Le narthex, les arcades de séparation, les trois absides ont été élevés entre le VIIe et XIe s.
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Le Baptistère Saint Jean.
Le narthex, les arcades de séparation, les trois absides ont été élevés entre le VIIe et XIe s.
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Le Baptistère Saint Jean.
Au XIIIe siècle, de nouvelles peintures murales dans l'abside viennent illustrer la vie de Saint-Jean-Baptiste et représentent Le Christ en gloire..
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Le Baptistère Saint Jean.
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Le Baptistère Saint Jean.
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Le Baptistère Saint Jean.
Des sarcophages du haut Moyen Age proviennent de Poitiers et de sa région.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
Le Siège de Poitiers de 1569 par l'Amiral de Coligny, par François Nautré (1619). Vue de Poitiers, des Dunes.
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Le Musée Sainte Croix.
Le célèbre monstre en bois dit la Grand'Goule,. Ce monstre légendaire – figure hybride de reptile aux pattes d’aigle et aux ailes de chauve-souris – est associé au souvenir de Sainte-Radegonde, fondatrice de l’abbaye Sainte-Croix au VIe siècle.
On raconte que plusieurs moniales, chargées de se rendre dans les caves du monastère, n’en sont pas remontées…
On prétend également que ces caves communiquent avec des galeries souterraines, hantées par la présence d’un terrifiant dragon qui s’y engouffre depuis le lit du Clain tout proche.
Sur la prière de ses sœurs, sainte Radegonde va affronter la féroce créature, munie d’armes dont la nature varie selon les différentes versions du conte : un pain béni, la relique de la Sainte Croix (détenue par l’abbaye), sa crosse d’abbesse (qu’elle ne possédait pourtant pas, étant simple religieuse dans son propre monastère), ou encore son seul courage ! Néanmoins, la Grand’Goule est vaincue.
Il sera de coutume de célébrer cet épisode, illustrant les bienfaits dont Sainte-Radegonde avait comblé la cité, au cours de processions dans le quartier Sainte-Croix. A partir du XVIIe siècle, une statue de bois à l’effigie du monstre caracolera en tête de ces processions, poursuivie par les habitants qui jettent dans sa gueule menaçante de petits biscuits secs appelés casse-museaux, conjurant le danger d’une insolite recommandation : « Bonne sainte vermine, priez pour nous ! »
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Le Musée Sainte Croix.
Sainte Radegonde.
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Le Musée Sainte Croix.
Polyptique italien du début du XIV du peintre vénitien Veneziano. Ces fragments ont dues appartenir à un retable. A gauche : Saint François d'Assise, Sainte Marguerite d'Antioche ou Sainte Claire et en dessous Saint Nicolas de Bari, un morceau de la prédelle. Au milieu, en haut : 4 saints Apôtres ; en dessous : Saint apôtre, Saint Barthélémy, Saint Paul, Saint Philippe. Ces apôtres devaient regarder vers un sujet central. A droite : Saint Fantin, Saint Jérôme et en dessous Saint Léonard.
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Le Musée Sainte Croix.
La Niobide blessée de Camille Claudel.
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Le Musée Sainte Croix.
La Valse, de Camille Claudel.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
Les Nymphes de la prairie de Maillol.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
Vestiges de l'ancien château de Bonivay (?), construit pour un amiral de François Ier et qui ne fut jamais terminé .
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Le Musée Sainte Croix.
Vestiges de l'ancien château de Bonivay (?), construit pour un amiral de François Ier et qui ne fut jamais terminé .
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Le Musée Sainte Croix.
Vestiges de l'ancien château de Bonivay (?), construit pour un amiral de François Ier et qui ne fut jamais terminé .
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Le Musée Sainte Croix.
Vestiges de l'ancien château de Bonivay (?), construit pour un amiral de François Ier et qui ne fut jamais terminé .
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Le Musée Sainte Croix.
Statue d'Athéna en marbre. Ier siècle. Elle est vêtue de l'égide ornée du "gogonéton" (tête de Méduse ou Gorgone, vaincue par Persée aidé de Minerve). Il s'agit d'une copie du V ème av J.C.
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Le Musée Sainte Croix.
Le gorgonéton.
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Le Musée Sainte Croix.
Une autre Athéna.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
Voussure ornéd de griffons, de l'église Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
Chapiteaux de Saint Hilaire-le-Grand. La dispute : deux larrons se tirent la barbiche, serpes tirées, tandis que leurs femmes tentent de les séparer
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Le Musée Sainte Croix.
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Le Musée Sainte Croix.
Sur le coté, la réconciliation.
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Notre-Dame-la-Grande.
Cette église est une des plus belles créations de l’art roman. Sculpté et peint au XIIe siècle, ce chef d'oeuvre se lit comme un livre d'images.
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Notre-Dame-la-Grande.
Au dessus de la porte, on peut contempler la célèbre frise illustrant les épisodes de la Bible : le péché originel, la naissance de Jésus, les scènes de l’Annonciation et de la Visitation. Au second niveau, les arcades abritent les douze apôtres encadrés de deux prélats. Enfin au sommet, apparaît le Christ. Des traces de pigments ont prouvé qu’à l’époque médiévale, la façade était peinte.
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Notre-Dame-la-Grande.
Au-dessus de l'arcature aveugle de gauche, on touve les personnages de l'Ancien Testament, de gauche à droite : La Tentation, Adam et Eve, et l'arbre autour duquel s'enroule le serpent
; Le roi Nabuchodonosor, roi de Babylone ; Quatre prophètes, Daniel, Jérémie, lsaïe et Moïse annonçant un sauveur ; L'Annonciation, l'archange Gabriel annonce à Marie qu'elle sera la mère du Sauveur. La robe de la Vierge conserve quelques traces de bleu, vestige de la polychromie de la façade ; Jessé et son arbre, ancêtre de David ; Sans doute David jouant de la harpe.
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Notre-Dame-la-Grande.
Tout en haut de l'édifice, dans une mandorle, apparaît un Christ en gloire.
Les têtes des sculptures ont été mutilées lors des guerres de religion.
Les voussures des arcades, les chapiteaux, les modillons et les corniches sont animés par le grouillement d'animaux fantastiques et le foisonnement de motifs végétaux.
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Notre-Dame-la-Grande.
Au-dessus de l'arcature aveugle de droite on trouve les personnages du Nouveau Testament, de gauche à droite : La Visitation, la Vierge Marie visite sa cousine Élisabeth
; La Nativité, la Vierge Marie allongée, l'Enfant Jésus, le boeuf et l'âne
; Le bain de l'enfant Jésus
; Saint Joseph
; Deux personnages qui s'embrassent ou luttent.
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Notre-Dame-la-Grande.
De part et d'autre du vitrail central, quatorze arcades abritent les douze apôtres et deux évêques (en haut, aux extrémités, sans doute saint Hilaire et saint Martin).
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Notre-Dame-la-Grande.
De part et d'autre du vitrail central, quatorze arcades abritent les douze apôtres et deux évêques (en haut, aux extrémités).
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Notre-Dame-la-Grande.
Des éléphants..
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Notre-Dame-la-Grande.
Le Christ est entouré des quatre symboles des Evangélistes, de la lune et du soleil.
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Notre-Dame-la-Grande.
La façade sud comporte deux porches : l'un roman (XI), l'autre gothique (XV).
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Notre-Dame-la-Grande.
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Notre-Dame-la-Grande.
Les tourelles en pomme de pin sont caractéristiques du style poitevin.
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Notre-Dame-la-Grande.
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Notre-Dame-la-Grande.
La nef, dépourvue de fenêtres, est couverte d'un berceau en plein cintre.
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Notre-Dame-la-Grande.
Le choeur, surélevé par une crypte, se termine par un magnifique rond-point.
Sa voûte est recouverte de peintures romanes.
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Notre-Dame-la-Grande.
Le choeur est entouré d'un déambulatoire et d'absidioles éclairées par des verrières du XIX.
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Notre-Dame-la-Grande.
Notre-Dame des Clés représente une vierge à l'Enfant tenant un lys dans sa main gauche et une tige où sont accrochées deux grosses clés dans sa main droite.
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Notre-Dame-la-Grande.
Une belle histoire entoure cette statue du XVIIème siècle qui trône dans le choeur de l’église. En l’an 1200, alors que Poitiers est assiégée par les anglais, le clerc du maire promet à l’ennemi, moyennant une importante somme d’argent, de lui livrer la ville le jour de Pâques. Le moment venu, le traître veut s’emparer des clés que le maire plaçait toujours près de son lit. Mais les clés ont disparu. Au réveil, le maire constate lui-même cette disparition et se doute d’une trahison. Il envoie alors des hommes en armes aux portes de la ville et se rend prier à Notre-Dame. Là, il trouve les clés dans les mains de la statue de la Vierge. Pendant ce temps, sous les remparts, effrayés par les apparitions de la Vierge, de saint Hilaire et de sainte Radegonde, les Anglais s’entretuent et s’enfuient. Les Poitevins ont célébré jusqu’en 1887 cette protection divine par une procession solennelle.
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Notre-Dame-la-Grande.
Des chapiteaux sculptés de feuillages ou d'animaux surmontent les colonnes.
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Notre-Dame-la-Grande.
En haut, le couronnement de la Vierge.
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Notre-Dame-la-Grande.
La chapelle de Torsay est dédiée à Saint-Louis, avec un vitrail figurant le roi sous son chêne (1903).
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Notre-Dame-la-Grande.
La chapelle de Torsay.
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Notre-Dame-la-Grande.
La chapelle de Torsay.
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Dans l'une des chapelles à droite du chœur, la chapelle du Fou (ou de Sainte-Anne), un remarquable groupe sculpté du 16°s, en pierre polychrome, représente la Mise au tombeau.
Yvon du Fou était sénéchal du Poitou.
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Notre-Dame-la-Grande.
De gauche à droite : Joseph d'Arimathie, une sainte femme., saint Jean et la Vierge, une saint femme (Marie-Madeleine ?), Nicodème.
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Tout le côté nord de l'église, ainsi que son chevet, présentent une file de chapelles des 15° et 16°s, édifiées dans le style architectural de leur époque : on peut ainsi admirer de très belles voûtes gothiques de la fin du Moyen Age...
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Notre-Dame-la-Grande.
...ou d'autres, d'époque Renaissance, ornées de caissons, comme la chapelle Fumé (1515).
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Les bas-cotés sont étroits et voûtés d'arêtes.
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Les décors sur les voûtes de la nef et les fûts des colonnes datent du XIXe siècle.
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Près du premier pilier de la nef, un groupe sculpté représente la Sainte Parenté (XVIe s). (Sainte Anne, son petit fils Jésus, ses deux filles, Marie Jacobé avec son fils Jacques le mineur, et Marie Salomé avec ses fils Jacques le majeur et saint Jean l'évangéliste ?).
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Notre-Dame-la-Grande.
Cet orgue contemporain a été inauguré en septembre 1996. Réalisé par Yves Sévère, il est notamment adapté à l’interprétation de la musique baroque allemande telle celle de J.S Bach.