Ascain, Arcangues, Sare, Aïnhoa.
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Ascain
L'église d'Ascain dédiée à Notre Dame de l’Assomption. L'architecture de l'église d'Ascain est tout à fait représentative des églises de village du Pays Basque Nord : une construction simple (rectangulaire, sans transept, avec peu d'ouvertures) à laquelle est adossé un imposant clocher-porche (celui d'Ascain est d'une hauteur totale de 22 mètres et dispose de 4 étages, les murs ayant, à la base, une largeur de 1 mètre). L'édifice actuel date de 1626, comme en témoigne l'inscription au-dessus de l'arcade, côté place.
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Tout en haut, une niche plein cintre abrite une statuette de pierre ; le personnage - féminin - tient dans ses bras une tour crénelée : il s'agit de sainte Barbe, patronne de tout ce qui a rapport au feu ; elle est placée tout en haut du clocher pour le protéger (et, avec lui, protéger le village) contre la foudre.
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Ascain
Nombre d'églises du Pays Basque Nord comportent un retable de style baroque. Celui d'Ascain est particulièrement riche. Classé à l'inventaire des Monuments Historiques, il est daté du début XVIIIe siècle (c'est-à-dire un peu postérieur à celui de Saint-Jean-de-Luz). Les retables trouvent leur source dans le mouvement de Contre-Réforme qui a suivi la révolte de Luther. Luther niant la réalité de la présence eucharistique et réprouvant le culte (et donc la représentation) des saints, les artistes baroques vont développer une apologétique parfaitement contraire : tabernacle surdimensionné et richement décoré et statuaire très importante.
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Ascain
De chaque côté du tabernacle, saint Pierre (avec ses clés) et saint Paul (avec l'épée). A noter l'imposante surélévation de l'ensemble du chœur, ce qui permet d'installer la sacristie sous le chœur. Cette disposition originale se retrouve dans plusieurs églises basques (Saint-Jean-de-Luz, Ciboure, Sare, Cambo, etc.).
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Au-dessus du tabernacle, on trouve toujours, dans les retables baroques, la statue du patron ou de la patronne de l'église : ici, c'est la Vierge de l'Assomption, magnifiquement représentée (remarquez le drapé de la robe de la Vierge, ainsi que le naturel du mouvement ascendant de l'ensemble Vierge-anges). De chaque côté de la Vierge, saint Joseph (représenté avec sa règle de menuisier-charpentier) et saint Jean l'Evangéliste (tenant dans ses mains un papyrus et une plume).
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Tout en haut du retable, une colombe. Cette représentation est capitale pour comprendre la "théologie" des retables baroques. A Luther qui affirme que le culte des saints détourne le chrétien de sa relation à Dieu et doit donc être proscrit, les artistes baroques répondent, non seulement en sculptant nombre de statues, mais en plaçant toujours une représentation de Dieu au sommet de leurs retables (signifiant par là que le culte des saints n'a de sens que s'il conduit à Dieu) : ici, c'est la colombe, représentation traditionnelle de l'Esprit Saint.
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Ascain
On ne manquera pas d'admirer la beauté et l'élégance de la charpente en bois, au-dessus de l'avant-chœur, avec ses poutres incurvées ; peut-être l'œuvre de charpentiers de marine (particulièrement réputés à Ascain).
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Les deux retables latéraux sont sans doute légèrement postérieurs au retable principal. Celui de droite est particulièrement remarquable en raison de la présence d'une très belle statue de la Vierge, dorée à la feuille : il s'agit d'une copie (obtenue par un moulage opéré au XIXe siècle) d'une statue du début du XIVe siècle ; l'original est en marbre blanc et se trouvait au Monastère de Longchamp ; il est actuellement au Musée de Cluny, à Paris, et est répertorié sous le nom de "Vierge de Longchamp". Remarquez comment l'Enfant Jésus tient curieusement un oiseau dans sa main.
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Retable de gauche. Le Sacré-Coeur.
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Ce qui frappe le plus le visiteur non familiarisé avec les églises du Pays Basque, ce sont les imposantes galeries en bois qui courent le long des murs. Il s'agit là d'une véritable caractéristique architecturale des églises du Pays Basque Nord (à noter que l'on ne trouve pas ces galeries dans les églises du Pays Basque Sud). L'idée des galeries est née au XVIe siècle. Le Pays Basque connaissant, en pleine période de chrétienté, une importante expansion économique et démographique (due principalement à la pêche et à l'arrivée du maïs), les églises s'avèrent être trop petites. L'évêque de Bayonne (originaire d'Ascain) suggère alors aux curés d'agrandir leurs églises sans toucher aux murs : en ajoutant ces galeries qui permettent d'augmenter d'environ un tiers la capacité d'accueil de l'édifice. Ces galeries en forme de "U" s'élèvent sur 3 niveaux et disposent d'un accès direct sur l'extérieur. Au premier niveau, sous l'orgue, une tribune est réservée, pour les grandes fêtes, au conseil municipal ; elle est malicieusement appelée "astoteia", mot qui signifie "le lieu des ânes". Derrière cette tribune, une large porte donne accès à une salle située au-dessus du porche : c'est là que se tenait, sous l'Ancien Régime, l'assemblée des "maîtres de maison" (etxeko jaunak), lointain ancêtre de nos assemblées municipales.
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Suspendue à la voûte, une maquette de bateau rappelle le riche passé maritime d'Ascain (le village était réputé, en particulier, pour ses chantiers navals) : d'une longueur de 1 mètre 10, la maquette représente un trois mâts carré de commerce, avec faux sabords, tel qu'il naviguait au milieu du XIXe siècle.
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L'orgue (20 jeux - 1.200 tuyaux) est contemporain (installation en 1987).
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Vierge moderne.
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Près de la porte côté droit : statue de saint Jean-Baptiste.
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Près du baptistère : statue très naïve de saint Antoine de Padoue.
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Sous les galeries côté chaire, on peut admirer 3 statues remarquables : au centre, un Christ à la longue chevelure, en bois de noyer (XVIIe siècle).
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De chaque côté, deux statues représentent, l'une saint Mathieu (un enfant s'accroche à ses basques),
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l'autre saint Luc (avec, à ses pieds, le buste du bœuf). Ces 2 statues, qui, jusqu'en 1963, étaient à l'abandon dans le clocher, proviennent sans doute du retable original de l'église (celui en place au XVIIe siècle). On remarquera sans peine des restes de dorure sur chacune de ces deux statues.
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Près de l'autel latéral gauche : statue de saint François d'Assise.
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Un jeune homme est accusé d'avoir volé une poule et un coq par un aubergiste, mais Saint Jacques le sauve.
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Tombe de Chaban-Delmas.
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Fronton de pelote basque.
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Un ancien moulin sur la Nivelle.
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Le pont sur la Nivelle dit pont romain date du Ve siècle, monument historique inscrit par arrêté du 19 mai 1925. Il a été reconstruit à la suite de l'effondrement de la pile centrale provoqué par la crue de la Nivelle en décembre 1994.
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Cet ouvrage a joué un rôle important au cours de la retraite du général Soult et principalement pendant la bataille de La Nivelle. La première arche du pont fut alors détruite pour empêcher le passage de l'artillerie de Wellington. Ce pont a été reconstruit suite à l'effondrement de la pile centrale lors de la crue de décembre 1994.
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Pont construit vers 450, comprenant trois arches de grandeur inégale. Le pilier central est massif et présente un éperon en aval et en amont. L'éperon situé en amont est plus saillant afin de lutter contre le courant.
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Sur une des piles, une tête d'homme fut longtemps recouverte par les eaux. Elle sert à évaluer les crues.
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Sur une des piles, une tête d'homme fut longtemps recouverte par les eaux. Elle sert à évaluer les crues.
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Ce pont est précédé et suivi par une voie romaine entièrement pavée.
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Maison du Fou. Décorateur de cinéma, Ferdinand Pinney Earle (1878-1951) devint célèbre à Hollywood dans les années 1910 à 1920. En 1930, il vient s'installer à Ascain et construit une maison dont l'aspect rappelle les maisons en adobe bâties aux alentours de Santa-Fe vers 1920. Le plan en revolver est une originalité. Les élévations et le décor incorporent de nombreux éléments de style pueblo. Earle y reçut de nombreuses personnalités du spectacle et des arts.
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Arcangues
La mairie. Les volets de la maison basque, pleins en bois à barre, sont peints de la même couleur que les autres pièces de bois des façades ou de la charpente. Ils sont en général d’un rouge assez foncé dit rouge basque. On trouve également, à partir du XIXe siècle un bleu très foncé, sorte de bleu de Prusse, ou un vert « profond » également foncé, et parfois un gris très clair. À Arcangues, le marquis Pierre d’Arcangues a introduit un bleu plus clair, qui a conservé la dénomination de bleu d'Arcangues.
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Arcangues
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Arcangues
Tombeau des soldats français et anglais, morts durant la guerre de 1813.
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Arcangues
Église Saint-Jean-Baptiste.
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Église Saint-Jean-Baptiste.
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Église Saint-Jean-Baptiste.
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Arcangues
Tombeau de la famille d'Arcangues. Pierre d'Arcangues, né le 12 avril 1886 à Paris et décédé le 22 mai 1973 à Arcangues, 7e marquis, est poète et romancier et père de Guy d'Arcangues, 8e marquis d'Iranda, vicomte d'Ascubea et homme de lettres, auquel on doit en particulier Les Tambours de septembre.
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Arcangues
Le cimetière recèle une impressionnante collection de stèles discoïdales essentiellement postérieures au XVIe siècle, réunie par le marquis Pierre d'Arcangues, et regroupant des pièces provenant des trois provinces du Pays basque français.
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Tombe de Luis Mariano.
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La maison de l'ancien chanteur de renommée internationale Luis Mariano, maison Marionako Borda.
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Paysage Basque
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Paysage Basque
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Paysage Basque
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Déjeuner dans un abri sous roches.
Un "zikiro" (méchoui) est servi à la lueur des bougies.
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Sare
Stèle à la mémoire de Victor Ithurria, pelotari et qui se fit notamment remarquer par son habileté à lancer les grenades.
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Blason de Sare.
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L'église Saint-Martin. Sur le clocher se trouve l'inscription : « Oren guziek dute gizona kolpatzen azkenekoak du hobirat egortzen » (toutes les heures blessent l'homme, la dernière l'envoie au tombeau)
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L'église Saint-Martin. L’église de Sare est dédiée à saint Martin de Tours, patron d’une des quatre voies menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Construite au XIIe siècle, l’église Saint-Martin est agrandie au début du XVIIe siècle, puis son clocher est surélevé le siècle suivant. D’architecture labourdine, l’édifice est particulièrement massif tout comme sa tour-clocher qui s’élève sur près de 30 mètres de hauteur et comprend cinq niveaux. Le monument aux mortsest l'oeuvre du célèbre sculpteur Maxim e Real del Sarte, lui-même amputé de l’avant-bras gauche suite à une blessure près de Verdun le 29 janvier 1916. Ce monument a été inauguré le 11 septembre 1920. L'artiste aurait pris comme modèle pour le soldat gisant Charles Eudes, un de ses camarades mort au front. Ce groupe sculpté appelé « Je t’ai cherché » fut exposé au Salon des Artistes Français en 192
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L'église Saint-Martin. Le choeur abrite cinq autels à rétables, trois étages de galeries.
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L'église Saint-Martin. Le maître-autel en pierre de Beaumont léchée est surmonté d'un retable datant de 1843.
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L'église Saint-Martin. Tableau de l’Assomption de la Vierge attribué à Lebrun.
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L'église Saint-Martin. Le Couronnement de la Vierge. A droite, Moïse tenant les Tables de la Loi.
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L'église Saint-Martin. La voûte surbaissée, en lattis de bois,a été repeinte vers 1877 d'illusions gothiques.
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L'église Saint-Martin. Jusqu'en 1804, les corps étaient inhumés dans l'église où l'on trouve des dalles avec l'inscription du nom de la maison ainsi que le siège ("Jarlekua") de la maitresse de maison sur la pierre tombale de la famille.
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L'église Saint-Martin. La chaire à prêcher, avec cuve sur culot, panneau d'applique dorsal et abat-voix en bois sculpté, doré et peint est adossée et suspendue. Elle date du XVIIIe siècle. Les panneaux de la cuve ainsi que le panneau ornant le dorsal sont peints. Celui du milieu représente le Christ avec une auréole à croix grecque.
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L'église Saint-Martin.
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L'église Saint-Martin. Trois étages de tribunes à balustres de bois tourné et décorées des motifs régionaux habituels s'accrochent sur trois côtés.
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L'église Saint-Martin. L’orgue de l’église est l’œuvre de Gaston Maille (1904)
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L'église Saint-Martin. Les fonts baptismaux.
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L'église Saint-Martin. Le chemin de croix.
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L'église Saint-Martin. Saint Pierre.
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Oratoire de Saint Isidore. Au-dessus de l'autel de cet oratoire une image du Saint né et mort à Madrid vers 1080. Ce simple laboureur fut vénéré par tout un peuple qui lui attribuait des miracles et demandait son intercession. Patron des laboureurs, il est également le saint patron de Madrid. Les oratoires de Sare, au nombre de 14, furent édifiés, selon la tradition, à la suite de vœux formulés par des marins en péril.
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Oratoire dédié à Saint Pierre.
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Au-dessus de l'autel garni de fleurs artificielles est accroché un cadre en forme de retable qui contient l'image du Saint tenant d'une mainles Évangiles et de l'autre les clés du royaume de Dieu.
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Cet oratoire est situé au pied d'une superbe chaussée pavée un escalier qui relie le pour au quartier Lahenbiscay.
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Les armoiries ont été offertes par Louis XIV.
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Maison avec un lorio (préau du XVIIIe).
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La tour-porche carrée du XVIIe siècle à quatre étages reçut en 1823 son clocher octogonal couvert d'ardoises. Sa pierre grise tranche avec le bel appareil ocre de la nef et de l'abside romanes. Des moellons plus grossiers témoignent, à la partie supérieure, de travaux d'aménagement, de réfection et de mise en place de fenêtres et d'un toit de tuiles (sans doute en remplacement d'un étage moyenâgeux en bois). En effet, l'origine de ce bâtiment - dont la très probable vocation défensive est attestée par les murs épais de plus d' 1,30 m et les archères - remonte certainement au XIIe siècle et à la bastide (Karrika) conçue par Juan Perez de Baztan.
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Escalier sous clocher qui distribue les tribunes.
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L'église a une nef unique sans transept ni piliers, avec tout autour des galeries. Le retable est de style classique. Alors que les chapiteaux des églises romanes constituent une illustration éducative de la Bible, les retables consécutifs à la réforme catholique du Concile de Trente (1537-1563) cherchent à mettre en valeur l'Eucharistie, et donc le tabernacle qui contient les hosties consacrées. Aussi est-il normal que la majesté de cette partie de l'église toit rehaussée par des dorures, des colonnes, des niches, des statues ainsi que par le rappel du blé et de la vigne.
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L'autel est du XVIIe siècle, avec sur la face avant, une belle sculpture de pélican, qui est l'emblème même du Christ eucharistique ; en effet, la légende romaine, reprise dans les bestiaires du Moyen Age, affirme que le pélican se sacrifie pour sauver ses petits en s'ouvrant les entrailles avec son énorme bec et en les abreuvant de son sang.
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A partir d'une base peinte en trompe-l'œil imitant le marbre, le retable monumental - qui présente un harmonieux accord d'or et de rouge grenat - s'étage sur trois registres : - le premier est centré sur le tabernacle surmonté d'un crucifix et de deux anges en adoration. Rythmé par des colonnes striées en spirale aux chapiteaux corinthiens, ce registre constitue un résumé du rayonnement du christianisme : Saint Jean Baptiste, le « Précurseur » modèle de l'Espérance, a annoncé et préparé la venue du Christ ; Saint Paul a joué au Ier siècle un rôle essentiel dans l'expansion de la Parole de Dieu ; Saint Pierre, sur lequel le Christ a bâti son Eglise, tient les clés du salut des âmes et du Paradis ; enfin, Saint Martin de Tours, propagateur du christianisme en Gaule et Père de l'Eglise, symbolise la Charité, lui qui à Amiens au IVe siècle a donné à un pauvre la moitié de son manteau — la part personnelle de son équipement d'officier romain achetée de ses deniers, l'autre appartenant à l'Etat - le second niveau, scandé par des colonnes cannelées aux chapiteaux composites s'organise autour de la Vierge qui, en extase, monte au ciel soutenue par des angelots. La statue de Saint Blaise de Sébaste, évêque et martyr du IVe siècle, évoque soit le patron des bergers, soit plutôt le protecteurs des pèlerins et voyageurs pauvres. Quant à Sainte Catherine d'Alexandrie, accompagnée de la roue dentée et de la palme du martyr (IVe siècle), elle est le symbole du mariage mystique de l'âme assoiffée de Dieu mais aussi celui de l'intelligence capable de stupéfier et convertir les plus savants philosophes.
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- le troisième registre, aux colonnes torsadées (salomoniques) est entièrement réservé à Dieu le Pére qui tient le globe terrestre et bénit toute sa Création en venant à sa rencontre. Le plafond de l'abside de type roman en cul-de-four, avec son bleu profond et ses fleurs de lys, symbolise le Ciel ainsi que la majesté et la gloire de Dieu.
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Toujours dans le chœur, les statues sont celles de la Vierge Marie, écrasant le serpent du Mal,
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et de Saint Joseph, modèle de chasteté, qui tient le lys.
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Les deux vitraux de la fin du XIXe siècle représentent la Vierge des Sept Douleurs
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et Jésus désignant son Cœur Sacré.
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Petite niche contenant un Enfant Jésus de Prague qui est l'objet d'une ferveur populaire. Au-dessus, le chemin de croix.
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Donation du Rosaire.
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Monument aux morts.
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Souvenir historique des batailles de 1813. Soldats français.
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Souvenir historique des batailles de 1813. Soldats français.
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Souvenir historique des batailles de 1813. Soldats anglais.
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Souvenir historique des batailles de 1813.
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Souvenir historique des batailles de 1813.
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Souvenir historique des batailles de 1813.
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Souvenir historique des batailles de 1813.
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