Quartier de l'Hauture, les Arènes, le Théâtre, les Hôtels autour des Arènes.

<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center> Elle est située en haut du quartier de l’Hauture où est naît la ville. Elle a succédé à une église paléochrétienne, elle-même construite à l'emplacement d'un temple consacré à Cybèle, la « Bonne Déesse», comme en témoignent les découvertes archéologiques faites en 1758 et, en particulier, l'autel dédié à la bonne déesse, aujourd'hui au Musée de l'Arles Antique.
Eglise Notre Dame de la Major.
Elle est située en haut du quartier de l’Hauture où est naît la ville. Elle a succédé à une église paléochrétienne, elle-même construite à l'emplacement d'un temple consacré à Cybèle, la « Bonne Déesse», comme en témoignent les découvertes archéologiques faites en 1758 et, en particulier, l'autel dédié à la bonne déesse, aujourd'hui au Musée de l'Arles Antique.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Cette église était le siège de la paroisse la plus étendue de la ville. Avant la Révolution, elle était desservie par un chapitre collégial, composé de 10 chanoines.
Rebâtie au XIIe siècle, elle fut constamment remaniée jusqu'au XVIIe siècle, dont son clocher et sa façade. En 2006, on peut voir une girouette en fer forgé.
Eglise Notre Dame de la Major.
Cette église était le siège de la paroisse la plus étendue de la ville. Avant la Révolution, elle était desservie par un chapitre collégial, composé de 10 chanoines. Rebâtie au XIIe siècle, elle fut constamment remaniée jusqu'au XVIIe siècle, dont son clocher et sa façade. En 2006, on peut voir une girouette en fer forgé.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>En 2008, cette girouette à disparu.
Devant l'église, le
Eglise Notre Dame de la Major.
En 2008, cette girouette à disparu. Devant l'église, le "planet" de la Major fut d'abord un cimetière. Ce quartier fut bombardé en 1944 et le clocher et la voûte de l'église furent endommagés. Aujourd'hui, chaque 1er Mai, se déroule ici la fête traditionnelle des gardians de Camargue.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>La vierge.
Eglise Notre Dame de la Major.
La vierge.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>St Marc car la ville d’Arles possédait un morceau de la mâchoire de St Marc offert par les Vénitiens.
Eglise Notre Dame de la Major.
St Marc car la ville d’Arles possédait un morceau de la mâchoire de St Marc offert par les Vénitiens.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>La nef, romane, comprend trois travées et sa voûte en berceau légèrement brisé est soutenue par des doubleaux à ressaut appuyés sur des piliers massifs. Le chevet, gothique, est constitué d'une travée de chœur voûtée sur croisée d'ogives et d'une abside à cinq pans, toutes deux aussi hautes et larges que la nef.
Eglise Notre Dame de la Major.
La nef, romane, comprend trois travées et sa voûte en berceau légèrement brisé est soutenue par des doubleaux à ressaut appuyés sur des piliers massifs. Le chevet, gothique, est constitué d'une travée de chœur voûtée sur croisée d'ogives et d'une abside à cinq pans, toutes deux aussi hautes et larges que la nef.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>La voûte en berceau légèrement brisé est soutenue par des doubleaux à ressaut appuyés sur des piliers massifs.
Eglise Notre Dame de la Major.
La voûte en berceau légèrement brisé est soutenue par des doubleaux à ressaut appuyés sur des piliers massifs.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Au premier plan, ancien banc d'œuvre de la confrérie de Saint-Véran (patron des bergers) de 1852 avec remploi de panneaux plus anciens (vers 1760) servant maintenant d'autel de célébration, inscrit au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981, panneau central représentant Saint-Véran domestiquant la Coulobre, à gauche une allégorie du Christ en Bon Pasteur, à droite un berger en costume du XVIIIe siècle. Sur les côtés, 2 reliquaires en bois doré du XIXe siècle: celui des saints Côme et Damien, patrons des chirurgiens, et celui de sainte Rusticule ou Marcia d'Arles, supérieure du couvent de moniales de Saint-Césaire, 2 statues en bois: côté gauche Saint-Martin, simplement cirée, par le sculpteur avignonnais Cournaud ; côté droit statue-reliquaire polychrome représentant St Véran soumettant la Coulobre.
Eglise Notre Dame de la Major.
Au premier plan, ancien banc d'œuvre de la confrérie de Saint-Véran (patron des bergers) de 1852 avec remploi de panneaux plus anciens (vers 1760) servant maintenant d'autel de célébration, inscrit au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981, panneau central représentant Saint-Véran domestiquant la Coulobre, à gauche une allégorie du Christ en Bon Pasteur, à droite un berger en costume du XVIIIe siècle. Sur les côtés, 2 reliquaires en bois doré du XIXe siècle: celui des saints Côme et Damien, patrons des chirurgiens, et celui de sainte Rusticule ou Marcia d'Arles, supérieure du couvent de moniales de Saint-Césaire, 2 statues en bois: côté gauche Saint-Martin, simplement cirée, par le sculpteur avignonnais Cournaud ; côté droit statue-reliquaire polychrome représentant St Véran soumettant la Coulobre.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Au premier plan, ancien banc d'œuvre de la confrérie de Saint-Véran (patron des bergers) de 1852 avec remploi de panneaux plus anciens (vers 1760) servant maintenant d'autel de célébration, inscrit au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981, panneau central représentant Saint-Véran domestiquant la Coulobre, à gauche une allégorie du Christ en Bon Pasteur, à droite un berger en costume du XVIIIe siècle.
Eglise Notre Dame de la Major.
Au premier plan, ancien banc d'œuvre de la confrérie de Saint-Véran (patron des bergers) de 1852 avec remploi de panneaux plus anciens (vers 1760) servant maintenant d'autel de célébration, inscrit au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981, panneau central représentant Saint-Véran domestiquant la Coulobre, à gauche une allégorie du Christ en Bon Pasteur, à droite un berger en costume du XVIIIe siècle.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Le maître-autel en marbre polychrome, vers1770, du sculpteur lisbonnais Emmanuel Carvalho. Au fond, lambris, stalles et sellettes de reliquaire, en noyer, édifiés par le maître-menuisier arlésien Joseph Severa et sculptés par Jean-Baptiste Laroche, en 1716
Eglise Notre Dame de la Major.
Le maître-autel en marbre polychrome, vers1770, du sculpteur lisbonnais Emmanuel Carvalho. Au fond, lambris, stalles et sellettes de reliquaire, en noyer, édifiés par le maître-menuisier arlésien Joseph Severa et sculptés par Jean-Baptiste Laroche, en 1716
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Le retable est domposé de trois tableaux du XVIIIe siècle, de l'atelier avignonnais Parrocel, représentant, de gauche à droite, l’Annonciation, la Présentation au Temple et la Visitation
Eglise Notre Dame de la Major.
Le retable est domposé de trois tableaux du XVIIIe siècle, de l'atelier avignonnais Parrocel, représentant, de gauche à droite, l’Annonciation, la Présentation au Temple et la Visitation
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>A gauche, l'Autel de Notre-Dame-la-Major. Son retable entoure la niche ménagée dans le troisième pilier nord pour abriter à l'origine un buste en argent de la Vierge, réputé miraculeux, fondu à la Révolution, et close à cette époque par un tableau représentant une Vierge à l'Enfant remplacé aujourd'hui par une grille; on y trouve désormais une statue-reliquaire de Charles Borromée du XVIIe siècle. Cet autel en marbre polychrome, refait en 1781, a été restauré en 2012.
Eglise Notre Dame de la Major.
A gauche, l'Autel de Notre-Dame-la-Major. Son retable entoure la niche ménagée dans le troisième pilier nord pour abriter à l'origine un buste en argent de la Vierge, réputé miraculeux, fondu à la Révolution, et close à cette époque par un tableau représentant une Vierge à l'Enfant remplacé aujourd'hui par une grille; on y trouve désormais une statue-reliquaire de Charles Borromée du XVIIe siècle. Cet autel en marbre polychrome, refait en 1781, a été restauré en 2012.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Autel de Notre-Dame de Pitié. Adossé au troisième pilier sud, il date de 1677, est en marbre polychrome, avec un retable orné d'une toile illustrant la Déploration du Christ et portant les armes de Louis d'Aube de Roquemartine (d'origine arlésienne, dernier du nom après 5 siècles et le décès de son frère aîné Claude marquis de Roquemartine; né à Roquemartine le 9 décembre 1630, baptisé le 5 mars 1634 à Arles, mort à Arles le 19 septembre 1713, prévôt de la métropole St Trophime de 1650 à 1704, évêque de Grasse de 1675 à 1680 puis comte-évêque de Saint-Paul-Trois-Châteaux de 1680 à 1713), déposée en attente de sa restauration, classé au titre objet des monuments historiques depuis le 11 janvier 1982. Statue de St Louis de Gonzague. Photo en 2016.
Eglise Notre Dame de la Major.
Autel de Notre-Dame de Pitié. Adossé au troisième pilier sud, il date de 1677, est en marbre polychrome, avec un retable orné d'une toile illustrant la Déploration du Christ et portant les armes de Louis d'Aube de Roquemartine (d'origine arlésienne, dernier du nom après 5 siècles et le décès de son frère aîné Claude marquis de Roquemartine; né à Roquemartine le 9 décembre 1630, baptisé le 5 mars 1634 à Arles, mort à Arles le 19 septembre 1713, prévôt de la métropole St Trophime de 1650 à 1704, évêque de Grasse de 1675 à 1680 puis comte-évêque de Saint-Paul-Trois-Châteaux de 1680 à 1713), déposée en attente de sa restauration, classé au titre objet des monuments historiques depuis le 11 janvier 1982. Statue de St Louis de Gonzague. Photo en 2016.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Photo prise en 2008.
Eglise Notre Dame de la Major.
Photo prise en 2008.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Chapelle de la Vierge. Autrefois chapelle Saint-Marc dont il ne reste que la très belle clé de voûte représentant St Marc l'évangéliste avec son symbole: le lion ailé de Venise, ayant probablement abrité la relique aujourd'hui disparue de la mandibule de St Marc; elle est depuis le XIXe siècle dédiée à la Vierge et décorée d'un autel en marbre polychrome au beau décor néoclassique surmonté d'une Vierge à l'Enfant, statue en marbre du XIXe siècle de l'artiste italien Raffaelle Monti.
Eglise Notre Dame de la Major.
Chapelle de la Vierge. Autrefois chapelle Saint-Marc dont il ne reste que la très belle clé de voûte représentant St Marc l'évangéliste avec son symbole: le lion ailé de Venise, ayant probablement abrité la relique aujourd'hui disparue de la mandibule de St Marc; elle est depuis le XIXe siècle dédiée à la Vierge et décorée d'un autel en marbre polychrome au beau décor néoclassique surmonté d'une Vierge à l'Enfant, statue en marbre du XIXe siècle de l'artiste italien Raffaelle Monti.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Chapelle Saint-Joseph. Auparavant dédiée à Saint-Charles-Borromée, elle est ornée de deux statues peintes, l'une de Saint-Joseph, l'autre de Jeanne d'Arc.
Eglise Notre Dame de la Major.
Chapelle Saint-Joseph. Auparavant dédiée à Saint-Charles-Borromée, elle est ornée de deux statues peintes, l'une de Saint-Joseph, l'autre de Jeanne d'Arc.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Espace de la Confrérie des Gardians de St Georges. Au-dessus du banc d'œuvre de la confrérie, se trouve une niche fermée de barreaux en forme de trident camarguais, outil basique pour le travail du gardian, et abritant la statue en bois polychrome et doré, anonyme du XIXe siècle, représentant le saint-patron des gardians : Saint-Georges, terrassant le dragon. Le banc d'oeuvre date des années 1820. Les dirgeants de la confrérie prenaient place  sur le banc et les objets du culte et les archives étaient rangés dans une banque.
Eglise Notre Dame de la Major.
Espace de la Confrérie des Gardians de St Georges. Au-dessus du banc d'œuvre de la confrérie, se trouve une niche fermée de barreaux en forme de trident camarguais, outil basique pour le travail du gardian, et abritant la statue en bois polychrome et doré, anonyme du XIXe siècle, représentant le saint-patron des gardians : Saint-Georges, terrassant le dragon. Le banc d'oeuvre date des années 1820. Les dirgeants de la confrérie prenaient place sur le banc et les objets du culte et les archives étaient rangés dans une banque.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Au-dessus du banc d'œuvre de la confrérie, se trouve une niche fermée de barreaux en forme de trident camarguais. Statue en bois de saint Georges (fin du XVIe s.), patron des gardians de Camargue.
Eglise Notre Dame de la Major.
Au-dessus du banc d'œuvre de la confrérie, se trouve une niche fermée de barreaux en forme de trident camarguais. Statue en bois de saint Georges (fin du XVIe s.), patron des gardians de Camargue.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Au-dessus du banc d'œuvre de la confrérie, se trouve une niche fermée de barreaux en forme de trident camarguais, outil basique pour le travail du gardian, et abritant la statue en bois polychrome et doré, anonyme du XIXe siècle, représentant le saint-patron des gardians : Saint-Georges, terrassant le dragon.
Eglise Notre Dame de la Major.
Au-dessus du banc d'œuvre de la confrérie, se trouve une niche fermée de barreaux en forme de trident camarguais, outil basique pour le travail du gardian, et abritant la statue en bois polychrome et doré, anonyme du XIXe siècle, représentant le saint-patron des gardians : Saint-Georges, terrassant le dragon.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Tableau du peintre aixois Carpenel de 1742 figurant la Vierge Marie présentant l'enfant-Jésus à Saint-Blaise en costume d'évêque et Saint-Jean identifiable grâce à l'aigle et au livre, très intéressant car seul exemplaire connu à ce jour de peinture religieuse de cet artiste. Le retable est sans doute du XVIIIe siècle, tandis que l'autel date de Louis XIV, de 1670 environ. Initialement, il était rectangulaire, mais ses angles ont été bûchés pour accueillir le tableau. L'ensemble a été restauré par les ateliers Augier à Avignon, Emmanuelle Forestier et camille Amoros. Photo prise en 2016
Eglise Notre Dame de la Major.
Tableau du peintre aixois Carpenel de 1742 figurant la Vierge Marie présentant l'enfant-Jésus à Saint-Blaise en costume d'évêque et Saint-Jean identifiable grâce à l'aigle et au livre, très intéressant car seul exemplaire connu à ce jour de peinture religieuse de cet artiste. Le retable est sans doute du XVIIIe siècle, tandis que l'autel date de Louis XIV, de 1670 environ. Initialement, il était rectangulaire, mais ses angles ont été bûchés pour accueillir le tableau. L'ensemble a été restauré par les ateliers Augier à Avignon, Emmanuelle Forestier et camille Amoros. Photo prise en 2016
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Photo prise en 2008.
Eglise Notre Dame de la Major.
Photo prise en 2008.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Chaire à prêcher. En marbre polychrome du XVIIIe siècle, elle a été sculptée, comme celle de la chapelle des Rois de Saint-Trophime, par le lisbonnais Emmanuel Carvalho, inscrite au titre objet des monuments historiques depuis le 29 octobre 1997
Eglise Notre Dame de la Major.
Chaire à prêcher. En marbre polychrome du XVIIIe siècle, elle a été sculptée, comme celle de la chapelle des Rois de Saint-Trophime, par le lisbonnais Emmanuel Carvalho, inscrite au titre objet des monuments historiques depuis le 29 octobre 1997
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Escalier et sa porte d'accès de la première chaire, sur le côté ouest du deuxième pilier sud, entourée d'un encadrement sculpté dans la pierre, au décor Renaissance (1589) avec un fronton curviligne brisé et deux pilastres latéraux cannelés, typiques du style maniériste, et dû au maître-maçon arlésien Pierre Piau.
Eglise Notre Dame de la Major.
Escalier et sa porte d'accès de la première chaire, sur le côté ouest du deuxième pilier sud, entourée d'un encadrement sculpté dans la pierre, au décor Renaissance (1589) avec un fronton curviligne brisé et deux pilastres latéraux cannelés, typiques du style maniériste, et dû au maître-maçon arlésien Pierre Piau.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Chapelle Saint-Martin. Au centre, fonts baptismaux en marbre vert, avec au-dessus un tableau anonyme du XVIIe siècle, représentant l'Apparition de la Vierge à Sainte-Rose de Lima, inscrit au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981. De part et d'autre, deux des 4 tableaux du XVIIe siècle sur les miracles de Saint-Antoine-de-Padoue, provenant de l'ancien couvent des Franciscains d'Arles, inscrits au titre objet des monuments historiques depuis le 29 octobre 199713: la Prédication aux poissons, la Résurrection du jeune-homme assassiné. A droite, statue en bois polychrome de Saint-Jean-Baptiste, première moitié du XIXe siècle, par l'avignonnais Cournaud, inscrite au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981.
Eglise Notre Dame de la Major.
Chapelle Saint-Martin. Au centre, fonts baptismaux en marbre vert, avec au-dessus un tableau anonyme du XVIIe siècle, représentant l'Apparition de la Vierge à Sainte-Rose de Lima, inscrit au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981. De part et d'autre, deux des 4 tableaux du XVIIe siècle sur les miracles de Saint-Antoine-de-Padoue, provenant de l'ancien couvent des Franciscains d'Arles, inscrits au titre objet des monuments historiques depuis le 29 octobre 199713: la Prédication aux poissons, la Résurrection du jeune-homme assassiné. A droite, statue en bois polychrome de Saint-Jean-Baptiste, première moitié du XIXe siècle, par l'avignonnais Cournaud, inscrite au titre objet des monuments historiques depuis le 30 mars 1981.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Croix du pont des Flâneurs, en fer forgé, croix dite de mission, seule rescapée de la poussée anticléricale de décembre 1901 qui fit abattre toutes les croix placées sur la voie publique, mise à l'abri à La Major au cours d'une procession.
Eglise Notre Dame de la Major.
Croix du pont des Flâneurs, en fer forgé, croix dite de mission, seule rescapée de la poussée anticléricale de décembre 1901 qui fit abattre toutes les croix placées sur la voie publique, mise à l'abri à La Major au cours d'une procession.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Vierge présentant l'Enfant à Ste Rose de Lima
Eglise Notre Dame de la Major.
Vierge présentant l'Enfant à Ste Rose de Lima
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Chapelle Saint-Véran. Son mobilier originel ayant disparu on y trouve sur un petit autel en marbre polychrome une statue peinte de Saint-Roch.
Eglise Notre Dame de la Major.
Chapelle Saint-Véran. Son mobilier originel ayant disparu on y trouve sur un petit autel en marbre polychrome une statue peinte de Saint-Roch.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Chapelle du Sacré-Cœur.  Au centre, Sacré Cœur de Jésus, statue en marbre du XIXe siècle, dessinée par Johann Friedrich Overbeck et sculptée par Hauffman, bénie par le pape Pie IX.
Eglise Notre Dame de la Major.
Chapelle du Sacré-Cœur. Au centre, Sacré Cœur de Jésus, statue en marbre du XIXe siècle, dessinée par Johann Friedrich Overbeck et sculptée par Hauffman, bénie par le pape Pie IX.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>l'Instauration du Rosaire du peintre arlésien François Huard en 1837, représentant Saint-Dominique recevant le Rosaire des mains de l'enfant-Jésus porté par la Vierge et entouré des 15 médaillons des Mystères du Rosaire.
Eglise Notre Dame de la Major.
l'Instauration du Rosaire du peintre arlésien François Huard en 1837, représentant Saint-Dominique recevant le Rosaire des mains de l'enfant-Jésus porté par la Vierge et entouré des 15 médaillons des Mystères du Rosaire.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Sur une tribune en pierre nouvellement construite, un premier orgue est installé en 1698 par le lyonnais Dufayet qui venait de reconstruire, l'année précédente, l'orgue de Saint-Trophime. En 1730 la partie instrumentale est reconstruite dans le buffet de Dufayet par Charles Boisselin.  L'orgue est entièrement remplacé par les frères Félix (ancien collaborateur de François Mader) et Henry Vignolo de Marseille avec un buffet néo-médiéval et sa partie instrumentale est refaite en 1930 par la maison lyonnaise Guironnet & Ruche. La tribune, en pierre délicatement sculptée, arbore au centre le blason du chapitre des chanoines: une Vierge à l'Enfant et, latéralement, dans les écoinçons, des angelots jouant, au sud de la guitare, et au nord du serpent.
Eglise Notre Dame de la Major.
Sur une tribune en pierre nouvellement construite, un premier orgue est installé en 1698 par le lyonnais Dufayet qui venait de reconstruire, l'année précédente, l'orgue de Saint-Trophime. En 1730 la partie instrumentale est reconstruite dans le buffet de Dufayet par Charles Boisselin. L'orgue est entièrement remplacé par les frères Félix (ancien collaborateur de François Mader) et Henry Vignolo de Marseille avec un buffet néo-médiéval et sa partie instrumentale est refaite en 1930 par la maison lyonnaise Guironnet & Ruche. La tribune, en pierre délicatement sculptée, arbore au centre le blason du chapitre des chanoines: une Vierge à l'Enfant et, latéralement, dans les écoinçons, des angelots jouant, au sud de la guitare, et au nord du serpent.
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<center>Eglise Notre Dame de la Major. </center>Le toit de lauzes, typique de nefs romanes, la corniche à petits modillons tout simples, avec des contreforts entre lesquels on a ensuite on a ajouté des chapelles. L'emplacement du clocher, probablement roman, refait en 1579, et au sommet la vierge datant du XIX.
Eglise Notre Dame de la Major.
Le toit de lauzes, typique de nefs romanes, la corniche à petits modillons tout simples, avec des contreforts entre lesquels on a ensuite on a ajouté des chapelles. L'emplacement du clocher, probablement roman, refait en 1579, et au sommet la vierge datant du XIX.
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<center>Vue du quartier de l'Hauture. </center>Au fond, l'abbaye de Montmajour.
Vue du quartier de l'Hauture.
Au fond, l'abbaye de Montmajour.
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<center>Vue du quartier de l'Hauture.</center>Au fond, l'abbaye de Montmajour.
Vue du quartier de l'Hauture.
Au fond, l'abbaye de Montmajour.
33
center>Ro.nd-point des arènes. </center>
Rond-point des arènes.
34
<center>Les remparts. </center> Achevé sous le règne de l'empereur Auguste, le rempart, construit à la fin du Ier siècle, est un des premiers éléments construit après l'établissement de la colonie nouvellement fondée, en tant qu'élément défensif et ostentatoire, , marquant de façon imposante l'arrivée dans la cité de la voie Aurélienne, venant de Rome. Portion le long du bd Emile Combes.
Les remparts.
Achevé sous le règne de l'empereur Auguste, le rempart, construit à la fin du Ier siècle, est un des premiers éléments construit après l'établissement de la colonie nouvellement fondée, en tant qu'élément défensif et ostentatoire, , marquant de façon imposante l'arrivée dans la cité de la voie Aurélienne, venant de Rome. Portion le long du bd Emile Combes.
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<center>Les remparts. </center> Une porte monumentale, la Porte d'Auguste (ou porte d'Italie), accueillait une dérivation de la via Aurélia.
Les remparts.
Une porte monumentale, la Porte d'Auguste (ou porte d'Italie), accueillait une dérivation de la via Aurélia.
36
<center>Rue Emile Barrère. </center>
Rue Emile Barrère.
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<center>Rue Emile Barrère. </center> Le portail du XVIIIe siècle
de l'ancienne abbaye Saint Césaire ou monastère Saint-Jean.
Rue Emile Barrère.
Le portail du XVIIIe siècle de l'ancienne abbaye Saint Césaire ou monastère Saint-Jean.
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<center>Rue du Grand Couvent. </center>  Le portail du XVIIIe siècle
de l'ancienne abbaye Saint Césaire ou monastère Saint-Jean.
Rue du Grand Couvent.
Le portail du XVIIIe siècle de l'ancienne abbaye Saint Césaire ou monastère Saint-Jean.
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<center>Rue du Grand Couvent. </center> Le portail du XVIIIe siècle
de l'ancienne abbaye Saint Césaire ou monastère Saint-Jean.
Rue du Grand Couvent.
Le portail du XVIIIe siècle de l'ancienne abbaye Saint Césaire ou monastère Saint-Jean.
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<center>Rue du Grand Couvent. </center> A droite se trouve la porterie, loge des sœurs converses (nonnes affectées aux travaux manuels). Elle présente des éléments d’architecture du XVe siècle, notamment des ouvertures en anse de panier, certaines aujourd’hui bouchées.
Rue du Grand Couvent.
A droite se trouve la porterie, loge des sœurs converses (nonnes affectées aux travaux manuels). Elle présente des éléments d’architecture du XVe siècle, notamment des ouvertures en anse de panier, certaines aujourd’hui bouchées.
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<center>St Blaise.</center> Façade principale de l'église remaniée au XVIIe siècle. Chapelle conventuelle de l’abbaye Saint-Césaire, fondée au VIe siècle par l’évêque de ce nom. Elle fut édifiée principalement en trois étapes, à partir du XIIe siècle, mais a révélé néanmoins des vestiges antérieurs. Désaffectée et démantelé à la Révolution, elle connut divers usages utilitaires, avant d’être fouillée en 1972 et 1982.
St Blaise.
Façade principale de l'église remaniée au XVIIe siècle. Chapelle conventuelle de l’abbaye Saint-Césaire, fondée au VIe siècle par l’évêque de ce nom. Elle fut édifiée principalement en trois étapes, à partir du XIIe siècle, mais a révélé néanmoins des vestiges antérieurs. Désaffectée et démantelé à la Révolution, elle connut divers usages utilitaires, avant d’être fouillée en 1972 et 1982.
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<center>St Blaise.</center> Le couvent originel fut implanté extra-muros lors de sa création vers 506, mais après sa destruction par les Burgondes, il fut déplacé à l’intérieur des remparts. Un nouveau monastère est consacré en 512 et Caesaria, sœur de saint Césaire en devient abbesse. Il jouit dès lors d’une grande renommée. Sainte Radegonde y séjourne et s’en inspire pour créer le monastère Sainte-Croix de Poitiers. 
Progressivement, l’établissement occupe le vaste terrain s’étendant de la tour d’Auguste à la courtine méridionale des remparts. On y construit différents lieux de culte qui succèdent à l’église originelle dans laquelle avaient été enterrés saint Césaire, sa sœur et les abbesses se succédant à la tête du monastère.
St Blaise.
Le couvent originel fut implanté extra-muros lors de sa création vers 506, mais après sa destruction par les Burgondes, il fut déplacé à l’intérieur des remparts. Un nouveau monastère est consacré en 512 et Caesaria, sœur de saint Césaire en devient abbesse. Il jouit dès lors d’une grande renommée. Sainte Radegonde y séjourne et s’en inspire pour créer le monastère Sainte-Croix de Poitiers. Progressivement, l’établissement occupe le vaste terrain s’étendant de la tour d’Auguste à la courtine méridionale des remparts. On y construit différents lieux de culte qui succèdent à l’église originelle dans laquelle avaient été enterrés saint Césaire, sa sœur et les abbesses se succédant à la tête du monastère.
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<center>St Blaise.</center> Sous la direction de l’abbesse Eudiarde, au XIIe siècle, le monastère connaît une période de prospérité qui voit l’édification de plusieurs
bâtiments, tels que l’église Saint-Jean-de-Moustiers et l’église Saint-Blaise qui devient l’église conventuelle des religieuses.
St Blaise.
Sous la direction de l’abbesse Eudiarde, au XIIe siècle, le monastère connaît une période de prospérité qui voit l’édification de plusieurs bâtiments, tels que l’église Saint-Jean-de-Moustiers et l’église Saint-Blaise qui devient l’église conventuelle des religieuses.
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<center>St Blaise.</center> Au XVIIIe siècle, le couvent connaît des difficultés dues au relâchement de l’obéissance à la règle et une reprise en main est ordonnée par Louis XIV. Pourtant à la veille de la Révolution, le monastère est moribond et il ne reste plus alors que quelques religieuses.
Quelques années plus tard, il est vendu comme Bien National à différents propriétaires privés.
St Blaise.
Au XVIIIe siècle, le couvent connaît des difficultés dues au relâchement de l’obéissance à la règle et une reprise en main est ordonnée par Louis XIV. Pourtant à la veille de la Révolution, le monastère est moribond et il ne reste plus alors que quelques religieuses. Quelques années plus tard, il est vendu comme Bien National à différents propriétaires privés.
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<center>St Blaise.</center> En 1818, la confrérie des Pénitents Gris rétablit temporairement les cérémonies du culte dans l’église mais peu à peu, l’édifice retombe dans l’abandon. En 1850, le curé de Notre-Dame-de-la-Major veut en faire un lieu de catéchisme, mais elle servira finalement de cabaret puis d’entrepôt pour le corbillard municipal.
St Blaise.
En 1818, la confrérie des Pénitents Gris rétablit temporairement les cérémonies du culte dans l’église mais peu à peu, l’édifice retombe dans l’abandon. En 1850, le curé de Notre-Dame-de-la-Major veut en faire un lieu de catéchisme, mais elle servira finalement de cabaret puis d’entrepôt pour le corbillard municipal.
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St Blaise.
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<center>Les arènes. </center> A gauche, le clocher du couvent des Cordeliers (ou franciscains) avec sa flèche gothique, qui abrite aujourd'hui le colège Saint-Charles. Au fond les arènes ou amphithéâtre..
Les arènes.
A gauche, le clocher du couvent des Cordeliers (ou franciscains) avec sa flèche gothique, qui abrite aujourd'hui le colège Saint-Charles. Au fond les arènes ou amphithéâtre.
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<center>Les arènes. </center> Les Arènes d'Arles sont un amphithéâtre romain construit vers 80 apr. J.-C. / 90 apr. J.-C. par les ordres de Tibère César Auguste, dans le cadre des extensions flaviennes de la ville. Son architecture est entièrement conçue en rapport avec sa vocation de lieu à grands spectacles, accueillant un nombreux public.
Les arènes.
Les Arènes d'Arles sont un amphithéâtre romain construit vers 80 apr. J.-C. / 90 apr. J.-C. par les ordres de Tibère César Auguste, dans le cadre des extensions flaviennes de la ville. Son architecture est entièrement conçue en rapport avec sa vocation de lieu à grands spectacles, accueillant un nombreux public.
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<center>Les arènes. </center> Les arènes d’Arles sont un amphithéâtre romain construit en 90 après JC, par les ordres de Tibère César Auguste, l’amphithéâtre était capable d’accueillir plus de 20000 spectateurs, et a été construit pour fournir des divertissements sous la forme de courses de chars et de sanglants corps à corps batailles. L’amphithéâtre d’Arles est le monument le plus important de l’ancienne colonie romaine, environ deux millénaires après sa construction
Les arènes.
Les arènes d’Arles sont un amphithéâtre romain construit en 90 après JC, par les ordres de Tibère César Auguste, l’amphithéâtre était capable d’accueillir plus de 20000 spectateurs, et a été construit pour fournir des divertissements sous la forme de courses de chars et de sanglants corps à corps batailles. L’amphithéâtre d’Arles est le monument le plus important de l’ancienne colonie romaine, environ deux millénaires après sa construction.
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<center>Les arènes. </center> La façade comprend deux niveaux de soixante arcades en plein cintre, séparés par des piédroits, massifs de section rectangulaire.
Les arènes.
La façade comprend deux niveaux de soixante arcades en plein cintre, séparés par des piédroits, massifs de section rectangulaire.
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<center>Les arènes. </center> Dès la fin de l’Antiquité, l'amphithéâtre est réutilisé comme rempart défensif lors des nombreux sièges barbares menés au cours des Ve et VIe siècles    devant la cité d’Arles. D’ailleurs le monument conserve aujourd’hui 3 des tours médiévales qui surmontaient les 4 entrées, donnant à cet amphithéâtre une physionomie particulière.
Les arènes.
Dès la fin de l’Antiquité, l'amphithéâtre est réutilisé comme rempart défensif lors des nombreux sièges barbares menés au cours des Ve et VIe siècles devant la cité d’Arles. D’ailleurs le monument conserve aujourd’hui 3 des tours médiévales qui surmontaient les 4 entrées, donnant à cet amphithéâtre une physionomie particulière.
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<center>Les arènes. </center> Restauration du XIXème de Viollet-Leduc et Revoil, à droite, et celle du XXIème à gauche.
Les arènes.
Restauration du XIXème de Viollet-Leduc et Revoil, à droite, et celle du XXIème à gauche.
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<center>Les arènes. </center> Les arènes reprennent les caractéristiques classiques de ce type de construction et s'inspirent du Colisée de Rome tout juste terminé : un système d'évacuation par de nombreux couloirs d'accès, une scène centrale de forme elliptique entourée de gradins, des arcades, ici sur deux niveaux, le tout pour une longueur totale de 136 mètres.
Les arènes.
Les arènes reprennent les caractéristiques classiques de ce type de construction et s'inspirent du Colisée de Rome tout juste terminé : un système d'évacuation par de nombreux couloirs d'accès, une scène centrale de forme elliptique entourée de gradins, des arcades, ici sur deux niveaux, le tout pour une longueur totale de 136 mètres.
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<center>Les arènes. </center>  Les flux étaient savamment organisés par un réseau de portes, galeries et escaliers, sur plusieurs étages.
Les arènes.
Les flux étaient savamment organisés par un réseau de portes, galeries et escaliers, sur plusieurs étages.
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Les arènes.
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<center>Les arènes. </center> Le clocher de St Trophime et la tour de l'horloge de la mairie.
Les arènes.
Le clocher de St Trophime et la tour de l'horloge de la mairie.
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<center>Les arènes. </center> Clocher de Notre-Dame de la Major.
Les arènes.
Clocher de Notre-Dame de la Major.
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<center>Les arènes. </center> Le Rhône et le clocher de saint Julien.
Les arènes.
Le Rhône et le clocher de saint Julien.
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<center>Les arènes. </center>
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<center>Les arènes. </center> Avec un grand axe de 136 mètres de longueur et un petit axe de 107 mètres, l'amphithéâtre d'Arles est légèrement plus grand que celui de Nîmes et occupe le vingtième rang parmi ceux du monde romain. Le sol de la piste était plus élevé d'environ 2 mètres que le niveau actuel. Il était en effet formé d'un plancher en bois, dont les lames reposaient sur un bourrelet de pierre, au sommet de la partie inférieure du podium. La machinerie nécessaire aux spectacles logeait entre les murs et socles qui assuraient la stabilité de l'arène.
Les arènes.
Avec un grand axe de 136 mètres de longueur et un petit axe de 107 mètres, l'amphithéâtre d'Arles est légèrement plus grand que celui de Nîmes et occupe le vingtième rang parmi ceux du monde romain. Le sol de la piste était plus élevé d'environ 2 mètres que le niveau actuel. Il était en effet formé d'un plancher en bois, dont les lames reposaient sur un bourrelet de pierre, au sommet de la partie inférieure du podium. La machinerie nécessaire aux spectacles logeait entre les murs et socles qui assuraient la stabilité de l'arène.
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<center>Les arènes. </center> La cavea, espace réservé aux spectateurs, comprenait 34 gradins, divisés en quatre séries : les maeniana, où les spectateurs étaient répartis selon leur rang social. On estime la capacité initiale du monument à quelque 21 000 personnes. La partie centrale réservée aux jeux et combats (l'arène proprement dite) était séparée des gradins par un mur soigneusement appareillé : le mur du podium revêtu de grandes dalles de pierre.
Les arènes.
La cavea, espace réservé aux spectateurs, comprenait 34 gradins, divisés en quatre séries : les maeniana, où les spectateurs étaient répartis selon leur rang social. On estime la capacité initiale du monument à quelque 21 000 personnes. La partie centrale réservée aux jeux et combats (l'arène proprement dite) était séparée des gradins par un mur soigneusement appareillé : le mur du podium revêtu de grandes dalles de pierre.
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<center>Les arènes. </center> La feria.
Les arènes.
La feria.
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<center>Les arènes. </center> La feria.
Les arènes.
La feria.
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