Vaux-le-Vicomte.
Accueil
Contact
1
2
Precedent
Suivant
Le château de Vaux le Vicomte.
En 1641, l'épouse de Nicolas Fouquet meurt, laissant une forte somme à son mari; la même année, il achète le domaine de Vaux-le-Vicomte qui est divisé en deux parties : un château et une ferme qui ne sont pas situés à l’emplacement de l’actuel château. Le territoire où sera construit le château est traversé par deux rivières qui se coupent à angle droit. L’une d’elles est l’Anqueil dont le lit se trouve à l’emplacement de l’actuel Grand Canal. En 1656, l'architecte Daniel Gittard achève les fondations du château. Vaux-le-Vicomte est construit en pierre blanche de Creil tandis que les dépendances et les communs sont aménagés en brique. Le maitre-maçon ou entrepreneur chargé de la construction est Michel Villedo, qui signe à côté de Le Vau les projets définitifs. La maçonnerie du château est terminée et la charpente est posée en 1657. La toiture sera achevée en 1658.
1
Le château de Vaux le Vicomte.
L’avant-cour est séparée de la route par un ensemble fait de grilles et de termes (statues sans bras ni jambes) . Deux portails situés sur la grille ne servent pas d’entrée, car c’est par la grille centrale, plus modeste, que l’on peut accéder au parc. La grille est dotée de huit piliers surmontés de bustes à double face de dieux grecs, de faunes et d’allégories des saisons. Ces sculptures font écho aux termes situés dans la grotte du jardin. Les termes sont utilisés en extérieur à partir de l’Antiquité, et placés dans les jardins à partir du XVIe siècle. Actuellement douze d’entre eux sont au château de Versailles. De gauche à droite : Hercule, Zéphyr, Vulcain, Apollon, Cérès, Mercure, Minerve et Flore.
2
Le château de Vaux le Vicomte.
3
Le château de Vaux le Vicomte.
Le château conserve du plan féodal français traditionnel la plateforme rectangulaire entourée de larges douves en eau, dont il occupe le Sud. Deux pont-levis reliaient le logis au reste du jardin. Les ailes n’existent presque pas, ce type d’architecture ayant disparu au cours de la première moitié du XVIIe siècle. Le château comporte un corps central avec trois avant-corps côté cour et une pièce "en rotonde" au centre de la façade regardant les jardins. Il y a quatre pavillons, deux de forme rectangulaire côté jardins, et deux autres de forme carrée côté cour, qui, vus latéralement, semblent pourtant jumeaux, tradition de l’architecture française.
4
Le château de Vaux le Vicomte.
Le caractère ouvert du bâtiment et le "plan massé" sont caractéristiques de l’époque. Il y a toutefois une innovation car le château français comporte habituellement une suite de pièces allant d’une extrémité à l’autre du bâtiment, disposition dite "corps simple" ou "en enfilade". Or,à Vaux l'architecte fait preuve d'innovation en organisant l'espace intérieur par une double enfilade de pièces parallèles avec des portes alignées ("corps double"). Ce type d’organisation d’un bâtiment a déjà été employé par Louis Le Vau à l’Hôtel Tambonneau en 1640 et par François Mansart à l’Hôtel de Jars en 1648, mais est appliqué ici pour la première fois à un château.
5
Le château de Vaux le Vicomte.
6
Le château de Vaux le Vicomte.
Fossés de Vaux-le-Vicomte (nord)
7
Le château de Vaux le Vicomte.
Fossés de Vaux-le-Vicomte (nord)
8
Le château de Vaux le Vicomte.
Fossés de Vaux-le-Vicomte (nord)
9
Le château de Vaux le Vicomte.
Entrée du château.
10
Le château de Vaux le Vicomte.
Entrée du château.
11
Le château de Vaux le Vicomte.
Entrée du château. A gauche, Apollon, la musique et la protection des arts. A droite, Rhéa, la «Mère des Dieux ». Dans la mythologie romaine, Rhéa est assimilée à Cybèle
12
Le château de Vaux le Vicomte.
Entrée du château. A gauche, Apollon, la musique et la protection des arts. A droite, Rhéa, la «Mère des Dieux ». Dans la mythologie romaine, Rhéa est assimilée à Cybèle
13
Le château de Vaux le Vicomte.
Entrée du château.
14
Le château de Vaux le Vicomte.
Bâtiments à l'est de l'avant-cour.
15
Le château de Vaux le Vicomte.
Bâtiments à l'ouest de l'avant-cour, où se trouve le musée des attelages..
16
Le salon en rotonde.
Ce salon constitue une autre originalité. L’ensemble formé par le vestibule et ce salon forme comme une "tranchée" centrale, disposition dite ausssi "en lanterne", qui permet à l'arrivant d'avoir une vue traversante dans l'axe cour d'honneur-perron-vestibule-allée en perspective des jardins situés de l'autre côté, autour de laquelle gravitent deux parties autonomes dotée chacune d'un escalier.
17
Le salon en rotonde.
Le Salon central, ancienne salle des Gardes au XVIIème s. est une pièce unique dans l'histoire de l'architecture française. Son originalité provient de sa forme ovale, inhabituelle à l'époque pour une salle de réception. Elle comprend deux étages, modèle dit "à l'Italienne", et est couverte de voussures, ce qui est caractéristique de cette architecture, mais le "vaisseau" ovale en avant-corps est une invention française. Destinée à accueillir les fêtes et d'accéder aux jardins, cette très vaste pièce - 19 mètres de long, 14 mètres de large et 18 mètres de haut - ne devait logiquement pas être meublée, mais elle le fut vers 1880 par les époux Sommier dans le goût très opulent du temps.
18
Le salon en rotonde.
La coupole est soutenue par une magnifique série de seize termes sculptés par François Girardon, douze portent les signes du zodiaque et quatre, les symboles des quatre saisons.
19
Le salon en rotonde.
20
Le salon en rotonde.
Le plafond de la coupole devait être peint du "Palais du Soleil" par Charles Le Brun, représentant l'astre solaire avec l'emblème de Nicolas Fouquet, l'écureuil ; ce dessin fut gravé par Audran, mais cette décoration ne fut pas réalisée, même si vers 1845 le duc de Choiseul-Praslin demanda au peintre-décorateur Dutenhoffer de chiffrer son exécution, mais la jugeant trop onéreuse, n'y donna pas suite. Or, dans une déposition de cet artiste du 24 août 1847, publiée par P. de Vogue, celui-ci indique, alors que ce travail est souvent attribué à Charles Séchan, qui orna, entre autres salles de spectacle européennes, l'Opéra de Paris, y avoir peint l'actuel ciel - inachevé - où plane un aigle aux ailes déployées, entouré de cinq autres (effacés).
21
Le salon en rotonde.
La pièce est décorée de quatre bustes de l'époque de Fouquet représentant des personnages romains : Octavie, sœur d'Auguste, Britannicus, Octavie, épouse de Néron, et Hadrien
22
Le salon en rotonde.
23
Le salon en rotonde.
24
Le salon en rotonde.
Les douze autres bustes romains sculptés à Florence au XVIIe siècle qui ornent la pièce proviennent de la collection du prince Napoléon. Trajan.
25
Le salon en rotonde.
Les douze autres bustes romains sculptés à Florence au XVIIe siècle qui ornent la pièce proviennent de la collection du prince Napoléon. Vespasien.
26
Le salon en rotonde.
Les douze autres bustes romains sculptés à Florence au XVIIe siècle qui ornent la pièce proviennent de la collection du prince Napoléon. Dioclétien.
27
Le salon en rotonde.
Les douze autres bustes romains sculptés à Florence au XVIIe siècle qui ornent la pièce proviennent de la collection du prince Napoléon. Pompée
28
Le salon en rotonde.
Les douze autres bustes romains sculptés à Florence au XVIIe siècle qui ornent la pièce proviennent de la collection du prince Napoléon. César.
29
Le salon en rotonde.
Les douze autres bustes romains sculptés à Florence au XVIIe siècle qui ornent la pièce proviennent de la collection du prince Napoléon. Auguste.
30
Le salon en rotonde.
Les douze autres bustes romains sculptés à Florence au XVIIe siècle qui ornent la pièce proviennent de la collection du prince Napoléon. Néron.
31
Le salon en rotonde.
Le sol est constitué de pierre blanche et d'ardoise avec au centre un cadran solaire.
32
Le salon en rotonde.
33
Cabinet.
34
Cabinet.
35
Cabinet.
36
Cabinet.
La Manne de Nicolas Poussin.
37
Cabinet.
Buste de Jean de la Fontaine, modelé en terre cuite par Houdon, célèbre sculpteur français du XVIIIe siècle ; il se détache devant les six feuilles d'un paravent de Savonnerie illustrant certaines fables du poète - Le cerf se mirant dans l'eau - Le coq et le renard - Le coq et la perle - Le corbeau et le renard - Le loup et la cigogne - Le renard et les raisins
38
Cabinet.
Buste de Jean de la Fontaine, modelé en terre cuite par Houdon, célèbre sculpteur français du XVIIIe siècle ; il se détache devant les six feuilles d'un paravent de Savonnerie illustrant certaines fables du poète - Le cerf se mirant dans l'eau - Le coq et le renard - Le coq et la perle - Le corbeau et le renard - Le loup et la cigogne - Le renard et les raisins
39
Cabinet.
Buste de Jean de la Fontaine, modelé en terre cuite par Houdon, célèbre sculpteur français du XVIIIe siècle ; il se détache devant les six feuilles d'un paravent de Savonnerie illustrant certaines fables du poète - Le cerf se mirant dans l'eau - Le coq et le renard - Le coq et la perle - Le corbeau et le renard - Le loup et la cigogne - Le renard et les raisins
40
Cabinet.
Les livres proviennent de la considérable bibliothèque du Surintendant Foucquet (ou de la bibliothèque des Jésuites du Collège de Clermont à Paris). Les livres du Surintendant sont frappés de l'écusson à l'écureuil, les armes de sa famille. Ceux du collège de Clermont (acquis grâce à une rente assurée par Foucquet), comportent le même écusson, généralement de taille plus modeste, et un double, marque des Jésuites.
41
Chambre à coucher du surintendant.
Cinq tapisseries de la Tenture « Les Mois » (appelées improprement : « Mois Lucas » ; en commençant par celle à gauche du lit : Janvier, Août, Novembre et Avril et une tapisserie d'entre-fenêtres ( au-dessus de la porte d'accès). Les tapisseries identiques qui ornaient cette chambre lors de la dernière nuit passée ici par Nicolas Fouquet, furent saisies par le Roi pour enrichir ses collections. Plus tard, Louis XIV autorisa quelques copies de cette tenture, dont celle-ci pour le Comte de Toulouse, l'un de ses fils légitimés.
42
Chambre à coucher du surintendant.
Lit, chaises de style XVIIème siècle.
43
Chambre à coucher du surintendant.
Le Christ au Sépulcre attribué à Trophime Bigot ( 1579-1649).
44
Chambre à coucher du surintendant.
Attribué à Jean Cotelle. Autour d'un « Apollon » central, 4 scènes mythologiques à fond d'or : « Diane et Actéon » -, « Apollon et Marsyas » -, « Apollon et le serpent Python ». Aux angles dans les médaillons bleus, « Jupiter, Junon, Neptune et Cybèle ».
45
Chambre à coucher du surintendant.
Plafond au-dessus du lit, en trompe-l’œil en forme de coupole.
46
Chambre à coucher du surintendant.
47
Chambre à coucher du surintendant.
48
Chambre à coucher du surintendant.
Crucifix en écaille, ébène, buis et argent. Christ sculpté dans la manière de François Duquesnoy (1594-1642). Coffre en tapisserie d'époque XVIIème siècle, Miroir du XVIIème siècle en bois sculpté et doré
49
Appartement de Mme Fouquet.
50
Appartement de Mme Fouquet.
Important cabinet d'écaille rouge avec marqueterie de bois précieux, attribué à Pierre Gole.
51
Appartement de Mme Fouquet.
52
Appartement de Mme Fouquet.
Lit de repos du XVIIème siècle en bois sculpté. Petite table LOUIS XIV à dessus de marbre. Pendule "à la poupée" en marqueterie d'étain et de cuivre, époque XVIIème siècle Chenets en cuivre du XVIIème siècle
53
Appartement de Mme Fouquet.
"L'amour Fixé", (ou "La beauté coupant les ailes de l'amour pour qu'il demeure auprès d'elle"), portrait allégorique de Marie-Magdeleine de CASTILLE, deuxième épouse de Nicolas FOUQUET, oeuvre attribuée à l'Atelier de Charles LE BRUN.
54
Appartement de Mme Fouquet.
Au plafond un ovale comportant une peinture représentant le ciel ; le blason de Mme Fouquet figure dans les angles.
55
Appartement de Mme Fouquet.
Cabinet de toilette.
56
Chambre Louis XV.
• Lit à crosse en bois sculpté et doré, d'époque LOUIS XV, estampillé LEROY ; Maître-ébéniste (1720-1780). • Mobilier en bois sculpté d'époque Régence, garni de tapisserie au petit point. • Table de chevet en marqueterie de bois de rose, estampillée MIGEON ; maître-ébéniste (1701-1758). • Petit fauteuil d'enfant, d'époque XVIIIème siècle. • Cartel d'applique plaqué d'écaille brune et orné de bronzes dorés d'époque LOUIS XV
57
Chambre Louis XV.
• Commode du XVIIème siècle en bois de violette. • 4 bougeoirs d'époque LOUIS XV, d'après MEISSONNIER.
58
Chambre Louis XV.
59
Chambre Louis XVI.
Lit d'alcôve en bois sculpté peint, d'époque LOUIS XVI. Table de chevet en acajou du XVIIIème siècle.
60
Chambre Louis XVI.
Portrait de César de CHOISEUL, Duc de Praslin (qui acheta Vaux en 1764 attribué à ROSLIN. Chaise longue brisée en bois sculpté peint, estampillée JACOB, maître-ébéniste (1739-1815) Commode d'époque transition LOUIS XV- LOUIS XVI en marqueterie de bois d'amarante et de violette. Chaises lyre en bois sculpté et peint, époque LOUIS XVI.
61
Chambre Louis XVI.
Portrait de César de CHOISEUL, Duc de Praslin (qui acheta Vaux en 1764 attribué à ROSLIN. Commode d'époque transition LOUIS XV- LOUIS XVI en marqueterie de bois d'amarante et de violette. Chaises lyre en bois sculpté et peint, époque LOUIS XVI.
62
Israël Sylvestre.
63
Israël Sylvestre.
64
Israël Sylvestre.
65
La grande chambre carrée.
Portrait de Fouquet.
66
La grande chambre carrée.
Cinq tapisseries de la tenture de Diane- tissées vers 1630 dans l'atelier parisien de LA PLANCHE d'après les cartons de TOUSSAINT DUBREUIL. - Diane fait appel à Jupiter, - Diane secourt Britomartis, - Diane tue Chione - Apollon met Diane au défi de tuer Orion - Jupiter venge Latone en changeant les paysans en grenouilles. Paire de tables ovales en chêne naturel sculpté avec dessus en marbre rouge des Flandres bordé de marbre noir ayant appartenu à Nicolas Fouquet et qui n'ont jamais quitté le Château.
67
La grande chambre carrée.
Histoire de Diane, d'après Toussaint Dubreuil..
68
La grande chambre carrée.
69
La grande chambre carrée.
70
La grande chambre carrée.
71
La grande chambre carrée.
72
La grande chambre carrée.
73
La grande chambre carrée.
74
Le salon des Muses.
75
Le salon des Muses.
5 tapisseries de la célèbre tenture "Aminte et Sylvie", tissées au Faubourg Saint-Marcel vers 1635 pour le Cardinal BARBERINI, légat du pape auprès de LOUIS XIII. Daphné et Sylvia. Sylvia guérit Phyllis d'une piqûre d'abeille sous l'oeil envieux d'Aminte (à droite). Sylvia et Nerina partant pour la chasse aux loups (à droite). Daphné retient Aminte de se donner la mort : il croit Sylvia dévorée par les loups. Sylvia, qui a échappé aux loups, est au désespoir : elle est persuadée qu'Aminte, la croyant morte, s'est jeté dans un précipice.
76
Le salon des Muses.
77
Le salon des Muses.
Sylvie (qui a échappé aux loups) pense qu'Aminte s'est jeté dans un précipice
78
Le salon des Muses.
Sylvie et Aminte se retrouvent.
79
Le salon des Muses.
80
Le salon des Muses.
Plafond. Le décor peint est tout entier dû à Charles LE BRUN Au centre, Clio, Muse de l'Histoire en compagnie de la Prudence et de la Fidélité. Le Triomphe de la Fidélité est une allusion de la fidélité de Nicolas Fouquet au roi durant la Fronde. A l'angle des voussures, les huit autres Muses, assises deux par deux. Au centre de l'alcôve, La Nuit.
81
Le salon des Muses.
Huit muses, assises deux par deux, se répartissent dans les quatre coins de la voussure.
82
Le salon des Muses.
Des figures situées entre les muses représentent les genres poétiques. Au milieu des côtés se trouvent les figures de la Noblesse et de la Paix, ainsi qu’une victoire des Muses sur les satyres. La voussure évoque le mécénat de Nicolas Fouquet.
83
Le salon des Muses.
84
Le salon des Muses.
85
Le salon des Muses.
86
Le salon des Muses.
87
Le salon des Muses.
88
Le salon des Muses.
89
Le salon des Muses.
Commode "Mazarine" par BOULLE (XVIIème siècle), ornée aux angles de femmes ailées en bronze doré, dessus marbre antique et reposant sur 8 pieds.
90
Le salon des Muses.
Console de style XVIIIème siècle en bois doré et sculpté.
91
Le salon des Muses.
92
Le salon des Muses.
Au centre de l'alcôve, La Nuit.
93
L’histoire de Renaud et Armide.
D'après un carton de Simon Vouet. Atelier de Paris, vers 1650. Armide, sur le point de poignarder Renaud endormi, est arrêtée par l'Amour.
94
L’histoire de Renaud et Armide.
Renaud endormi, est emporté par Armide et ses suivantes.
95
Le cabinet des jeux.
Le petit "Cabinet des Jeux" est l' ancien cabinet de Fouquet.
96
Le cabinet des jeux.
97
Le cabinet des jeux.
Il comporte un plafond de Le Brun représentant le Sommeil.
98
Le cabinet des jeux.
99
Le cabinet des jeux.
100
Le cabinet des jeux.
101
Le salon d'Hercule.
Le Salon d’Hercule, antichambre de l’appartement de Fouquet, a un plafond peint d'une scène représentant un Hercule accueilli par l’Olympe, de Le Brun.
102
Le salon d'Hercule.
Masquant une porte au fond de la pièce, une portière des Renommées. L'écureuil, emblème du Surintendant Fouquet, a été substitué à la couleuvre de Colbert qui s'était approprié ces tapisseries tissées à Maincy pour Fouquet. Hercule terrassant Achelous, et Hercule vainqueur de Nessus, bronzes du XVIIème siècle (sur les tables ovales), bronzes d'après Jean de Bologne.
103
Le salon d'Hercule.
La sixième tapisserie de la série Aminte et Sylvie exposées dans la Chambre des Muses. "En présence de Daphné, Nerine, Tirsis, Ergaste et Elphin et d'une nombreuse compagnie, Sylvie tente, par ses charmes, de ramener Aminte à la vie"
104
Le salon d'Hercule.
Réduction en bronze de la statue équestre de LOUIS XIV, érigée par GIRARDON au centre de la Place Vendôme. Le socle en bois sculpté et partiellement doré a été exécuté par SLODTZ, élève de GIRARDON. Au mur, un tableau de Lazzaro Baldi : Agar chassé par Abraham.
105
Le salon d'Hercule.
Enée portant son père Anchise et suivi de son fils Ascanio, fuyant Troie détruite, par Perrault
106
Le salon d'Hercule.
" La portière des renommées", avec l’emblème de la famille Fouquet : l'écureuil.
107
Le salon d'Hercule.
Maréchal de LUXEMBOURG, toujours victorieux et dont les drapeaux conquis à l'ennemi ornaient la nef de la cathédrale de Paris en telle quantité que les Parisiens l'appelaient "le tapissier de Notre Dame"
108
Antichambre du Roi ou Bibliothèque.
Le corps de bibliothèque en acajou a été mis en place par le Duc de PRASLIN avant la Révolution Française.. Exceptionnel bureau en ébène par BOULLE, comportant trois tiroirs et six pieds dont quatre se terminent en pattes de lion, et deux en cônes torsadés. Les angles sont ornés de femmes ailées en bronze doré. Canapé et fauteuils en bois naturel sculpté d'époque Régence et garnis de tapisserie au petit point. Rare tapis de la Savonnerie de la première moitié du XVIème siècle à fond bleu de nuit.
109
Antichambre du Roi ou Bibliothèque.
" La portière des renommées", avec l’emblème de la famille Fouquet : l'écureuil. En Anjou fouquet désigne un écureuil.
110
Antichambre du Roi ou Bibliothèque.
Portrait équestre de LOUIS XIV, par HOUASSE
111
Antichambre du Roi ou Bibliothèque.
112
1
2
Precedent
Suivant
Accueil
Contact