont les premiers portails royaux de l'art gothique, mais l'étendue des modifications et restaurations effectuées au cours des siècles rend plus difficile l'identification de leur apparence d'origine.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>La porte centrale du XIXe siècle imite fidèlement les portes de bronze d'origine sur lesquelles étaient figurées la Passion et la Résurrection. Quatre Vierges sages et les Vierges folles paraissent respectivement sur le piédroit de droite et de gauche.
Basilique Saint Denis.
La porte centrale du XIXe siècle imite fidèlement les portes de bronze d'origine sur lesquelles étaient figurées la Passion et la Résurrection. Quatre Vierges sages et les Vierges folles paraissent respectivement sur le piédroit de droite et de gauche.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le tympan du portail central montre un Jugement dernier : le premier registre figure la résurrection des morts qui émergent de leurs sarcophages. Le second registre représente le Christ en mandorle adossé à sa croix, les bras écartés tenant deux phylactères (celui de droite invite les Bienheureux, celui de gauche rejette les Damnés). Le Christ trônant est entouré des apôtres et aux extrémités, deux anges, l'un tenant une épée de feu et l'autre un olifant ainsi que deux vierges, encadrent la scène. Au registre supérieur, deux anges tiennent les instruments de la Passion, deux autres soutiennent le patibulum. Suger s'est fait représenter en prière aux pieds du Sauveur, dont il implore la clémence. Le Jugement se poursuit sur la voussure intérieure : le buste du Christ, reposant sur un nuage, sépare à gauche des scènes du paradis (deux anges portant les âmes des bienheureux, puis un ange serrant dans ses bras deux âmes et Abraham portant en son sein trois âmes), et à droite, des scènes infernales (pécheurs tourmentés par des démons et des monstres). Les trois autres voussures représentent les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse tenant des instruments de musique.
Basilique Saint Denis.
Le tympan du portail central montre un Jugement dernier : le premier registre figure la résurrection des morts qui émergent de leurs sarcophages. Le second registre représente le Christ en mandorle adossé à sa croix, les bras écartés tenant deux phylactères (celui de droite invite les Bienheureux, celui de gauche rejette les Damnés). Le Christ trônant est entouré des apôtres et aux extrémités, deux anges, l'un tenant une épée de feu et l'autre un olifant ainsi que deux vierges, encadrent la scène. Au registre supérieur, deux anges tiennent les instruments de la Passion, deux autres soutiennent le patibulum. Suger s'est fait représenter en prière aux pieds du Sauveur, dont il implore la clémence. Le Jugement se poursuit sur la voussure intérieure : le buste du Christ, reposant sur un nuage, sépare à gauche des scènes du paradis (deux anges portant les âmes des bienheureux, puis un ange serrant dans ses bras deux âmes et Abraham portant en son sein trois âmes), et à droite, des scènes infernales (pécheurs tourmentés par des démons et des monstres). Les trois autres voussures représentent les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse tenant des instruments de musique.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>La porte centrale du XIXe siècle imite fidèlement les portes de bronze d'origine sur lesquelles étaient figurées la Passion et la Résurrection.
Basilique Saint Denis.
La porte centrale du XIXe siècle imite fidèlement les portes de bronze d'origine sur lesquelles étaient figurées la Passion et la Résurrection.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Portail de droite. Le tympan  est consacré à la dernière communion, des mains du Christ même, de saint Denis et de ses compagnons. Ses piédroits représentent le calendrier dont les mois sont figurés par les travaux agricoles.
Basilique Saint Denis.
Portail de droite. Le tympan est consacré à la dernière communion, des mains du Christ même, de saint Denis et de ses compagnons. Ses piédroits représentent le calendrier dont les mois sont figurés par les travaux agricoles.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le portail de gauche. Le tympan représente Denis et ses compagnons, Rustique et Eleuthère, qui  sont conduits au supplice après avoir communié des mains du Christ lui-même. Sur les piedroits, les signes du zodiaque..
Basilique Saint Denis.
Le portail de gauche. Le tympan représente Denis et ses compagnons, Rustique et Eleuthère, qui sont conduits au supplice après avoir communié des mains du Christ lui-même. Sur les piedroits, les signes du zodiaque..
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade sud. Arcs-boutants de la nef.
Basilique Saint Denis.
Façade sud. Arcs-boutants de la nef.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade sud. Transept.
Basilique Saint Denis.
Façade sud. Transept.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade sud.
Basilique Saint Denis.
Façade sud.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le portail Sud.  Elle  donnait sur les bâtiments monastique (il s’agit pour Suger de la porte Saint-Eustache que le Liber ordinarius de 1234 qualifie de porte d’ivoire).
Basilique Saint Denis.
Le portail Sud. Elle donnait sur les bâtiments monastique (il s’agit pour Suger de la porte Saint-Eustache que le Liber ordinarius de 1234 qualifie de porte d’ivoire).
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le portail Sud.  Pierre de Montreuil fit exécuter par des grands sculpteurs du milieu du 13ème siècle, un portail sculpté, consacré au Jugement dernier d’une merveilleuse finesse, malgré les effroyables mutilations qu’il a subies.
Basilique Saint Denis.
Le portail Sud. Pierre de Montreuil fit exécuter par des grands sculpteurs du milieu du 13ème siècle, un portail sculpté, consacré au Jugement dernier d’une merveilleuse finesse, malgré les effroyables mutilations qu’il a subies.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le portail Sud.  Pierre de Montreuil fit exécuter par des grands sculpteurs du milieu du 13ème siècle, un portail sculpté, consacré au Jugement dernier d’une merveilleuse finesse, malgré les effroyables mutilations qu’il a subies.
Basilique Saint Denis.
Le portail Sud. Pierre de Montreuil fit exécuter par des grands sculpteurs du milieu du 13ème siècle, un portail sculpté, consacré au Jugement dernier d’une merveilleuse finesse, malgré les effroyables mutilations qu’il a subies.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le portail Sud.  Pierre de Montreuil a donné la pleine mesure de son génie dans le transept… Le percement, au sommet des murs du fond de l’un et l’autre bras, d’immenses roses situées au-dessous d’une galerie vitrée permettait une large diffusion de la clarté, autrefois tamisée par des vitraux appropriés.
Basilique Saint Denis.
Le portail Sud. Pierre de Montreuil a donné la pleine mesure de son génie dans le transept… Le percement, au sommet des murs du fond de l’un et l’autre bras, d’immenses roses situées au-dessous d’une galerie vitrée permettait une large diffusion de la clarté, autrefois tamisée par des vitraux appropriés.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord.
Basilique Saint Denis.
Façade nord.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord.
Basilique Saint Denis.
Façade nord.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord. La porte donnait sur le cimetière (il s’agit pour Suger de la porte du cimetière ou porte d’airain).
Basilique Saint Denis.
Façade nord. La porte donnait sur le cimetière (il s’agit pour Suger de la porte du cimetière ou porte d’airain).
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord. La façade du bras nord du transept est dominée par une large rose rayonnante. En dessous de celle-ci, on trouve un magnifique portail et une claire-voie. Au-dessus de la rose, un pignon à crochets, orné d'oculi et encadré de pinacles, qui couronnent les contreforts. Le portail du transept nord est appelé porte des Valois, car il donnait sur la rotonde des Valois au XVIe siècle. Cet édifice inachevé a été détruit au XVIIIe siècle.
Basilique Saint Denis.
Façade nord. La façade du bras nord du transept est dominée par une large rose rayonnante. En dessous de celle-ci, on trouve un magnifique portail et une claire-voie. Au-dessus de la rose, un pignon à crochets, orné d'oculi et encadré de pinacles, qui couronnent les contreforts. Le portail du transept nord est appelé porte des Valois, car il donnait sur la rotonde des Valois au XVIe siècle. Cet édifice inachevé a été détruit au XVIIIe siècle.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord.  Le portail possède un tympan qui lui est antérieur, il daterait de 1160. Malgré les mutilations et les restaurations du XIXe siècle, il conserve l'essentiel de sa sculpture d'origine (époque de Suger). Ce portail consacré à saint Denis marque une nouvelle fois la volonté de Suger de faire reconnaître le rôle de ce martyr comme protecteur de la royauté. Le trumeau figure la Vierge à l’Enfant. Les ébrasements sont garnis par les statues de six rois et l'on en trouve trente autres dans les voussures. Les devoirs des rois envers Saint Denis sont ainsi réaffirmés.
Les socles des statues sont ornés de figures humaines ou animales.
Basilique Saint Denis.
Façade nord. Le portail possède un tympan qui lui est antérieur, il daterait de 1160. Malgré les mutilations et les restaurations du XIXe siècle, il conserve l'essentiel de sa sculpture d'origine (époque de Suger). Ce portail consacré à saint Denis marque une nouvelle fois la volonté de Suger de faire reconnaître le rôle de ce martyr comme protecteur de la royauté. Le trumeau figure la Vierge à l’Enfant. Les ébrasements sont garnis par les statues de six rois et l'on en trouve trente autres dans les voussures. Les devoirs des rois envers Saint Denis sont ainsi réaffirmés. Les socles des statues sont ornés de figures humaines ou animales.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord. Le linteau montre le préfet romain Sisinnius ordonnant l'exécution de Saint Denis et de ses compagnons. Il tient dans sa main gauche un glaive imposant, symbole de son autorité temporelle. Une colonne sépare le préfet des saints qu’un garde amène devant lui. Ce soldat, à la figure patibulaire, tire sur les chaînes qui tiennent les trois martyrs en bride. La tête du saint présenté de face, au milieu ’est le seul visage original qui subsiste. e préfet étend le bras droit devant la colonne pour saisir la chaîne et traîner les saints devant lui. Larcia, celle qui avait pourtant dénoncé son mari ainsi que les trois saints, est ici celle de la Passion d’Hilduin : elle se prosterne devant Sisinnius. Derrière les saints, au centre du registre inférieur, se tient l’exécuteur du préfet, de face, s’apprêtant à flageller Denis qui est attaché à la colonne séparant la scène de l’autre panneau. . A droite vient l'épisode de la dernière communion. Dans sa prison, l’un des deux compagnons de Denis élève une patène dans sa main voilée, et l’autre un objet qui doit être une aiguière. Deux anges survolent la scène. L’un tient un encensoir, l’autre une patène comme celle du compagnon de Denis. Un calice est placé entre le Christ et Denis, au faîte du mur de la prison transformée en autel… Le tympan proprement dit représente les décollations de Saint Denis et de ses deux acolytes. Denis, décapité, est agenouillé au centre du tympan. En dessous, un feuillage pousse miraculeusement, nourri par le sang des martyrs. Sur la gauche, l’un des compagnons de Denis attend à genoux d’être exécuté par un autre bourreau qui apparaît derrière lui en levant sa hache ; le saint, horrifié en voyant la tête tranchée de son évêque, lève les mains en l’air. Le second compagnon, agenouillé, tourne le dos à Denis, les mains jointes, la tête penchée en avant. Un troisième bourreau saisit de la main gauche les cheveux du saint. Au sommet du tympan, deux colombes apportent la couronne du martyre qu’ils ont gagné, par leurs souffrances Dans les voussures trente rois sont représentés.
Basilique Saint Denis.
Façade nord. Le linteau montre le préfet romain Sisinnius ordonnant l'exécution de Saint Denis et de ses compagnons. Il tient dans sa main gauche un glaive imposant, symbole de son autorité temporelle. Une colonne sépare le préfet des saints qu’un garde amène devant lui. Ce soldat, à la figure patibulaire, tire sur les chaînes qui tiennent les trois martyrs en bride. La tête du saint présenté de face, au milieu ’est le seul visage original qui subsiste. e préfet étend le bras droit devant la colonne pour saisir la chaîne et traîner les saints devant lui. Larcia, celle qui avait pourtant dénoncé son mari ainsi que les trois saints, est ici celle de la Passion d’Hilduin : elle se prosterne devant Sisinnius. Derrière les saints, au centre du registre inférieur, se tient l’exécuteur du préfet, de face, s’apprêtant à flageller Denis qui est attaché à la colonne séparant la scène de l’autre panneau. . A droite vient l'épisode de la dernière communion. Dans sa prison, l’un des deux compagnons de Denis élève une patène dans sa main voilée, et l’autre un objet qui doit être une aiguière. Deux anges survolent la scène. L’un tient un encensoir, l’autre une patène comme celle du compagnon de Denis. Un calice est placé entre le Christ et Denis, au faîte du mur de la prison transformée en autel… Le tympan proprement dit représente les décollations de Saint Denis et de ses deux acolytes. Denis, décapité, est agenouillé au centre du tympan. En dessous, un feuillage pousse miraculeusement, nourri par le sang des martyrs. Sur la gauche, l’un des compagnons de Denis attend à genoux d’être exécuté par un autre bourreau qui apparaît derrière lui en levant sa hache ; le saint, horrifié en voyant la tête tranchée de son évêque, lève les mains en l’air. Le second compagnon, agenouillé, tourne le dos à Denis, les mains jointes, la tête penchée en avant. Un troisième bourreau saisit de la main gauche les cheveux du saint. Au sommet du tympan, deux colombes apportent la couronne du martyre qu’ils ont gagné, par leurs souffrances Dans les voussures trente rois sont représentés.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord. Arcs-boutants de la nef.
Basilique Saint Denis.
Façade nord. Arcs-boutants de la nef.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Façade nord.
Basilique Saint Denis.
Façade nord.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le chevet nord. Les arcs-boutants du chevet, entre lesquels s'intercalent les chapelles rayonnantes, sont plus fins que ceux de la nef.
Basilique Saint Denis.
Le chevet nord. Les arcs-boutants du chevet, entre lesquels s'intercalent les chapelles rayonnantes, sont plus fins que ceux de la nef.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>La nef de la basilique reconstruite au XIIIe siècle. Elle  mesure 108 mètres de long, 39 mètres de largeur et 29 mètres de haut. Afin de donner une impression de hauteur plus forte, les maîtres d'œuvre ont notamment utilisé des piliers formés par plusieurs colonnettes engagées, chacune correspondant aux nervures des différents arcs des arcs des voûtes.
Basilique Saint Denis.
La nef de la basilique reconstruite au XIIIe siècle. Elle mesure 108 mètres de long, 39 mètres de largeur et 29 mètres de haut. Afin de donner une impression de hauteur plus forte, les maîtres d'œuvre ont notamment utilisé des piliers formés par plusieurs colonnettes engagées, chacune correspondant aux nervures des différents arcs des arcs des voûtes.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Conformément au souhait de Suger, le chevet édifié de 1140 à 1144 est légèrement surélevé pour que le regard du pèlerin soit attiré dès son entrée dans l'édifice par les reliques de saint Denis.
Basilique Saint Denis.
Conformément au souhait de Suger, le chevet édifié de 1140 à 1144 est légèrement surélevé pour que le regard du pèlerin soit attiré dès son entrée dans l'édifice par les reliques de saint Denis.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Baldaquin. Construction en forme de chapelle placée à l'origine au-dessus du gisant de Marguerite de Flandre, fille de Philippe V et de Jeanne de Bourgogne (morte en 1382). Seconde moitié du XIVe s, bois et pierre.
Reliquaires. Ossements présumés de saint Denis, Rustique et Eleuthère. 1817, métal doré.
Autel des Corps saints. Il remplace celui érigé au XIIe siècle par l'abbé Suger. Réalisé en orfèvrerie, constellé de pierres précieuses, il supportait les trois châsses en argent de Denis, Rustique et Eleuthère. XIXe siècle, pierre.
Basilique Saint Denis.
Baldaquin. Construction en forme de chapelle placée à l'origine au-dessus du gisant de Marguerite de Flandre, fille de Philippe V et de Jeanne de Bourgogne (morte en 1382). Seconde moitié du XIVe s, bois et pierre. Reliquaires. Ossements présumés de saint Denis, Rustique et Eleuthère. 1817, métal doré. Autel des Corps saints. Il remplace celui érigé au XIIe siècle par l'abbé Suger. Réalisé en orfèvrerie, constellé de pierres précieuses, il supportait les trois châsses en argent de Denis, Rustique et Eleuthère. XIXe siècle, pierre.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le ciborium.
Basilique Saint Denis.
Le ciborium.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le ciborium.
Basilique Saint Denis.
Le ciborium.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le ciborium.
Basilique Saint Denis.
Le ciborium.
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<center>Les stalles</center>Commande du cardinal Georges d'Amboise, archevêque de Rouen. Exceptionnelles pour la profusion et la qualité du décor sculpté, ces sièges utilisés par les moines témoignent de l'introduction de la Renaissance dans le monde gothique.
Provenance : chapelle du château de Gaillon (Eure).
Saint-Denis en 1860. début XVIe siècle bois de chêne et essences diverses.
Les stalles
Commande du cardinal Georges d'Amboise, archevêque de Rouen. Exceptionnelles pour la profusion et la qualité du décor sculpté, ces sièges utilisés par les moines témoignent de l'introduction de la Renaissance dans le monde gothique. Provenance : chapelle du château de Gaillon (Eure). Saint-Denis en 1860. début XVIe siècle bois de chêne et essences diverses.
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<center>Les stalles</center>Vraisemblablement, elles sont dûes à un artiste italien. Elles figurent, dans les panneaux de marqueterie de couluers situés au-dessus des siègles, les Vertus et les Sybilles, et, dans les hauts dossiers, les épisodes la vie du Christ et de la Vierge ainsi que du martyre de Saint-Jean Baptiste.
Les stalles
Vraisemblablement, elles sont dûes à un artiste italien. Elles figurent, dans les panneaux de marqueterie de couluers situés au-dessus des siègles, les Vertus et les Sybilles, et, dans les hauts dossiers, les épisodes la vie du Christ et de la Vierge ainsi que du martyre de Saint-Jean Baptiste.
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<center>Les stalles</center>Les Anciens appelaient sibylles certaines femmes auxquelles ils attribuaient la connaissance de l'avenir et le don de prophétie. Certains écrivains chrétiens, comme saint Augustin, crurent pouvoir affirmer que les sibylles avaient annoncé la naissance de Jésus et l’avènement du christianisme. Décapitation de Saint Jean-Baptiste.
Les stalles
Les Anciens appelaient sibylles certaines femmes auxquelles ils attribuaient la connaissance de l'avenir et le don de prophétie. Certains écrivains chrétiens, comme saint Augustin, crurent pouvoir affirmer que les sibylles avaient annoncé la naissance de Jésus et l’avènement du christianisme. Décapitation de Saint Jean-Baptiste.
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<center>Les stalles</center>La Prudence. Prêche de saint Jean-Baptiste.
Les stalles
La Prudence. Prêche de saint Jean-Baptiste.
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<center>Les stalles</center>Baptême de Jésus.
Les stalles
Baptême de Jésus.
35
<center>Les stalles</center>La Justice. Naissance de Marie.
Les stalles
La Justice. Naissance de Marie.
36
<center>Les stalles</center>Rencontre à la Porte Dorée.
Les stalles
Rencontre à la Porte Dorée.
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<center>Les stalles</center>Sibylle Hellespontique.
Les stalles
Sibylle Hellespontique.
38
<center>Les stalles</center>Anne et Marie.
Les stalles
Anne et Marie.
39
<center>Les stalles</center>Miséricorde. La miséricorde, également appelée patience ou crédence, est une petite console fixée à la partie inférieure du siège pliant d'une stalle de chœur. Elle permet au clerc ou au moine qui participe à l'office divin de prendre appui sur elle lorsqu'il se tient debout et que son siège est relevé.
Les stalles
Miséricorde. La miséricorde, également appelée patience ou crédence, est une petite console fixée à la partie inférieure du siège pliant d'une stalle de chœur. Elle permet au clerc ou au moine qui participe à l'office divin de prendre appui sur elle lorsqu'il se tient debout et que son siège est relevé.
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<center>Les stalles</center>Miséricorde. La légende de saint Eustache
Les stalles
Miséricorde. La légende de saint Eustache
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<center>Les stalles</center>Miséricorde.
Les stalles
Miséricorde.
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<center>Les stalles</center>Miséricorde.
Les stalles
Miséricorde.
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<center>Les stalles</center>Miséricorde.
Les stalles
Miséricorde.
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<center>Les stalles</center>Miséricorde.
Les stalles
Miséricorde.
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<center>Les stalles</center>
Les stalles
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<center>Les stalles</center>Lapidation de saint Etienne
Les stalles
Lapidation de saint Etienne
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<center>Les stalles</center>La cathèdre.
Les stalles
La cathèdre.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Collatéral droit.
Basilique Saint Denis.
Collatéral droit.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Collatéral gauche et entrée du transept nord.
Basilique Saint Denis.
Collatéral gauche et entrée du transept nord.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Voûte de la nef.
Basilique Saint Denis.
Voûte de la nef.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Voûte de la nef.
Basilique Saint Denis.
Voûte de la nef.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Voûte du collatéral.
Basilique Saint Denis.
Voûte du collatéral.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Voûte du déambulatoire.
Basilique Saint Denis.
Voûte du déambulatoire.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le  déambulatoire.
Basilique Saint Denis.
Le déambulatoire.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Le déambulatoire et ses chapelles rayonnantes.
Basilique Saint Denis.
Le déambulatoire et ses chapelles rayonnantes.
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<center>Chapelle saint Hilaire</center>Retable : Crucifixion. De gauche à droite : la Vierge, la Crucifixion, saint Jean. XIIIe siècle pierre.
Verrières composées par Eugène Viollet-le-Duc à partir de quelques fragments anciens. XIXe siècle.
Vitrail dit aux griffons. Le griffon est un animal mythique à bec et ailes d'aigle et au corps de lion. Par son lien à la terre et au ciel, il symbolise la double nature du Christ.
Chapelle saint Hilaire
Retable : Crucifixion. De gauche à droite : la Vierge, la Crucifixion, saint Jean. XIIIe siècle pierre. Verrières composées par Eugène Viollet-le-Duc à partir de quelques fragments anciens. XIXe siècle. Vitrail dit aux griffons. Le griffon est un animal mythique à bec et ailes d'aigle et au corps de lion. Par son lien à la terre et au ciel, il symbolise la double nature du Christ.
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<center>Chapelle saint Eugène</center>Retable : Crucifixion. De gauche à droite l'Eglise, la Crucifixion, la Synagogue.
Vitrail. A gauche, et de bas en haut. Verrière composite aménagée en 1958 par l'architecte Jules Formigé. Panneaux 1. 2. 3, et 4, XIIIe siècle. Panneau 5. Suger. XIIe siècle. 1/ Christ en majesté. 2/ Vierge sage. 3/ Vierge folle. 4/ Roi musicien. 5/ Fragment de l'arbre de Jessé.
A droite, vitrail décoratif. XXe siècle.
Chapelle saint Eugène
Retable : Crucifixion. De gauche à droite l'Eglise, la Crucifixion, la Synagogue. Vitrail. A gauche, et de bas en haut. Verrière composite aménagée en 1958 par l'architecte Jules Formigé. Panneaux 1. 2. 3, et 4, XIIIe siècle. Panneau 5. Suger. XIIe siècle. 1/ Christ en majesté. 2/ Vierge sage. 3/ Vierge folle. 4/ Roi musicien. 5/ Fragment de l'arbre de Jessé. A droite, vitrail décoratif. XXe siècle.
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<center>Chapelle saint Eugène</center>De gauche à droite : l'Eglise, la Crucifixion, la Synagogue.
Chapelle saint Eugène
De gauche à droite : l'Eglise, la Crucifixion, la Synagogue.
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<center>Chapelle saint Cucuphas</center>Retable. Crucifixion. XIIIe siècle, pierre.
Chapelle saint Cucuphas
Retable. Crucifixion. XIIIe siècle, pierre.
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<center>Chapelle saint Cucuphas</center>
Chapelle saint Cucuphas
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<center>Chapelle saint Cucuphas</center>Retable. Crucifixion. XIIIe siècle, pierre.
Chapelle saint Cucuphas
Retable. Crucifixion. XIIIe siècle, pierre.
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<center>Chapelle saint Cucuphas</center>A gauche et de bas en haut : Panneau 3, Suger, XIIe siècle. Panneaux 1. 2. 4 et 5, création d'Eugène Viollet-le-Duc et d'Alfred Gérente. 1854.
Vitrail : Visions d'Ezéchiel.
1/ Dieu donne le livre à Ezéchiel. 2/ Le châtiment de la Ville. 3/ Le signe du Tau. 4/ La promesse d'un nouveau David. 5/ La porte fermée du sanctuaire
Chapelle saint Cucuphas
A gauche et de bas en haut : Panneau 3, Suger, XIIe siècle. Panneaux 1. 2. 4 et 5, création d'Eugène Viollet-le-Duc et d'Alfred Gérente. 1854. Vitrail : Visions d'Ezéchiel. 1/ Dieu donne le livre à Ezéchiel. 2/ Le châtiment de la Ville. 3/ Le signe du Tau. 4/ La promesse d'un nouveau David. 5/ La porte fermée du sanctuaire
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<center>Chapelle saint Cucuphas</center>Verrière créée par Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. 1854. Vitrail : l'Apocalypse. A droite, et de bas en haut : 1/Le Christ entouré des symboles des évangélistes.  2/ L'Apôtre Jean dans l'île de Patmos. 3/ La Jérusalem céleste.
Chapelle saint Cucuphas
Verrière créée par Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. 1854. Vitrail : l'Apocalypse. A droite, et de bas en haut : 1/Le Christ entouré des symboles des évangélistes. 2/ L'Apôtre Jean dans l'île de Patmos. 3/ La Jérusalem céleste.
64
<center>Chapelle saint Cucuphas</center>Dallage. Motifs géométriques, d'après le pavement médiéval en partie retrouvé lors de fouilles menées par Viollet-le-Duc. XIXe siècle terre cuite.
Chapelle saint Cucuphas
Dallage. Motifs géométriques, d'après le pavement médiéval en partie retrouvé lors de fouilles menées par Viollet-le-Duc. XIXe siècle terre cuite.
65
<center>Chapelle de la Vierge</center>Reliquaire : fragment supposé d'un poignet de Saint Louis. Offert par le Mémorial de France à Saint-Denis, le 8 mai 1956. XIXe siècle métal doré.
Retable l'Enfance du Christ. De gauche à droite : 1/La Nativité. 2/Les Rois mages. 3/Vierge à l'Enfant. 4/Le massacre des Innocents. 5/La fuite en Égypte. XIIIe siècle, pierre peinte
Chapelle de la Vierge
Reliquaire : fragment supposé d'un poignet de Saint Louis. Offert par le Mémorial de France à Saint-Denis, le 8 mai 1956. XIXe siècle métal doré. Retable l'Enfance du Christ. De gauche à droite : 1/La Nativité. 2/Les Rois mages. 3/Vierge à l'Enfant. 4/Le massacre des Innocents. 5/La fuite en Égypte. XIIIe siècle, pierre peinte
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<center>Chapelle de la Vierge</center>
Chapelle de la Vierge
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<center>Chapelle de la Vierge</center>Reliquaire : fragment supposé d'un poignet de Saint Louis. Offert par le Mémorial de France à Saint-Denis, le 8 mai 1956. XIXe siècle métal doré
Retable l'Enfance du Christ. De gauche à droite : 1/La Nativité. 2/Les Rois mages. 3/Vierge à l'Enfant. 4/Le massacre des Innocents. 5/La fuite en Égypte. XIIIe siècle, pierre peinte
Chapelle de la Vierge
Reliquaire : fragment supposé d'un poignet de Saint Louis. Offert par le Mémorial de France à Saint-Denis, le 8 mai 1956. XIXe siècle métal doré Retable l'Enfance du Christ. De gauche à droite : 1/La Nativité. 2/Les Rois mages. 3/Vierge à l'Enfant. 4/Le massacre des Innocents. 5/La fuite en Égypte. XIIIe siècle, pierre peinte
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<center>Chapelle de la Vierge</center>Vitrail, à gauche, et de bas en haut : panneaux 1 et 2 Suger. XIIe s. Les autres panneaux : création d'Eugène VioIlet-le-Duc et d'Alfred Gérente. 1849. Vitrail l'Enfance du Christ : 1/L'Annonciation. 2/La Nativité. 3/Le voyage des Rois mages. 4/La fuite en Égypte 5/Jésus et les docteurs. 6/La dormition de la Vierge
Chapelle de la Vierge
Vitrail, à gauche, et de bas en haut : panneaux 1 et 2 Suger. XIIe s. Les autres panneaux : création d'Eugène VioIlet-le-Duc et d'Alfred Gérente. 1849. Vitrail l'Enfance du Christ : 1/L'Annonciation. 2/La Nativité. 3/Le voyage des Rois mages. 4/La fuite en Égypte 5/Jésus et les docteurs. 6/La dormition de la Vierge
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<center>Chapelle de la Vierge</center>A droite et de bas en haut. Panneaux 1 et 2 reconstitués par Eugène Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. 1818. Panneaux 3 à 6. Suger. XIIe siècle.
Vitrail l'Arbre de Jessé : 1/Jessé. 2 à 4/Rois d'Israël. 5/Marie 6/Le Christ. Viollet-le-Duc a fait représenter Suger en bas à droite.
Chapelle de la Vierge
A droite et de bas en haut. Panneaux 1 et 2 reconstitués par Eugène Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. 1818. Panneaux 3 à 6. Suger. XIIe siècle. Vitrail l'Arbre de Jessé : 1/Jessé. 2 à 4/Rois d'Israël. 5/Marie 6/Le Christ. Viollet-le-Duc a fait représenter Suger en bas à droite.
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<center>Chapelle de la Vierge</center>Dallage. Motifs géométriques, d'après le pavement médiéval en partie retrouvé lors de fouilles menées par Viollet-le-Duc. XIXe siècle terre cuite.
Chapelle de la Vierge
Dallage. Motifs géométriques, d'après le pavement médiéval en partie retrouvé lors de fouilles menées par Viollet-le-Duc. XIXe siècle terre cuite.
71
<center>Chapelle saint Pérégrin</center>Retable : la Crucifixion. De gauche à droite : Prédication, Crucifixion, Décollation. Vers 1250-1260 pierre.
Chapelle saint Pérégrin
Retable : la Crucifixion. De gauche à droite : Prédication, Crucifixion, Décollation. Vers 1250-1260 pierre.
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<center>Chapelle saint Pérégrin</center>De gauche à droite : Prédication, Crucifixion, Décollation. Vers 1250-1260 pierre.
Chapelle saint Pérégrin
De gauche à droite : Prédication, Crucifixion, Décollation. Vers 1250-1260 pierre.
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<center>Chapelle saint Pérégrin</center>A droite et de bas en haut : panneaux 1 et 5, Suger, XIIe s. Panneaux 2, 3 et 4, création à partir des textes de Suger, Viollet-le-Duc et d'Alfred Gérente. XIXe siècle.
Vitrail : les Allégories de saint Paul, dit vitrail
Chapelle saint Pérégrin
A droite et de bas en haut : panneaux 1 et 5, Suger, XIIe s. Panneaux 2, 3 et 4, création à partir des textes de Suger, Viollet-le-Duc et d'Alfred Gérente. XIXe siècle. Vitrail : les Allégories de saint Paul, dit vitrail "anagogique". 1/Le Christ entre l'Eglise et la synagogue. 2/Moïse dévoilé. 3/Le moulin de saint Paul. 4/L'ouverture du livre par le lion et l'agneau. 5/L'Arche d'alliance.
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<center>Chapelle saint Pérégrin</center>A gauche et de bas en haut : panneaux 1 à 5, Suger, XIIe s. Demi médaillons, création d'Eugène Viollet-le-Duc et d'Alfred Gérente. XIXe siècle.
Vitrail : la Vie de Moïse. 1/Moïse sauvé des eaux 2/Le Buisson ardent. 3/Le passage de la mer Rouge 4/La Loi donnée à Moïse sur le mont Sinaï. 5/Le serpent d'airain.
Chapelle saint Pérégrin
A gauche et de bas en haut : panneaux 1 à 5, Suger, XIIe s. Demi médaillons, création d'Eugène Viollet-le-Duc et d'Alfred Gérente. XIXe siècle. Vitrail : la Vie de Moïse. 1/Moïse sauvé des eaux 2/Le Buisson ardent. 3/Le passage de la mer Rouge 4/La Loi donnée à Moïse sur le mont Sinaï. 5/Le serpent d'airain.
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<center>Chapelle saint Pérégrin</center>Dallage. Semis de fleurs de lys et tours. XIXe siècle, pierre.
Chapelle saint Pérégrin
Dallage. Semis de fleurs de lys et tours. XIXe siècle, pierre.
76
<center>Le déambulatoire.</center>
Le déambulatoire.
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<center>Chapelle saint Maurice</center>Retable saint Eustache. De gauche à droite : 1/Vision du cerf. 2/Baptême de la famille de saint Eustache. 3/Crucifixion. 4/Traversée du fleuve et rapt des deux enfants. 5/Martyre dans le taureau d'airain. XIIIe siècle, pierre.
Chapelle saint Maurice
Retable saint Eustache. De gauche à droite : 1/Vision du cerf. 2/Baptême de la famille de saint Eustache. 3/Crucifixion. 4/Traversée du fleuve et rapt des deux enfants. 5/Martyre dans le taureau d'airain. XIIIe siècle, pierre.
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<center>Chapelle saint Maurice</center>Retable saint Eustache. De gauche à droite : 1/Vision du cerf. 2/Baptême de la famille de saint Eustache. 3/Crucifixion. 4/Traversée du fleuve et rapt des deux enfants. 5/Martyre dans le taureau d'airain. XIIIe siècle, pierre.
Chapelle saint Maurice
Retable saint Eustache. De gauche à droite : 1/Vision du cerf. 2/Baptême de la famille de saint Eustache. 3/Crucifixion. 4/Traversée du fleuve et rapt des deux enfants. 5/Martyre dans le taureau d'airain. XIIIe siècle, pierre.
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<center>Chapelle saint Maurice</center>A droite et de bas en haut. Verrière créée par Eugène Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. XIXe siècle. Vitrail l'Enfance du Christ : 1/Les Mages chez Hérode. 2/ Ordre du massacre des Innocents. 3/La fuite en Égypte. 4/Le massacre des Innocents.
Chapelle saint Maurice
A droite et de bas en haut. Verrière créée par Eugène Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. XIXe siècle. Vitrail l'Enfance du Christ : 1/Les Mages chez Hérode. 2/ Ordre du massacre des Innocents. 3/La fuite en Égypte. 4/Le massacre des Innocents.
80
<center>Chapelle saint Maurice</center>A gauche et de bas en haut. Verrière créée par Eugène Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. XIXe siècle. Vitrail saint Maurice et la légion thébaine : 1/Saint Maurice refuse de sacrifier aux idoles. 2/Les insignes de la légion thébaine. 3/Les empereurs Dioclétien et Maximien. 4/L'exécution du saint et de ses compagnons.
Chapelle saint Maurice
A gauche et de bas en haut. Verrière créée par Eugène Viollet-le-Duc et Alfred Gérente. XIXe siècle. Vitrail saint Maurice et la légion thébaine : 1/Saint Maurice refuse de sacrifier aux idoles. 2/Les insignes de la légion thébaine. 3/Les empereurs Dioclétien et Maximien. 4/L'exécution du saint et de ses compagnons.
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<center>Chapelle saint Maurice</center>Dallage. Décor de chimères. XIXe siècle, pierre
Chapelle saint Maurice
Dallage. Décor de chimères. XIXe siècle, pierre
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<center>Chapelle sainte Osmanne</center>Retable : les douze apôtres, retable dit
Chapelle sainte Osmanne
Retable : les douze apôtres, retable dit "de Crosby". Découvert sous le dallage du transept sud lors de fouilles menées par Sumner McKnight Crosby en 1947. XIIe siècle, pierre.
83
<center>Chapelle sainte Osmanne</center>Verrières recomposées par Eugène Viollet-le-Duc à partir de quelques fragments anciens. XIIe et XIXe siècles. Vitrail dit aux griffons. Le griffon est un animal mythique à bec et ailes d'aigle et au corps de lion. Par son lien à la terre et au ciel, il symbolise la double nature du Christ.
Chapelle sainte Osmanne
Verrières recomposées par Eugène Viollet-le-Duc à partir de quelques fragments anciens. XIIe et XIXe siècles. Vitrail dit aux griffons. Le griffon est un animal mythique à bec et ailes d'aigle et au corps de lion. Par son lien à la terre et au ciel, il symbolise la double nature du Christ.
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<center>Chapelle sainte Osmanne</center>Verrières recomposées par Eugène Viollet-le-Duc à partir de quelques fragments anciens. XIIe et XIXe siècles.
Vitrail dit aux griffons. Le griffon est un animal mythique à bec et ailes d'aigle et au corps de lion. Par son lien à la terre et au ciel, il symbolise la double nature du Christ.
Chapelle sainte Osmanne
Verrières recomposées par Eugène Viollet-le-Duc à partir de quelques fragments anciens. XIIe et XIXe siècles. Vitrail dit aux griffons. Le griffon est un animal mythique à bec et ailes d'aigle et au corps de lion. Par son lien à la terre et au ciel, il symbolise la double nature du Christ.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Allégorie de la Tempérance ?
Basilique Saint Denis.
Allégorie de la Tempérance ?
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<center> Basilique Saint Denis. </center>Grandes orgues. Cet instrument, première réalisation d'Aristide Cavaillé-Coll, devait assurer à ce facteur d'orgues de génie une immense notoriété durant un demi-siècle. 1841.
Basilique Saint Denis.
Grandes orgues. Cet instrument, première réalisation d'Aristide Cavaillé-Coll, devait assurer à ce facteur d'orgues de génie une immense notoriété durant un demi-siècle. 1841.
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<center> Basilique Saint Denis. </center>
Basilique Saint Denis.
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<center>Les vitraux. </center>Rois et reines dans la nef, côté sud, 
vitrail du XIXe siècle.
Les vitraux.
Rois et reines dans la nef, côté sud, vitrail du XIXe siècle.
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<center>Les vitraux. </center>Rois et reines dans la nef, côté sud, 
vitrail du XIXe siècle.
Les vitraux.
Rois et reines dans la nef, côté sud, vitrail du XIXe siècle.
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<center>Les vitraux. </center>Rois et reines dans la nef, côté sud,
vitrail du XIXe siècle.
Les vitraux.
Rois et reines dans la nef, côté sud, vitrail du XIXe siècle.
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<center>Les vitraux. </center>Transept côté sud. A gauche : 1824, obsèques de Louis XVIII ; 1825 , dédicace à la chapelle funèbre sous le règne de Charles X. A droite : Louis-Philippe accompagné de sa famille visite les caveaux de l'abbaye royale de St Denis le 24 juillet 1837. Vitrail de Jean-Baptiste Debret.
Les vitraux.
Transept côté sud. A gauche : 1824, obsèques de Louis XVIII ; 1825 , dédicace à la chapelle funèbre sous le règne de Charles X. A droite : Louis-Philippe accompagné de sa famille visite les caveaux de l'abbaye royale de St Denis le 24 juillet 1837. Vitrail de Jean-Baptiste Debret.
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<center>Les vitraux. </center>Rois et reines dans la nef, côté nord,
vitrail du XIXe siècle.
Les vitraux.
Rois et reines dans la nef, côté nord, vitrail du XIXe siècle.
93
<center>Les vitraux. </center>Rois et reines dans la nef, côté nord,
vitrail du XIXe siècle.
Les vitraux.
Rois et reines dans la nef, côté nord, vitrail du XIXe siècle.
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<center>Les vitraux. </center>Rois et reines dans la nef, côté nord,
vitrail du XIXe siècle.
Les vitraux.
Rois et reines dans la nef, côté nord, vitrail du XIXe siècle.
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<center>Les vitraux. </center>Transept côté nord.
Les vitraux.
Transept côté nord.
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<center>Les vitraux. </center>Transept côté nord. Vitrail de la vie des rois de France dans le croisillon nord (XIXe siècle). De gauche à droite : Pierre l'ermite prêche la 1ère croisade ; les croisés mettent en fuite les musulmans ; Louis VII prend la croix pour la 2ème croisade ; Louis VII est victorieux des sarrasins ; Philippe Auguste débarque devant Ptolémaïs ; Saint Louis prêche à ses enfants l'amour de la justice ; Saint louis captif reçoit les consolations du ciel ; Baudouin fonde l'empire latin de Constantinople.
Les vitraux.
Transept côté nord. Vitrail de la vie des rois de France dans le croisillon nord (XIXe siècle). De gauche à droite : Pierre l'ermite prêche la 1ère croisade ; les croisés mettent en fuite les musulmans ; Louis VII prend la croix pour la 2ème croisade ; Louis VII est victorieux des sarrasins ; Philippe Auguste débarque devant Ptolémaïs ; Saint Louis prêche à ses enfants l'amour de la justice ; Saint louis captif reçoit les consolations du ciel ; Baudouin fonde l'empire latin de Constantinople.
97
<center>Les vitraux. </center>Transept côté nord, Arbre de Jessé. Au-dessous de la rose, la galerie des papes.
Les vitraux.
Transept côté nord, Arbre de Jessé. Au-dessous de la rose, la galerie des papes.
98
<center>Les vitraux. </center>Transept côté nord, Arbre de Jessé.
Les vitraux.
Transept côté nord, Arbre de Jessé.
99
<center>Les vitraux. </center>Les vitraux du choeur relatent la vie et le martyre de Saint Denis (avec ses compagnons Rusticus et Eleuthère) ainsi que la translation du corps et les premières étapes de la construction de la basilique
Les vitraux.
Les vitraux du choeur relatent la vie et le martyre de Saint Denis (avec ses compagnons Rusticus et Eleuthère) ainsi que la translation du corps et les premières étapes de la construction de la basilique
100
<center>Les vitraux. </center>Sentence du martyre ; Prédication du Saint et Refus d'adorer les idoles.
Les vitraux.
Sentence du martyre ; Prédication du Saint et Refus d'adorer les idoles.
101
<center>Les vitraux. </center>De gauche à droite : Prédication du Saint et Refus d'adorer les idoles ;  Saint Denis est flagellé et passé au grill ;  Apparition du Christ lors de la communion ;  Enchaînés vers le supplice.
Les vitraux.
De gauche à droite : Prédication du Saint et Refus d'adorer les idoles ; Saint Denis est flagellé et passé au grill ; Apparition du Christ lors de la communion ; Enchaînés vers le supplice.
102
<center>Les vitraux. </center>Décapitation ; Marche avec la tête dans ses mains ;  Catulla emmène son corps en cachette ; Enterrement.
Les vitraux.
Décapitation ; Marche avec la tête dans ses mains ; Catulla emmène son corps en cachette ; Enterrement.
103
<center>Les vitraux. </center>Décapitation ; Marche avec la tête dans ses mains ;  Catulla emmène son corps en cachette ; Enterrement.
Les vitraux.
Décapitation ; Marche avec la tête dans ses mains ; Catulla emmène son corps en cachette ; Enterrement.
104
<center>Les vitraux. </center>Enchaînés vers le supplice ; Décapitation ; Marche ;  Catulla emmène son corps en cachette ; Enterrement.
Les vitraux.
Enchaînés vers le supplice ; Décapitation ; Marche ; Catulla emmène son corps en cachette ; Enterrement.
105
<center>Les vitraux. </center>Sainte Geneviève retrouve la sépulture ;  Dagobert construit un sanctuaire et Suger pose la première pierre de la basilique ; Guérison du lépreux par le Christ et Consécration du temple, Arrivée de Charlemagne sur le lieu de la sépulture de pépin le Bref ; Saint Louis devant la sépulture de Dagobert et construction de la basilique.
Les vitraux.
Sainte Geneviève retrouve la sépulture ; Dagobert construit un sanctuaire et Suger pose la première pierre de la basilique ; Guérison du lépreux par le Christ et Consécration du temple, Arrivée de Charlemagne sur le lieu de la sépulture de pépin le Bref ; Saint Louis devant la sépulture de Dagobert et construction de la basilique.
106
<center>La nécropole royale.</center>La fonction funéraire de la basilique existe depuis ses origines. Dès le Ve siècle, les aristocrates mérovingiens se font enterrer au plus près du saint. Dagobert ouvre la voie à une nécropole royale. En 639, dans la lignée de sa politique favorable à l’abbaye, il choisit Saint-Denis comme dernière demeure. Plus d’un siècle plus tard, en 768, le roi franc Pépin le Bref, sacré dans ce même lieu par le pape, choisit de s’y faire enterrer. C’est au cours du XIIe siècle, après les exceptions de Philippe Ier († 1108) ou Louis VII († 1180), que l’action des abbés de Saint-Denis conduit à transformer en tradition l’habitude d’inhumer les rois. Tombeau de François Ier et Claude de France
La nécropole royale.
La fonction funéraire de la basilique existe depuis ses origines. Dès le Ve siècle, les aristocrates mérovingiens se font enterrer au plus près du saint. Dagobert ouvre la voie à une nécropole royale. En 639, dans la lignée de sa politique favorable à l’abbaye, il choisit Saint-Denis comme dernière demeure. Plus d’un siècle plus tard, en 768, le roi franc Pépin le Bref, sacré dans ce même lieu par le pape, choisit de s’y faire enterrer. C’est au cours du XIIe siècle, après les exceptions de Philippe Ier († 1108) ou Louis VII († 1180), que l’action des abbés de Saint-Denis conduit à transformer en tradition l’habitude d’inhumer les rois. Tombeau de François Ier et Claude de France
107
<center>François Ier et Claude de France</center>François 1er. 1494  1547,  roi de France de 1515 à 1547.
Claude de France. 1499-1524.,  reine de France de 1515 à 1524, première épouse de François 1er.
Tombeau. Par Philibert Delorme, Pierre Bontemps et François Marchand mais  surtout Le Primatice qui prend la relève de De L’Orme en 1558. Marbre.
Commande d'Henri II en 1548. Le complexe funéraire s’apparente à un mausolée : il se présente comme un arc de triomphe à trois arcades, l’arcade centrale accueillant les  corps  de  François  Ier  et  de  Claude  de  France.
François Ier et Claude de France
François 1er. 1494 1547, roi de France de 1515 à 1547. Claude de France. 1499-1524., reine de France de 1515 à 1524, première épouse de François 1er. Tombeau. Par Philibert Delorme, Pierre Bontemps et François Marchand mais surtout Le Primatice qui prend la relève de De L’Orme en 1558. Marbre. Commande d'Henri II en 1548. Le complexe funéraire s’apparente à un mausolée : il se présente comme un arc de triomphe à trois arcades, l’arcade centrale accueillant les corps de François Ier et de Claude de France.
108
<center>François Ier et Claude de France</center>A l'intérieur transis du roi et de la reine.
François Ier et Claude de France
A l'intérieur transis du roi et de la reine.
109
<center>François Ier et Claude de France</center>Sur la plate-forme, priants du roi, de la reine et de trois de leurs enfants.
François Ier et Claude de France
Sur la plate-forme, priants du roi, de la reine et de trois de leurs enfants.
110
<center>François Ier et Claude de France</center>Bas-reliefs du soubassement : batailles de Marignan (face avant) et de Cérisoles (face arrière).
François Ier et Claude de France
Bas-reliefs du soubassement : batailles de Marignan (face avant) et de Cérisoles (face arrière).
111
<center>François Ier et Claude de France</center>
François Ier et Claude de France
112
<center>François Ier et Claude de France</center>La reine.
François Ier et Claude de France
La reine.
113
<center>François Ier et Claude de France</center>Le roi.
François Ier et Claude de France
Le roi.
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<center>François Ier et Claude de France</center>
François Ier et Claude de France
115
<center>François Ier et Claude de France</center>
François Ier et Claude de France
116
<center>Monument de cœur de François Ier. </center>Commande d'Henri II à Pierre Bontemps en 1550. Provenance : abbaye des Hautes-Bruyères (Yvelines). Achevé en 1556, marbre
Monument de cœur de François Ier.
Commande d'Henri II à Pierre Bontemps en 1550. Provenance : abbaye des Hautes-Bruyères (Yvelines). Achevé en 1556, marbre
117
<center>Monument de cœur de François Ier. </center>Bas-reliefs de l'urne : quatre reliefs représentant l'Architecture, la Topométrie,
Monument de cœur de François Ier.
Bas-reliefs de l'urne : quatre reliefs représentant l'Architecture, la Topométrie,
118
<center>Monument de cœur de François Ier. </center>la Sculpture et la Peinture.
Monument de cœur de François Ier.
la Sculpture et la Peinture.
119
<center>Monument de cœur de François Ier. </center>Soubassement : l'Astronomie,
Monument de cœur de François Ier.
Soubassement : l'Astronomie,
120
<center>Monument de cœur de François Ier. </center>la Musique vocale
Monument de cœur de François Ier.
la Musique vocale
121
<center>Monument de cœur de François Ier. </center>la Musique instrumentale
Monument de cœur de François Ier.
la Musique instrumentale
122
<center>Monument de cœur de François Ier. </center>la Poésie lyrique.
Monument de cœur de François Ier.
la Poésie lyrique.
123
<center>La nécropole royale. </center>Henri III, 1574-1589, épouse, Louise de Lorraine.
La nécropole royale.
Henri III, 1574-1589, épouse, Louise de Lorraine.
124
<center>Ducs d'Orléans.</center>De gauche à droite : Charles, duc d'Orléans, 1394 - 1465 dit le poète, père de Louis XII. 1504 marbre.
Louis, duc d'Orléans, 1372 - 1407,  fils de Charles V et de Jeanne de Bourbon, frère de Charles VI, père de Charles d'Orléans. 1504 marbre.
Valentine Visconti, 1366 - 1408, duchesse d'Orléans, épouse de Louis d'Orléans. 1504 marbre.
Philippe, comte de Vertus, 1396 - 1420, fils de Louis d'Orléans et de Valentine Visconti. 1504 marbre.
Ducs d'Orléans.
De gauche à droite : Charles, duc d'Orléans, 1394 - 1465 dit le poète, père de Louis XII. 1504 marbre. Louis, duc d'Orléans, 1372 - 1407, fils de Charles V et de Jeanne de Bourbon, frère de Charles VI, père de Charles d'Orléans. 1504 marbre. Valentine Visconti, 1366 - 1408, duchesse d'Orléans, épouse de Louis d'Orléans. 1504 marbre. Philippe, comte de Vertus, 1396 - 1420, fils de Louis d'Orléans et de Valentine Visconti. 1504 marbre.
125
<center>Ducs d'Orléans.</center>La table de marbre, restituée par Viollet-le-Duc, était à l'origine de forme rectangulaire. Vingt-quatre statuettes représentant les apôtres et des saints garnissent les niches.
Commande, en 1502, de Louis XII à des artistes italiens.
Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1817-1818.
Ducs d'Orléans.
La table de marbre, restituée par Viollet-le-Duc, était à l'origine de forme rectangulaire. Vingt-quatre statuettes représentant les apôtres et des saints garnissent les niches. Commande, en 1502, de Louis XII à des artistes italiens. Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1817-1818.
126
<center>Les deux fils de Louis II le Bègue</center>Au premier plan, Carloman (882-884), au second plan, Louis III (879-882).
Les deux fils de Louis II le Bègue
Au premier plan, Carloman (882-884), au second plan, Louis III (879-882).
127
<center>Isabelle d'Aragon, Charles Martel, Clovis II, Philippe IV le Bel, Philippe III le Hardi.</center>Isabelle d'Aragon, puis, en haut,  Charles Martel et Clovis II, à leurs pieds, Philippe IV le Bel et Philippe III le Hardi.
Isabelle d'Aragon, Charles Martel, Clovis II, Philippe IV le Bel, Philippe III le Hardi.
Isabelle d'Aragon, puis, en haut, Charles Martel et Clovis II, à leurs pieds, Philippe IV le Bel et Philippe III le Hardi.
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<center>Isabelle d'Aragon</center>Isabelle d'Aragon, 1247 - 1271, première épouse de Philippe III le Hardi. Grâce à une épitaphe rimée en français, le soubassement de marbre noir a été conservé à la Révolution. Vers 1275, marbre.
Isabelle d'Aragon
Isabelle d'Aragon, 1247 - 1271, première épouse de Philippe III le Hardi. Grâce à une épitaphe rimée en français, le soubassement de marbre noir a été conservé à la Révolution. Vers 1275, marbre.
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<center>Isabelle d'Aragon</center>Aux pieds des gisants des femmes, le plus souvent, on trouve fréquemment des chiens, signe de fidélité. Mais cette fidélité représente plutôt celle du chien-guide dans les royaumes souterrains de la mort.
Isabelle d'Aragon
Aux pieds des gisants des femmes, le plus souvent, on trouve fréquemment des chiens, signe de fidélité. Mais cette fidélité représente plutôt celle du chien-guide dans les royaumes souterrains de la mort.
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<center>Clovis II,Charles Martel.</center>Au fond, à gauche, Clovis II, 635 - 657, roi de Neustrie et de Bourgogne de 639 à 657. Commande de Saint Louis, vers 1263-1264, pierre. A droite, Charles Martel, 685 - 741, maire du palais d'Austrasie, de Neustrie et de Bourgogne de 721 à 741. Commande de Saint Louis, vers 1263-1264, pierre.
Clovis II,Charles Martel.
Au fond, à gauche, Clovis II, 635 - 657, roi de Neustrie et de Bourgogne de 639 à 657. Commande de Saint Louis, vers 1263-1264, pierre. A droite, Charles Martel, 685 - 741, maire du palais d'Austrasie, de Neustrie et de Bourgogne de 721 à 741. Commande de Saint Louis, vers 1263-1264, pierre.
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<center>Philippe III le Hardi, Philippe IV le Bel.</center>A gauche, Philippe III le Hardi, 1245 - 1285, roi de France de 1270 à 1285. Tar Jean d'Arras. 1307, marbre.  A droite, Philippe IV le Bel, 1268 - 1314, roi de France et de Navarre de 1285 à 1314, vers 1327, marbre. Le lion, souvent aux pieds des hommes, représente la puissance, la force, mais aussi la résurrection.
Philippe III le Hardi, Philippe IV le Bel.
A gauche, Philippe III le Hardi, 1245 - 1285, roi de France de 1270 à 1285. Tar Jean d'Arras. 1307, marbre. A droite, Philippe IV le Bel, 1268 - 1314, roi de France et de Navarre de 1285 à 1314, vers 1327, marbre. Le lion, souvent aux pieds des hommes, représente la puissance, la force, mais aussi la résurrection.
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<center>Monument de cœur. </center>François II, 1544 - 1560, roi de France de 1559 à 1560.
A l'origine, la colonne supportait un vase contenant le cœur du roi.
Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1818. Par le Primatice, 1572, marbre. Sur l’entablement se tiennent trois petits génies, sculptés par Germain Pilon ou Ponce Jacquiau. La colonne ornée de flammes, allusion à la colonne de feu du Désert, avait, au sommet, le coeur du Roi enfermé dans un vase d’argent, fondu à la Révolution.
Monument de cœur.
François II, 1544 - 1560, roi de France de 1559 à 1560. A l'origine, la colonne supportait un vase contenant le cœur du roi. Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1818. Par le Primatice, 1572, marbre. Sur l’entablement se tiennent trois petits génies, sculptés par Germain Pilon ou Ponce Jacquiau. La colonne ornée de flammes, allusion à la colonne de feu du Désert, avait, au sommet, le coeur du Roi enfermé dans un vase d’argent, fondu à la Révolution.
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<center>Charles V et Jeanne de Bourbon</center>Charles V, 1338 - 1380, roi de France de 1364 à 1380. Commande de Charles V à André Beauneveu en 1364. Achevé en 1374, marbre
Jeanne de Bourbon, 1338 - 1377, reine de France. Épouse de Charles V. Gisant d'entrailles. Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1816. Milieu du XIVe siècle marbre
Charles V et Jeanne de Bourbon
Charles V, 1338 - 1380, roi de France de 1364 à 1380. Commande de Charles V à André Beauneveu en 1364. Achevé en 1374, marbre Jeanne de Bourbon, 1338 - 1377, reine de France. Épouse de Charles V. Gisant d'entrailles. Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1816. Milieu du XIVe siècle marbre
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<center>Charles V et Jeanne de Bourbon</center>
Charles V et Jeanne de Bourbon
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<center>Charles V</center>
Charles V
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<center> Jeanne de Bourbon</center>Un gisant d'entrailles est identifié par le petit sac dans une main.
Jeanne de Bourbon
Un gisant d'entrailles est identifié par le petit sac dans une main.
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<center>Charles VI dit le Fou, Isabeau de Bavière, Marie d'Anjou, Charles VII, Bertrand Du Guesclin, Louis de Sancerre 
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Charles VI dit le Fou, Isabeau de Bavière, Marie d'Anjou, Charles VII, Bertrand Du Guesclin, Louis de Sancerre
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<center>Marie d'Anjou et Charles VII
</center>Marie d'Anjou, 1404 à 1463, reine de France, épouse de Chartes VII. Buste (prêt du musée du Louvre) 1463 marbre
Charles VII, 1403 - 1461, roi de France de 1422 à 1461. Buste (prêt du musée du Louvre). 1463 marbre
Marie d'Anjou et Charles VII
Marie d'Anjou, 1404 à 1463, reine de France, épouse de Chartes VII. Buste (prêt du musée du Louvre) 1463 marbre Charles VII, 1403 - 1461, roi de France de 1422 à 1461. Buste (prêt du musée du Louvre). 1463 marbre
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<center>Bertrand Du Guesclin</center> Bertrand Du Guesclin, 1320 à 1380, connétable de France de 1370 à 1380. Commande de Charles V, achevé en 1397 marbre
Bertrand Du Guesclin
Bertrand Du Guesclin, 1320 à 1380, connétable de France de 1370 à 1380. Commande de Charles V, achevé en 1397 marbre
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<center>Louis de Sancerre</center>Louis de Sancerre, 1342 à 1402, connétable de France de 1397 à 1402. Commande de Charles VI. Début du XVe siècle, marbre.
Louis de Sancerre
Louis de Sancerre, 1342 à 1402, connétable de France de 1397 à 1402. Commande de Charles VI. Début du XVe siècle, marbre.
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<center>Charles VI dit le Fou et Isabeau de Bavière</center> Charles VI dit le Fou, 1368 - 1422, roi de France de 1380 à 1422. Commande d'Isabeau de Bavière à Pierre de Thoiry vers 1424, achevé en 1429, marbre.
Isabeau de Bavière, 1371 - 1435, reine de France, épouse de Charles VI. Commande d'Isabeau de Bavière à Pierre de Thoiry vers 1424, achevé en 1429, marbre.
Charles VI dit le Fou et Isabeau de Bavière
Charles VI dit le Fou, 1368 - 1422, roi de France de 1380 à 1422. Commande d'Isabeau de Bavière à Pierre de Thoiry vers 1424, achevé en 1429, marbre. Isabeau de Bavière, 1371 - 1435, reine de France, épouse de Charles VI. Commande d'Isabeau de Bavière à Pierre de Thoiry vers 1424, achevé en 1429, marbre.
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<center>Louis XVI et Marie-Antoinette
</center> Louis XVI, 1754 à 1793, roi de France de 1774 à 1792.
Marie-Antoinette, 1755 à 1793, reine de France, épouse de Louis XVI.
Commande de Louis XVIII en 1816 à Edme Gaulle et à Pierre Petitot. 1830, marbre.
Louis XVI et Marie-Antoinette
Louis XVI, 1754 à 1793, roi de France de 1774 à 1792. Marie-Antoinette, 1755 à 1793, reine de France, épouse de Louis XVI. Commande de Louis XVIII en 1816 à Edme Gaulle et à Pierre Petitot. 1830, marbre.
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<center>Louis XVI et Marie-Antoinette
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Louis XVI et Marie-Antoinette
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<center>Louis XVI et Marie-Antoinette
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Louis XVI et Marie-Antoinette
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<center>Léon V de Lusignan</center>Léon V de Lusignan, 1342 à 1393, roi d'Arménie de 1374 à 1375. Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1817. Avant 1393, marbre.
Léon V de Lusignan
Léon V de Lusignan, 1342 à 1393, roi d'Arménie de 1374 à 1375. Provenance : Paris, église des Célestins. A Saint-Denis en 1817. Avant 1393, marbre.
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<center>Marie d'Espagne et Charles, comte d'Alençon </center> Marie d'Espagne, morte en  1379, épouse de Charles, comte d'Alençon, fille de Ferdinand II d'Espagne. Provenance : Paris, église des Jacobins. A Saint-Denis en 1817. Seconde moitié du XIVe s, marbre.
Charles, comte d'Alençon, 1297 à 1346, fils de Charles Ier de Valois, frère de Philippe VI de Valois. Provenance : Paris, église des Jacobins. A Saint-Denis en 1817. Seconde moitié du XIVe s, marbre.
Marie d'Espagne et Charles, comte d'Alençon
Marie d'Espagne, morte en 1379, épouse de Charles, comte d'Alençon, fille de Ferdinand II d'Espagne. Provenance : Paris, église des Jacobins. A Saint-Denis en 1817. Seconde moitié du XIVe s, marbre. Charles, comte d'Alençon, 1297 à 1346, fils de Charles Ier de Valois, frère de Philippe VI de Valois. Provenance : Paris, église des Jacobins. A Saint-Denis en 1817. Seconde moitié du XIVe s, marbre.
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