Saint-Nicolas-du-Chardonnet, Collège des Bernardins, Eglise Sainte Marguerite, Faubourg Saint Antoine.

<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Une première chapelle fut édifiée sur le clos dit du Chardonnet (les chardons) rattaché à Paris au XIIIe siècle. Elle- était parallèle à une ancienne dérivation de la Bièvre. Seule la façade date de 1934. Nicolas Legendre, ami de Le Brun travailla aux sculptures qui ornent la façade.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Une première chapelle fut édifiée sur le clos dit du Chardonnet (les chardons) rattaché à Paris au XIIIe siècle. Elle- était parallèle à une ancienne dérivation de la Bièvre. Seule la façade date de 1934. Nicolas Legendre, ami de Le Brun travailla aux sculptures qui ornent la façade.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Son clocher fut reconstruit en 1625 et l'ensemble de l'église rebâti entre 1656 et 1763.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Son clocher fut reconstruit en 1625 et l'ensemble de l'église rebâti entre 1656 et 1763.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Parmi ses paroissiens célèbres, le peintre Charles Le Brun dessina le portail ouest du transept.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Parmi ses paroissiens célèbres, le peintre Charles Le Brun dessina le portail ouest du transept.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Bas coté droit.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Bas coté droit.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Bas coté gauche.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Bas coté gauche.
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Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Les chardons.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Les chardons.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Martyre de Saint Jean l'Evangéliste à la porte latine, de Charles Le Brun.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Martyre de Saint Jean l'Evangéliste à la porte latine, de Charles Le Brun.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Le baptême de Jésus, par Corot.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Le baptême de Jésus, par Corot.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Le martyre de St Cyr et de Ste Julitte, par Louis Durameau (1733-1796)
Saint Nicolas du Chardonnet.
Le martyre de St Cyr et de Ste Julitte, par Louis Durameau (1733-1796)
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>La mort de St François de Sales, par Louis Durameau (1733-1796)
Saint Nicolas du Chardonnet.
La mort de St François de Sales, par Louis Durameau (1733-1796)
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>  Pietà du peintre récollet Claude François, dit « Frère Luc », datant du XVIIIe siècle
Saint Nicolas du Chardonnet.
Pietà du peintre récollet Claude François, dit « Frère Luc », datant du XVIIIe siècle
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Les disciples d'Emmaüs, par J-P André.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Les disciples d'Emmaüs, par J-P André.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Le sacrifice de Melchisedech, par N Coypel le Jeune. 1713. Melchisédech ou Melki-Tsedeq (
Saint Nicolas du Chardonnet.
Le sacrifice de Melchisedech, par N Coypel le Jeune. 1713. Melchisédech ou Melki-Tsedeq ("Roi de Justice") est un énigmatique personnage biblique qui apparaît très brièvement dans l’histoire d’Abraham.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>La Manne, par N Coypel le Jeune. 1713.
Saint Nicolas du Chardonnet.
La Manne, par N Coypel le Jeune. 1713.
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Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Le tombeau de Jérôme 1er Bignon, grand maître de la Bibliothèque du roi, est l'œuvre de Girardon.. Sur le socle, bas-relief de Saint-Jérôme.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Le tombeau de Jérôme 1er Bignon, grand maître de la Bibliothèque du roi, est l'œuvre de Girardon.. Sur le socle, bas-relief de Saint-Jérôme.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Portait de saint François de Salle, de l'atelier Ph de Champaigne. Allégories de la justice et de la Prudence par Michel Anguier. Buste de  Jérôme 1er Bignon.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Portait de saint François de Salle, de l'atelier Ph de Champaigne. Allégories de la justice et de la Prudence par Michel Anguier. Buste de Jérôme 1er Bignon.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Martyre de st Adrien, par G de Crayer.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Martyre de st Adrien, par G de Crayer.
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Saint Nicolas du Chardonnet.
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Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Le bon Samaritain , par Nicolas René Jollain (1732-1804)
Saint Nicolas du Chardonnet.
Le bon Samaritain , par Nicolas René Jollain (1732-1804)
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Charles Le Brun dessina le tombeau de sa mère, sculpté par Tubi et Collignon.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Charles Le Brun dessina le tombeau de sa mère, sculpté par Tubi et Collignon.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Le trombeau de Lebrun fut commandé par sa veuve à Coysevox. Statues de la Piété et de la Pénitence.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Le trombeau de Lebrun fut commandé par sa veuve à Coysevox. Statues de la Piété et de la Pénitence.
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Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Saint Pierre.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Saint Pierre.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Jésus ressuscitant la fille de Jaïr, par Vignaud.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Jésus ressuscitant la fille de Jaïr, par Vignaud.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>
Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Le Baptême de Jésus, par Jean Restout.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Le Baptême de Jésus, par Jean Restout.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Mort d'Ananias, par Pierre Sacquespée.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Mort d'Ananias, par Pierre Sacquespée.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>L'orgue de Saint Nicolas du Chardonnet provient de l'ancienne paroisse des Saints-Innocents, supprimée en 1787. Construit par François Thierry entre 1723 et 1725, c'était un
Saint Nicolas du Chardonnet.
L'orgue de Saint Nicolas du Chardonnet provient de l'ancienne paroisse des Saints-Innocents, supprimée en 1787. Construit par François Thierry entre 1723 et 1725, c'était un "grand huit pieds" comportant 24 jeux répartis sur 4 claviers et pédalier placé dans un buffet Régence exécuté par le maître-menusier Oger. Il avait été inauguré par le célèbre organiste François Couperin, titulaire de Saint-Gervais.
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<center>Saint Nicolas du Chardonnet. </center>Après son rachat en 1787 par la paroisse Saint-Nicolas, les travaux de démontage et de restauration furent entrepris par Clicquot de 1787 à 1790.
Saint Nicolas du Chardonnet.
Après son rachat en 1787 par la paroisse Saint-Nicolas, les travaux de démontage et de restauration furent entrepris par Clicquot de 1787 à 1790.
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Saint Nicolas du Chardonnet.
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Saint Nicolas du Chardonnet.
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<center>Saint Julien le Pauvre</center> C'est une église médiévale située rive gauche. C'est depuis la fin du XIXe siècle l'église grecque-melkite-catholique de Paris, au rite byzantin.
Saint Julien le Pauvre
C'est une église médiévale située rive gauche. C'est depuis la fin du XIXe siècle l'église grecque-melkite-catholique de Paris, au rite byzantin.
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<center>Saint Julien le Pauvre</center>
Saint Julien le Pauvre
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<center>Collège des Bernardins</center>
Collège des Bernardins
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<center>Collège des Bernardins</center> Au XIIè siècle, une révolution intellectuelle secoue l’Europe. Les monastères, jusqu’alors principaux centres intellectuels, cèdent peu à peu le pas aux Universités nouvellement créées dans les grandes villes : Bologne, puis Paris, Oxford, Cambridge, Heidelberg…
Pour l’Église, il apparaît indispensable d’accompagner ce déplacement du centre de gravité du savoir vers les villes. Dans une bulle de 1245, le pape Innocent IV encourage vivement les cisterciens à aller faire des études à Paris, siège de la deuxième plus ancienne Université, pour y étudier la théologie et transmettre ensuite leur enseignement à leurs confrères.
Collège des Bernardins
Au XIIè siècle, une révolution intellectuelle secoue l’Europe. Les monastères, jusqu’alors principaux centres intellectuels, cèdent peu à peu le pas aux Universités nouvellement créées dans les grandes villes : Bologne, puis Paris, Oxford, Cambridge, Heidelberg… Pour l’Église, il apparaît indispensable d’accompagner ce déplacement du centre de gravité du savoir vers les villes. Dans une bulle de 1245, le pape Innocent IV encourage vivement les cisterciens à aller faire des études à Paris, siège de la deuxième plus ancienne Université, pour y étudier la théologie et transmettre ensuite leur enseignement à leurs confrères.
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<center>Collège des Bernardins</center> C’est à un moine d’origine anglaise, Etienne de Lexington, abbé de Clairvaux, que revient de créer en 1245 le Collège Saint-Bernard, bientôt désigné comme Collège des Bernardins, pour servir de lieu d’étude et de recherche au coeur de la pensée chrétienne.
La construction au lieu-dit du Chardonnet, financée par l’appel à la charité chrétienne, commence en 1245, sur le modèle architectural des abbayes cisterciennes.
Collège des Bernardins
C’est à un moine d’origine anglaise, Etienne de Lexington, abbé de Clairvaux, que revient de créer en 1245 le Collège Saint-Bernard, bientôt désigné comme Collège des Bernardins, pour servir de lieu d’étude et de recherche au coeur de la pensée chrétienne. La construction au lieu-dit du Chardonnet, financée par l’appel à la charité chrétienne, commence en 1245, sur le modèle architectural des abbayes cisterciennes.
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<center>Collège des Bernardins</center> Grande nef cistercienne, de 70 m de long, dont la voûte repose sur 32 colonnes.
Collège des Bernardins
Grande nef cistercienne, de 70 m de long, dont la voûte repose sur 32 colonnes.
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<center>Collège des Bernardins</center> Statue du Christ du XIVe siècle.
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Statue du Christ du XIVe siècle.
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<center>Collège des Bernardins</center> Voûte de l'ancienne sacristie.
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Voûte de l'ancienne sacristie.
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<center>Collège des Bernardins</center> Le cellier.
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<center>Collège des Bernardins</center> Le cellier.
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Le cellier.
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<center>Collège des Bernardins</center> Le cellier. Buton contre une colonne pour lutter contre l'enfoncement du cellier.
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Le cellier. Buton contre une colonne pour lutter contre l'enfoncement du cellier.
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<center>Collège des Bernardins</center> Le grand auditorium.
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Le grand auditorium.
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<center>Collège des Bernardins</center> Le petit auditorium.
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Le petit auditorium.
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<center>Collège des Bernardins</center> Toiture en tuiles de six couleurs.
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Toiture en tuiles de six couleurs.
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<center>Collège des Bernardins</center> Mur de l'ancienne église.
Collège des Bernardins
Mur de l'ancienne église.
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<center>Collège des Bernardins</center>
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<center>Collège des Bernardins</center> Escalier du XVIIIe.
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Escalier du XVIIIe.
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<center>Collège des Bernardins</center> Statue féminine acéphale.
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Statue féminine acéphale.
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<center> Sainte Marguerite</center>Le 29 octobre 1624, Antoine Fayet, curé de l'église Saint-Paul, obtint de Jean de Vitry, seigneur de Reuilly, un terrain sur lequel il fit bâtir une chapelle dédiée à Sainte-Marguerite. La chapelle devint en 1634 église succursale de Saint-Paul, puis en 1712 l'église paroissiale Sainte-Marguerite. Victor Louis, architecte du Théâtre de Bordeaux, édifia vers 1760 en collaboration avec le peintre , Paolo-Antonio Brunetti la chapelle des Ames du Purgatoire. Le cimetière, ouvert en 1637, reçut en 1794, les corps de trois cents personnes guillotinées places de la Bastille et de la Nation, avant d'être fermé en 1804. Louis XVII, mort en 1795 au Temple, y avait été inhumé, selon une légende dont des fouilles récentes sont venues démontrer la fausseté.
Sainte Marguerite
Le 29 octobre 1624, Antoine Fayet, curé de l'église Saint-Paul, obtint de Jean de Vitry, seigneur de Reuilly, un terrain sur lequel il fit bâtir une chapelle dédiée à Sainte-Marguerite. La chapelle devint en 1634 église succursale de Saint-Paul, puis en 1712 l'église paroissiale Sainte-Marguerite. Victor Louis, architecte du Théâtre de Bordeaux, édifia vers 1760 en collaboration avec le peintre , Paolo-Antonio Brunetti la chapelle des Ames du Purgatoire. Le cimetière, ouvert en 1637, reçut en 1794, les corps de trois cents personnes guillotinées places de la Bastille et de la Nation, avant d'être fermé en 1804. Louis XVII, mort en 1795 au Temple, y avait été inhumé, selon une légende dont des fouilles récentes sont venues démontrer la fausseté.
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<center> Sainte Marguerite</center>Demi-relief en marbre du Christ descendu de la Croix, par Eustache Nourrisson et Robert Le Lorrain  (1704), provenant du tombeau de Catherine Duchemin, épouse de François Girardon.
Sainte Marguerite
Demi-relief en marbre du Christ descendu de la Croix, par Eustache Nourrisson et Robert Le Lorrain (1704), provenant du tombeau de Catherine Duchemin, épouse de François Girardon.
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<center> Sainte Marguerite</center>Vitrail représentant Sainte Marguerite, œuvre de Carot, maître verrier, d'après un tableau de Raphaël. A gauche, la gueule béante du dragon.
Sainte Marguerite
Vitrail représentant Sainte Marguerite, œuvre de Carot, maître verrier, d'après un tableau de Raphaël. A gauche, la gueule béante du dragon.
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<center> Sainte Marguerite</center> Saint Louis avec la croix et la couronne d'épines, par Édouard-Amédée Didron (1836-1902).
Sainte Marguerite
Saint Louis avec la croix et la couronne d'épines, par Édouard-Amédée Didron (1836-1902).
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<center> Sainte Marguerite</center>Saint Augustin d'Hippone, tenant son oeuvre La Cité de Dieu, par Édouard-Amédée Didron (1836-1902).
Sainte Marguerite
Saint Augustin d'Hippone, tenant son oeuvre La Cité de Dieu, par Édouard-Amédée Didron (1836-1902).
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<center> Sainte Marguerite</center>Statue de saint Vincent de Paul, copie d'un original de Jean-Baptiste Stouf placé à l'église Saint-Thomas-d'Aquin.
Sainte Marguerite
Statue de saint Vincent de Paul, copie d'un original de Jean-Baptiste Stouf placé à l'église Saint-Thomas-d'Aquin.
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<center> Sainte Marguerite</center>
Sainte Marguerite
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<center> Sainte Marguerite</center>Chapelle de la Vierge. A gauche, Saint Vincent de Paul et Anne d'Autriche par Frère Jean André (1662-1753) ; Vincent prêchant à l'hospice du saint Nom de Jésus par Frère Jean André (1662-1753). De face, à gauche, L'Adoration des bergers d'après le Dominiquin et à droite, La Déposition de croix d'après Jean Jouvenet.
Sainte Marguerite
Chapelle de la Vierge. A gauche, Saint Vincent de Paul et Anne d'Autriche par Frère Jean André (1662-1753) ; Vincent prêchant à l'hospice du saint Nom de Jésus par Frère Jean André (1662-1753). De face, à gauche, L'Adoration des bergers d'après le Dominiquin et à droite, La Déposition de croix d'après Jean Jouvenet.
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<center> Sainte Marguerite</center>La chapelle des Âmes-du-Purgatoire. Tableaux : Saint Vincent de Paul présente à Dieu les Lazaristes, Jean-Baptiste Féret. Sainte Marguerite chassée par son père
par Pierre-Antoine Vafflard (1777 ou 1779-1838). Saint François de Sales installant saint Vincent de Paul supérieur des Dames de la Visitation par Jean Restout (1692-1768).
Sainte Marguerite
La chapelle des Âmes-du-Purgatoire. Tableaux : Saint Vincent de Paul présente à Dieu les Lazaristes, Jean-Baptiste Féret. Sainte Marguerite chassée par son père par Pierre-Antoine Vafflard (1777 ou 1779-1838). Saint François de Sales installant saint Vincent de Paul supérieur des Dames de la Visitation par Jean Restout (1692-1768).
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<center> Sainte Marguerite</center>Chapelle Saint-Joseph-Sainte-Marguerite. A droite, Saint Ambroise présente à Dieu la lettre de Théodose par Louis Lagrénée (1725-1805). A gauche, Apothéose de saint Vincent d'après le frère Jean André (1662-1753)
Sainte Marguerite
Chapelle Saint-Joseph-Sainte-Marguerite. A droite, Saint Ambroise présente à Dieu la lettre de Théodose par Louis Lagrénée (1725-1805). A gauche, Apothéose de saint Vincent d'après le frère Jean André (1662-1753)
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<center> Sainte Marguerite</center>« Descente de Croix » attribuée à Charles Dorigny (XVIe siècle). École maniériste. Charles Dorigny est un artiste de l'école de Fontainebleau. A gauche, Longin, avec sa croix. Marie-Madeleine, baissée jusqu'à terre, soulève le pied du Christ pour mieux voir sa blessure. Joseph d'Arimathie soutient le corps de Jésus. Nicodème pointe son bras vers le tombeau où il faut ensevelir le supplicié.
Sainte Marguerite
« Descente de Croix » attribuée à Charles Dorigny (XVIe siècle). École maniériste. Charles Dorigny est un artiste de l'école de Fontainebleau. A gauche, Longin, avec sa croix. Marie-Madeleine, baissée jusqu'à terre, soulève le pied du Christ pour mieux voir sa blessure. Joseph d'Arimathie soutient le corps de Jésus. Nicodème pointe son bras vers le tombeau où il faut ensevelir le supplicié.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center> Cour Damoye. Architecte : D Drummond. Maître d'ouvrage : Pierre stratégie.
Faubourg Saint Antoine.
Cour Damoye. Architecte : D Drummond. Maître d'ouvrage : Pierre stratégie.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center> Cour Damoye. Architecte : D Drummond. Maître d'ouvrage : Pierre stratégie.
Faubourg Saint Antoine.
Cour Damoye. Architecte : D Drummond. Maître d'ouvrage : Pierre stratégie.
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Faubourg Saint Antoine.
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Faubourg Saint Antoine.
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Faubourg Saint Antoine.
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Faubourg Saint Antoine.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center>
Faubourg Saint Antoine.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center> La fontaine de Charonne ou Trogneux.
Faubourg Saint Antoine.
La fontaine de Charonne ou Trogneux.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center> La fontaine de Charonne ou Trogneux, œuvre de Jean Beausire date de 1719. Sur ses façades, les inscriptions Cte I et Cte V correspondent au bornage de Paris et de ses faubourgs effectué par Beausire en en 1724` La rue du faubourg Saint-Antoine, désignée par la cote I, était une des grandes voies d'accès à Chelles et à Meaux. Signalée par la cote V, la rue de- Charonne menait au village du même nom, à cette époque en dehors de la ville.
La fontaine assurait l'approvisionnement en eau des habitants du faubourg. De nombreux ébénistes, menuisiers et artisans, du meuble s'y étaient établis ; grâce aux franchises, ils pouvaient exercer leur métier en dehors des corporations.
Faubourg Saint Antoine.
La fontaine de Charonne ou Trogneux, œuvre de Jean Beausire date de 1719. Sur ses façades, les inscriptions Cte I et Cte V correspondent au bornage de Paris et de ses faubourgs effectué par Beausire en en 1724` La rue du faubourg Saint-Antoine, désignée par la cote I, était une des grandes voies d'accès à Chelles et à Meaux. Signalée par la cote V, la rue de- Charonne menait au village du même nom, à cette époque en dehors de la ville. La fontaine assurait l'approvisionnement en eau des habitants du faubourg. De nombreux ébénistes, menuisiers et artisans, du meuble s'y étaient établis ; grâce aux franchises, ils pouvaient exercer leur métier en dehors des corporations.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center> Cour du Bel Air.
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Cour du Bel Air.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center> Cour du Bel Air.
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Cour du Bel Air.
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<center>Faubourg Saint Antoine.</center> Cour du Bel Air.
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Faubourg Saint Antoine.
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