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Arles : Luma.
LUMA Arles est un projet de complexe artistique et culturel réalisé par la Fondation LUMA de Maja Hoffmann, à Arles, sur le Parc des Ateliers. Le site englobe sept anciennes usines ferroviaires rénovées et une tour dessinée par l’architecte Frank O. Gehry.
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La Fondation LUMA est créée en 2004 en Suisse (Zurich) par Maja Hoffmann, collectionneuse d'art, mécène et réalisatrice de documentaires suisse, pour soutenir des artistes et leurs projets, notamment dans le domaine de la photographie. La Fondation privilégie des projets traitant de façon croisée l'écologie, les droits de l'homme, l'éducation et la culture.
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La construction de LUMA Arles débute en avril 2014. Ce bâtiment du Parc des Ateliers, conçu par Frank Gehry, est recouvert de 10 752 blocs en acier inoxydable et compte 10 étages, tous différents, des planchers en forme de pétales, une rotonde de verre qui rappelle les arènes d'Arles et 53 baies vitrées. La Tour mesure 56 mètres de haut (le point le plus haut d'Arles, qu'il ne faut pas dépasser est le clocher du collège Saint Charles, 57 m) pour une superficie de 15 000 m². L’apparence de ce bâtiment aurait largement été influencée par la région camarguaise : « Nous voulions évoquer l'ancrage local, de la Nuit étoilée de Van Gogh pour la lumière à l'émergence des blocs rocheux des Alpilles pour la tour. La rotonde fait pour sa part écho aux arènes romaines » a déclaré Frank Gehry. La Tour abrite des salles d'exposition, des galeries pour projets in-situ, les centres de recherche et d'archives de LUMA, ainsi que des salles multi-usages notamment pour des colloques et groupes de travail.
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Entrée de la rotonde comportant cinq grandes portes. Au pied du bâtiment, le Drum, une rotonde de verre inspirée des arènes d’Arles offre un espace d’accueil unique pour les visiteurs pouvant venir apprécier toute la richesse et la diversité du travail architectural de Frank Gehry. A l’image de l’amphithéâtre romain, l’échelle et la géométrie de cette rotonde reflètent les influences de l’urbanisme romain à l’origine de la création d’Arles.
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Le verre filtre 50% des UV, ce qui permet de na pas avoir recours à une climatisation. Normalement la température sera comprise entre 28 °C et 13 °C.
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La tour est constellée de 11 500 panneaux en Inox martelé contre la réverbération, certains comportent des trous pour le son.
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Les murs sont faits avec un mélange de sable et de béton dont l'aspect rappelle la pierre des Baux et de Fontvielle. Il y a 12 oeuvres commissions, dont l'escalier.
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Au sommet de la cage d'escalier "Prendre son Temps" se trouve un miroir tournant.
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L'escalier.
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Toboggan géant « Isometric Slides » de Carsten Höller.
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Sculptural toboggan géant « Isometric Slides » de Carsten Höller qui permet aux courageux de dévaler 2 niveaux de la Tour.
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Toboggan géant « Isometric Slides » de Carsten Höller.
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Les murs dans l’espace des ascenseurs sont habillés de panneaux de sel. Des cadres en titane sont plongés dans les marais salants des Salins de Giraud durant 20 jours. Du sel cristallise alors dessus. Il ya 4600 panneaux de sel antibactériens et ignifugeants.
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Le Drum café qui est aussi une commission. Rirkrit Tiravanija est intervenue dans cet espace recouvert d'inox et de panneaux en pulpe de riz teinté de vert tendre. Au mur, une immense tapisserie rappelle les Tournesols de Van Gogh.
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Galerie Sud. "No More Reality" de Philippe Parreno est un film composé à partir des films précédemment réalisés par l'artiste. A gauche, "Danny" est un organisme vivant qui abrite de la matière inanimée et des processus mécanisés, coordonnés et contrôlés par technologie algorithmique.
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Galerie Est. La collection d'Emanuel Hoffman permet de retrouver l'art des années 1970.
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Rosemarie Trockel. Bronze, cheveux artificiels.
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"Paradise Regained", 1968, Duane Michals. C'est une série d'images mises en scène où les biens matériels d'un homme et d'une femme se voenit progressivement remplacés par des plans. Ces images rappellent les figures bibliques d'Adam et Eve au paradis. Première photo.
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"Paradise Regained", 1968, Duane Michals. C'est une série d'images mises en scène où les biens matériels d'un homme et d'une femme se voenit progressivement remplacés par des plans. Ces images rappellent les figures bibliques d'Adam et Eve au paradis. Dernière photo.
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Alighiero Boetti réalise en 1970 10 une série d'oeuvre intitulée Mettere al mondo il mondo, pour le carton est recouvert de tri de stylo afin de créer une surface monochrome. Seules restent vierges un certain nombre de zones délimitées au crayon, définissant des lettres de l'alphabet ou des virgules réparties sur le plan de l'image. Si on aligne la position des virgules sur l'axe des lettres de l'alphabet, on constate que chaque virgule représente une lettre, ce qui forme le titre de l'oeuvre.
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"Stone Line" 1977, Richard Long. Associée à la création de chemins primitifs, Stone Line est un rectangle allongé de neuf mètres sur deux, composé de plus de 200 morceaux de basalte disposés sans se toucher. Les pierres sont de tailles différentes, et, à l'exception des quatre pierres angulaires, leur disposition est aléatoire.
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Cy Twombly, 1969. Il réalise une série de peintures connues pour leurs fonds pâles inhabituels, leurs lignes expressives et leurs motifs semblables à des croquis. Des couleurs blanches chaudes, des formes géométriques telles que des cylindres et des rectangles, des gribouillages et des mesures de toutes sortes sont caractéristiques de ces oeuvres. La délicatesse des lignes et la suggestion du mouvement révèlent un intérêt pour les constellations, les corps célestes, les mesures de distance et la gravité, éléments largement présents dans son oeuvre.
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Deuxième étage. OooOoO Skatepark phosphorescent de Koo Jeong A. Les cuves de skate sont recouvertes d’une peinture luminescente qui, à la nuit tombée, révèle toute la structure du terrain fait de courbes, et génère différentes conditions de luminosité.
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Deuxième étage. Les Forges. Construit dans les années 1870 et endommagé par un incendie en 1986, ce bâtiment rénové par Annabelle Selldorf abrite aujourd’hui des espaces d’expositions intimistes et une cour extérieure polyvalente. e métal servant à la construction des locomotives.0 Le bâtiment actuel des Forges est construit sur le site du Parc des Ateliers dans les années 1870, après la destruction de forges plus anciennes. On retrouve au sein de l’atelier des forges des grues montées sur pivots et des potences qui permettent le transport rapide de pièces chaudes entre les fours, les forges, et les marteaux-pilons. Les pièces sont ensuite acheminées à l’ajustage, appelé quelques fois tournerie, qui se charge de l’usinage et de la finition à l’aide de machines-outils. Le bâtiment des Forges est modernisé entre 1935 et 1939 avec notamment la mise en place de pilons auto-compresseurs.
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Deuxième étage. La Formation. Rénové en 2018 par Annabelle Selldorf, cet ancien centre de formation du personnel de la SNCF est aujourd’hui le bâtiment du Parc des Ateliers dédié aux résidences d’artistes et au spectacle vivant. Si la façade en calcaire et en stuc naturel du bâtiment est restaurée à l’identique, l’intérieur de La Formation est transformé par Selldorf Architects pour répondre aux besoins du programme LUMA Arles. Devant, Krauses Gekröse de Franz West.
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Deuxième étage. Le Médico-Social.Comme son nom l’indique, ce bâtiment abrite dans les années 1950 un espace médical et des services sociaux pour les agents du site et la population arlésienne. Rénové aujourd’hui par Selldorf Architects, le lieu devient un hôtel. Près du portail historique de l’avenue Victor Hugo se trouve le Médico-Social. Ce bâtiment implanté sur le Parc à la fin du XIXᵉ siècle prend sa dimension sociale dans les années 1950 avec l’aménagement de différents espaces et services destinés aux agents du site et à la population locale. Sous la direction d’une assistante sociale le lieu propose des cours d’enseignement ménager (couture, cuisine), des leçons de gymnastique corrective et des consultations pour enfants assurées par un médecin spécialiste. Un cabinet médical équipé d’un appareil de radiographie est tenu en permanence par une infirmière. Il est également fait mention d’une bibliothèque et de salles réservées pour les sociétés d’agents. Ce bâtiment constitue à cette époque un point de rencontre entre la ville et les ateliers. Sur la terrasse, une sculptures en métal, « Orientation Platforms » de Liam Gillick
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Deuxième étage. Construit entre 2014 et 2021, La Tour a ouvert ses portes au public le 26 juin 2021. Ce bâtiment imaginé par Frank Gehry présente une façade torsadée ornée de briques en acier inoxydable. Ce matériau propre au travail de l’architecte, capte et restitue toutes les variations lumineuses du ciel et confère au bâtiment un aspect en perpétuel changement. Ce choix esthétique est un clin d’œil à la touche picturale de Vincent Van Gogh, qui n’avait de cesse de capter sur ses toiles les nuances et variations lumineuses du ciel provençal lors de sa période arlésienne.
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Deuxième étage.
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Deuxième étage.
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Deuxième étage.
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Deuxième étage. Au centre, l'abbaye de Montmajour.
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Deuxième étage. De gauche à droite : le clocher de Saint Trophime, le clocher du collège Saint Charles, la tour des arènes, l'ancien château d'eau de l'Hauture, le clocher de Notre-Dame de la Major.
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Deuxième étage. Laguna Gloria de Liam Gillick. À l’aide d’images extraites de son film de 2013, Margin Time 2 (The Heavenly Lagoon), il a imaginé un paysage audiovisuel et un espace qui peut accueillir de multiples activités. Les images du film représentent des clichés à la texture granuleuse de plantes et d’environnements naturels. Elles créent une pièce évoquant un jardin artificiel.
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Deuxième étage. Laguna Gloria de Liam Gillick. L’installation devient un pavillon inversé, situé au centre de La Tour, que le public utilise comme lieu de repos ou de transit. La notion d’impermanence et l’artificialité sont les éléments clés de l’œuvre, qui fonctionne comme un dispositif d’images et de sons, conçus pour évoquer une relation à la fois distante et proche avec la nature.
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Au sommet du double escalier révolution, un grand miroir circulaire « Take your Time » fixé de biais au plafond tourne lentement sur son axe, créant une sensation de tourbillon qui déstabilise notre perception de l’espace. Une installation permanente de Ólafur Elíasson.
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Les deux étages — le 8ème est un espace intérieur et le 9ème ouvre sur la Terrasse Haute — sont conceptuellement connectés. Les panneaux de sel sont ici de couleur rougeâtre. Cette couleur est due à l’algue microscopique Dunaliella salina qui colore aussi les petites crevettes et les flamands.
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Au centre, l'abbaye de Montmajour.
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De gauche à droite : le clocher de Saint Trophime, le clocher du collège Saint Charles, les deux tours des arènes, l'ancien château d'eau de l'Hauture, le clocher de l'église Saint Julien, le clocher de Notre-Dame de la Major.
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De gauche à droite : le clocher de Saint Trophime, le clocher du collège Saint Charles, les deux tours des arènes, l'ancien château d'eau de l'Hauture, le clocher de l'église Saint Julien.
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De gauche à droite : le clocher du collège Saint Charles, les deux tours des arènes, l'ancien château d'eau de l'Hauture, le clocher de l'église Saint Julien, le clocher de Notre-Dame de la Major.
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Au centre, le Musée de l'Arles Antique.
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Au Café du Parc, sol en mosaïques « MEMORY, 2021 » de Kerstin Brätsch. Imaginées par l’artiste comme des compositions monumentales tournées vers le ciel, à l’extérieur du bâtiment, ces formes puissantes dominent la vue du parc depuis La Tour. La mosaïque représente différents personnages que l’on retrouve souvent dans ses huiles sur mylar. Ces figures sont ici agrandies, démesurées, recréées, avec une nécessaire transposition à travers l’art de la mosaïque. Les chemins liants les différents personnages sont constitués d’un type de mosaïque plus abstrait et d’autres éléments céramiques, inspirés des dégradés de couleur obtenus par coups de pinceau. Des motifs similaires se poursuivent jusque dans l’espace intérieur du Café du Parc, créant un continuum unifiant les deux espaces de manière saisissante.
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Day light Songs (biting the air) Helen Marten. Verre cuit au four, aluminium et laiton fraisés, acier.
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Day light Songs (biting the air) Helen Marten. Lerre cuit au four, aluminium et laiton fraisés, acier. Vue de l'extérieur.
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Open Space. Cet espace singulier à usages multiples, imaginé comme une extension de la rue, a été conçu par le designer industriel allemand Konstantin Grcic, réputé pour ses interprétations radicales et minimalistes des objets du quotidien.
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Open Space.
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Open Space. Grcic a imaginé un environnement théâtral, avec des rideaux métalliques et des lumières spécialement conçues pour diviser l’espace en plusieurs zones.
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Open Space. Rideaux métalliques.
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Sculpture éphémère en cire de UrsHans-Peter Feldmann – Shadowplay, 2009 – . The Impermanent Display débute par une grande boîte noire qui accueille la magistrale installation Shadowplay (2009). La magie du théâtre d’ombres de Feldmann, bricolé à partir de petits objets ordinaires, interroge avec pertinence et efficacité les institutions culturelles.
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Hans-Peter Feldmann – Shadowplay, 2009. Shadowplay est l’une des œuvres emblématiques de Hans-Peter Feldmann. Il s’agit d’une installation à la croisée de la photographie et du cinéma, de l’installation environnementale et du théâtre. Elle utilise le mouvement et la lumière comme éléments de composition afin de proposer une réflexion poétique sur les innombrables façons d’interpréter les images. Des silhouettes en mouvement apparaissent sur les murs éclairés de la chambre noire. Ce sont les ombres de petits objets disposés sur des plates-formes rotatives rondes, éclairées par des lampes.
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The Impermanent Display (L'Exposition éphémère). Une dizaine de canapés signés West construisent la scénographie avec une volonté de perturber la relation entre l’œuvre d’art et l’exposition et de placer le visiteur « dans une position où il voit en même temps qu’il est vu »… A gauche, Peter Fischli et David Weiss – Untitled, 2011. Deux sculptures en argile crue et caoutchouc sur socle. Elles font partie de la série « Walls, Corners, Tubes » réalisée entre 2009 et 2012. Dans cette série, Fischli et Weiss ont exprimé leur intérêt de longue date pour les objets du quotidien, en créant un groupe de formes géométriques simples inspirées des éléments architecturaux les plus élémentaires. Sur le mur, Sans titre (P135) est caractéristique de la pratique conceptuelle subversive de Christopher Wool. Influencée par les traditions minimalistes, mais les défiant également, cette toile fait écho à l’immédiateté du mot RIOT (émeute). Sa signification rebelle et anarchique souligne le scandale, la provocation et la séduction de la protestation de rue dont elle s’inspire. Peinture alkyde sur aluminium.
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Sculpture éphémère en cire de Urs FISCHER. Reproduction de « l’Enlèvement des Sabines » du sculpteur maniériste d’origine flamande Giambologna. Urs FISCHER est connu pour ses sculptures transitoires, en cire ou en argile brute, suggérant un monde en ruine.
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Sculpture éphémère en cire de Urs FISCHER. Reproduction de « l’Enlèvement des Sabines » du sculpteur maniériste d’origine flamande Giambologna. Les trois personnages enlacés dans une posture verticale disparaissent dans des coulées de plus de six mètres de long. Cette sculpture monumentale est un événement en soi : en s’éteignant, elle s’écrase de manière spectaculaire.
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Trois mois après, fin octobre 2021, la combustion de la bougie fait son oeuvre irrémédiable sur la sculpture de Urs FISCHER. Ce personnage regardait l'enlèvement des Sabines.
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Nofretete, 2014, de l’artiste allemande Isa GENZKEN. Nefertiti apparaît comme on ne l’a jamais vue. Sept bustes de la reine sont assis sur des podiums blancs individuels. L’incorporation par Genzken d’articles de haute couture complique le glamour et la possession de soi de Nefertiti, comme pour suggérer qu’elle est autant une icône commerciale qu’une icône historique.
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Nofretete, 2014, de l’artiste allemande Isa GENZKEN. Nefertiti apparaît comme on ne l’a jamais vue. Sept bustes de la reine sont assis sur des podiums blancs individuels. L’incorporation par Genzken d’articles de haute couture complique le glamour et la possession de soi de Nefertiti, comme pour suggérer qu’elle est autant une icône commerciale qu’une icône historique.
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Franz West – Sans titre, 2009. Papier mâché, peinture, métal. Dans ses sculptures, les formes classiques sont fragmentées et brisées. En utilisant des matériaux recyclés tels que du papier mâché fait de journaux et d’annuaires, West a mis au point une représentation puissante de la sculpture libérée des conventions. Ses sculptures aux couleurs vives se caractérisent par une théâtralité tirant sur le carnavalesque. L’évocation de formes humaines – masques et corps difformes – sous-tend un point de vue unique sur l’impression de la figure et de la forme humaines.
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Mike Kelley – KandorlOA (Grotto), 2010. Mousse recouverte de verre soufflé avec élastomère, revêtement en résine à l’eau, bois, émail synthétique d’uréthane, peinture acrylique, luminaires, vêtements. À travers son art, Mike Kelley cherche à évoquer, par différents moyens, l’influence exercée par la culture populaire et les idées utopistes. Il explore différentes contre-cultures afin de révéler les traumatismes de l’enfance et de l’éducation. L’humour lui permet de subvertir l’héritage du modernisme dont il interroge le projet qui contribue à perpétuer des systèmes d’exclusion et d’inclusion. Il est connu pour sa série emblématique intitulée Kandor, et dont Kandor 10A (Grotto) fait partie.
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Mike Kelley – KandorlOA (Grotto), 2010. Dès la fin des années 1990, l’œuvre de Kelley se concentre sur la ville futuriste et imaginaire de Kandor, où réside le héros de bande dessinée, Superman. Au cours de ses recherches sur les diverses représentations de la ville dans la série, l’artiste réalise que celle-ci – marquée de références modernistes – n’est jamais représentée de façon identique. Cette incohérence devient le fondement même de son œuvre, au travers d’installations qui évoquent les différents aspects de cette cité. Réalisées le plus souvent à partir de résine et offrant des couleurs vives, ces représentations sont placées sous des cloches de verre, tout comme l’était la ville, miniaturisée et enfermée dans une grotte alimentée en oxygène, dans la bande dessinée originelle.
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Mike Kelley – KandorlOA (Grotto), 2010. À l’aune de la récente pandémie où l’apport en oxygène est devenu essentiel pour les patients hospitalisés à travers le monde entier, l’œuvre de Kelley revêt une signification nouvelle en incitant le spectateur à reconsidérer la question d’un futur utopique ou de la science-fiction en un temps où ces notions semblent s’affronter et s’effondrer.
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Mike Kelley – KandorlOA (Grotto), 2010.
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Personnage surdimensionné anti-Disney « White Snow and Dopey, Wood » de l’artiste américain contemporain Paul McCARTHY. La sculpture White Snow and Dopey, Wood (2011) a été réalisée en bois de noyer foncé, à partir d’un modèle en argile, en ayant recours à la modélisation 3D. Le support lui-même bouleverse la visualisation des formes. Le public devient un voyeur, s’approchant au plus près pour distinguer les traits inquiétants de Blanche-Neige et du nain Simplet, qui jouent ensemble une scène entre plaisir, perversion et appel au secours.
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Personnage surdimensionné anti-Disney « White Snow and Dopey, Wood » de l’artiste américain contemporain Paul McCARTHY. Ses œuvres sont iconoclastes et transgressives, exposant et dénonçant la violence du patriarcat, des médias et de la politique occidentale, principalement par le biais de films, de performances et d’installations de grande envergure. En créant des sculptures qui représentent des personnages de l’enfance exécutant des actions obscènes et dérangeantes, McCarthy déconstruit les mythes de pureté qui entourent ces figures pour révéler leur nature liminale commercialisée et sexualisée, tout en réfléchissant à la part d’ombre de la nature humaine.
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Sur le mur du fond série de tableaux « The Days of this Society Is Numbered » de Rirkrit TIRAVANIJA. Les peintures de grande envergure de cette installation se fondent sur des journaux que l’artiste a reçus à l’automne 2008, époque historique tendue au cours de laquelle s’est déroulée la crise financière mondiale. Les pages de journaux révèlent un monde en transition, où les choses semblent s’effondrer rapidement, mais aussi un monde où les choses restent les mêmes. La phrase allégorique grammaticalement incorrecte « Les jours de cette société est compté » fait allusion, de manière ludique, aux différentes perspectives à travers lesquelles la réalité peut être vécue. L’humour manifeste de l’œuvre subvertit avec maestria le ton de malheur et d’effondrement que l’on retrouve dans les nouvelles de l’époque.
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Oeuvres de l’artiste, poète et essayiste libano-américaine Etel ADNAN, elle vit et travaille aujourd’hui à Paris. Les tableaux d’Etel Adnan évoquent des paysages dont les formes font référence à des lieux spécifiques. Le mont Tamalpais, en Californie, et le mont Liban sont des sujets récurrents dans nombre de ses peintures et poèmes. Pour Adnan, les lieux et les récits recèlent un pouvoir conceptuel. Sa palette réduite et ses formes simples évoquent et immortalisent la liaison des souvenirs, en assemblant des éléments qui montrent toujours quelque chose de nouveau. Ces toiles sont un portail intime vers le travail d’Adnan, d’autant plus personnel qu’elles reflètent l’engagement continu de LUMA envers l’œuvre d’Adnan.
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Alighiero Boetti – Mappa, 1988-1989. Broderie, tendue sur châssis. Les cartes brodées d’Alighiero Boetti ont vu le jour au début des années 1970. L’artiste a continué à produire ces œuvres jusqu’à la fin de sa vie. Les cartes de Boetti sont devenues des œuvres iconiques, reflet de sa pratique multiforme. Leur apparence était déterminée par les développements et transformations géopolitiques, les changements de frontières ou d’emblèmes nationaux, ainsi que par l’interprétation active du monde par les artisans d’Afghanistan et du Pakistan qui les fabriquaient. En soulignant le fait que rien n’est permanent dans le monde, la Mappa de Boetti rappelle les changements constants qui définissent notre sens de la réalité.
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Galerie des archives vivantes. Revêtement mural composé de panneaux en béton, en sel et pigment gris.
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Chronologie sur le processus de création du projet LUMA à travers des maquettes et videos.
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Extérieur avec des moulages de la pierre de Fontvieille.
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Sculpture inédite « Krauses Gekröse » de Franz West. De couleur rose et de treize mètres de haut elle est installée au sol dans le jardin. La sculpture n’a jamais été installée auparavant dans toute sa hauteur, elle n’a été montée qu’une seule fois dans l’atelier de l’artiste, à même le sol. C'est donc la première fois que l’on peut apprécier cette pièce telle qu’elle a été imaginée par l’artiste.
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Dès la fin du Ier siècle av. J.-C. se construit à Arles le long de la voie Aurélienne une nécropole romaine. Si elle n’accueille en premier lieu que des incinérations dans sa partie la plus ancienne, près des remparts, on constate au cours des siècles suivants une extension de la nécropole vers le sud-est, jusqu’à l’emplacement actuel de l’église Saint-Honorat, où fut inhumé au IIIᵉ siècle selon la tradition le martyr arlésien Genest. De très nombreux sarcophages en pierre, simples ou ouvragés, témoignent de l’histoire de ce cimetière païen puis chrétien resté en usage jusqu’au XVᵉ siècle. Au milieu du XIXᵉ siècle est entamée à Arles la construction du site du Parc des Ateliers par la compagnie PLM à l’emplacement d’une partie de la nécropole antique des Alyscamps. Les travaux commencent en 1844 avec l’aplanissement à la dynamite de la parcelle à construire (de nombreux sarcophages en pierre son excavés, ensevelis ou détruits à cette occasion). Toute la surface du site est ensuite recouverte par une dalle en béton afin de faciliter l’implantation des bâtiments et la circulation des locomotives. La réhabilitation des bâtiments industriels du Parc des Ateliers par Selldorf Architects a intégré un concept énergétique soucieux de l'environnement à base de biocarburants locaux (huile végétale), de ventilation naturelle et de panneaux solaires.
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L’ancien site industriel du Parc des Ateliers était constitué d’une immense plateforme en béton dépourvue de toute végétation. Cet espace désertique est devenu aujourd’hui un parc paysager public de 7 hectares, abrite 500 nouveaux arbres et un large étang. C'est l’œuvre de l’architecte paysagiste Bas Smets, au départ d'un paysage stérile.
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Le parc paysager. Donçu par l’architecte de paysage Bas Smets. L’ancien site industriel du Parc des Ateliers était constitué d’une vaste plateforme en béton dépourvue de toute végétation, résultant en des conditions climatiques désertiques. Le projet de Bas Smets était de le transformer en un parc luxuriant. Afin de ne pas endommager les nombreux vestiges archéologiques toujours présent dans le sous-sol, un sol fertile a été déposé sur le béton stérile, transformant l’horizontalité du site en une nouvelle topographie, comme s’il avait été sculpté par les vents hivernaux du mistral venu du nord-ouest. Au fil du temps, ces vents forts créent un paysage semblable à celui d’une dune. Cette asymétrie fournit de l’ombre pendant les mois d’été, tout en offrant une protection contre les vents violents des mois d’hiver.
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Bas Smets a tiré son inspiration des paysages uniques qui entourent Arles - la Camargue, la Crau et les Alpilles - et a utilisé leurs différentes logiques et stratégies pour ramener la végétation sur le site. Des arbres, des arbustes, des herbes et des couvre-sols ont été introduits à cette nouvelle topographie, créant un nouveau paysage sur le site. Plus de cinq cents nouveaux arbres de différentes tailles et espèces ont ainsi été plantés au Parc des Ateliers. Il s’agit d’espèces issues de la région méditerranéenne, notamment des tilleuls argentés (Tilia tomentosa), des chênes lièges (Quercus suber), des érables de Montpellier (Acer monspessulanum) et des cèdres de l’Atlas (Cedrus atlantica).
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L’étang, un outil climatique pour le parc. La croissance de la végétation est rendue possible par un système de circulation d’eau durable qui puise sa source dans le Canal de Craponne, construit entre la Durance et le Rhône au XVIᵉ siècle pour favoriser l’agriculture, et situé à proximité du parc. Le large étang sert à la fois de réservoir d’eau pour l’irrigation et de dispositif de refroidissement pendant les chaudes journées d’été. L’étang, ainsi que la nouvelle topographie et sa végétation, produisent un microclimat, transformant efficacement le désert de béton en un parc public foisonnant.
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L’étang, un outil climatique pour le parc.
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La grande Halle. Ancienne chaudronnerie de fer, cette cathédrale industrielle est rebaptisée Grande Halle après la rénovation du bâtiment par le cabinet d’architectes Moatti & Rivière. Construit entre 1888 et 1894, ce bâtiment de 5000m² est une ancienne chaudronnerie de fer dans laquelle s’effectue la construction et la réparation de locomotives à vapeurs. Cette activité nécessite de puissants moyens de manutention, tel le soulèvement des chaudières de locomotives, ce qui explique le volume de l'édifice (120m de long, 40m de largeur, 17,5m de hauteur) et son équipement en ponts roulants aériens.
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Au fond, la Mécanique Générale. Ancien atelier dédié aux travaux de mécanique, ce bâtiment rénové par Selldorf Architects propose aujourd’hui des espaces d’expositions et de travail. Construit dès la création du Parc des Ateliers, ce bâtiment, anciennement nommé atelier de montage, se voit transformé dans les années 1940 et devient La Mécanique Générale. Ce grand atelier comportant des machines-outils moderne est décrit comme vaste, bien éclairé et chauffé en hiver par des calopulseurs à air chaud. La Mécanique Générale comprend à cette période un centre réparateur de machines-outils et de divers outillages ainsi qu’un atelier de réparation de moteurs électriques avec bobinage. De manière générale on y fait tous les travaux courants de mécanique.
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Les sept Portes. Seven Sliding Doors Corridor (Outdoor Version). Carsten Höller. Cette oeuvre se compose de sept portes coulissantes électroniques dotées, sur les deux vantaux, de surfaces miroitantes, grâce à l’effet desquelles le visiteur semble emprunter un passage sans fin. Les portes sont installées à l’intérieur d’un couloir réfléchissant qui chevauche une partie de l’étang du parc. À l’intérieur de cet espace, les portes sont placées à intervalles réguliers et sont connectées à des capteurs de mouvement qui déclenchent leur ouverture et leur fermeture lorsqu’une personne s’approche ou s’éloigne. Par conséquent, les mouvements des usagers transgressent et restreignent alternativement les limites visuelles de l’espace. Il est possible d’entrer dans l’installation par les deux extrémités du couloir, ce qui augmente la probabilité de rencontres inattendues au moment de l’ouverture et de la fermeture des portes.
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Arles : Luma.
Hall de la Mécanique Générale. L'exposition collective « Prélude » interroge les nouvelles relations avec la nature et la manière dont les récits écologiques et la destruction de l’environnement naturel influencent et modèlent nos réalités socio-politico-culturelle. Kapwani Kiwanga « Flowers for Africa ».
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Arles : Musée Arlaten.
Il se trouve dans l'ancien hôtel particulier Laval-Castellane, construit au XVIe siècle au dessus du forum antique du Ier siècle ap. J.-C. Dans le fronton, l'étoile à 7 branches du Félibrige et l'inscription Palais dou Felibrige.
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Arles : Musée Arlaten.
Des vestiges du forum de l’époque romaine sont visibles dans la cour du musée. Il s’agirait d’un forum adiectum, forum ajouté, qui complète l’ensemble monumental formé par le forum augustéen, aménagé dans le courant du 1er siècle après J.-C. et qui le jouxtait. Dans l’Antiquité, le forum est un lieu de grande mixité sociale dans lequel concentrent les activités aussi bien économiques que judiciaires, politiques, financières ou religieuses. Toutes les villes et colonies romaines en possédaient un. Celui d’Arles a la particularité d’être construit sur des cryptoportiques, des galeries souterraines qui compensent la déclivité de la colline de l’Hauture et qui permettent à l’esplanade du Forum de reposer sur une surface horizontale. En 1907, une campagne de fouilles révèle la partie sud d’une place située à côté du forum romain, dominé par un temple à l’ouest et délimité au sud par une exèdre. On l’appelle le « forum secondaire ». A droite, une figure de proue nommée Neptune en bois peint.
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Arles : Musée Arlaten.
L'Arlésienne avec l'étoile à sept branche du félibrige, du sculpteur Claude-André Férigoule.
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Arles : Musée Arlaten.
Entre 1505 et 1515, une grande demeure est érigée sur ces vestiges par Honorat II de Castellane, fils d’une puissante famille provençale, on père ayant été maître d’hôtel du Roi René. Cette maison fortifiée, appelée Hôtel de Laval, se compose de trois ailes, dont deux subsistent aujourd’hui, autour d’une cour agrémentée d’un puits. L’architecture est de style gothique méridional tardif, très en vogue alors, avec des éléments caractéristiques comme les fenêtres à croisée et les gargouilles....
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Arles : Musée Arlaten.
La première Salle des Baromes, dédiée à l'antiquité gréco-romaine.
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Arles : Musée Arlaten.
Guerrier de Vachères. Fin du Ier siècle av. J.-C. ou début du Ier siècle. Original au musée d'Avignon.
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Arles : Musée Arlaten.
Vénus d'Arles, plâtre. D'après Praxitèle, IVe siècle av. J.-C. Original, au Louvre. Louis XIV, en 1683, s’était fait offrir « la plus belle statue découverte en France ».
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Arles : Musée Arlaten.
De gauche à droite : Vénus de Fréjus. D'après un bronze du sculpteur grec Callimaque, Ve siècle av. J.-C. ; Vénus de Vienne, sculpteur romain Doidabès de Bithynie, fin du IIIe siècle av. J.-C. ; Diadumène de Vaison. Réplique romaine d'après un bronze du Ve siècle av. J.-C.
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Insignes du Félibrige. Au milieu du 19e siècle, en Provence, nombre de passionnés souhaitent redonner ses lettres de noblesse au provençal, dont l’usage courant tend à se limiter, de plus en plus, aux classes populaires. Après plusieurs tentatives infructueuses au niveau régional, Frédéric Mistral et ses amis de l’école d’Avignon décident de se regrouper. Selon la tradition orale, c’est lors d’une réunion tenue au Château de Fontségugne le 21 mai 1854 que ces sept primadié donnent naissance à une association ayant pour but de défendre, illustrer et valoriser la langue et la littérature d’oc : le Félibrige.
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Le grand escalier est l'oeuvre de l’architecte Michel Bertreux. Il allie modernité et authenticité en permettant à chacun de circuler à travers les étages et les époques. Littéralement suspendu, il a fait l’objet d’un chantier colossal sublimé par le travail de l’artiste arlésien Christian Lacroix, qui a créé de monumentales plaques de verre aux mille couleurs, reflétant les objets et collections phares du Museon Arlaten.
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La chapelle des Jésuites. Construite au 17e siècle grâce aux dons de François Vautier, médecin de Marie de Médicis puis de Louis XIV, la chapelle des Jésuites est ornée d’un retable monumental en bois où sont sculptés les saint jésuites. Le plafond en bois, de style gothique archaïsant, date, lui, de 1737. Il est voûté d'ogives plates à clefs pendantes ornées du blason de Marie de Grille d’Estoublon, qui l’a financé.
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La chapelle des Jésuites. Retable réalisé par Antoine Guibert en 1679. Deux statues monumentales de saints jésuites encadrent ce tableau central : Ignace de Loyola, fondateur de la Compagnie de Jésus, et François-Xavier, fondateur de l’activité de missionnaire de l’ordre.
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La chapelle des Jésuites. Le tableau central d’origine, aujourd’hui disparu, représentait Saint Joseph, patron de la chapelle. Il a été remplacé par une Descente du Saint-Esprit sur les apôtres datant probablement du 18e siècle.
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La chapelle des Jésuites. François Xavier est un missionnaire jésuite navarrais. Proche ami d'Ignace de Loyola, il est un des cofondateurs de la Compagnie de Jésus.
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La chapelle des Jésuites. Ignace de Loyola, l’un des fondateurs et le premier supérieur général de la Compagnie de Jésus.
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La chapelle des Jésuites.
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La chapelle des Jésuites.
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La chapelle des Jésuites. Maître autel en marbre polychrome.
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La chapelle des Jésuites.
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La chapelle des Jésuites. Le 3 juin 1653, les Pères jésuites, qui ont investi le site actuel du Museon Arlaten pour en faire un collège, lancent la construction de leur église, qui sera bâtie grâce aux dons de François Vautier, premier médecin de Marie de Médicis puis de Louis XIV. Les pères bénéficient par ailleurs de nombreux autres dons pour leur chapelle qui sera consacrée le 19 février 1661. Le plafond en bois archaïsant, de style gothique, date, lui, de 1737.
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La Visite à l'Accouchée. Les mannequins sont dus au sculpteur Claude-André Férigoule.
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La Visite à l'Accouchée
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La Visite à l'Accouchée. Les trois femmes portent une allumette, du sel et un oeuf. Elles disaient alors à tour de rôle : Que siègue dre coume uno brouqueto (qu'il soit droit comme une allumette) ; Que siègue san coume la sau (qu'il soit sain comme le sel (symbole de bonne santé) ; Que siègue plèn coume un ioù (qu'il soit plein comme un oeuf (au sens de : qu'il soit comblé de biens matériels et spirituels). Il y en avait deux autres : Que siègue boun coume lou pan (qu'il soit bon comme le pain) ; Que siègue dous coume lou mèu (qu'il soit doux comme le miel). Ce sont les cinq voeux de la naissance.
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La Visite à l'Accouchée
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La Visite à l'Accouchée
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La Visite à l'Accouchée
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La Visite à l'Accouchée
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La Visite à l'Accouchée. Berceau de Frédéric Mistral, en tilleul par le sculpteur Pélissier à Avignon.
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La Veillée Calendale.
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La Veillée Calendale.
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La Veillée Calendale.
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La Veillée Calendale.
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La Veillée Calendale.
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La salle du Rhône.
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La salle du Rhône.
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Prix Nobel de Mistral en 1904.
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Papperolle.
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Nécessaire pour fabriquer les reliquaires, provenant des Augustines de l'Hôpital.
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La Tarasque, ce monstre terrifiant accusé de tous les maux de l’époque, trône dans la salle festadiero, entourée d’amulettes, santons et autres objets qui dépeignent avec justesse la force de la culture populaire.
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Cheval de la Saint Eloi.
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L'Atelier des Couturières basé sur un tableau d'Antoine Raspal conservé au Musée Réattu.
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L'Atelier des Couturières basé sur un tableau d'Antoine Raspal conservé au Musée Réattu.
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Arles : Musée Arlaten.
Bague d'aïe était une des curiosités portée par les Arlesiennes jusqu'au milieu du XIXe. Cette petite bague de verre filée surmontée d'un rat, était offert par le jeune garçon à sa fiancée en gage d'amour.
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Tableau du dessinateur Léo Lelée.
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Armoire de mariage en noyer.
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Armoire de mariage en noyer. Le caducée montre que le mari était pharmacien.
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Armoire de mariage en noyer.
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Armoire de mariage en noyer. Les initiales de la mariée.
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Sonnailles.
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Portes de la niche qui se trouve à Notre dame de la Major.
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Saint Georges est le saint-patron des gardians.
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