Neuilly-sur-Seine, Notre-Dame de Bonne-Délivrance, Hôtel Arturo Lopez, la Folie Saint-James, Parc de Bagatelle.

<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> La façade très sobre de l'église donne sur l'avenue Charles de Gaulle à Neuilly.  L'entrée est surmontée d'un fronton orné d'une horloge de Lepaute datant de 1778, provenant de la Folie Saint-James, au château de Bagatelle.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
La façade très sobre de l'église donne sur l'avenue Charles de Gaulle à Neuilly. L'entrée est surmontée d'un fronton orné d'une horloge de Lepaute datant de 1778, provenant de la Folie Saint-James, au château de Bagatelle.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Une chapelle dédiée à saint Jean-Baptiste a été construite, à l'emplacement de l'église actuelle, non loin des bords de Seine, vers 1540 par Jean-Baptiste de Chantemerle, gentilhomme champenois. Deux siècles plus tard, du fait de l'accroissement de la population, elle est détruite et remplacée par une église, ouverte au culte en 1779. En 1790, elle accueille la réunion du premier Conseil municipal. Jugée une nouvelle fois trop petite, elle est démolie en 1827. L'architecte Jacques Molinos et son fils sont aussitôt chargés d'édifier un nouveau bâtiment. De style néo-classique, il sera achevé en 1831. La guerre de 1870, puis la Commune vont l'endommager gravement. De 1911 à 1918, sous l'impulsion de l'abbé Salomon, l'église est rénovée ; une chapelle annexe et un presbytère l'agrandissent.
D'une grande sobriété architecturale, ce monument est construit suivant un plan basilical.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Une chapelle dédiée à saint Jean-Baptiste a été construite, à l'emplacement de l'église actuelle, non loin des bords de Seine, vers 1540 par Jean-Baptiste de Chantemerle, gentilhomme champenois. Deux siècles plus tard, du fait de l'accroissement de la population, elle est détruite et remplacée par une église, ouverte au culte en 1779. En 1790, elle accueille la réunion du premier Conseil municipal. Jugée une nouvelle fois trop petite, elle est démolie en 1827. L'architecte Jacques Molinos et son fils sont aussitôt chargés d'édifier un nouveau bâtiment. De style néo-classique, il sera achevé en 1831. La guerre de 1870, puis la Commune vont l'endommager gravement. De 1911 à 1918, sous l'impulsion de l'abbé Salomon, l'église est rénovée ; une chapelle annexe et un presbytère l'agrandissent. D'une grande sobriété architecturale, ce monument est construit suivant un plan basilical.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Les fonts baptismaux de l'église Saint-Baptiste datent du XVe siècle. Ils proviennent de l'église Saint-Martin de Villiers-la-Garenne (92). Pierre calcaire. Bas-relief : Baptême du Christ et ange portant le Saint Carême, XVe siècle.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Les fonts baptismaux de l'église Saint-Baptiste datent du XVe siècle. Ils proviennent de l'église Saint-Martin de Villiers-la-Garenne (92). Pierre calcaire. Bas-relief : Baptême du Christ et ange portant le Saint Carême, XVe siècle.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Le maître-autel est enrichi d'éléments de la fin du XVIIe et venant d'un ancien retable. A droite, en haut, tableau représentant Saint Pierre au chant du coq, Huile sur toile, de Jean-Baptiste Charpentier, 1788.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Le maître-autel est enrichi d'éléments de la fin du XVIIe et venant d'un ancien retable. A droite, en haut, tableau représentant Saint Pierre au chant du coq, Huile sur toile, de Jean-Baptiste Charpentier, 1788.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Statue en bois doré d'un ange adorateur sur le maître-autel. Entre 1650 et 1750. (Élément de retable). Sur la porte du tabernacle, le Bon pasteur. Le soubassement du maître-autel (vers 1865). «Jésus et les disciples d'Emmaüs» sont entourés des quatre évangélistes. Saint Luc, saint Mathieu, saint Marc et saint Jean.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Statue en bois doré d'un ange adorateur sur le maître-autel. Entre 1650 et 1750. (Élément de retable). Sur la porte du tabernacle, le Bon pasteur. Le soubassement du maître-autel (vers 1865). «Jésus et les disciples d'Emmaüs» sont entourés des quatre évangélistes. Saint Luc, saint Mathieu, saint Marc et saint Jean.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Huile sur toile  «La Crucifixion». Entourage de Simon Vouet, vers 1640-1650.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Huile sur toile «La Crucifixion». Entourage de Simon Vouet, vers 1640-1650.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Stalles d'un couvent des Ursulines à Argenteuil.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Stalles d'un couvent des Ursulines à Argenteuil.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Plafond du choeur. A droite, La voûte de l'église et ses beaux caissons carrés bleus
ornés chacun d'une croix grecque.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Plafond du choeur. A droite, La voûte de l'église et ses beaux caissons carrés bleus ornés chacun d'une croix grecque.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> «La Prédication de saint Jean-Baptiste»
attribuée à Jean-Jacques Lagrenée, 2e moitié du XVIIIe siècle. Huile sur toile.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
«La Prédication de saint Jean-Baptiste» attribuée à Jean-Jacques Lagrenée, 2e moitié du XVIIIe siècle. Huile sur toile.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Vitrail dans le côté gauche du chœur « La générosité de saint Martin», médaillon central. Charles Lévêque, vers 1866.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Vitrail dans le côté gauche du chœur « La générosité de saint Martin», médaillon central. Charles Lévêque, vers 1866.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Chapelle absidiale de la Vierge.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Chapelle absidiale de la Vierge.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Vitrail dans la chapelle de la Vierge «Le Couronnement de la Vierge», médaillon central du vitrail. Charles Lévêque, vers 1866.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Vitrail dans la chapelle de la Vierge «Le Couronnement de la Vierge», médaillon central du vitrail. Charles Lévêque, vers 1866.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> «Les disciples d'Emmaüs» par François Saurin, avant 1717. Provient de l'église Saint-Nicolas du Chardonnet.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
«Les disciples d'Emmaüs» par François Saurin, avant 1717. Provient de l'église Saint-Nicolas du Chardonnet.
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<center>Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine</center> Vitrail à figures géométriques dans la nef.
Eglise Saint-Jean-Baptiste à Neuilly-sur-Seine
Vitrail à figures géométriques dans la nef.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>Avenue Charles de Gaule.
Neuilly-sur-Seine
Avenue Charles de Gaule.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>Avenue Charles de Gaule. Statue de Eça de Queiroz, écrivain et diplomate portugais, 1845-1900. En 1885, il se rend en France pour rendre visite à Émile Zola et en 1888 il est nommé consul à Paris. La même année le roman Les Maia est publié. Il manifeste contre la condamnation de Dreyfus en 1899. Il meurt à la suite d'une maladie le 16 août 1900 à Neuilly.
Neuilly-sur-Seine
Avenue Charles de Gaule. Statue de Eça de Queiroz, écrivain et diplomate portugais, 1845-1900. En 1885, il se rend en France pour rendre visite à Émile Zola et en 1888 il est nommé consul à Paris. La même année le roman Les Maia est publié. Il manifeste contre la condamnation de Dreyfus en 1899. Il meurt à la suite d'une maladie le 16 août 1900 à Neuilly.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>Avenue du Roule. C'est au Roule que l'on construisit le premier pont sur la Seine en 1606, suite à l'accident de bac qui a failli coûter la vie à Henri IV.
Neuilly-sur-Seine
Avenue du Roule. C'est au Roule que l'on construisit le premier pont sur la Seine en 1606, suite à l'accident de bac qui a failli coûter la vie à Henri IV.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>Avenue du Roule.
Neuilly-sur-Seine
Avenue du Roule.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>Le château de Neuilly était un château français construit en 1751 et situé dans la commune de Neuilly-sur-Seine, à proximité immédiate de Paris. Propriété de la famille d'Orléans à partir de 1819, le château de Neuilly est incendié et pillé durant la Révolution de 1848. Confisqué par Napoléon III en 1852 avec les biens de la maison d'Orléans, le domaine est loti à partir de 1854. Il ne subsiste du château qu'une aile édifiée au XIXe siècle par Pierre-François-Léonard Fontaine, comprise en 1908 dans les bâtiments d'un couvent construit par l'architecte Maurice Humbert pour la Congrégation des Sœurs de Saint-Thomas de Villeneuve.
C'est ici qu'aimait vivre Marie d'Orléans, fille de Louis-Philippe, sculpteur, élève de d'Ary Scheffer. elle épousa, en 1837, le prince Alexandre de Wurtemberg. En 1838, la duchesse de Wurtemberg donne la vie à un fils prénommé Philippe en l'honneur de son grand-père. Mais déjà rongée par la tuberculose pulmonaire, elle doit partir pour Pise avec l'espoir que le climat favorisera sa guérison. Son frère, le duc de Nemours, est envoyé auprès d'elle par son père et sa mère et arrive juste avant la mort de la princesse, le 6 janvier 1839. Elle est inhumée dans la chapelle royale de Dreux, nécropole des Orléans.
Neuilly-sur-Seine
Le château de Neuilly était un château français construit en 1751 et situé dans la commune de Neuilly-sur-Seine, à proximité immédiate de Paris. Propriété de la famille d'Orléans à partir de 1819, le château de Neuilly est incendié et pillé durant la Révolution de 1848. Confisqué par Napoléon III en 1852 avec les biens de la maison d'Orléans, le domaine est loti à partir de 1854. Il ne subsiste du château qu'une aile édifiée au XIXe siècle par Pierre-François-Léonard Fontaine, comprise en 1908 dans les bâtiments d'un couvent construit par l'architecte Maurice Humbert pour la Congrégation des Sœurs de Saint-Thomas de Villeneuve. C'est ici qu'aimait vivre Marie d'Orléans, fille de Louis-Philippe, sculpteur, élève de d'Ary Scheffer. elle épousa, en 1837, le prince Alexandre de Wurtemberg. En 1838, la duchesse de Wurtemberg donne la vie à un fils prénommé Philippe en l'honneur de son grand-père. Mais déjà rongée par la tuberculose pulmonaire, elle doit partir pour Pise avec l'espoir que le climat favorisera sa guérison. Son frère, le duc de Nemours, est envoyé auprès d'elle par son père et sa mère et arrive juste avant la mort de la princesse, le 6 janvier 1839. Elle est inhumée dans la chapelle royale de Dreux, nécropole des Orléans.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>Le domaine recouvrait un vaste parc de 170 hectares appelé « parc de Neuilly ». le château de Neuilly était à l'origine une construction sans doute bâtie dans le 2e quart du XVIIe siècle, qui appartenait en 1668 à Louis Béchameil de Nointel, surintendant des finances du duc d'Orléans et maître d'hôtel de Louis XIV. En 1741, le comte d'Argenson recueille l'intégralité de la propriété au décès de la duchesse de Biron qui l'avait acquis en 1740 de M. de Sassenaye. Mais, en 1757, d'Argenson est disgracié et exilé dans son château des Ormes. Le 10 juillet 1766, son héritier, le marquis de Paulmy, vend le château de Neuilly au financier Radix de Sainte-Foy, qui le revend au début de 1792 à Mme de Montesson (1738-1806), ancienne épouse morganatique du duc d'Orléans, Louis-Philippe « le Gros ».  La propriété est vendue à Murat le 12 ventôse an XII (4 mars 1804). Murat devenu roi de Naples (1808), tous ses biens sont réunis au domaine extraordinaire de la Couronne. La princesse Pauline Borghèse, sœur de l'Empereur, reçoit la propriété à titre de dotation le 28 octobre 1808.
Neuilly-sur-Seine
Le domaine recouvrait un vaste parc de 170 hectares appelé « parc de Neuilly ». le château de Neuilly était à l'origine une construction sans doute bâtie dans le 2e quart du XVIIe siècle, qui appartenait en 1668 à Louis Béchameil de Nointel, surintendant des finances du duc d'Orléans et maître d'hôtel de Louis XIV. En 1741, le comte d'Argenson recueille l'intégralité de la propriété au décès de la duchesse de Biron qui l'avait acquis en 1740 de M. de Sassenaye. Mais, en 1757, d'Argenson est disgracié et exilé dans son château des Ormes. Le 10 juillet 1766, son héritier, le marquis de Paulmy, vend le château de Neuilly au financier Radix de Sainte-Foy, qui le revend au début de 1792 à Mme de Montesson (1738-1806), ancienne épouse morganatique du duc d'Orléans, Louis-Philippe « le Gros ». La propriété est vendue à Murat le 12 ventôse an XII (4 mars 1804). Murat devenu roi de Naples (1808), tous ses biens sont réunis au domaine extraordinaire de la Couronne. La princesse Pauline Borghèse, sœur de l'Empereur, reçoit la propriété à titre de dotation le 28 octobre 1808.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>En 1818, les châteaux de Neuilly et de Villiers sont acquis par le duc d'Orléans, futur Louis-Philippe Ier. Le duc d'Orléans entre aussitôt en jouissance du château où sa femme donne naissance au prince de Joinville le 14 août 1818. Louis-Philippe fait transformer le château de Neuilly par Pierre-François-Léonard Fontaine. En 1820, l'aile droite du château est agrandie pour recevoir l'appartement du duc d'Orléans et celui de Mme Adélaïde. De 1821 à 1831, des grands travaux y sont accomplis.
La famille d'Orléans aime particulièrement le château de Neuilly, où elle prend ses quartiers d'été. Avec ses bâtiments longs et bas, il conserve une discrétion qui convient à la monarchie bourgeoise. Le parc, traité pour la plus grande partie en futaie, est entouré d'un haut mur d'enceinte qui le dérobe aux regards. Lors de la révolution de 1848, le château est incendié et pillé le 25 février 1848. Confisqué par Napoléon III en 1852 avec les biens de la maison d'Orléans, le parc est divisé en 700 lots qui, après la création de sept boulevards de 30 mètres de largeur et de neuf rues limitées à 15 mètres de largeur, sont l'objet d'adjudications successives à partir de 1854.
Neuilly-sur-Seine
En 1818, les châteaux de Neuilly et de Villiers sont acquis par le duc d'Orléans, futur Louis-Philippe Ier. Le duc d'Orléans entre aussitôt en jouissance du château où sa femme donne naissance au prince de Joinville le 14 août 1818. Louis-Philippe fait transformer le château de Neuilly par Pierre-François-Léonard Fontaine. En 1820, l'aile droite du château est agrandie pour recevoir l'appartement du duc d'Orléans et celui de Mme Adélaïde. De 1821 à 1831, des grands travaux y sont accomplis. La famille d'Orléans aime particulièrement le château de Neuilly, où elle prend ses quartiers d'été. Avec ses bâtiments longs et bas, il conserve une discrétion qui convient à la monarchie bourgeoise. Le parc, traité pour la plus grande partie en futaie, est entouré d'un haut mur d'enceinte qui le dérobe aux regards. Lors de la révolution de 1848, le château est incendié et pillé le 25 février 1848. Confisqué par Napoléon III en 1852 avec les biens de la maison d'Orléans, le parc est divisé en 700 lots qui, après la création de sept boulevards de 30 mètres de largeur et de neuf rues limitées à 15 mètres de largeur, sont l'objet d'adjudications successives à partir de 1854.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>Les premières villas sont construites  sous Napoléon III. Ce pavillon date de 1890, après les destructions de 1848. En 1980, on bâtit des immeubles.
Neuilly-sur-Seine
Les premières villas sont construites sous Napoléon III. Ce pavillon date de 1890, après les destructions de 1848. En 1980, on bâtit des immeubles.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Après 1854, il ne subsiste alors du château qu'une des ailes édifiées par Murat, appelée « aile de Mme Adélaïde », faisant partie des constructions de Fontaine. Elle est occupée de 1863 à 1874 par le pensionnat Notre-Dame-des-Arts, puis de 1874 à 1907 par une maison de travail pour les jeunes filles pauvres dirigée par Mlle Glaudel.
Le domaine est racheté en 1907 par la Congrégation des Sœurs de Saint-Thomas de Villeneuve suite à l'expropriation de sa maison de la rue de Sèvres à Paris. Les religieuses confient à l'architecte Maurice Humbert le soin de restaurer les bâtiments et de construire leur nouveau couvent en harmonie avec l'aile subsistante.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Après 1854, il ne subsiste alors du château qu'une des ailes édifiées par Murat, appelée « aile de Mme Adélaïde », faisant partie des constructions de Fontaine. Elle est occupée de 1863 à 1874 par le pensionnat Notre-Dame-des-Arts, puis de 1874 à 1907 par une maison de travail pour les jeunes filles pauvres dirigée par Mlle Glaudel. Le domaine est racheté en 1907 par la Congrégation des Sœurs de Saint-Thomas de Villeneuve suite à l'expropriation de sa maison de la rue de Sèvres à Paris. Les religieuses confient à l'architecte Maurice Humbert le soin de restaurer les bâtiments et de construire leur nouveau couvent en harmonie avec l'aile subsistante.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Les sœurs s'y installent le 23 septembre 1908 et demandent à Maurice Humbert de construire une chapelle, la chapelle Notre-Dame de Bonne Délivrance. Cette chapelle est consacrée le 22 juin 1910 et abrite la statue de Notre-Dame de Bonne Délivrance, appelée « la Vierge noire de Paris ».
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Les sœurs s'y installent le 23 septembre 1908 et demandent à Maurice Humbert de construire une chapelle, la chapelle Notre-Dame de Bonne Délivrance. Cette chapelle est consacrée le 22 juin 1910 et abrite la statue de Notre-Dame de Bonne Délivrance, appelée « la Vierge noire de Paris ».
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La congrégation est fondée par Ange Le Proust (1624-1697), prieur du couvent des ermites de Saint Augustin de Lamballe pour remédier à l'état d'abandon des petits hospices de campagne, inspiré par l'évêque de Saint-Brieuc, Mgr de La Barde. Ange Le Proust invite un groupe de tertiaires augustines, dont il est le père spirituel, à travailler comme sœurs hospitalières infirmières à l'hospice de la Maison-Dieu de Lamballe.
Le contrat entre l'hospice et la communauté date du 16 février 1661, mais c'est le 2 mars suivant (date considérée comme fondatrice) que l'institut se place sous le vocable de saint Thomas de Villeneuve, canonisé récemment en 1658. La Maison-Mère s'installe rue de Sèvres à Paris, en 1698.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La congrégation est fondée par Ange Le Proust (1624-1697), prieur du couvent des ermites de Saint Augustin de Lamballe pour remédier à l'état d'abandon des petits hospices de campagne, inspiré par l'évêque de Saint-Brieuc, Mgr de La Barde. Ange Le Proust invite un groupe de tertiaires augustines, dont il est le père spirituel, à travailler comme sœurs hospitalières infirmières à l'hospice de la Maison-Dieu de Lamballe. Le contrat entre l'hospice et la communauté date du 16 février 1661, mais c'est le 2 mars suivant (date considérée comme fondatrice) que l'institut se place sous le vocable de saint Thomas de Villeneuve, canonisé récemment en 1658. La Maison-Mère s'installe rue de Sèvres à Paris, en 1698.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> En 1720, quatre équipes de sœurs partent secourir les pestiférés à Marseille. Toutes succomberont des suites de la maladie, se sacrifiant pour leur mission.
En 1789, la Révolution disperse les sœurs qui, pour beaucoup, continuent les soins aux malades sous l’habit séculier. En 1792, les Établissements pour filles pénitentes et les Écoles charitables sont fermés. La congrégation se forme à nouveau après la révolution et elle est reconnue civilement en 1810.
Les religieuses sont expulsées par les lois anti-catholiques de la IIIe République en 1904. Elles ferment leurs écoles et pensionnats et se replient en Angleterre, où elles ouvrent trois pensionnats, et en Belgique, où elles ouvrent une maison. Seules restent en France les religieuses hospitalières non touchées par la loi. Leur Maison-mère est détruite en 1908, à cause du percement du boulevard Raspail et, expropriées, elles s'installent à Neuilly-sur-Seine dans l'aile subsistante du château de Neuilly qu'elles ont acheté en 1907. Les religieuses exilées ont le droit de revenir en France dans les années 1930, où elles ouvrent les premières écoles d'infirmières de la congrégation.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
En 1720, quatre équipes de sœurs partent secourir les pestiférés à Marseille. Toutes succomberont des suites de la maladie, se sacrifiant pour leur mission. En 1789, la Révolution disperse les sœurs qui, pour beaucoup, continuent les soins aux malades sous l’habit séculier. En 1792, les Établissements pour filles pénitentes et les Écoles charitables sont fermés. La congrégation se forme à nouveau après la révolution et elle est reconnue civilement en 1810. Les religieuses sont expulsées par les lois anti-catholiques de la IIIe République en 1904. Elles ferment leurs écoles et pensionnats et se replient en Angleterre, où elles ouvrent trois pensionnats, et en Belgique, où elles ouvrent une maison. Seules restent en France les religieuses hospitalières non touchées par la loi. Leur Maison-mère est détruite en 1908, à cause du percement du boulevard Raspail et, expropriées, elles s'installent à Neuilly-sur-Seine dans l'aile subsistante du château de Neuilly qu'elles ont acheté en 1907. Les religieuses exilées ont le droit de revenir en France dans les années 1930, où elles ouvrent les premières écoles d'infirmières de la congrégation.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Pavillon de Mme Adélaïde, construit en 1804 par l'architecte Fontaine et restauré en 1908. Elle était Jacobine et mourut en 1848.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Pavillon de Mme Adélaïde, construit en 1804 par l'architecte Fontaine et restauré en 1908. Elle était Jacobine et mourut en 1848.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Entrée latérale de la chapelle.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Entrée latérale de la chapelle.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Statue de saint Thomas de Villeneuve.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Statue de saint Thomas de Villeneuve.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Table de Louis-Philippe.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Table de Louis-Philippe.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La façade comprend un fronton triangulaire et un grand oculus qui surmonte une entrée rectangulaire à pilastres, dans le style des églises néo-classiques italiennes et françaises des XVIIe et XVIIIe siècles.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La façade comprend un fronton triangulaire et un grand oculus qui surmonte une entrée rectangulaire à pilastres, dans le style des églises néo-classiques italiennes et françaises des XVIIe et XVIIIe siècles.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center>
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Au XIe siècle, une vierge noire était abritée dans une petite église près de la rue St Etienne de Grès. Elle était vénérée sous le vocable de Notre-Dame de Bonne Délivrance par les infirmes, les futures mamans, les enfants. Vers la fin du XIVe siècle, la vieille statue de Notre-Dame est remplacée par celle que nous voyons aujourd'hui.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Au XIe siècle, une vierge noire était abritée dans une petite église près de la rue St Etienne de Grès. Elle était vénérée sous le vocable de Notre-Dame de Bonne Délivrance par les infirmes, les futures mamans, les enfants. Vers la fin du XIVe siècle, la vieille statue de Notre-Dame est remplacée par celle que nous voyons aujourd'hui.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> À la révolution Madame de Carignan Saint-Maurice acheta la statue pour éviter la profanation d'une vente publique. Elle fut écrouée aux
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
À la révolution Madame de Carignan Saint-Maurice acheta la statue pour éviter la profanation d'une vente publique. Elle fut écrouée aux "Oiseaux", ancienne maison d'éducation, en 1793. Parmi les détenus se trouvaient plusieurs religieuses de Saint-Thomas de Villeneuve avec la mère Walsh de Valois, leur supérieure générale. Toutes furent libérées le 4 octobre 1794. En 1795, la maison des hospitalières fut mise en adjudication. Mais après l'intervention de Madame de Carignan, exposant les services rendus à la population besogneuse du quartier, cette adjudication ne fut pas appliquée.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center>  En 1806, la Vierge Noire fut remise aux religieuses de Saint-Thomas par Madame de Carignan. Elle fut installée dans la chapelle de la rue de Sèvres. En 1906 la congrégation fut expropriée de la rue de Sèvres. La statue fut hébergée dans la maison de Saint Thomas de la rue Denfert-Rochereau. C'est finalement en 1908 que la congrégation arriva à Neuilly avec la caisse scellée qui contenait la Vierge Noire. En 1910, elle fut installée dans la nouvelle chapelle.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
En 1806, la Vierge Noire fut remise aux religieuses de Saint-Thomas par Madame de Carignan. Elle fut installée dans la chapelle de la rue de Sèvres. En 1906 la congrégation fut expropriée de la rue de Sèvres. La statue fut hébergée dans la maison de Saint Thomas de la rue Denfert-Rochereau. C'est finalement en 1908 que la congrégation arriva à Neuilly avec la caisse scellée qui contenait la Vierge Noire. En 1910, elle fut installée dans la nouvelle chapelle.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> C'est une statue que l'on s'accorde à dater du XIVe siècle. Elle est taillée dans un bloc de calcaire et fut plus tard revêtue de couleurs semblables à celles des manuscrits de l'époque. La peinture que nous voyons aujourd'hui est celle d'origine. Le sculpteur, inconnu, a donné à la Madone tous les insignes de la royauté : la couronne, posée sur la chevelure et le voile de la Vierge, la tunique pourpre symbole de la principauté, le manteau fleurdelisé porté par les rois de France et le sceptre également fleurdelisé. La fleur de lys est un héritage des peuples de la mer d'où descendent les Francs.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
C'est une statue que l'on s'accorde à dater du XIVe siècle. Elle est taillée dans un bloc de calcaire et fut plus tard revêtue de couleurs semblables à celles des manuscrits de l'époque. La peinture que nous voyons aujourd'hui est celle d'origine. Le sculpteur, inconnu, a donné à la Madone tous les insignes de la royauté : la couronne, posée sur la chevelure et le voile de la Vierge, la tunique pourpre symbole de la principauté, le manteau fleurdelisé porté par les rois de France et le sceptre également fleurdelisé. La fleur de lys est un héritage des peuples de la mer d'où descendent les Francs.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Ex-votos.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Ex-votos.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Une haute et large nef, couverte d’un plafond à caissons, s’ouvre de chaque côté sur les collatéraux par six arcades.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Une haute et large nef, couverte d’un plafond à caissons, s’ouvre de chaque côté sur les collatéraux par six arcades.
38
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Le plafond à caissons.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Le plafond à caissons.
39
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> L'Annonciation.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L'Annonciation.
40
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Visitation.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Visitation.
41
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Nativité.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Nativité.
42
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> L
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L"Adoration des Bergers.
43
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Présentation au temple.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Présentation au temple.
44
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> L'Adoration des Mages.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L'Adoration des Mages.
45
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Fuite en Egypte.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Fuite en Egypte.
46
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Sainte Famille à Nazareth.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Sainte Famille à Nazareth.
47
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> L'Enfant Jésus parmi les Docteurs.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L'Enfant Jésus parmi les Docteurs.
48
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Le Baptême de Jésus au Jourdain.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Le Baptême de Jésus au Jourdain.
49
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Le Christ entouré des enfants.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Le Christ entouré des enfants.
50
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Tentation.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Tentation.
51
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Vocation des apôtres.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Vocation des apôtres.
52
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Samaritaine.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Samaritaine.
53
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Multiplication des pains.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Multiplication des pains.
54
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Pêche miraculeuse.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Pêche miraculeuse.
55
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Jésus et ses apôtres dans un champ de blé.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Jésus et ses apôtres dans un champ de blé.
56
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Le Bon Pasteur.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Le Bon Pasteur.
57
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Béthanie.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Béthanie.
58
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> L'Entrée triomphale de Jésus à Jérusalem.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L'Entrée triomphale de Jésus à Jérusalem.
59
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> L'Agonie.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L'Agonie.
60
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Jésus et les disciples d'Emmaüs.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Jésus et les disciples d'Emmaüs.
61
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> L'Ascension.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L'Ascension.
62
<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> R.P Ange le Proust, fondateur des Augustines de Saint Thomas de Villeneuve
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
R.P Ange le Proust, fondateur des Augustines de Saint Thomas de Villeneuve
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center>
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Saint Thomas de Villeneuve.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Saint Thomas de Villeneuve.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> Chemin de croix.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
Chemin de croix.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center>
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center>
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> R.P Ange le Proust, fondateur des Augustines de Saint Thomas de Villeneuve, 1624-1697.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
R.P Ange le Proust, fondateur des Augustines de Saint Thomas de Villeneuve, 1624-1697.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center>
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center> Maison de Théophile Gautier
En 1 857, quittant la rue de la Grange-Batelière à Paris, l'écrivain Théophile Gautier (Tarbes, 1 81 1 - Neuilly-sur-Seine, 1 872) s'installe au 32, rue de Longchamp, sur les conseils des directeurs du Moniteur universel, journal dont il est l'un des principaux collaborateurs.
Avec sa compagne, Ernesta Grisi, cantatrice d'origine italienne, ses deux filles, Judith et Estelle, ses deux sœurs, ses chats, ses livres et ses objets d'art, il emménage dans cette petite maison de campagne à deux étages, pourvue d'un jardin en contrebas.
C'est ici qu'il fait paraître notamment Le Roman de la Momie (1858), Le Capitaine Fracasse (1 863), des récits de voyages tels que Voyage en Russie (1866), sans oublier ses innombrables critiques dramatiques et artistiques. Sa maison accueille entre ses murs écrivains et artistes : on y côtoie Charles Baudelaire, Alexandre Dumas père et fils, Ernest Feydeau, Gustave Doré, Edmond et Jules de Goncourt, Gustave Flaubert ou Pierre Puvis de Chavannes.
Durant la Commune de Paris, en 1871, la maison subit de lourds dégâts. Réfugié à Versailles, Théophile Gautier regagne Neuilly au printemps 1 871 et entreprend de remettre l'édifice en état. Malade, il y décède le 23 octobre 1 872, entouré des siens.
Entre 1 873 et 1 876, un décor commémoratif dédié à Gautier, est mis en place sur la façade : un buste de l'écrivain et une plaque de marbre signalent au passant l'identité de l'ancien locataire.
Neuilly-sur-Seine
Maison de Théophile Gautier En 1 857, quittant la rue de la Grange-Batelière à Paris, l'écrivain Théophile Gautier (Tarbes, 1 81 1 - Neuilly-sur-Seine, 1 872) s'installe au 32, rue de Longchamp, sur les conseils des directeurs du Moniteur universel, journal dont il est l'un des principaux collaborateurs. Avec sa compagne, Ernesta Grisi, cantatrice d'origine italienne, ses deux filles, Judith et Estelle, ses deux sœurs, ses chats, ses livres et ses objets d'art, il emménage dans cette petite maison de campagne à deux étages, pourvue d'un jardin en contrebas. C'est ici qu'il fait paraître notamment Le Roman de la Momie (1858), Le Capitaine Fracasse (1 863), des récits de voyages tels que Voyage en Russie (1866), sans oublier ses innombrables critiques dramatiques et artistiques. Sa maison accueille entre ses murs écrivains et artistes : on y côtoie Charles Baudelaire, Alexandre Dumas père et fils, Ernest Feydeau, Gustave Doré, Edmond et Jules de Goncourt, Gustave Flaubert ou Pierre Puvis de Chavannes. Durant la Commune de Paris, en 1871, la maison subit de lourds dégâts. Réfugié à Versailles, Théophile Gautier regagne Neuilly au printemps 1 871 et entreprend de remettre l'édifice en état. Malade, il y décède le 23 octobre 1 872, entouré des siens. Entre 1 873 et 1 876, un décor commémoratif dédié à Gautier, est mis en place sur la façade : un buste de l'écrivain et une plaque de marbre signalent au passant l'identité de l'ancien locataire.
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<center>Neuilly-sur-Seine</center>
Neuilly-sur-Seine
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Communs de l'Hôtel Arturo Lopez, qui est aujourd'hui une médiathèque. En 1899, Paul Rodocanachi (1871-1952), héritier de la branche londonienne d’une grande famille grecque de l’île de Chios, acquiert un terrain à Neuilly, 12 rue du Centre, pour faire construire un hôtel particulier.
Passionné d’architecture et de décoration, il réalise une demeure dans le style Louis XVI où il reçoit de nombreux intellectuels et artistes tels Rodin, Matisse et Zadkine.
Pendant la Première Guerre mondiale, il accueille des soldats convalescents dans les communs transformés en ambulance. En 1927, il vend sa demeure à Arturo Lopez-Willshaw (1900 -1962), riche collectionneur et mécène d’origine chilienne, qui va remanier profondément l’architecture pour en faire l’écrin de sa collection de meubles et d’argenterie et le cadre des fêtes mondaines présidées par son épouse Patricia Huici, connue à cette époque pour ses goût très sûrs en matière de mod.
Hôtel Arturo Lopez
Communs de l'Hôtel Arturo Lopez, qui est aujourd'hui une médiathèque. En 1899, Paul Rodocanachi (1871-1952), héritier de la branche londonienne d’une grande famille grecque de l’île de Chios, acquiert un terrain à Neuilly, 12 rue du Centre, pour faire construire un hôtel particulier. Passionné d’architecture et de décoration, il réalise une demeure dans le style Louis XVI où il reçoit de nombreux intellectuels et artistes tels Rodin, Matisse et Zadkine. Pendant la Première Guerre mondiale, il accueille des soldats convalescents dans les communs transformés en ambulance. En 1927, il vend sa demeure à Arturo Lopez-Willshaw (1900 -1962), riche collectionneur et mécène d’origine chilienne, qui va remanier profondément l’architecture pour en faire l’écrin de sa collection de meubles et d’argenterie et le cadre des fêtes mondaines présidées par son épouse Patricia Huici, connue à cette époque pour ses goût très sûrs en matière de mod.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> 
Épris du XVIIe siècle, Arturo Lopez cherche à évoquer dans sa demeure l’univers des grands châteaux royaux qu’il affectionne. Dans les années 1950, Gérald Van der Kemp, conservateur du château de Versailles, fait appel à sa générosité pour retisser le brocard de la chambre du Roi. Salvador Dali y réside lors de ses séjours parisiens. L’hôtel est acheté en 1971 par la ville de Neuilly-sur-Seine qui y installe un musée et une bibliothèque. Le parc est vendu séparément et loti.<br>
Orné d’une façade divisée en trois travées verticales par des pilastres décorés de chapiteaux corinthiens, le corps de logis répond au type de l’hôtel particulier traditionnel, situé entre cour d’honneur à la vente et jardins à l’arrière.
Au sommet de la façade, le fronton triangulaire est frappé du blason des propriétaires.
Hôtel Arturo Lopez
Épris du XVIIe siècle, Arturo Lopez cherche à évoquer dans sa demeure l’univers des grands châteaux royaux qu’il affectionne. Dans les années 1950, Gérald Van der Kemp, conservateur du château de Versailles, fait appel à sa générosité pour retisser le brocard de la chambre du Roi. Salvador Dali y réside lors de ses séjours parisiens. L’hôtel est acheté en 1971 par la ville de Neuilly-sur-Seine qui y installe un musée et une bibliothèque. Le parc est vendu séparément et loti.
Orné d’une façade divisée en trois travées verticales par des pilastres décorés de chapiteaux corinthiens, le corps de logis répond au type de l’hôtel particulier traditionnel, situé entre cour d’honneur à la vente et jardins à l’arrière. Au sommet de la façade, le fronton triangulaire est frappé du blason des propriétaires.
74
<center>Hôtel Arturo Lopez</center>  Arturo López Willshaw, surnommé Arturito, est le fils d'Arturo Lopez Perez, industriel chilien ayant fait fortune dans le commerce du guano, et de sa première femme, Sara Willshaw.
Il épousa sa cousine Patricia López Huici (1912–2010), bien qu'ouvertement homosexuel. Il meurt le 17 mars 1962, laissant à son compagnon depuis vingt ans, Alexis Rosenberg, baron de Rédé, une partie de sa fortune et de sa collection et fut enterré au cimetière du Père-Lachaise.
Hôtel Arturo Lopez
Arturo López Willshaw, surnommé Arturito, est le fils d'Arturo Lopez Perez, industriel chilien ayant fait fortune dans le commerce du guano, et de sa première femme, Sara Willshaw. Il épousa sa cousine Patricia López Huici (1912–2010), bien qu'ouvertement homosexuel. Il meurt le 17 mars 1962, laissant à son compagnon depuis vingt ans, Alexis Rosenberg, baron de Rédé, une partie de sa fortune et de sa collection et fut enterré au cimetière du Père-Lachaise.
75
<center>Hôtel Arturo Lopez</center>  Dès l’entrée, on est plongé dans l’atmosphère d’un hôtel particulier du XVIIIe siècle : murs peints imitant le marbre, dorure des mascarons à tête d’Apollon en référence à Louis XIV,  rampe en fer forgé au style rocaille, qui annonçait les splendeurs à venir dans l’appartement d’honneur.
Hôtel Arturo Lopez
Dès l’entrée, on est plongé dans l’atmosphère d’un hôtel particulier du XVIIIe siècle : murs peints imitant le marbre, dorure des mascarons à tête d’Apollon en référence à Louis XIV, rampe en fer forgé au style rocaille, qui annonçait les splendeurs à venir dans l’appartement d’honneur.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center>
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center>  La galerie est une réplique miniature de la galerie des Glaces de Versailles avec ses portes en miroir, baguettes de bronze et pilastres corinthiens. Le marbre et le bronze sont évoqués grâce à des peintures en trompe-l'oeil.
Hôtel Arturo Lopez
La galerie est une réplique miniature de la galerie des Glaces de Versailles avec ses portes en miroir, baguettes de bronze et pilastres corinthiens. Le marbre et le bronze sont évoqués grâce à des peintures en trompe-l'oeil.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center>  La galerie est une réplique miniature de la galerie des Glaces de Versailles. Le marbre et le bronze sont évoqués grâce à des peintures en trompe-l'oeil.
Hôtel Arturo Lopez
La galerie est une réplique miniature de la galerie des Glaces de Versailles. Le marbre et le bronze sont évoqués grâce à des peintures en trompe-l'oeil.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center>  Le salon Louis XVI. La boiserie de ce salon évoque les décors de la fin du XVIIIe siècle. Une cheminée (visible, à gauche, dans la glace) aux jambages avec cannelures, rosaces aux angles et bandeaux sculptés à tête d’homme complète cette référence au style Louis XVI.
Hôtel Arturo Lopez
Le salon Louis XVI. La boiserie de ce salon évoque les décors de la fin du XVIIIe siècle. Une cheminée (visible, à gauche, dans la glace) aux jambages avec cannelures, rosaces aux angles et bandeaux sculptés à tête d’homme complète cette référence au style Louis XVI.
80
<center>Hôtel Arturo Lopez</center>  En haut des panneaux, des bouquets de fleurs au naturel tenu par des rubans noués sont caractéristiques du style Louis XVI. A l’origine, cette boiserie était légèrement bleutée et des colombes se tenaient sur des corniches de bronze à mi-hauteur des panneaux.
Hôtel Arturo Lopez
En haut des panneaux, des bouquets de fleurs au naturel tenu par des rubans noués sont caractéristiques du style Louis XVI. A l’origine, cette boiserie était légèrement bleutée et des colombes se tenaient sur des corniches de bronze à mi-hauteur des panneaux.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center>
Hôtel Arturo Lopez
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center>  La salle à manger. Cette pièce servit de cadre à la prestigieuse collection d’argenteries XVIIIe siècle d’Arturo Lopez, installée dans une niche faisant face à la porte. La boiserie de style rocaille complétait l’ensemble. Sur un des murs une citation latine est empruntée au recueil d’Ovide, Triste, et signifie
Hôtel Arturo Lopez
La salle à manger. Cette pièce servit de cadre à la prestigieuse collection d’argenteries XVIIIe siècle d’Arturo Lopez, installée dans une niche faisant face à la porte. La boiserie de style rocaille complétait l’ensemble. Sur un des murs une citation latine est empruntée au recueil d’Ovide, Triste, et signifie "tant que tu seras".
83
<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le Salon chinois est un témoin de l'intéret d'Arturo Lopez pour les arts d'Extrême Orient. Pour la pièce la plus prestigieuse de sa demeure, il fit exécuter une copie d’une boiserie célèbre du XVIIIe siècle créée pour l’hôtel du financier Antoine Crozat, place Vendôme. Chaque panneau présente des chinoiseries et des singeries.
Hôtel Arturo Lopez
Le Salon chinois est un témoin de l'intéret d'Arturo Lopez pour les arts d'Extrême Orient. Pour la pièce la plus prestigieuse de sa demeure, il fit exécuter une copie d’une boiserie célèbre du XVIIIe siècle créée pour l’hôtel du financier Antoine Crozat, place Vendôme. Chaque panneau présente des chinoiseries et des singeries.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le Salon chinois.
Hôtel Arturo Lopez
Le Salon chinois.
85
<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le Salon chinois. Chaque panneau présente des chinoiseries et des singeries, agrémentées d’animaux réels ou fantastiques.
Hôtel Arturo Lopez
Le Salon chinois. Chaque panneau présente des chinoiseries et des singeries, agrémentées d’animaux réels ou fantastiques.
86
<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le Salon chinois.
Hôtel Arturo Lopez
Le Salon chinois.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le Salon chinois.
Hôtel Arturo Lopez
Le Salon chinois.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le Salon chinois.
Hôtel Arturo Lopez
Le Salon chinois.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le Salon chinois.
Hôtel Arturo Lopez
Le Salon chinois.
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<center>Hôtel Arturo Lopez/center> Le Salon chinois. Dans les voussures, Arturo Lopez a fait ajouter son chiffre composé d’un A et d’un L entrecroisés.
Hôtel Arturo Lopez/center> Le Salon chinois. Dans les voussures, Arturo Lopez a fait ajouter son chiffre composé d’un A et d’un L entrecroisés.
91
<center>Hôtel Arturo Lopez/center> Le Salon chinois. Les lucarnes reprennent le dessin de celle de l’antichambre dite de l’œil-de-bœuf du château de Versailles.
Hôtel Arturo Lopez/center> Le Salon chinois. Les lucarnes reprennent le dessin de celle de l’antichambre dite de l’œil-de-bœuf du château de Versailles.
92
<center>Hôtel Arturo Lopez</center> La chambre d’Arturo Lopez. Ce sont les Grands Appartements de Versailles créés en 1680 qui ont cette fois servie de modèle à ce décor, reprenant les colonnes et les marbres polychromes du salon de Vénus. La corniche est une réplique de celle du salon de l’Abondance. À la différence de Versailles, marbres et bronzes sont traités en trompe-l’œil. Le lit était présenté de façon royale, derrière une balustrade et sur une estrade, sous un décor d’angelots qui soulèvent au ras du plafond le blason d’Arturo Lopez. Au fond de la pièce, à gauche, une porte dérobée permettait à celui-ci d’accéder à sa salle de bains et à une petite pièce où il conservait sa très belle collection de bijoux.
Hôtel Arturo Lopez
La chambre d’Arturo Lopez. Ce sont les Grands Appartements de Versailles créés en 1680 qui ont cette fois servie de modèle à ce décor, reprenant les colonnes et les marbres polychromes du salon de Vénus. La corniche est une réplique de celle du salon de l’Abondance. À la différence de Versailles, marbres et bronzes sont traités en trompe-l’œil. Le lit était présenté de façon royale, derrière une balustrade et sur une estrade, sous un décor d’angelots qui soulèvent au ras du plafond le blason d’Arturo Lopez. Au fond de la pièce, à gauche, une porte dérobée permettait à celui-ci d’accéder à sa salle de bains et à une petite pièce où il conservait sa très belle collection de bijoux.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> La chambre d’Arturo Lopez.
Hôtel Arturo Lopez
La chambre d’Arturo Lopez.
94
<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Décor d’angelots qui dévoilent le blason d’Arturo Lopez.
Hôtel Arturo Lopez
Décor d’angelots qui dévoilent le blason d’Arturo Lopez.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> La chambre d’Arturo Lopez.
Hôtel Arturo Lopez
La chambre d’Arturo Lopez.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> La chambre d'Arturo Lopez. La lettre L de Lopez.
Hôtel Arturo Lopez
La chambre d'Arturo Lopez. La lettre L de Lopez.
97
<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Entre la chambnre et le Salon chinois.
Hôtel Arturo Lopez
Entre la chambnre et le Salon chinois.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Le jardin caladé.
Hôtel Arturo Lopez
Le jardin caladé.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Façade côté jardin.
Hôtel Arturo Lopez
Façade côté jardin.
100
<center>Hôtel Arturo Lopez</center> Arturo Lopez sera aussi le généreux mécène de la restauration de la chaumière des coquillages dans le parc du château de Rambouillet. Sa dernière création dans son hôtel de Neuilly sera d’ailleurs une salle de bal, dite salle des coquillages, reprenant les motifs décoratifs de coquillages et de nacre des décors de Rambouillet.
Hôtel Arturo Lopez
Arturo Lopez sera aussi le généreux mécène de la restauration de la chaumière des coquillages dans le parc du château de Rambouillet. Sa dernière création dans son hôtel de Neuilly sera d’ailleurs une salle de bal, dite salle des coquillages, reprenant les motifs décoratifs de coquillages et de nacre des décors de Rambouillet.
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<center>Hôtel Arturo Lopez</center> La salle des coquillages. Directement inspiré de la chaumière des Coquillages créés pour la princesse de Lamballe dans le parc du château de Rambouillet, ce décor témoigne du goût pour les grottes à coquillages, très en vogue au XVIIe et XVIIIe siècles. Les équipes de restaurations qui ont travaillé à Rambouillet dans les années 1950 sous la férule d’Arturo Lopez, ont ensuite reproduit le même ensemble dans l’hôtel de Neuilly. Parmi les plus beaux et célèbres exemples parc à fabrique se trouvent le hameau de Marie-Antoinette à Trianon et le parc de la folie du financier Baudart de Saint-James à Neuilly-sur-Seine.
Hôtel Arturo Lopez
La salle des coquillages. Directement inspiré de la chaumière des Coquillages créés pour la princesse de Lamballe dans le parc du château de Rambouillet, ce décor témoigne du goût pour les grottes à coquillages, très en vogue au XVIIe et XVIIIe siècles. Les équipes de restaurations qui ont travaillé à Rambouillet dans les années 1950 sous la férule d’Arturo Lopez, ont ensuite reproduit le même ensemble dans l’hôtel de Neuilly. Parmi les plus beaux et célèbres exemples parc à fabrique se trouvent le hameau de Marie-Antoinette à Trianon et le parc de la folie du financier Baudart de Saint-James à Neuilly-sur-Seine.
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