Notre -Dame de la Garde.

<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue d'un appartement des tours Labourdette.
Notre-Dame de la Garde
Vue d'un appartement des tours Labourdette.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de la grande roue, sur le Vieux Port.
Notre-Dame de la Garde
Vue de la grande roue, sur le Vieux Port.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue du Vieux Port à Noël.
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Vue du Vieux Port à Noël.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue du Vieux Port.
Notre-Dame de la Garde
Vue du Vieux Port.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue du Vieux Port.
Notre-Dame de la Garde
Vue du Vieux Port.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue du Vieux Port.
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Vue du Vieux Port.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de l'entrée du Vieux Port, avec le palais du Pharo au premier plan.
Notre-Dame de la Garde
Vue de l'entrée du Vieux Port, avec le palais du Pharo au premier plan.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de la mer. En dessous de la basilique, on aperçoit le haut du chemin du Bois Sacré.
Notre-Dame de la Garde
Vue de la mer. En dessous de la basilique, on aperçoit le haut du chemin du Bois Sacré.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le premier acte faisant acte d'une vigie sur la colline date de 904. L'édification d'une chapelle remonte à 1214, sous l'initiative d'un prêtre et vicaire à la paroisse des Accoules, dénommé Pierre. Cette première chapelle est remplacée au début du XVe siècle par un bâtiment plus important qui comprend une chapelle richement dotée dédiée à saint Gabriel.
Notre-Dame de la Garde
Le premier acte faisant acte d'une vigie sur la colline date de 904. L'édification d'une chapelle remonte à 1214, sous l'initiative d'un prêtre et vicaire à la paroisse des Accoules, dénommé Pierre. Cette première chapelle est remplacée au début du XVe siècle par un bâtiment plus important qui comprend une chapelle richement dotée dédiée à saint Gabriel.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>En 1516, François Ier constata que Marseille était très mal défendue, et en 1524 décida de faire construire deux forts à Marseille : l’un dans l’île d’If et l’autre sur le haut de la colline de la Garde où se trouvait la chapelle. Ce fort a la forme d'un triangle. De ce fort d'importance assez modeste, subsiste l'éperon royal bien visible à l'ouest de la basilique. François Ier décida qu’en temps de paix les fidèles pourraient accéder à la chapelle en empruntant le pont-levis que, dans la journée, les soldats maintiendraient en position basse.
Notre-Dame de la Garde
En 1516, François Ier constata que Marseille était très mal défendue, et en 1524 décida de faire construire deux forts à Marseille : l’un dans l’île d’If et l’autre sur le haut de la colline de la Garde où se trouvait la chapelle. Ce fort a la forme d'un triangle. De ce fort d'importance assez modeste, subsiste l'éperon royal bien visible à l'ouest de la basilique. François Ier décida qu’en temps de paix les fidèles pourraient accéder à la chapelle en empruntant le pont-levis que, dans la journée, les soldats maintiendraient en position basse.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Ce fort a la forme d'un triangle. De ce fort d'importance assez modeste, subsiste l'éperon royal bien visible à l'ouest de la basilique. En 1793 la chapelle est fermée, son mobilier et ses ex-votos datant du XIVe siècle sont vendus. En avril, le duc d'Orléans Philippe Égalité, ses deux fils le duc de Montpensier et le duc de Beaujolais, sa sœur Louise duchesse de Bourbon et le prince de Conti sont emprisonnés quelques semaines à Notre-Dame de la Garde avant leur transfert au fort Saint-Jean. Il faudra attendre le 4 avril 1807 pour que la chapelle soit rendue au culte et la Vierge au bouquet est offerte par un ancien marin. En 1833, on construit une seconde nef (250 m2 au total) bénie par Mgr Fortuné de Mazenod. Et dans les années 1840, on érige un nouveau clocher, permettant d’accueillir un bourdon de plus de huit tonnes baptisé « Marie-Joséphine ».
Notre-Dame de la Garde
Ce fort a la forme d'un triangle. De ce fort d'importance assez modeste, subsiste l'éperon royal bien visible à l'ouest de la basilique. En 1793 la chapelle est fermée, son mobilier et ses ex-votos datant du XIVe siècle sont vendus. En avril, le duc d'Orléans Philippe Égalité, ses deux fils le duc de Montpensier et le duc de Beaujolais, sa sœur Louise duchesse de Bourbon et le prince de Conti sont emprisonnés quelques semaines à Notre-Dame de la Garde avant leur transfert au fort Saint-Jean. Il faudra attendre le 4 avril 1807 pour que la chapelle soit rendue au culte et la Vierge au bouquet est offerte par un ancien marin. En 1833, on construit une seconde nef (250 m2 au total) bénie par Mgr Fortuné de Mazenod. Et dans les années 1840, on érige un nouveau clocher, permettant d’accueillir un bourdon de plus de huit tonnes baptisé « Marie-Joséphine ».
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le bourdon, béni en 1845, impose au bâtiment un nouvel ordre de grandeur. En 1851, les Administrateurs de Notre-Dame de la Garde demandèrent au Ministre de la Guerre l’autorisation de démolir la petite chapelle et de la remplacer par un sanctuaire plus grand surmonté d’un haut clocher. Il donna son accord le 5 février 1852. Un concours est organisé afin de déterminer les plans de la nouvelle église. Présidé par Eugène de Mazenod, le conseil d'administration tranche en faveur du projet
Notre-Dame de la Garde
Le bourdon, béni en 1845, impose au bâtiment un nouvel ordre de grandeur. En 1851, les Administrateurs de Notre-Dame de la Garde demandèrent au Ministre de la Guerre l’autorisation de démolir la petite chapelle et de la remplacer par un sanctuaire plus grand surmonté d’un haut clocher. Il donna son accord le 5 février 1852. Un concours est organisé afin de déterminer les plans de la nouvelle église. Présidé par Eugène de Mazenod, le conseil d'administration tranche en faveur du projet "romano-byzantin" présenté sous le nom de Léon Vaudoyer. C'est pourtant son jeune élève Henri Jacques Espérandieu qui en est l'auteur. Entré au service de Vaudoyer en 1845, le talentueux architecte s'avère être protestant, ce qui aurait pu jouer en sa défaveur face à un jury catholique. Le sanctuaire actuel est l'oeuvre d'Henri Espérandieu, de 1853 à 1874, en collaboration avec Henri Révoil pour le décor. La première pierre fut posée le 11 septembre 1853 par l’évêque de Marseille, Mgr Eugène de Mazenod. La basilique est de style romano-byzantin.
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<center>Notre-dame de la Garde.</center>Le 23 juin 1853 Espérandieu est nommé architecte et met au point le projet. Bien qu'étant protestant, il ne semble pas que sa religion fut une cause majeure des difficultés rencontrées avec la commission du sanctuaire chargée de la mise en œuvre des travaux. Celle-ci décida, sans consultation de l'architecte, de ne pas mettre les travaux en adjudication pour faire jouer la concurrence, mais de les confier le 9 août 1853 directement à Pierre Bérenger, entrepreneur et architecte de l'église Saint-Michel, qui avait lui-même proposé un des projets néogothiques et qui était un proche de Mgr Mazenod. La commission décide également de lui imposer le choix d'artistes tels que le sculpteur Joseph Marius Ramus ou le peintre Karl Müller de Düsseldorf sans se soucier de savoir si leurs œuvres s'adapteront à l'architecture retenue. Le choix de Karl Müller ne fut pas confirmé par la suite, ce qui permit à l'architecte de s'orienter vers une décoration de mosaïques.
Notre-dame de la Garde.
Le 23 juin 1853 Espérandieu est nommé architecte et met au point le projet. Bien qu'étant protestant, il ne semble pas que sa religion fut une cause majeure des difficultés rencontrées avec la commission du sanctuaire chargée de la mise en œuvre des travaux. Celle-ci décida, sans consultation de l'architecte, de ne pas mettre les travaux en adjudication pour faire jouer la concurrence, mais de les confier le 9 août 1853 directement à Pierre Bérenger, entrepreneur et architecte de l'église Saint-Michel, qui avait lui-même proposé un des projets néogothiques et qui était un proche de Mgr Mazenod. La commission décide également de lui imposer le choix d'artistes tels que le sculpteur Joseph Marius Ramus ou le peintre Karl Müller de Düsseldorf sans se soucier de savoir si leurs œuvres s'adapteront à l'architecture retenue. Le choix de Karl Müller ne fut pas confirmé par la suite, ce qui permit à l'architecte de s'orienter vers une décoration de mosaïques.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le 4 juin 1864, le sanctuaire put être consacré, avec un clocher non terminé, par le Cardinal Villecourt, membre de la Curie romaine entouré de quarante-et-un évêques. En 1870, la statue de la Vierge à l'Enfant est placée au sommet du clocher. Henri-Jacques Espérandieu décède en 1874, à quarante-cinq ans, laissant son œuvre inachevée. Henri Révoil lui succède à la tête du chantier pour mener le projet à son terme. Le 10 juin 1879, elle est érigée en basilique mineure par le pape Léon XIII. En juin 1931, fêtes u couronnement. En 1934, le terrain est démilitarisé par le Président de la République Albert Lebrun. En 1941, le diocèse en devient propriétaire. C'est donc, aujourd'hui, une propriété privée. Le 25 août 1944, le sanctuaire est libéré de l’occupation allemande par une section de la 1re compagnie du 7e Régiment de Tirailleurs Algériens.
Notre-Dame de la Garde
Le 4 juin 1864, le sanctuaire put être consacré, avec un clocher non terminé, par le Cardinal Villecourt, membre de la Curie romaine entouré de quarante-et-un évêques. En 1870, la statue de la Vierge à l'Enfant est placée au sommet du clocher. Henri-Jacques Espérandieu décède en 1874, à quarante-cinq ans, laissant son œuvre inachevée. Henri Révoil lui succède à la tête du chantier pour mener le projet à son terme. Le 10 juin 1879, elle est érigée en basilique mineure par le pape Léon XIII. En juin 1931, fêtes u couronnement. En 1934, le terrain est démilitarisé par le Président de la République Albert Lebrun. En 1941, le diocèse en devient propriétaire. C'est donc, aujourd'hui, une propriété privée. Le 25 août 1944, le sanctuaire est libéré de l’occupation allemande par une section de la 1re compagnie du 7e Régiment de Tirailleurs Algériens.
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<center>Notre-dame de la Garde.</center>Vue du quartier Vauban, avec le bastion arrière du fort de François Ier.
Notre-dame de la Garde.
Vue du quartier Vauban, avec le bastion arrière du fort de François Ier.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>On peut monter à la basilique par le chemin du Bois sacré.
Notre-Dame de la Garde
On peut monter à la basilique par le chemin du Bois sacré.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Ancienne carrière Honoré. La colline où se trouve la basilique a fait l'objet d’une exploitation de carrière ouverte à partir de 1905, postérieurement son édification. Elle a fonctionné jusqu'en 1946. La colline qui se prolongeait en continu au sud vers les hauteurs du quartier de Gratte-Semelle, est entamée par une saignée dans laquelle la rue du Bois-sacré a été ouverte.
Notre-Dame de la Garde
Ancienne carrière Honoré. La colline où se trouve la basilique a fait l'objet d’une exploitation de carrière ouverte à partir de 1905, postérieurement son édification. Elle a fonctionné jusqu'en 1946. La colline qui se prolongeait en continu au sud vers les hauteurs du quartier de Gratte-Semelle, est entamée par une saignée dans laquelle la rue du Bois-sacré a été ouverte.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le chemin du Bois sacré. Au fond, à  gauche, le Mont Puget. Avant notre ère, il se peut qu'un temple dédiée à Artemis y soit édifié. L'appellation Bois Sacré vient du fait que ce fut le lieu du premier cimetière des fondateurs de Marseille.
Notre-Dame de la Garde
Le chemin du Bois sacré. Au fond, à gauche, le Mont Puget. Avant notre ère, il se peut qu'un temple dédiée à Artemis y soit édifié. L'appellation Bois Sacré vient du fait que ce fut le lieu du premier cimetière des fondateurs de Marseille.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le chemin du Bois sacré. Au fond, le massif de Marseilleveyre : plateau de l'Homme Mort, sommet de Marseilleveyre, sommet de Béouveyre.
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Le chemin du Bois sacré. Au fond, le massif de Marseilleveyre : plateau de l'Homme Mort, sommet de Marseilleveyre, sommet de Béouveyre.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le chemin du Bois sacré. Le Roucas Blanc.
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Le chemin du Bois sacré. Le Roucas Blanc.
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<center>Notre-dame de la Garde.</center>Arrivée du chemin du Bois sacré.
Notre-dame de la Garde.
Arrivée du chemin du Bois sacré.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue du chemin du Bois sacré.
Notre-Dame de la Garde
Vue du chemin du Bois sacré.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>On peut aussi monter d'Endoume..
Notre-Dame de la Garde
On peut aussi monter d'Endoume..
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>On peut aussi y arriver par la montée des oratoires.
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On peut aussi y arriver par la montée des oratoires.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>La montée des oratoires débute devant le char
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La montée des oratoires débute devant le char "Jeanne d'Arc". C’est un char sherman M4A4 de la 1°DB, 2e Cuirassier Jeanne d’Arc, détruit à cet endroit même le 25 août 1944, lors de la libération de Marseille.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Deuxième oratoire.
Notre-Dame de la Garde
Deuxième oratoire.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Montée des oratoires.
Notre-Dame de la Garde
Montée des oratoires.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Montée des oratoires.
Notre-Dame de la Garde
Montée des oratoires.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>La Vierge, vue de la montée des oratoires.
Notre-Dame de la Garde
La Vierge, vue de la montée des oratoires.
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<center>La Vierge, vue de la montée des oratoires.</center>En 1866, la réalisation de la statue qui allait couronner l’édifice donna lieu à un concours. Lequesne fut retenu à l'unanimité par un jury. Plusieurs éléments furent appréciés : l'intervention personnelle de la Vierge jointe à celle de l'Enfant Jésus, le sourire de l'Enfant, les bras ouverts vers la ville, le drapé mouvementé soulignant la démarche de la Vierge.
La Vierge, vue de la montée des oratoires.
En 1866, la réalisation de la statue qui allait couronner l’édifice donna lieu à un concours. Lequesne fut retenu à l'unanimité par un jury. Plusieurs éléments furent appréciés : l'intervention personnelle de la Vierge jointe à celle de l'Enfant Jésus, le sourire de l'Enfant, les bras ouverts vers la ville, le drapé mouvementé soulignant la démarche de la Vierge.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le clocher se termine par une terrasse carrée bordée d'une balustrade de pierre ajourée comportant au centre de chaque côté les armes de la ville et à chacun de ses angles une statue d'ange sonnant de la trompette. La sculpture des quatre anges  fut également confiée à Lequesne.
Notre-Dame de la Garde
Le clocher se termine par une terrasse carrée bordée d'une balustrade de pierre ajourée comportant au centre de chaque côté les armes de la ville et à chacun de ses angles une statue d'ange sonnant de la trompette. La sculpture des quatre anges fut également confiée à Lequesne.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>En 1866, la réalisation de la statue qui allait couronner l’édifice donna lieu à un concours. Lequesne fut retenu à l'unanimité par un jury. La statue colossale de la vierge (9,70 m et plus de 9 t) dorée à la feuille, tenant dans ses bras l'Enfant-Jésus n’est pas en métal plein. Elle fut réalisée par l’entreprise Christofle selon un procédé nouveau à l’époque : la galvanoplastie.
Notre-Dame de la Garde
En 1866, la réalisation de la statue qui allait couronner l’édifice donna lieu à un concours. Lequesne fut retenu à l'unanimité par un jury. La statue colossale de la vierge (9,70 m et plus de 9 t) dorée à la feuille, tenant dans ses bras l'Enfant-Jésus n’est pas en métal plein. Elle fut réalisée par l’entreprise Christofle selon un procédé nouveau à l’époque : la galvanoplastie.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>
La Vierge et l'Enfant.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>
La Vierge et l'Enfant.
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<center>La Vierge, vue de la montée des oratoires.</center>
La Vierge, vue de la montée des oratoires.
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<center>La Vierge, vue de la montée des oratoires.</center>
La Vierge, vue de la montée des oratoires.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Montée des oratoires.
Notre-Dame de la Garde
Montée des oratoires.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le port.
Notre-Dame de la Garde
Le port.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>La rade.
Notre-Dame de la Garde
La rade.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le Vieux Port.
Notre-Dame de la Garde
Le Vieux Port.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Si la Vierge de la Garde est familièrement nommée « la Bonne Mère », ce nom ou titre lui est spécifique puisqu’on ne le retrouve dans nul autre sanctuaire marial. On le devrait aux Oblats. C’est au XIXe siècle positiviste, scientiste et anticlérical, dont la critique anticatholique aboutira en France à la séparation de l’Église et de l’état, aux lois anticléricales de 1903, que la Vierge de la Garde devient finalement Notre-Dame de la Garde et prend sa forme actuelle.
Notre-Dame de la Garde
Si la Vierge de la Garde est familièrement nommée « la Bonne Mère », ce nom ou titre lui est spécifique puisqu’on ne le retrouve dans nul autre sanctuaire marial. On le devrait aux Oblats. C’est au XIXe siècle positiviste, scientiste et anticlérical, dont la critique anticatholique aboutira en France à la séparation de l’Église et de l’état, aux lois anticléricales de 1903, que la Vierge de la Garde devient finalement Notre-Dame de la Garde et prend sa forme actuelle.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>A partir d'ici, chut...
Notre-Dame de la Garde
A partir d'ici, chut...
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Œuvre de l'architecte Henry Espérandieu, cet édifice est un chef-d’œuvre de polychromie d'influence byzantine : calcaire de Calissane dont la blancheur tranche avec le vert du grès de Gonfolina, une pierre de Florence.
Notre-Dame de la Garde
Œuvre de l'architecte Henry Espérandieu, cet édifice est un chef-d’œuvre de polychromie d'influence byzantine : calcaire de Calissane dont la blancheur tranche avec le vert du grès de Gonfolina, une pierre de Florence.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Esplanade du bas. En 1516, François Ier constata que Marseille était très mal défendue, et en 1524 décida de faire construire deux forts à Marseille : l’un dans l’île d’If et l’autre sur le haut de la colline de la Garde où se trouvait la chapelle.
Notre-Dame de la Garde
Esplanade du bas. En 1516, François Ier constata que Marseille était très mal défendue, et en 1524 décida de faire construire deux forts à Marseille : l’un dans l’île d’If et l’autre sur le haut de la colline de la Garde où se trouvait la chapelle.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Esplanade du bas. Une échauguette et le pont-levis installé par l’Armée en 1879.
Notre-Dame de la Garde
Esplanade du bas. Une échauguette et le pont-levis installé par l’Armée en 1879.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Accueil. Entrée du musée.
Notre-Dame de la Garde
Accueil. Entrée du musée.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Blason de François Ier, c'est-à-dire les armes de France aux trois fleurs de lys avec au-dessous la salamandre. Près de celui-ci se trouve un rond de pierre rongé par le temps où l'on aperçoit quelques vestiges d'une sculpture qui représentait l'agneau de saint Jean avec la banderole.
Notre-Dame de la Garde
Blason de François Ier, c'est-à-dire les armes de France aux trois fleurs de lys avec au-dessous la salamandre. Près de celui-ci se trouve un rond de pierre rongé par le temps où l'on aperçoit quelques vestiges d'une sculpture qui représentait l'agneau de saint Jean avec la banderole.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de l'esplanade du bas, de la gauche. L'aspect général du bâtiment se caractérise par le souci décoratif attesté par l'emploi de matériaux de couleurs contrastées : pierre calcaire de Calissane dont la blancheur tranche avec le vert du grès de Gonfolina (it), pierre de Florence.
Notre-Dame de la Garde
Vue de l'esplanade du bas, de la gauche. L'aspect général du bâtiment se caractérise par le souci décoratif attesté par l'emploi de matériaux de couleurs contrastées : pierre calcaire de Calissane dont la blancheur tranche avec le vert du grès de Gonfolina (it), pierre de Florence.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de l'esplanade du bas, de la droite.
Notre-Dame de la Garde
Vue de l'esplanade du bas, de la droite.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de l'esplanade du bas., de face
Notre-Dame de la Garde
Vue de l'esplanade du bas, de face
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Sur l’esplanade du bas, on peut voir un groupe en marbre blanc, sculpté en 1900 par Auguste Carli, représentant sainte Véronique essuyant le visage de Jésus avec un linge. A gauche, les îles du Frioul.
Notre-Dame de la Garde
Sur l’esplanade du bas, on peut voir un groupe en marbre blanc, sculpté en 1900 par Auguste Carli, représentant sainte Véronique essuyant le visage de Jésus avec un linge. A gauche, les îles du Frioul.
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<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Cénotaphe pour les disparus en mer. La croix des gardians symbolise les trois vertus théologales : La Croix pour la Foi. L'Ancre pour l'Espérance. Le Cœur pour la Charité. Les 3 extrémités de la Croix sont terminées par des tridents représentant les gardians et l'âme camarguaise.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Cénotaphe pour les disparus en mer. La croix des gardians symbolise les trois vertus théologales : La Croix pour la Foi. L'Ancre pour l'Espérance. Le Cœur pour la Charité. Les 3 extrémités de la Croix sont terminées par des tridents représentant les gardians et l'âme camarguaise.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>L'escalier d'accés et le pont-levis. François Ier décida qu’en temps de paix les fidèles pourraient accéder à la chapelle en empruntant le pont-levis qui restera ouvert dans la journée. 
A partir de la fin du XVIe siècle, on vit beaucoup de marins monter à Notre-Dame de la Garde. Jusqu’alors, ils allaient prier devant la statue de Notre-Dame de la Mer dans l’église Saint-Etienne située là où se trouve actuellement l’église Notre-Dame du Mont. Mais, en 1588, cette église fut démolie et les marins prirent alors l’habitude de venir à Notre-Dame de la Garde pour y prier et y déposer de nombreux ex-voto.
Notre-Dame de la Garde
L'escalier d'accés et le pont-levis. François Ier décida qu’en temps de paix les fidèles pourraient accéder à la chapelle en empruntant le pont-levis qui restera ouvert dans la journée. A partir de la fin du XVIe siècle, on vit beaucoup de marins monter à Notre-Dame de la Garde. Jusqu’alors, ils allaient prier devant la statue de Notre-Dame de la Mer dans l’église Saint-Etienne située là où se trouve actuellement l’église Notre-Dame du Mont. Mais, en 1588, cette église fut démolie et les marins prirent alors l’habitude de venir à Notre-Dame de la Garde pour y prier et y déposer de nombreux ex-voto.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le pont-levis, installé par l’Armée en 1879 devant l’entrée de la crypte pour remplacer l’ancien pont-levis que l’on avait nécessairement démoli lors de la construction du nouveau sanctuaire. Ce pont est levé tous les soirs.
Notre-Dame de la Garde
Le pont-levis, installé par l’Armée en 1879 devant l’entrée de la crypte pour remplacer l’ancien pont-levis que l’on avait nécessairement démoli lors de la construction du nouveau sanctuaire. Ce pont est levé tous les soirs.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le pont en position levée.
Notre-Dame de la Garde
Le pont en position levée.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Partie droite de l'escalier d'accès à l'église avec une échauguette
Notre-Dame de la Garde
Partie droite de l'escalier d'accès à l'église avec une échauguette "décorative".
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Partie gauche de l'escalier d'accès à l'église avec une échauguette
Notre-Dame de la Garde
Partie gauche de l'escalier d'accès à l'église avec une échauguette "décorative".
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le clocher, avec l'échauguette côté gauche.
Notre-Dame de la Garde
Le clocher, avec l'échauguette côté gauche.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>L'éperon du grand bastion, faisant partie du fort de François Ier.
Notre-Dame de la Garde
L'éperon du grand bastion, faisant partie du fort de François Ier.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>L'éperon du grand bastion, faisant partie du fort de François Ier.
Notre-Dame de la Garde
L'éperon du grand bastion, faisant partie du fort de François Ier.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le clocher avec la Vierge. La reconstruction du clocher en 1847 lui permet de recevoir non plus une cloche mais un bourdon commandé à un fondeur lyonnais Gédéon Morel et acheté grâce à une souscription. Le bourdon fondu le 11 février 1845, arrive à Marseille le 19 septembre 1845. Le bourdon est mis en place le mercredi 15 octobre. Le bourdon est rejoint par deux autres cloches : une première réalisée par Toussaint Meurel en 1885 et une seconde, baptisée
Notre-Dame de la Garde
Le clocher avec la Vierge. La reconstruction du clocher en 1847 lui permet de recevoir non plus une cloche mais un bourdon commandé à un fondeur lyonnais Gédéon Morel et acheté grâce à une souscription. Le bourdon fondu le 11 février 1845, arrive à Marseille le 19 septembre 1845. Le bourdon est mis en place le mercredi 15 octobre. Le bourdon est rejoint par deux autres cloches : une première réalisée par Toussaint Meurel en 1885 et une seconde, baptisée "Françoise" et fondue par Jules Robert en 1920.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>D'une hauteur de 41 mètres, le puissant clocher carré situé au-dessus du porche d'entrée comporte deux étages identiques formés de cinq arcatures, celle du milieu servant de fenêtre à un petit balcon. Cet ensemble est surmonté d'un beffroi dont chaque face est constituée de trois grandes baies aux colonnes de granit rouge derrière lesquelles sont placés les abat-sons.
Notre-Dame de la Garde
D'une hauteur de 41 mètres, le puissant clocher carré situé au-dessus du porche d'entrée comporte deux étages identiques formés de cinq arcatures, celle du milieu servant de fenêtre à un petit balcon. Cet ensemble est surmonté d'un beffroi dont chaque face est constituée de trois grandes baies aux colonnes de granit rouge derrière lesquelles sont placés les abat-sons.
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<center>Notre-Dame de la Garde.</center>Chaque face du beffroi est constituée de trois grandes baies aux colonnes de granit rouge derrière lesquelles sont placés les abat-sons.
Notre-Dame de la Garde.
Chaque face du beffroi est constituée de trois grandes baies aux colonnes de granit rouge derrière lesquelles sont placés les abat-sons.
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<center>La Vierge, vue de la montée des oratoires.</center>Le clocher se termine par une terrasse carrée bordée d'une balustrade de pierre ajourée comportant au centre de chaque côté les armes de la ville et à chacun de ses angles une statue d'ange sonnant de la trompette. Ces quatre statues ont été sculptées par Lequesne.
La Vierge, vue de la montée des oratoires.
Le clocher se termine par une terrasse carrée bordée d'une balustrade de pierre ajourée comportant au centre de chaque côté les armes de la ville et à chacun de ses angles une statue d'ange sonnant de la trompette. Ces quatre statues ont été sculptées par Lequesne.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>L'escalier octogonal permet d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue.
Notre-Dame de la Garde
L'escalier octogonal permet d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue.
67
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue des terrasses supérieures. Le clocher se termine par une terrasse carrée bordée d'une balustrade de pierre ajourée supportant, en son centre, un campanile cylindrique d'une hauteur de 12,5 mètres comportant seize colonnes de granit rouge sur lequel est posée la monumentale statue de la Vierge.
Notre-Dame de la Garde
Vue des terrasses supérieures. Le clocher se termine par une terrasse carrée bordée d'une balustrade de pierre ajourée supportant, en son centre, un campanile cylindrique d'une hauteur de 12,5 mètres comportant seize colonnes de granit rouge sur lequel est posée la monumentale statue de la Vierge.
68
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le campanile cylindrique d'une hauteur de 12,5 mètres comportant seize colonnes de granit rouge sur lequel est posée la monumentale statue de la Vierge. Le sommet de l'escalier octogonal permettant d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue.
Notre-Dame de la Garde
Le campanile cylindrique d'une hauteur de 12,5 mètres comportant seize colonnes de granit rouge sur lequel est posée la monumentale statue de la Vierge. Le sommet de l'escalier octogonal permettant d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue.
69
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue des terrasses supérieures. Deux anges soufflant dans des cors.
Notre-Dame de la Garde
Vue des terrasses supérieures. Deux anges soufflant dans des cors.
70
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Un des quatre anges du clocher.
Notre-Dame de la Garde
Un des quatre anges du clocher.
71
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Un des quatre anges du clocher.
Notre-Dame de la Garde
Un des quatre anges du clocher.
72
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue des terrasses supérieures. La Vierge a ses cheveux dénoués, et ne porte pas de voile car Espérandieu était protestant.
Notre-Dame de la Garde
Vue des terrasses supérieures. La Vierge a ses cheveux dénoués, et ne porte pas de voile car Espérandieu était protestant.
73
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue des terrasses supérieures. Plaqué contre la façade sud du clocher, un escalier octogonal permet d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue.
Notre-Dame de la Garde
Vue des terrasses supérieures. Plaqué contre la façade sud du clocher, un escalier octogonal permet d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue.
74
<center>Notre-Dame de la Garde</center>
Notre-Dame de la Garde
75
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Une des terrasses supérieures. Le sol est en pierre de Cassis qui est imperméable et très dure.
Notre-Dame de la Garde
Une des terrasses supérieures. Le sol est en pierre de Cassis qui est imperméable et très dure.
76
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Une des terrasses supérieures.
Notre-Dame de la Garde
Une des terrasses supérieures.
77
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Une des terrasses supérieures. Traces des impacts d'éclats d'obus lors de la libération de Marseille, le 25 aout 1944.
Notre-Dame de la Garde
Une des terrasses supérieures. Traces des impacts d'éclats d'obus lors de la libération de Marseille, le 25 aout 1944.
78
<center>Notre-dame de la Garde.</center>Les bas-côtés de la nef sont divisés en trois parties égales comportant en leur centre une fenêtre éclairant chacune une chapelle latérale. Les pilastres et les arcs sont constitués de pierres et de claveaux alternés verts et blancs. Des soupiraux placés au ras de la chaussée donnent un peu de jour aux chapelles souterraines de la crypte.
Notre-dame de la Garde.
Les bas-côtés de la nef sont divisés en trois parties égales comportant en leur centre une fenêtre éclairant chacune une chapelle latérale. Les pilastres et les arcs sont constitués de pierres et de claveaux alternés verts et blancs. Des soupiraux placés au ras de la chaussée donnent un peu de jour aux chapelles souterraines de la crypte.
79
<center>Notre-Dame de la Garde.</center>Traces des impacts d'éclats d'obus lors de la libération de Marseille, le 25 aout 1944.
Notre-Dame de la Garde.
Traces des impacts d'éclats d'obus lors de la libération de Marseille, le 25 aout 1944.
80
<center>Notre-dame de la Garde.</center>Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Sur son axe s'élève un dôme de 9 mètres de diamètre.
Notre-dame de la Garde.
Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Sur son axe s'élève un dôme de 9 mètres de diamètre.
81
<center>Notre-dame de la Garde.</center>Bastion arrière.
Notre-dame de la Garde.
Bastion arrière.
82
<center>Notre-Dame de la Garde</center>La sacristie.
Notre-Dame de la Garde
La sacristie.
83
<center>Notre-dame de la Garde.</center>Arrière de la basilique. La sacristie.
Notre-dame de la Garde.
Arrière de la basilique. La sacristie.
84
<center>Notre-dame de la Garde.</center>Arrière de la basilique. La sacristie.
Notre-dame de la Garde.
Arrière de la basilique. La sacristie.
85
<center>Notre-Dame de la Garde.</center>Le secrétariat.
Notre-Dame de la Garde.
Le secrétariat.
86
<center>Notre-dame de la Garde.</center>Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Sur son axe s'élève un dôme de 9 mètres de diamètre. A droite, les baies aveugles de l'abside.
Notre-dame de la Garde.
Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Sur son axe s'élève un dôme de 9 mètres de diamètre. A droite, les baies aveugles de l'abside.
87
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Les bas-côtés de la nef sont divisés en trois parties égales comportant en leur centre une fenêtre éclairant chacune une chapelle latérale. Les pilastres et les arcs sont constitués de pierres et de claveaux alternés verts et blancs. Des soupiraux placés au ras de la chaussée donnent un peu de jour aux chapelles souterraines de la crypte. A gauche, l'entrée de la basilique.
Notre-Dame de la Garde
Les bas-côtés de la nef sont divisés en trois parties égales comportant en leur centre une fenêtre éclairant chacune une chapelle latérale. Les pilastres et les arcs sont constitués de pierres et de claveaux alternés verts et blancs. Des soupiraux placés au ras de la chaussée donnent un peu de jour aux chapelles souterraines de la crypte. A gauche, l'entrée de la basilique.
88
<center>Notre-Dame de la Garde.</center>La travée du transept.
Notre-Dame de la Garde.
La travée du transept.
89
<center>Notre-Dame de la Garde.</center>Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Ici, le côté ouest.
Notre-Dame de la Garde.
Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Ici, le côté ouest.
90
<center>Notre-Dame de la Garde</center>La lanterne octogonale du choeur est surmontée d'un dôme.
Notre-Dame de la Garde
La lanterne octogonale du choeur est surmontée d'un dôme.
91
<center>Notre-Dame de la Garde.</center>La lanterne du choeur est de plan octogonal dont chaque face est percée d'une fenêtre, chacune encadrée de deux colonnes de granit rouge, supportant une arcature en le plein cintre  surmontée d'un fronton triangulaire. Entre chaque face, un pilastre est surmonté d'une statue représentant un lion.
Notre-Dame de la Garde.
La lanterne du choeur est de plan octogonal dont chaque face est percée d'une fenêtre, chacune encadrée de deux colonnes de granit rouge, supportant une arcature en le plein cintre surmontée d'un fronton triangulaire. Entre chaque face, un pilastre est surmonté d'une statue représentant un lion.
92
<center>Notre-Dame de la Garde</center>La lanterne du choeur. Entre chaque face, un pilastre est surmonté d'une statue représentant un lion.
Notre-Dame de la Garde
La lanterne du choeur. Entre chaque face, un pilastre est surmonté d'une statue représentant un lion.
93
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Entre chaque face, un pilastre est surmonté d'une statue représentant un lion.
Notre-Dame de la Garde
Entre chaque face, un pilastre est surmonté d'une statue représentant un lion.
94
<center>Notre-Dame de la Garde</center>La lanterne du choeur.
Notre-Dame de la Garde
La lanterne du choeur.
95
<center>Notre-Dame de la Garde.</center>Un lion.
Notre-Dame de la Garde.
Un lion.
96
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le dôme élevé sur un plan octogonal est composé de trente deux lamelles à l'intersection desquelles s'érige une croix. Chaque face du plan octogonal est percée d'une fenêtre, chacune encadrée de deux colonnes de granit rouge, dont le plein cintre est surmonté d'un fronton triangulaire.
Notre-Dame de la Garde
Le dôme élevé sur un plan octogonal est composé de trente deux lamelles à l'intersection desquelles s'érige une croix. Chaque face du plan octogonal est percée d'une fenêtre, chacune encadrée de deux colonnes de granit rouge, dont le plein cintre est surmonté d'un fronton triangulaire.
97
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le grand bastion. L'île de Pomègues de l'archipel du Frioul.
Notre-Dame de la Garde
Le grand bastion. L'île de Pomègues de l'archipel du Frioul.
98
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le grand bastion. Les îles du Frioul, au premier plan, le château d'If.
Notre-Dame de la Garde
Le grand bastion. Les îles du Frioul, au premier plan, le château d'If.
99
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le grand bastion.
Notre-Dame de la Garde
Le grand bastion.
100
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Vue des terrasses supérieures. Le Roucas Blanc. Le massif des calanques : le plateau de l'Homme Mort, le sommet de Marseilleveyre, celui de Béouveyre et l'île Maïre et son Tiboulen
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Vue des terrasses supérieures. Le Roucas Blanc. Le massif des calanques : le plateau de l'Homme Mort, le sommet de Marseilleveyre, celui de Béouveyre et l'île Maïre et son Tiboulen.
101
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Vue des terrasses supérieures. Le Roucas Blanc. Le massif des calanques : le plateau de l'Homme Mort, le sommet de Marseilleveyre, celui de Béouveyre et l'île Maïre.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Vue des terrasses supérieures. Le Roucas Blanc. Le massif des calanques : le plateau de l'Homme Mort, le sommet de Marseilleveyre, celui de Béouveyre et l'île Maïre.
102
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Vue des terrasses supérieures. Le Roucas Blanc. Le massif des calanques : le sommet  de Béouveyre et l'île Maïre et son Tiboulen.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Vue des terrasses supérieures. Le Roucas Blanc. Le massif des calanques : le sommet de Béouveyre et l'île Maïre et son Tiboulen.
103
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le Goéland leucophée est une espèce d'oiseaux qui appartient au groupe des goélands de taille moyenne, à manteau gris et pattes jaunes. Sur les côtes méditerranéennes de la France, le goéland leucophée est souvent appelé gabian, de son nom occitan.
104
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Vue des terrasses supérieures. Quartier d'Endoume, les îles du Frioul. A droite, l'immeuble saint Georges, au Catalan.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Vue des terrasses supérieures. Quartier d'Endoume, les îles du Frioul. A droite, l'immeuble saint Georges, aux Catalans.
105
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Quartier d'Endoume, le château d'If, les îles du Frioul, avec, à gauche, Pomègues, à droite, Ratonneau, reliées par la digue Berry construite en 1822 sous Louis XVIII. La digue Est, à l'entrée du port et destinée à le protéger de la houle venant de l’Est, date de 1840. Elle a été consolidée par les allemands et a subi des dégats lors de la dernière guerre. Elle est sur le point d'être rénovée en 2025.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Quartier d'Endoume, le château d'If, les îles du Frioul, avec, à gauche, Pomègues, à droite, Ratonneau, reliées par la digue Berry construite en 1822 sous Louis XVIII. La digue Est, à l'entrée du port et destinée à le protéger de la houle venant de l’Est, date de 1840. Elle a été consolidée par les allemands et a subi des dégats lors de la dernière guerre. Elle est sur le point d'être rénovée en 2025.
106
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Quartier d'Endoume, le château d'If, les îles du Frioul, avec, à gauche, Pomègues, à droite, Ratonneau, reliées par la digue Berry construite en 1822 sous Louis XVIII. La digue Est, à l'entrée du port et destinée à le protéger de la houle venant de l’Est, date de 1840. Elle a été consolidée par les allemands et a subi des dégats lors de la dernière guerre. Elle est sur le point d'être rénovée en 2025.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Quartier d'Endoume, le château d'If, les îles du Frioul, avec, à gauche, Pomègues, à droite, Ratonneau, reliées par la digue Berry construite en 1822 sous Louis XVIII. La digue Est, à l'entrée du port et destinée à le protéger de la houle venant de l’Est, date de 1840. Elle a été consolidée par les allemands et a subi des dégats lors de la dernière guerre. Elle est sur le point d'être rénovée en 2025.
107
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le quartier d'Endoume, l'île de Ratonneau avec l'hôpital Caroline.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le quartier d'Endoume, l'île de Ratonneau avec l'hôpital Caroline.
108
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le Vieux Port. A droite, la gare Saint Charles.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le Vieux Port. A droite, la gare Saint Charles.
109
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo, le fort Saint Jean, l'église saint Laurent.
Notre-Dame de la Garde
Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo, le fort Saint Jean, l'église saint Laurent.
110
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo. La côte Bleue
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo. La côte Bleue.
111
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo.
112
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Entrée du Vieux Port : Fort st Jean, le Mucem, la Villa Méditerranée , l'église Saint Laurent.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Entrée du Vieux Port : Fort st Jean, le Mucem, la Villa Méditerranée, l'église Saint Laurent.
113
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le Vieux Port.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le Vieux Port.
114
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le Vieux Port.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le Vieux Port.
115
<center>Notre-Dame de la Garde</center>La cathédrale, le clocher des Accoile, la mairie, l'hôtel InterContinental, la Sky Line, l'hôpital Nord.
Notre-Dame de la Garde
La cathédrale, le clocher des Accoules, la mairie, l'hôtel InterContinental, la Sky Line, l'hôpital Nord.
116
<center>Notre-Dame de la Garde</center>La cathédrale.
Notre-Dame de la Garde
La cathédrale.
117
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le clocher des Accoules, l'ancien hôtel Dieu et maintenant l'hôtel InterContinental, la mairie.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le clocher des Accoules, l'ancien hôtel Dieu et maintenant l'hôtel InterContinental, la mairie.
118
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le Vieux Port.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le Vieux Port.
119
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>L'église Saint-Ferréol les Augustins.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
L'église Saint-Ferréol les Augustins.
120
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Au fond, la chaîne de l'Etoile avec le Pilon du Roi. A gauche, l'église des Réformés, à droite la Préfecture avec son dôme.
Notre-Dame de la Garde
Au fond, la chaîne de l'Etoile avec le Pilon du Roi. A gauche, l'église des Réformés, à droite la Préfecture avec son dôme.
121
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Au fond, à gauche, on aperçoit le Mont Ventoux enneigé.
Notre-Dame de la Garde
Au fond, à gauche, on aperçoit le Mont Ventoux enneigé.
122
<center>Notre-Dame de la Garde</center>A droite, le Garlaban
Notre-Dame de la Garde
A droite, le Garlaban
123
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Au centre, l'église Notre Damr du Mont, puis celle de Saint Michel, un peu à gauche.
Notre-Dame de la Garde
Au centre, l'église Notre Dame du Mont, puis celle de Saint Michel, un peu à gauche.
124
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le boulevard Baille et la statue de la place Castellane.
Notre-Dame de la Garde
Le boulevard Baille et la statue de la place Castellane.
125
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Carrière de Saint Tronc, le mont Carpiagne.
Notre-Dame de la Garde
Carrière de Saint Tronc, le mont Carpiagne.
126
<center>Notre-Dame de la Garde</center>La stade, les immeubles de la Rouvière, la chapelleSaint Joseph, le Mont Puget
Notre-Dame de la Garde
La stade, les immeubles de la Rouvière, la chapelle Saint Joseph, le Mont Puget
127
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Le Vieux Port.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le Vieux Port.
128
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Vue des terrasses supérieures. Le Vieux Port.
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Vue des terrasses supérieures. Le Vieux Port.
129
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Vue des terrasses supérieures. Côté mer
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Vue des terrasses supérieures. Côté mer.
130
<center>Vue de Notre-Dame de la Garde.</center>Vue des terrasses supérieures. Côté terre
Vue de Notre-Dame de la Garde.
Vue des terrasses supérieures. Côté terre.
131
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Entrée de la crypte.
Notre-Dame de la Garde
Entrée de la crypte.
132
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Quartier d'Endoume, avec les îles du Frioul.
Notre-Dame de la Garde
Quartier d'Endoume, avec les îles du Frioul.
133
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le pont-levis.
Notre-Dame de la Garde
Le pont-levis.
134
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le pont-levis.
Notre-Dame de la Garde
Le pont-levis.
135
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Entrée de la crypte.
Notre-Dame de la Garde
Entrée de la crypte.
136
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Mécanisme du pont-levis.
Notre-Dame de la Garde
Mécanisme du pont-levis.
137
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Mécanisme du pont-levis.
Notre-Dame de la Garde
Mécanisme du pont-levis.
138
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Mécanisme du pont-levis.
Notre-Dame de la Garde
Mécanisme du pont-levis.
139
<center>Entrée de la crypte.</center>A droite la statue de Pie IX qui était pape à l’époque de la construction du sanctuaire actuel. Et, à gauche, la statue de Mgr Eugène de Mazenod, évêque de Marseille de 1837 à 1861, qui a posé la première pierre du nouveau sanctuaire en 1853. Ces deux statues sont dues au sculpteur Ramus.
Entrée de la crypte.
A droite la statue de Pie IX qui était pape à l’époque de la construction du sanctuaire actuel. Et, à gauche, la statue de Mgr Eugène de Mazenod, évêque de Marseille de 1837 à 1861, qui a posé la première pierre du nouveau sanctuaire en 1853. Ces deux statues sont dues au sculpteur Ramus.
140
<center>Entrée de la crypte.</center>Statue d'Eugène Mazenod.
Entrée de la crypte.
Statue d'Eugène Mazenod.
141
<center>Entrée de la crypte.</center>Statue de Pie IX. A droite, un escalier permet d'accéder à la basilique.
Entrée de la crypte.
Statue de Pie IX. A droite, un escalier permet d'accéder à la basilique.
142
<center>Entrée de la crypte.</center>Partie droite du vestibule.
Entrée de la crypte.
Partie droite du vestibule.
143
<center>Entrée de la crypte.</center>Le Christ au tombeau, œuvre de l’allemand Meyer.
Entrée de la crypte.
Le Christ au tombeau, œuvre de l’allemand Meyer.
144
<center>Entrée de la crypte.</center>Partie gauche du vestibule.
Entrée de la crypte.
Partie gauche du vestibule.
145
<center>Entrée de la crypte.</center>On y trouve une copie de la statue de Chanuel, qui se trouve dans le choeur,  beaucoup plus légère, et qui est portée en procession le soir du 14 août. Les personnages ne sont pas couronnés.
Entrée de la crypte.
On y trouve une copie de la statue de Chanuel, qui se trouve dans le choeur, beaucoup plus légère, et qui est portée en procession le soir du 14 août. Les personnages ne sont pas couronnés.
146
<center>Entrée de la crypte.</center>
Entrée de la crypte.
147
<center>Entrée de la crypte.</center>Statue de saint Antoine de Padoue.
Entrée de la crypte.
Statue de saint Antoine de Padoue.
148
<center>Entrée de la crypte.</center>Le brûloir.
Entrée de la crypte.
Le brûloir.
149
<center>La crypte</center>Le brûloir des cierges.
La crypte
Le brûloir des cierges.
150
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le crucifix de l’ancienne chapelle.
Notre-Dame de la Garde
Le crucifix de l’ancienne chapelle.
151
<center>Entrée de la crypte.</center>La voûte du vestibule..
Entrée de la crypte.
La voûte du vestibule.
152
<center>La crypte</center>Entièrement de style roman, la crypte se compose d'une nef voûtée en plein cintre bordée de six chapelles latérales correspondant exactement à celles de l'église supérieure.
La crypte
Entièrement de style roman, la crypte se compose d'une nef voûtée en plein cintre bordée de six chapelles latérales correspondant exactement à celles de l'église supérieure.
153
<center>La crypte</center>Le maître autel est en pierre de Golfalina. Derrière cet autel s'élève la statue de la vierge au bouquet, offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne. Escaramagne achète aux enchères une statue de la vierge à l’enfant du XVIIIe siècle qui provenait d’un couvent de religieux de Picpus, couvent qui se trouvait près du palais de justice, démoli pendant la Révolution. Il offre cette statue à l'église Notre-Dame de la Garde. Le sceptre que tenait la vierge est remplacé par un bouquet de fleurs d'où le nom de la statue de « Vierge au bouquet ».
La crypte
Le maître autel est en pierre de Golfalina. Derrière cet autel s'élève la statue de la vierge au bouquet, offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne. Escaramagne achète aux enchères une statue de la vierge à l’enfant du XVIIIe siècle qui provenait d’un couvent de religieux de Picpus, couvent qui se trouvait près du palais de justice, démoli pendant la Révolution. Il offre cette statue à l'église Notre-Dame de la Garde. Le sceptre que tenait la vierge est remplacé par un bouquet de fleurs d'où le nom de la statue de « Vierge au bouquet ».
154
<center>La crypte</center>Vierge au bouquet offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne.
La crypte
Vierge au bouquet offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne.
155
<center>La crypte</center>Vierge au bouquet offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne.
La crypte
Vierge au bouquet offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne.
156
<center>La crypte</center>Chapelle du Saint Sacrement.
La crypte
Chapelle du Saint Sacrement.
157
<center>La crypte</center>Une des chapelles de la crypte.
La crypte
Une des chapelles de la crypte.
158
<center>La crypte</center>Bloc de trois statues, dû au céramiste Bruno Marlot, représentant les trois personnes de la Sainte Famille : Marie et Joseph avec Jésus adolescent.
La crypte
Bloc de trois statues, dû au céramiste Bruno Marlot, représentant les trois personnes de la Sainte Famille : Marie et Joseph avec Jésus adolescent.
159
<center>La crypte. </center>Bloc de trois statues, dû au céramiste Bruno Marlot, représentant les trois personnes de la Sainte Famille : Marie et Joseph avec Jésus adolescent.
La crypte.
Bloc de trois statues, dû au céramiste Bruno Marlot, représentant les trois personnes de la Sainte Famille : Marie et Joseph avec Jésus adolescent.
160
<center>La crypte</center>Chapelle de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
La crypte
Chapelle de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
161
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Sortie de la crypte.
Notre-Dame de la Garde
Sortie de la crypte.
162
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Entrée de l'église, sous le clocher.
Notre-Dame de la Garde
Entrée de l'église, sous le clocher.
163
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Devant le porche de la basilique, on trouve deux statues en marbre, les deux ayant été réalisées par Joseph Marius Ramus..
Notre-Dame de la Garde
Devant le porche de la basilique, on trouve deux statues en marbre, les deux ayant été réalisées par Joseph Marius Ramus..
164
<center>Statue du prophète Isaïe</center>A gauche, celle du prophète Isaïe tenant un volumen sur lequel est citée une annonce faite par ce prophète :
Statue du prophète Isaïe
A gauche, celle du prophète Isaïe tenant un volumen sur lequel est citée une annonce faite par ce prophète : "Voici que la jeune femme est enceinte, elle enfantera un fils et on l’appellera Emmanuel". La jeune femme est évidemment la Vierge Marie.
165
<center>Statue de saint Jean</center>A droite, la statue de l’Apôtre saint Jean, celui à qui Jésus, au moment de sa mort sur la croix, a confié la Vierge Marie. Il tient un volumen sur lequel est gravé le début d’une phrase du livre de l’Apocalypse attribué à cet Apôtre.
Statue de saint Jean
A droite, la statue de l’Apôtre saint Jean, celui à qui Jésus, au moment de sa mort sur la croix, a confié la Vierge Marie. Il tient un volumen sur lequel est gravé le début d’une phrase du livre de l’Apocalypse attribué à cet Apôtre.
166
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Entrée de l'église. Le tympan de la porte principale est orné d'une mosaïque représentant l'Assomption de la Vierge d'après un tableau de Faivre-Duffer.
Notre-Dame de la Garde
Entrée de l'église. Le tympan de la porte principale est orné d'une mosaïque représentant l'Assomption de la Vierge d'après un tableau de Faivre-Duffer.
167
<center>Entrée de la basilique. </center>Mosaïque représentant l'Assomption de la Vierge d'après un tableau de Faivre-Duffer.
Entrée de la basilique.
Mosaïque représentant l'Assomption de la Vierge d'après un tableau de Faivre-Duffer.
168
<center>Entrée de la basilique. </center>
Entrée de la basilique.
169
<center>Les portes</center>La construction de la basilique s’acheva par la pose, en 1897, des lourdes portes de bronze dessinées par Henri Révoil. Chaque ventail est décoré de trois panneaux superposés dont celui du centre porte le monogramme de la Vierge placé dans un cercle de perles figurant le rosaire.
Les portes
La construction de la basilique s’acheva par la pose, en 1897, des lourdes portes de bronze dessinées par Henri Révoil. Chaque ventail est décoré de trois panneaux superposés dont celui du centre porte le monogramme de la Vierge placé dans un cercle de perles figurant le rosaire.
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<center>Les portes</center>La construction de la basilique s’acheva par la pose, en 1897, des lourdes portes de bronze dessinées par Henri Révoil. Chaque ventail est décoré de trois panneaux superposés dont celui du centre porte le monogramme de la Vierge placé dans un cercle de perles figurant le rosaire.
Les portes
La construction de la basilique s’acheva par la pose, en 1897, des lourdes portes de bronze dessinées par Henri Révoil. Chaque ventail est décoré de trois panneaux superposés dont celui du centre porte le monogramme de la Vierge placé dans un cercle de perles figurant le rosaire.
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<center>Les portes intérieures.</center>
Les portes intérieures.
172
<center>Notre-Dame de la Garde</center>À la suite du décès d’Espérandieu survenu le 11 septembre 1874, Henri Antoine Révoil est chargé du décor intérieur de la basilique, en particulier de la réalisation des mosaïques. La construction de l'autel majeur et la pose des mosaïques du chœur s'effectuent en 1882. Un incendie survient le 5 juin 1884 et détruit l'autel et la mosaïque du chœur ; de plus la statue d'argent de la Vierge est endommagée. La statue et les mosaïques sont restaurées et l'autel reconstruit selon les plans de Révoil. Le 26 avril 1886 le cardinal Lavigerie consacre le nouvel autel.
Notre-Dame de la Garde
À la suite du décès d’Espérandieu survenu le 11 septembre 1874, Henri Antoine Révoil est chargé du décor intérieur de la basilique, en particulier de la réalisation des mosaïques. La construction de l'autel majeur et la pose des mosaïques du chœur s'effectuent en 1882. Un incendie survient le 5 juin 1884 et détruit l'autel et la mosaïque du chœur ; de plus la statue d'argent de la Vierge est endommagée. La statue et les mosaïques sont restaurées et l'autel reconstruit selon les plans de Révoil. Le 26 avril 1886 le cardinal Lavigerie consacre le nouvel autel.
173
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Les piles sont en marbre blanc de Carrare et en marbre rouge de Brignoles, mais les arcs du plafond sont en stuc peint car la carrière de Brignoles était épuisée quand on commença la voûte. Les bancs sont de 1886.
Notre-Dame de la Garde
Les piles sont en marbre blanc de Carrare et en marbre rouge de Brignoles, mais les arcs du plafond sont en stuc peint car la carrière de Brignoles était épuisée quand on commença la voûte. Les bancs sont de 1886.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>La nef vidée de ses bancs, en 2023, avant la visite du Pape.
Notre-Dame de la Garde
La nef vidée de ses bancs, en 2023, avant la visite du Pape.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>L'entrée de la basilique.
Notre-Dame de la Garde
L'entrée de la basilique.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>L'entrée de la basilique.
Notre-Dame de la Garde
L'entrée de la basilique.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Les tribunes à l'entrée.
Notre-Dame de la Garde
Les tribunes à l'entrée.
178
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de la nef de la tribune supérieure.
Notre-Dame de la Garde
Vue de la nef de la tribune supérieure.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le choeur.
Notre-Dame de la Garde
Le choeur.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le choeur surmonté de la lanterne octogonale, puis de la coupole.
Notre-Dame de la Garde
Le choeur surmonté de la lanterne octogonale, puis de la coupole.
181
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le choeur. De chaque côté, les deux dernières chapelles de la nef, à gauche celle de Saint Joseph, à droite celle de Saint Pierre.
Notre-Dame de la Garde
Le choeur. De chaque côté, les deux dernières chapelles de la nef, à gauche celle de Saint Joseph, à droite celle de Saint Pierre.
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<center>Le choeur.</center>Crucifix moderne.
Le choeur.
Crucifix moderne.
183
<center>Transept droit du choeur. </center>Les parties basses des deux transepts du chœur nous font admirer de très belles mosaïques bleu-nuit inspirées de celles que l’on voit à Ravenne dans le mausolée de l’Impératrice romaine Galla Placidia (390-450).
Transept droit du choeur.
Les parties basses des deux transepts du chœur nous font admirer de très belles mosaïques bleu-nuit inspirées de celles que l’on voit à Ravenne dans le mausolée de l’Impératrice romaine Galla Placidia (390-450).
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<center>Transept droit du choeur. </center>Les très belles mosaïques bleu-nuit inspirées de celles que l’on voit à Ravenne dans le mausolée de l’Impératrice romaine Galla Placidia (390-450).
Transept droit du choeur.
Les très belles mosaïques bleu-nuit inspirées de celles que l’on voit à Ravenne dans le mausolée de l’Impératrice romaine Galla Placidia (390-450).
185
<center>Transept droit du choeur. </center>Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
Transept droit du choeur.
Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
186
<center>Transept droit du choeur. </center>Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
Transept droit du choeur.
Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
187
<center>Transept droit du choeur. </center>Le tintinnabule représentant une Vierge à l'Enfant, avec au fond, Notre-Dame de la Garde. Le tintinnabule est une clochette sur un support portatif et constitue, avec l'ombrellino, l'un des emblèmes distinctifs des basiliques. Lorsque, le 10 juin 187, Notre-Dame de la Garde a été érigée en basilique mineure, deux objets lui ont été offerts par le pape Léon XIII : le tintinnabule et l'ombrellino.
Transept droit du choeur.
Le tintinnabule représentant une Vierge à l'Enfant, avec au fond, Notre-Dame de la Garde. Le tintinnabule est une clochette sur un support portatif et constitue, avec l'ombrellino, l'un des emblèmes distinctifs des basiliques. Lorsque, le 10 juin 187, Notre-Dame de la Garde a été érigée en basilique mineure, deux objets lui ont été offerts par le pape Léon XIII : le tintinnabule et l'ombrellino.
188
<center>Transept droit du choeur. </center>Deux des quatre colonnes de l'abside.
Transept droit du choeur.
Deux des quatre colonnes de l'abside.
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<center>Transept gauche du choeur</center>
Transept gauche du choeur
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<center>Transept gauche du choeur</center>Les très belles mosaïques bleu-nuit inspirées de celles que l’on voit à Ravenne dans le mausolée de l’Impératrice romaine Galla Placidia (390-450).
Transept gauche du choeur
Les très belles mosaïques bleu-nuit inspirées de celles que l’on voit à Ravenne dans le mausolée de l’Impératrice romaine Galla Placidia (390-450).
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<center>Transept gauche du choeur</center>Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
Transept gauche du choeur
Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
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<center>Transept gauche du choeur</center>Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
Transept gauche du choeur
Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion sont utilisés en ex-voto.
193
<center>Transept gauche du choeur</center>Les insignes des basiliques qui les caractérisent sont une sorte d’ombrelle, le Pavillon, et une clochette spéciale, le Tintinnabulum, généralement placés de part et d’autre de l’autel. Le Pavillon, encore appelé ombrellino pontifical ou “gonfalon” est une sorte de parasol à demi-ouvert, doté d’une armature de bois habillée de bandes de soie rouge et jaune (couleurs héritées de l’ancien sénat romain) et surmonté d’un globe de cuivre doré portant une croix. Il est signe de communion avec l’évêque de Rome. Il présente les armes de la basilique.
Transept gauche du choeur
Les insignes des basiliques qui les caractérisent sont une sorte d’ombrelle, le Pavillon, et une clochette spéciale, le Tintinnabulum, généralement placés de part et d’autre de l’autel. Le Pavillon, encore appelé ombrellino pontifical ou “gonfalon” est une sorte de parasol à demi-ouvert, doté d’une armature de bois habillée de bandes de soie rouge et jaune (couleurs héritées de l’ancien sénat romain) et surmonté d’un globe de cuivre doré portant une croix. Il est signe de communion avec l’évêque de Rome. Il présente les armes de la basilique.
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<center>Le choeur.</center>Lampe de sanctuaire.
Le choeur.
Lampe de sanctuaire.
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<center>Le choeur.</center>Lampe de sanctuaire.
Le choeur.
Lampe de sanctuaire.
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<center>Le choeur.</center>Lampe de sanctuaire.
Le choeur.
Lampe de sanctuaire.
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<center>Le choeur.</center>
Le choeur.
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<center>Le maître-autel.</center>Le maître-autel conçu par Révoil, réalisé par Jules Cantini entre 1882 et 1886, est en marbre blanc avec un soubassement formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques. Derrière l'autel se dresse une colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Le maître-autel fut consacré le 26 avril 1886 par le cardinal Lavigerie.
Le maître-autel.
Le maître-autel conçu par Révoil, réalisé par Jules Cantini entre 1882 et 1886, est en marbre blanc avec un soubassement formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques. Derrière l'autel se dresse une colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Le maître-autel fut consacré le 26 avril 1886 par le cardinal Lavigerie.
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<center>Le maître-autel.</center>Le maître-autel conçu par Révoil, réalisé par Jules Cantini entre 1882 et 1886, est en marbre blanc avec un soubassement formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques. Photo 2014.
Le maître-autel.
Le maître-autel conçu par Révoil, réalisé par Jules Cantini entre 1882 et 1886, est en marbre blanc avec un soubassement formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques. Photo 2014.
200
<center>Le maître-autel.</center>Le soubassement est formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques.
Le maître-autel.
Le soubassement est formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques.
201
<center>Le maître-autel.</center>Le tabernacle en vermeil est encadré de deux colonnes et de deux panneaux de mosaïque représentant des colombes buvant dans un calice. Au-dessus du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux, et deux anges de chaque côté de la colonne. Photo 2024.
Le maître-autel.
Le tabernacle en vermeil est encadré de deux colonnes et de deux panneaux de mosaïque représentant des colombes buvant dans un calice. Au-dessus du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux, et deux anges de chaque côté de la colonne. Photo 2024.
202
<center>Le maître-autel.</center>Le tabernacle en vermeil est encadré de deux colonnes et de deux panneaux de mosaïque représentant des colombes buvant dans un calice. Sur la porte du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux. Photo 2025.
Le maître-autel.
Le tabernacle en vermeil est encadré de deux colonnes et de deux panneaux de mosaïque représentant des colombes buvant dans un calice. Sur la porte du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux. Photo 2025.
203
<center>Le maître-autel.</center>Au-dessus du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux que l'on retrouve en bas de la porte du tabernacle. Photo 2023.
Le maître-autel.
Au-dessus du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux que l'on retrouve en bas de la porte du tabernacle. Photo 2023.
204
<center>Le maître-autel.</center>Le tabernacle en vermeil est encadré de deux colonnes. Sur la porte du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux. Au-dessus, l'agneau aux sept sceaux a été remplacé. Photo 2025.
Le maître-autel.
Le tabernacle en vermeil est encadré de deux colonnes. Sur la porte du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux. Au-dessus, l'agneau aux sept sceaux a été remplacé. Photo 2025.
205
<center>Le maître-autel.</center>En bas du crucifix, deux anges portent chacun un écusson. Sur les branches de la croix figurent les attributs des quatre évangélistes : à gauche, le boeuf de Luc, à droite le lion de Marc, en bas l'homme de Matthieu, en haut l'aigle de Jean.
Le maître-autel.
En bas du crucifix, deux anges portent chacun un écusson. Sur les branches de la croix figurent les attributs des quatre évangélistes : à gauche, le boeuf de Luc, à droite le lion de Marc, en bas l'homme de Matthieu, en haut l'aigle de Jean.
206
<center>Le maître-autel.</center>Le tabernacle, la première porte ouverte.
Le maître-autel.
Le tabernacle, la première porte ouverte.
207
<center>Le maître-autel.</center>Le dessus de l'autel et la colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Photo 2014.
Le maître-autel.
Le dessus de l'autel et la colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Photo 2014.
208
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Le dessus de l'autel et la colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Photo 2024.
Notre-Dame de la Garde
Le dessus de l'autel et la colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Photo 2024.
209
<center>Le maître-autel.</center>La colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Photo 2025.
Le maître-autel.
La colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Photo 2025.
210
<center>Le maître-autel.</center>La colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge.
Le maître-autel.
La colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge.
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<center>Le choeur.</center>Un des deux anges et un des deux luminaires se trouvant de chaque côté de la colonne,
Le choeur.
Un des deux anges et un des deux luminaires se trouvant de chaque côté de la colonne.
212
<center>Le choeur.</center>Un des deux anges  se trouvant de chaque côté de la colonne,
Le choeur.
Un des deux anges se trouvant de chaque côté de la colonne.
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<center>Le choeur.</center>Luminaire du maître autel.
Le choeur.
Luminaire du maître autel.
214
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Grâce à un don de 3 000 F fait par la duchesse d'Orléans lors de son passage à Marseille en mai 1823 et à diverses offrandes, la confection d'une nouvelle statue de la Vierge est envisagée afin de remplacer celle qui avait été envoyée à la fonte à la Révolution. En 1829 on demande à l'orfèvre Jean-Baptiste Chanuel, artiste marseillais installé rue des Dominicaines, de confectionner cette statue d'après un modèle réalisé par le sculpteur Jean-Pierre Cortot.  Le modèle fut massé par le sculpteur Cortot, la statue elle-même fut faite au repoussé, selon le procédé de Benvenuto Cellinipar l'artiste Chanuel, en six ans.
Notre-Dame de la Garde
Grâce à un don de 3 000 F fait par la duchesse d'Orléans lors de son passage à Marseille en mai 1823 et à diverses offrandes, la confection d'une nouvelle statue de la Vierge est envisagée afin de remplacer celle qui avait été envoyée à la fonte à la Révolution. En 1829 on demande à l'orfèvre Jean-Baptiste Chanuel, artiste marseillais installé rue des Dominicaines, de confectionner cette statue d'après un modèle réalisé par le sculpteur Jean-Pierre Cortot. Le modèle fut massé par le sculpteur Cortot, la statue elle-même fut faite au repoussé, selon le procédé de Benvenuto Cellini par l'artiste Chanuel, en six ans.
215
<center>Le maître-autel.</center>La statue de  Jean-Baptiste Chanuel. Le 2 juillet 1837 la statue est bénie par Mgr Fortuné de Mazenod sur le cours Belsunce puis apportée au sommet de la colline de la Garde. Pour lui céder la place, la Vierge au bouquet sera donnée à la chartreuse de Montrieux, mais retournera en 1979 au sanctuaire. Les deux personnages sont couronnés, à la main gauche de l'Enfant est accrochée une ancre. Elle pèse 80kg. Elle a été couronnée en juin 1931, au cours de fêtes très solennelles qui ont duré quatre jours et ont attiré à Marseille des foules énormes. Quarante-neuf évêques étaient présents et le pape avait désigné comme légat pontifical le cardinal Louis Maurin, archevêque de Lyon et ancien recteur de Notre-Dame de la Garde.
Le maître-autel.
La statue de Jean-Baptiste Chanuel. Le 2 juillet 1837 la statue est bénie par Mgr Fortuné de Mazenod sur le cours Belsunce puis apportée au sommet de la colline de la Garde. Pour lui céder la place, la Vierge au bouquet sera donnée à la chartreuse de Montrieux, mais retournera en 1979 au sanctuaire. Les deux personnages sont couronnés, à la main gauche de l'Enfant est accrochée une ancre. Elle pèse 80kg. Elle a été couronnée en juin 1931, au cours de fêtes très solennelles qui ont duré quatre jours et ont attiré à Marseille des foules énormes. Quarante-neuf évêques étaient présents et le pape avait désigné comme légat pontifical le cardinal Louis Maurin, archevêque de Lyon et ancien recteur de Notre-Dame de la Garde.
216
<center>Partie gauche de l'abside.</center>
Partie gauche de l'abside.
217
<center>L’abside</center>Partie gauche de l'abside.
L’abside
Partie gauche de l'abside.
218
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Tout le long de l'abside sont accrochées des médailles de la légion d'honneur. En dessous, dans des niches, se trouvent des reliquaires.
Notre-Dame de la Garde
Tout le long de l'abside sont accrochées des médailles de la légion d'honneur. En dessous, dans des niches, se trouvent des reliquaires.
219
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Les médailles de la légion d'honneur.
Notre-Dame de la Garde
Les médailles de la légion d'honneur.
220
<center>L’abside</center>De bas en haut : les neuf médaillons illustrant neuf invocations des litanies de la Sainte Vierge ; la mosaïque avec une barque et des oiseaux ; l’Annonciation. Dans les trompes, les attributs des quatre évangélistes, ici l'homme de Matthieu et l'aigle de Jean.
L’abside
De bas en haut : les neuf médaillons illustrant neuf invocations des litanies de la Sainte Vierge ; la mosaïque avec une barque et des oiseaux ; l’Annonciation. Dans les trompes, les attributs des quatre évangélistes, ici l'homme de Matthieu et l'aigle de Jean.
221
<center>L’abside</center>La mosaïque du cul-de-four de l’abside. En bas, les médailles de la légion d'honneu. Derrière la Vierge, neuf médaillons illustrent neuf invocations des litanies de la Sainte Vierge : arche d’alliance, miroir de justice, siège de la sagesse, tour de David, rose mystique (cachée par la Vierge), tour d’ivoire, maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
L’abside
La mosaïque du cul-de-four de l’abside. En bas, les médailles de la légion d'honneu. Derrière la Vierge, neuf médaillons illustrent neuf invocations des litanies de la Sainte Vierge : arche d’alliance, miroir de justice, siège de la sagesse, tour de David, rose mystique (cachée par la Vierge), tour d’ivoire, maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
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<center>Les neuf médaillons.</center>Arche d’alliance, miroir de justice, siège de la sagesse, tour de David.
Les neuf médaillons.
Arche d’alliance, miroir de justice, siège de la sagesse, tour de David.
223
<center>Les neuf médaillons.</center>A gauche de la Vierge, tour de David, rose mystique,  et à droite, tour d’ivoire (cachée), maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
Les neuf médaillons.
A gauche de la Vierge, tour de David, rose mystique, et à droite, tour d’ivoire (cachée), maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
224
<center>Les neuf médaillons.</center>Tour d’ivoire, maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
Les neuf médaillons.
Tour d’ivoire, maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
225
<center>La mosaïque du cul-de-four de l’abside</center>La mosaïque avec une barque entourée d'oiseaux et de rinceaux de feuillages.
La mosaïque du cul-de-four de l’abside
La mosaïque avec une barque entourée d'oiseaux et de rinceaux de feuillages.
226
<center>La mosaïque du cul-de-four de l’abside</center>Tout autour du motif central de magnifiques rinceaux de feuillages sur lesquels sont posés trente-cinq oiseaux : en haut au centre, une colombe symbole du Saint-Esprit et, à droite et à gauche, deux ensembles symétriques de dix-sept oiseaux de différentes espèces, avec en bas deux paons, symboles de l'immortalité et, de chaque coté, deux oiseaux de paradis, symboles de la Vie et de la gloire de Dieu. Tout en haut, le ciel étoilé, symbolisant Dieu.
La mosaïque du cul-de-four de l’abside
Tout autour du motif central de magnifiques rinceaux de feuillages sur lesquels sont posés trente-cinq oiseaux : en haut au centre, une colombe symbole du Saint-Esprit et, à droite et à gauche, deux ensembles symétriques de dix-sept oiseaux de différentes espèces, avec en bas deux paons, symboles de l'immortalité et, de chaque coté, deux oiseaux de paradis, symboles de la Vie et de la gloire de Dieu. Tout en haut, le ciel étoilé, symbolisant Dieu.
227
<center>La mosaïque du cul-de-four de l’abside</center>Au centre, une barque, symbole de l’Eglise, navigue sur une mer agitée au milieu de dauphins. Sur la voile, il y a le monogramme de la Vierge Marie et, dans le ciel en haut à gauche, une étoile rayonnante avec un A et un M entrelacés (Ave Maria : je vous salue Marie) rappelant que Marie est « l’étoile de la mer ». Marie aide la barque de l’Eglise à cheminer vers le port que l’on voit à droite, dominé par un phare surmonté de la croix du Christ : Marie aide l’Eglise à cheminer vers le Christ.
La mosaïque du cul-de-four de l’abside
Au centre, une barque, symbole de l’Eglise, navigue sur une mer agitée au milieu de dauphins. Sur la voile, il y a le monogramme de la Vierge Marie et, dans le ciel en haut à gauche, une étoile rayonnante avec un A et un M entrelacés (Ave Maria : je vous salue Marie) rappelant que Marie est « l’étoile de la mer ». Marie aide la barque de l’Eglise à cheminer vers le port que l’on voit à droite, dominé par un phare surmonté de la croix du Christ : Marie aide l’Eglise à cheminer vers le Christ.
228
<center>L'Annonciation</center>Au dessus de la mosaïque du cul-de-four de l’abside se trouve une Annonciation. Dans les trompes, l'homme de Matthieu et l'aigle de Jean. Les trompes servent à passer d'un plan carré au plan octogonal de la lanterne, puis de passer au cercle de la coupole sommitale. De chaque côté, des ex-voto suspendus de navires.
L'Annonciation
Au dessus de la mosaïque du cul-de-four de l’abside se trouve une Annonciation. Dans les trompes, l'homme de Matthieu et l'aigle de Jean. Les trompes servent à passer d'un plan carré au plan octogonal de la lanterne, puis de passer au cercle de la coupole sommitale. De chaque côté, des ex-voto suspendus de navires.
229
<center>L'Annonciation</center>D'après Faivre-Dyffeer. Envoyé par Dieu, Gabriel vient demander à Marie si elle accepte d’être la mère du Messie. Cette mosaïque présente le premier événement du Nouveau Testament, elle suit les mosaïques du plafond qui sont un résumé de l’Ancien Testament. En dessous, la date 1891. En dessous, l'inscrition
L'Annonciation
D'après Faivre-Dyffeer. Envoyé par Dieu, Gabriel vient demander à Marie si elle accepte d’être la mère du Messie. Cette mosaïque présente le premier événement du Nouveau Testament, elle suit les mosaïques du plafond qui sont un résumé de l’Ancien Testament. En dessous, la date 1891. En dessous, l'inscrition "Montre que tu es mère" est un don de Bonnasse Raynaud (Marguerite Raynaud épouse en 1876 Henri Bonnasse, banquier et administrateur de la basilique).
230
<center>L'Annonciation</center>A droite l'ange Gabriel, envoyé par Dieu, dit à Marie « Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils et tu le nommeras Jésus ». À gauche la Vierge Marie donne son acquiescement. A ses pieds, une qenouille et des outils de menuisire. Au fond, Nazareth, la ville où a eu lieu l'Annonciation. Au-dessus, la colombe de l’Esprit Saint.
L'Annonciation
A droite l'ange Gabriel, envoyé par Dieu, dit à Marie « Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils et tu le nommeras Jésus ». À gauche la Vierge Marie donne son acquiescement. A ses pieds, une qenouille et des outils de menuisire. Au fond, Nazareth, la ville où a eu lieu l'Annonciation. Au-dessus, la colombe de l’Esprit Saint.
231
<center> Mosaïque au-dessus de l’Annonciation.</center>
Mosaïque au-dessus de l’Annonciation.
232
<center>Le choeur</center>Aux retombées de la grande coupole, on a représenté en sculptures les symboles des quatre évangélistes. C’est saint Jérôme (347-420) qui, le premier, appliqua aux évangélistes les quatre figures évoquées par Ezéchiel et par l’Apocalypse.
Le choeur
Aux retombées de la grande coupole, on a représenté en sculptures les symboles des quatre évangélistes. C’est saint Jérôme (347-420) qui, le premier, appliqua aux évangélistes les quatre figures évoquées par Ezéchiel et par l’Apocalypse.
233
<center>Le choeur</center>Jean est symbolisé par l’aigle : allusion à la puissance de la vision prophétique qu’il manifeste dans l’Apocalypse.
Le choeur
Jean est symbolisé par l’aigle : allusion à la puissance de la vision prophétique qu’il manifeste dans l’Apocalypse.
234
<center>Le choeur</center>Matthieu est symbolisé par l’homme, car son évangile commence par la généalogie du Christ.
Le choeur
Matthieu est symbolisé par l’homme, car son évangile commence par la généalogie du Christ.
235
<center>Le choeur</center>Luc est symbolisé par le taureau.,  animal du sacrifice, parce que, au début de son évangile, il nous parle du prêtre Zacharie, père de Jean-Baptiste, offrant un sacrifice dans le temple de Jérusalem. A droite, le blason de la basilique, situé dans le transept gauche.
Le choeur
Luc est symbolisé par le taureau., animal du sacrifice, parce que, au début de son évangile, il nous parle du prêtre Zacharie, père de Jean-Baptiste, offrant un sacrifice dans le temple de Jérusalem. A droite, le blason de la basilique, situé dans le transept gauche.
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<center>Le choeur</center>Marc. est symbolisé par le lion, parce que son évangile débute par la prédication de Jean-Baptiste, dont la voix retentit dans le désert comme le rugissement du lion. Le lion figure la Résurrection. A gauche, le blason de Marseille, situé dans le transept droit.
Le choeur
Marc. est symbolisé par le lion, parce que son évangile débute par la prédication de Jean-Baptiste, dont la voix retentit dans le désert comme le rugissement du lion. Le lion figure la Résurrection. A gauche, le blason de Marseille, situé dans le transept droit.
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<center>Mosaïques de la grande coupole.</center>La lanterne du choeur est octogonale, chaque face étant occupée par une baie vitrée. Au-dessus, la coupole.
Mosaïques de la grande coupole.
La lanterne du choeur est octogonale, chaque face étant occupée par une baie vitrée. Au-dessus, la coupole.
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<center>Mosaïques de la grande coupole.</center>La coupole est éclairée par 8 baies vitrées, séparées par des colonnes. C'est à Charles Lameire (1822-1910) qu'est confié le projet du carton de la coupole du choeur.
Mosaïques de la grande coupole.
La coupole est éclairée par 8 baies vitrées, séparées par des colonnes. C'est à Charles Lameire (1822-1910) qu'est confié le projet du carton de la coupole du choeur.
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<center>La lanterne de la coupole.</center>Une des colonnes.
La lanterne de la coupole.
Une des colonnes.
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<center>La lanterne de la coupole.</center>Base des colonnes.
La lanterne de la coupole.
Base des colonnes.
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<center>Notre-Dame de la Garde</center>C'est à Charles Lameire (1822-1910) qu'est confié le projet du carton de la coupole du choeur. Quatre anges s'élèvent de la terre vers le ciel en soutenant  une grosse couronne de fleurs, en particulier, de roses. Au centre, la Vierge est représentée par son monogramme.
Mosaïques de la grande coupole.
C'est à Charles Lameire (1822-1910) qu'est confié le projet du carton de la coupole du choeur. Quatre anges s'élèvent de la terre vers le ciel en soutenant une grosse couronne de fleurs, en particulier, de roses. Au centre, la Vierge est représentée par son monogramme.
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<center>Mosaïques de la grande coupole.</center>Quatre anges s'élèvent de la terre vers le ciel en soutenant une grosse couronne de fleurs, en particulier, de roses : symboliquement, ils nous invitent ainsi à prier le rosaire ou le chapelet. D’ailleurs, sous la couronne de fleurs, entre les mains des anges, on a représenté des grains multicolores de rosaire ou de chapelet. Au centre, la Vierge est représentée par son monogramme.
Mosaïques de la grande coupole.
Quatre anges s'élèvent de la terre vers le ciel en soutenant une grosse couronne de fleurs, en particulier, de roses : symboliquement, ils nous invitent ainsi à prier le rosaire ou le chapelet. D’ailleurs, sous la couronne de fleurs, entre les mains des anges, on a représenté des grains multicolores de rosaire ou de chapelet. Au centre, la Vierge est représentée par son monogramme.
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<center>Les coupoles du plafond.</center>L'annonciation du choeur, les trois coupoles de la nef.
Les coupoles du plafond.
L'annonciation du choeur, les trois coupoles de la nef.
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<center>Les coupoles du plafond.</center>Les trois coupoles qui dominent la nef présentent de grandes surfaces de mosaïques dorées, agrémentées d’oiseaux et de fleurs. Dans chaque coupole, un bandeau circulaire blanc où on peut lire deux textes en  latins et deux en grecs. Il s'agit de phrases d'évêques des premiers siècles de l'Eglise. C'est le vicaire général du diocèse, Monseigneur Ollivier, qui les a choisies.
Les coupoles du plafond.
Les trois coupoles qui dominent la nef présentent de grandes surfaces de mosaïques dorées, agrémentées d’oiseaux et de fleurs. Dans chaque coupole, un bandeau circulaire blanc où on peut lire deux textes en latins et deux en grecs. Il s'agit de phrases d'évêques des premiers siècles de l'Eglise. C'est le vicaire général du diocèse, Monseigneur Ollivier, qui les a choisies.
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