Saint-Etienne-du-Mont, Congrégation du Saint Esprit, Cathédrale Notre-Dame du Liban.
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Place du Panthéon.
A gauche se trouve la bibliothèque Sainte-Geneviève. Construite par Labrouste de 1844 à 1850, elle occupe l’emplacement d’un des plus célèbres collège da la montagne Sainte-Geneviève, connu surtout pour la sévérité de sa règle, le collège de Montaigu, fondé au XIV siècle, et où Erasme, Calvin et Ignace de Loyola firent une partie de leurs humanités. Puis, au fond, l'église Saint-Étienne-du-Mont de la fin du XVe et le lycée Henri IV, où fut enterré Clovis, et sa tour du XIIe.
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A l’origine, se trouvait l’église des saints Apôtres Pierre et Paul, construite sous le règne de Clovis et où furent enterrés le roi lui-même, son épouse Clotilde et sainte Geneviève. Elle devint au moyen âge, l’importante abbaye royale du même nom. Au cours du XIIIe siècle, l’église de l’abbaye qui servait aux habitants du quartier devint insuffisante et un second édifice fut édifié sous le patronage de saint Étienne, le premier des martyrs. Cette dernière fut elle-même reconstruite de 1492 à 1626, dans le contexte troublé des guerres de religion.
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En 1492, les moines génovéfains font don d'une partie de leurs terres pour la construction de la nouvelle église. Celle-ci se déroule en plusieurs étapes, donnant au bâtiment actuel un aspect composite. Sous la direction de l'architecte Étienne Viguier, l'abside et le clocher sont ébauchés en 1494 ; les deux premières cloches sont fondues en 1500.
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L'église est couronnée par un haut clocher, surmonté d'un lanternon.
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Le haut pinacle gothique.
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Les pots-à-feu.
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Les pots-à-feu.
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Les gargouilles.
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Les gargouilles.
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La façade (édifiée de 1610 à 1622) est à l’extérieur l’élément le plus singulier : c’est un ensemble harmonieux où un décor Renaissance, unique à Paris sinon en France, s’intègre à une structure héritée du Moyen Age, tripartite et élevée. Au premier niveau, le portail évoque un temple grec ; au sommet, l’ensemble se termine par un haut pinacle gothique. Cette façade a été restaurée au XIXème siècle par l’architecte Baltard qui refit la statuaire détruite à la Révolution.
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Le premier niveau de la façade. Saint-Etienne par Joseph-Marius Ramus (1805-1888).
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Le premier niveau de la façade. Sainte Geneviève, par Pierre Hébert (1804-1869).
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Le premier niveau de la façade. Le martyre de saint Étienne, par Gabriel-Jules Thomas (1863), fronton de la grande porte de l'église. Dans le fronton, la Résurrection du Christ date de 1862. Œuvre d'Auguste-Hyacinthe de Bay (1804-1865).
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Le martyre de saint Étienne, par Gabriel-Jules Thomas (1863), fronton de la grande porte de l'église.
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Le deuxième niveau de la façade. La rose est encadrée par une Annonciation : l'ange Gabriel et la Vierge. Ces deux statues sont de Joseph Felon, 1862. Les armes sont celles de la Navarre et de la France.
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La structure générale est celle d’une église «halle», longue de 69 mètres et large de 25,5 mètres : le transept n’est pas saillant à l’extérieur, les bas-côtés sont très hauts. Le choeur est légèrement décalé par rapport à la nef.
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A l’intérieur, on constate l’évolution progressive du style : sur un plan gothique d’origine, la décoration passe des arcs en ogive du choeur, à ceux en plein cintre de la nef avec une ornementation renaissance de plus en plus présente. Une élégante coursive fait le tour de l’église.
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La clé de voûte est caractéristique de ce mélange des influences, art gothique et ornementation Renaissance. A son extrémité des putti portent l'Agneau de Dieu avec l'étendard du Christ. Entre les nervures, les symboles des évangélistes et des médaillons portant leur nom.
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Élément remarquable de l’église, le jubé construit au début du XVIème siècle, est le seul subsistant à Paris. Au Moyen Age, le jubé est à la fois une barrière séparant le chœur, où se tiennent les religieux et les chanoines, de la nef où sont les simples laïcs, et une tribune d’où est proclamée la Sainte Parole (d’où son nom, correspondant au début de la prière par laquelle le lecteur demandait la bénédiction au prêtre : «jube, domine, benedicere…» : «Daigne me bénir, Seigneur…»). Avec la volonté de rendre le déroulement des cérémonies de la messe visible pour tous, la plupart des jubés disparaissent au XVIIIème siècle. Ce jubé allie une structure gothique interne et une ornementation pleinement Renaissance. La balustrade est un entrelac de dentelle de pierre, sculpté dans du calcaire de Saint-Leu. Il a été construit entre 1525 et 1535, probablement par Antoine Beaucorps, sur les dessins de Philibert de l'Orme. Le beau Christ en croix qui surmonte le jubé, oeuvre de Ulrich de Grienewald, provient de la chapelle de l’Ecole polytechnique, supprimée en 1830.
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Deux escaliers à claire voie s’enroulent autour des piliers, desservant à la fois le jubé et la coursive, dont la fonction exacte, autre que décorative, n’est pas bien établie.
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Les portes latérales (1600-1605) seraient de Pierre Biard, un des sculpteurs de la Grande Galerie du Louvre.
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Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé.
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Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé.
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Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé. les sculptures du jubé, dont les deux figures de jeunes hommes aux regards extatiques surmontant les portes menant au chœur, sont sûrement de Pierre Biard l'Aîné.
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Pilier de la nef avec la coursive et les croisées d'ogives de la voûte.
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Saint-Etienne possède un des ensembles les plus complets des églises parisiennes. Celui-ci couvre en continu la période du début du XVIème siècle au premier quart du XVIIème siècle, moment où l’art du vitrail plonge dans une longue éclipse qui se prolongera jusqu’au XXème siècle. Fait exceptionnel, la plupart des vitraux sont à leur place d’origine. Les meilleurs artistes du moment y ont collaboré. Les vitraux du déambulatoire sont datés de la construction même de cette partie de l’édifice et témoignent de la volonté de l’orner immédiatement.
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Vitrail de la vie de Saint Etienne par Nicolas Beaurain 1542 : au centre, il est nommé diacre, il prêche à la foule, il défend sa foi devanr le Sanhédrin, il est condamné ; en bas, au centre, la lapidation, à droite, les animaux sauvages gardent le corps du saint, tandis que l’âme de St Etienne monte au Ciel, le lendemain, des amis l'emportent pour l'enterrer. Au tympan, Étienne est accueilli par la Trinité.
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Le vitrail du Très-Saint-Nom-de-Jésus par Jacques Chastellain, 1540. En haut, Baptême à gauche et Transfiguration du Christ à droite. Au centre, la lancette est peuplée d'anges porteurs de phylactères à la gloire du Sauveur. En bas, La Lapidation de saint Étienne. Sur la gauche, se tient le donateur en prières. Au tympan, une Trinité., entoura,t un globe : Jésus à gauche, Dieu le père à droite et l'Esprit Saint (une colombe) au-dessus.
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Scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament, 1866., par l'atelier parisien de Joseph Félon. En bas, des scènes du début de la vie de Jésus : la Nativité, les massacre des Innocents, la fuite en Egypte. En haut, Adam et Eve chassés du Paradis et le Calvaire. Dans le tympan : la Trinité.
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Ce buffet du grand orgue fut construit et sculpté en 1631 par Jehan Buron, maître menuisier. C’est le plus ancien de Paris et, de plus, il nous est parvenu dans son état d’origine. Parmi les facteurs d’orgue ayant travaillé à Saint-Etienne du Mont citons : Pierre Pescheur, auteur de l’instrument d’origine (1636) dont il ne reste rien, François-Henri Cliquot (1772), et Cavaillé Coll (1863).
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Seule une partie des 7.000 tuyaux, allant de 3 mm à 5,5 m de haut, est visible. Harpie soutenant la tourelle sud de l'orgue de tribune.
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Harpie soutenant la tourelle sud de l'orgue de tribune. Le panneau à gauche : le cantique des Hébreux après la victoire sur Pharaon.
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Le Christ ressuscité et anges sur les tourelles ; deux anges adolescents sur l'entablement des plates-faces.
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La chaire en boisde chêne sculpté, réalisée vers 1640 par Claude Lestocart sur les dessins de Laurent de La Hyre. Sur l'abat-son, un ange trompettiste.
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LLa chaire est supportée par un personnage debout sur un lion étendu, tenant dans sa main droite une mâchoire d'âne : il s'agit donc de Samson, personnage biblique doué d'une force légendaire, qui a terrassé un lion (Livre des Juges 14, 6) et tué un millier de Philistins avec une mâchoire d'âne (Livre des Juges 15, 14-17).
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Les panneaux qui entourent la chaire racontent l’histoire de saint Etienne, alternant avec des ovales représentant les évangélistes et deux grands Docteurs de l’Eglise, saint Jérôme et saint Augustin.
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Les sept statues féminines autour de la cuve, inspirées de la sculpture classique, représentent les vertus cardinales et théologales. L'ensemble des sculptures et des bas-reliefs sont sans doute de Claude Lestocard. La Force (vertu cardinale) et la Charité (vertu théologale) entourent le bas-relief où saint Étienne est appréhendé par ses persécuteurs.
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Les sculptures sont de Lestocard (élève de Sarazin) qui travailla sur des dessins de La Hire. L'Espérance (vertu théologale) et la Tempérance (vertu cardinale) de part et d'autre desaint Luc..
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La Prudence (vertu cardinale), la Justice (vertu cardinale), la Foi (vertu théologale). Saint Marc
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Les fonts Baptismaux.
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La Déploration sur le corps du Christ par Amélie Legrand de Saint-Aubin, 1827.
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Chapelle de la sainte Famille. Jésus enfant prêchant devant la Vierge, saint Joseph, sainte Anne et saint Joachim, anonyme, XVIIe siècle.
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Chapelle de la sainte Famille. Vierge à l'Enfant entre saint Pierre et sainte Lucie (vers 1508), par H. Mazzola.
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Chapelle du Sépulcre. Mise au tombeau, provenant, de l'église Saint- Benoit-le-Bétourné, XVIe siècle. de gauche à droite : Nicodème, Marie-Salomé ou Marie Jacobé, Marie-Madeleine, Marie, saint Jean, Marie-Salomé ou Marie Jacobé, Joseph d’Arimathie.
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Chapelle du Crucifix. Vitrail, 1568, La Parabole des conviés aux noces 1568.
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Chapelle du Crucifix. Les Neuf Chœurs des Anges, peinture de L. Licherie, 1679
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Chapelle du Crucifix. Le Christ en croix avec Marie-Madeleine, anonyme. XVIIe siècle.
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Chapelle des Fonts Baptismaux. Peintures de Th. Caruelle. d'Aligny, 1850. Saint Jean-Baptiste prêchant dans le désert. La statue est un Saint Jean-Baptiste enfant de Joseph-Marius Ramus.
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Chapelle des Fonts Baptismaux. Peintures de Th. Caruelle. d'Aligny, 1850. Le Baptême du Christ. Deux médaillons. Jésus dans la crèche (à droite), la Sainte famille (à gauche).
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Chapelle du Sépulcre. L'Adoration ces Bergers, 1748, par J. de Santerre.
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Chapelle du Sépulcre. Le Christ en croix entre Aristote, la Vierge, Saint Jean, Saint Louis, Louis XIII, anonyme, XVIIe siècle.
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Chapelle Saint Bernard. Saint Bernard par François-Vincent Latil, vers 1825, d'après Ph. de Champaigne
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Chapelle Saint Bernard. Le Jugement Dernier, 1605, attribué à M Fréminet.
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Chapelle Saint Charles Borromée. Saint Charles Borromée distribuant des aumônes, 1627, peinture par J. Maressal et Q. Varin ( ?)
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Chapelle Saint Charles Borromée. La Manne dans le désert, peinture de l’entourage de PH. de Champaigne.
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La Cène, l'incrédulité de Saint Thomas, la Résurrection. En haut, le Christ entouré de la Foi et de l'Espérance. 1889, Atelier Charles Champigneulle.
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La chapelle Sainte-Geneviève. Les reliques de la sainte ayant été brûlées pendant la Révolution de 1789 par la municipalité parisienne, et la châsse fondue, l’église accueille depuis le début du XIXe siècle des reliques de la sainte qui avaient été conservées dans d’autres églises depuis le IXe siècle. La grande châsse actuelle contient les pierres subsistantes du sarcophage d’origine où son corps avait été placé. La petite Chasse, par Favier 1895, contient un doigt de la sainte.
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La chapelle, réalisée en 1853 par le père jésuite Arthur Martin, est un bel exemple de style néo-gothique. Les vitraux (1869) retracent l’histoire de la sainte, dont la mémoire est toujours entretenue. La pierre tombale est recouverte d'un manteau d'orfèvrerie, que surmonte un élégant ciborium, où l'on voit d'un côté les vierges sages et les vierges folles de l'Évangile, et de l'autre saint Siméon Stylite, priant sainte Geneviève du fond de la Thébaïde.
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Saint Etienne.
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La châsse, qui entoure la pierre tombale est du XIXe siècle, a été réalisée par Poussielgue en 1815, puisque les reliques de la sainte ont été brûlées sous la Terreur.
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Châsse de sainte Geneviève.
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L'autel, en style du XIVe siècle, est surmonté de la statue de sainte Geneviève, par Achille Valois, tenant les clefs de la ville, elle est ainsi désignée comme patronne de la ville. Aux pieds de la statue est une châsse dorée, où sont déposés trois reliquaires contenant des reliques de la sainte. En bas, les statues de Saint Louis, tenant la couronne d'épines, saint Martin, ?, saint Denis, ?.
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