Eglises de Montierneuf, de Saint Porchaire, de Sainte Radegonde, de Saint-Hilaire-le-Grand, Parc de Blossac.
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Montierneuf.
Presque à la confluence du Clain et de la Boivre, Guy-Geoffroy-Guillaume VIII, 6e comte de Poitou et 8e duc d’Aquitaine, pour expier ses fautes (après avoir répudié sa deuxième femme, il épousa Audéarde qui était sa cousine au quatrième degré, ce qu'interdisait le droit ecclésiastique du temps), fonde, en 1069, une abbaye autour de laquelle va se développer un nouveau quartier. Harmonieusement proportionnée, l’église bénéficie d’une ampleur et d’une régularité de plan sans précédent dans les autres églises de la ville.
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Montierneuf.
La phase active de construction se situe entre 1070 et 1087. La consécration par le pape Urbain II intervient en janvier 1096. Le chantier de ce monastère, dit le « Moutier neuf » (le monastère neuf), va bénéficier des avantages d’une construction sur un terrain vierge, ainsi que d’une très grande unité architecturale, certainement redevable de la rapidité d’exécution.
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Montierneuf.
Le portailest à colonnes corinthiennes, avec un fronton triangulaire.
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Le portailest à colonnes corinthiennes, avec un fronton triangulaire.
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Montierneuf.
Motifs romans de la façace primitive. Le monument va subir au cours des siècles de nombreuses dégradations et des mutilations qui en amoindriront la grandeur : incendie par les troupes protestantes, en 1562, effondrement des voûtes de la nef et du bras sud du transept. Il connaît au XVIIe siècle d’importantes restaurations, dont la plus évidente est l’édification d’une nouvelle façade, consécutive au raccourcissement de la nef. A la fin du XVIIe siècle, le déclin de l'abbaye va s'amplifier jusqu'au départ des derniers religieux en 1787.
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Montierneuf.
Le mausolée du comte-duc Guy-Geoffroy-Guillaume, primitivement situé à l’entrée de la nef et détruit à deux reprises, est reconstruit en 1822, mais déplacé à l’entrée du collatéral sud.
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L'intérieur présente une vaste nef (environ 80 m de long) à trois vaisseaux, un transept à deux absides et un large déambulatoire avec trois chapelles rayonnantes.
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Un collatéral.
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Dans le choeur, les nervures retombent sur des consoles ornées de feuillages.
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L’un des éléments les plus surprenants de cet édifice ne doit pourtant rien à son origine romane : vers la fin du XIIIe siècle, le chevet est surhaussé d’une abside gothique soutenue par des arcs-boutants, qui inonde le chœur d’un véritable puits de clarté.
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Le chevet de l'église frappe par la majesté de ses parties hautes de style gothique flamboyant. Celles-ci sont épaulées par des arcs-boutants et reposent sur une abside romane de la fin du XIe siècle.
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Les murs ont gardé leur cachet roman.
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Dans l'église de Montierneuf, derrière le grand autel, au-dessus de l'autel érigé dans l'absidiole centrale, trône une belle statue de la Sainte Vierge avec le petit Jésus, assis sur un de ses bras : c'est Notre-Dame de Bon Secours, jadis elle s'appelait Notre-Dame du Pilori.
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Dans l'absidiole du croisillon sud, se trouvent de grandes statues du XIXe, en pierre polychrome figurant St Guillaume, saint Maurice (patron des militaires) et saint Louis (patron des hôpitaux).
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Montierneuf.
Dans l'absidiole nord, à gauche, les statues de St Isidore (patron des laboureurs) et St Vincent (patron des vignerons). A droite, celles de St Charles Boromée et St Benoit. L’autel fut consacre le 11 des calendes de février en l'honneur des Saint Apôtres SYMON et JOUE et de tous les Apôtres et du martyr VINCENT et y furent déposées les reliques des Saints ABONDE prêtre et martyr, du prêtre MAXIME et du diacre ARCHELAÜS.
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Saint Porchaire.
PORCHAIRE était l'Abbé de la communauté de Saint-Hilaire, à la fin du VIe siècle. Il fut enterré dans la petite église Saint-Sauveur située entre les rues actuelles Gambetta, de la Marne et Saint Porchaire. Sa tombe devint rapidement un lieu vénéré. A la fin du IXe siècle, après les grandes invasions normandes, TEOTADUS, trésorier du chapitre de Saint-hilaire, fit construire un nouveau sanctuaire tout près de là, sous le vocable de Saint-Porchaire. Les restes du saint, logés dans un sarcophage de pierre, furent transportés dans une crypte. En 1951, le sarcophage, sorti de la crypte, a été placé au centre du chœur de l'église actuelle. De cet édifice carolingien restent la crypte, actuellement inaccessible, et le mur occidental sur lequel s'appuie le clocher-porche.
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Saint Porchaire.
Dans le dernier tiers du XIe siècle est construit le clocher-porche: rez-de-chaussée voûté d'un berceau en plein cintre, et deux étages, surmontés d'une toiture en pavillon, en place de la flèche initialement prévue. En le détruire pour élargir la rue. Il fallut une vigoureuse campagne pour le sauver et le faire classer au titre des Monuments Historiques. Il est à trois niveaux : porche, salle d'étage, peut être à fonction liturgique, et salle des cloches. Ce clocher est aujourd'hui un repère familier de la rue la plus fréquentée de la ville.
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Saint Porchaire.
Au niveau intermédiaire, les arcades alternent avec des contreforts, qui se transforment, au niveau supérieur en demi-colonnes.
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Saint Porchaire.
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Saint Porchaire.
Les chapiteaux de l'entrée représentent des animaux : deux oiseaux qui boivent dans une coupe et deux lions gardiens.
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Saint Porchaire.
Les deux lions.
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Saint Porchaire.
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Saint Porchaire.
Sur ce chapiteau est représenté le prophète Daniel jeté dans la fosse aux lions, mais protégé par la main de Dieu.
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Saint Porchaire.
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Saint Porchaire.
La nouvelle église, terminée en 1520, est une construction moins longue mais plus large que l'ancienne église. Elle forme une grande salle rectangulaire, partagée en deux nefs égales par trois colonnes. Celles-ci n'ont pas de chapiteaux; les nervures partent directement des tambours vers les voûtes, ce qui donne un très bel effet. Ce plan à deux nefs a été inauguré par les Frères Prêcheurs à Saint-Jacques de Toulouse au XIIIe siècle. A Saint-Porchaire, l'entrée ouvre sur la nef nord réservée aux paroissiens, la nef sud étant réservée aux moines du prieuré.
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Saint Porchaire.
Les vitraux du chœur, dans l'esprit du XVIe siècle, ont été posés au début du XXe siècle.
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Saint Porchaire.
Les vitraux historiés du chevet représentent l'apparition du Christ à Marie-Madeleine et la Nativité. Réalisés en 1912-1913 par Henri Carot, ils manifestent le souci d'harmoniser décor et architecture intérieurs de l'église: les scènes sont traitées dans le style de la Renaissance.
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Saint Porchaire.
Dans la nef, la table en marbre rouge du grand autel provient de l'abbaye bénédictine de Saint-Cyprien (disparue). Le retable en bois sculpté et peint, de 1680, provient de la petite église rurale de l'Hommaizé. le retable baroque (1680). Il se distingue par une riche ornementation de volutes et courbes, avec le Christ sur la porte du tabernacle encadré des quatre évangélistes et de deux ange. Il offre toujours un magnifique arrière-plan à l'autel actuel, installé pour la célébration face au peuple, orné des statues des quatre évangélistes.
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Saint Porchaire.
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Saint Porchaire.
Saint PORCHAIRE fut un moine poitevin, contemporain de Sainte RADEGONDE. Étant devenu, vers 589, Abbé du collège des chanoines de Saint Hilaire, il tenta, durant son abbatiat, de calmer la révolte des moniales de l'Abbaye de Sainte-Croix, après la mort de sa fondatrice. Âgée, il renonça à sa charge, et se retira pour vivre en ermite, dans un petit enclos entourant une chapelle dédiée au Saint-Sauveur. Il y mourut vers 600. Le reliquaire en pierre de saint Porchaire, restauré, est en forme de sarcophage. Il a probablement été réalisé à l'occasion de la translation des reliques dans la nouvelle église au Xe siècle. Sur le couvercle du sarcophage de St Porchaire, on pourra lire : «In hoc tumulo requiescit scs Porcharius » (Dans ce tombeau repose Saint Porchaire).
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Saint Porchaire.
Au bout de la nef sud, le petit autel du XVIIIe siècle est de qualité. On admirera la très belle statue de bois polychromé qui le domine. Cette Vierge à l'Enfant provient de la proche église Saint-Didier (disparue) où elle ornait la chapelle de la Confrérie de la bonne Mort : cette confrérie est née en 1380 pour assurer le culte à Notre-Dame de le la Bonne Mort dont la statue se trouve dans l’église Saint Didier. Ses membres exerceront l'hospitalité envers les pauvres, procureront la paix entre les ennemis, accompagneront à la sépulturesc les corps des défunts, etc.. A gauche, la satue de saint Potrchaire, à droite, celle de saint Hilaire.
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Saint Porchaire.
Des fresques de l'époque, représentant le Christ et les Apôtres, ont été redécouvertes en 1951 ; elles sont aujourd'hui presque illisibles.
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Saint Porchaire.
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Saint Porchaire.
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Saint Porchaire.
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Sainte Radegonde.
Construite au VIe siècle par la reine des Francs Radegonde sous le vocable de Sainte-Marie-hors-les-murs, l'église est renommée Sainte-Radegonde à la mort de sa fondatrice en 587 après que son corps y soit inhumé. On en admirera, de l'extérieur, l'élégant chevet qui traduit clairement le plan : une crypte éclairée de jours, un niveau de trois absidioles rayonnantes, une abside à sept pans éclairée de cinq larges baies, le mur oriental de la nef surmonté d'une flèche (postérieure).
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Sainte Radegonde.
Le clocher-porche est roman, à l'exception de la porte réaménagée au XVe siècle : porche, salle haute, étage de cloches, avec passage du carré à l'octogone, toit à pans coupés.
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Sainte Radegonde.
Rien ne subsiste des premiers états du bâtiment. L'édifice se présente actuellement avec des parties romanes (le chœur, et le Clocher-porche), réunies par une nef gothique. L'Eglise Sainte-Radegonde a été embellie à l'âge du style flamboyant (fin XVème). La façade occidentale de style gothique flamboyant. a été alors enrichie par des niches, socles, et dais, destinés à recevoir des statues, disparues depuis (les statues actuelles sont modernes).
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Sainte Radegonde.
Une gargouille en forme de démon femelle.
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Sainte Radegonde.
Une gargouille en forme de démon mâle.
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Sainte Radegonde.
Statues des patrons de Poitiers : Notre-Dame, sainte Radegonde et ses deux compagnes, Agnes et Disciole, et saint Hilaire.
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Sainte Radegonde.
Sainte Agnès, sainte Radegonde, la Vierge.
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Sainte Radegonde.
Saint Hilaie, sainte Disciole.
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Sainte Radegonde.
Dans le porche on admirera deux beaux bas-reliefs romans, représentant l'un le Christ, l'autre une figure de femme, où l'on a vu la Vierge, sainte Radegonde, ou encore la personnification de l'Église.
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Sainte Radegonde.
Le Christ en majesté.
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Sainte Radegonde.
La nef a été entièrement reconstruite au XIIIe siècle, dans le style gothique plantagenêt ou angevin. Elle n'a pas de collatéral, est composée de quatre grandes travées carrées dont les murs et le couvrement rappellent la cathédrale voisine, et dont les caractères de détail (les fenêtres surtout) révèlent la lenteur d'une construction qui commença à la fin du XII ème et dura probablement pendant tout le XIII ème.
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Sainte Radegonde.
Les murs sont renforcés d'une arcature portant une coursière de circulation et les voûtes, à liernes, sont composées de nervures diagonales, transversales et longitudinales. Elles sont bombées et elles retombent sur des faisceaux de colonnes et de colonnettes engagées.
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Sainte Radegonde.
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Sainte Radegonde.
Terminé avant la consécration de 1099, et probablement élevé en deux campagnes (avant et après un incendie survenu en 1083), le monument du XI ème siècle possède, comme de nombreuses églises contemporaines de Poitiers, un chœur à déambulatoire et chapelles rayonnantes adapté à la circulation de pèlerins. Un plan polygonal assez rare, ainsi qu'un éclairage ménagé dans la partie supérieure, lui donnent rigueur et élégance, qualités particulièrement visibles à l'extérieur, c'est à dire au chevet. Dans cette partie orientale, les peintures ne sont que des restitutions.
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Sainte Radegonde.
Les peintures murales gothiques -trop restaurées au XIXe siècle - s'organisent autour du buste du Christ. Les vitraux du XIX° siècle ont en leur centre la croix, qu'entourent Radegonde et son ami et conseiller saint Fortunat qui sera évêque de Poitiers.
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Sainte Radegonde.
Les scènes sont réparties en deux registres superposés, l'un céleste et l'autre terrestre. Sont figurées, la Vierge, Sainte Radegonde reconnaissable à sa robe rouge et à son bâton pastoral, ses compagnes de l'abbaye Sainte-Croix et les saints qui ont compté dans sa vie. Au-dessus, un Christ en Majesté trône. La partie haute des murs du rond-point montre un cycle hagiographique dédié à sainte Radegonde, de part et d'autre d'un Christ en buste.
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Sainte Radegonde.
Au haut du chœur, la Vraie Croix, associée à l'Agneau mystique, occupe la baie axiale, entourée par les grandes figures de Radegonde et de son ami et conseiller Saint Fortunat qui sera évêque de Poitiers.
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Sainte Radegonde.
Sainte Disciole, sainte Agnès et sainte Radegonde. Le Christ en majesté est entouré de ssymboles des quatre évangélistes : l'Homme pour saintyMatthieu, le Lion pour saint Marc.
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Sainte Radegonde.
Saint Fortunat, saint Grégoire et saint Médard. Le Taureau pour saint Luc, l'Aigle pour saint Jean.
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Sainte Radegonde.
Dans les chapiteaux du rond-point, on peut voir des personnages assaillis par des fauves, Daniel dans la fosse aux lions et la Tentation d'Adam et Eve.
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Sainte Radegonde.
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Sainte Radegonde.
Les chapiteaux apparaissent caractéristiques de ce début de l'époque romane, qui vit l'éclosion de la sculpture monumentale. Des végétaux dérivés du corinthien antique prédominent dans les petits chapiteaux des absidioles et du déambulatoire, tandis que les gros chapiteaux du rond-point de colonnes s'enrichissent de rangées de feuilles superposées, de lions dressés (motif ornemental qui souligne de façon heureuse la verticalité de l'architecture), et de quelques scènes à message chrétien (Daniel entre les lions...).
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Sainte Radegonde.
Daniel léché par les lions.
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Sainte Radegonde.
Daniel exposé aux lions et sauvé par l'intervention divine.
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Sainte Radegonde.
Animaux fabuleux.
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Sainte Radegonde.
Les murs latéraux sont renforcés par des arcatures basse et une superbe suite d'une centaine de modillons supporte la coursière de circulation. A gauche, la Cène (XVIIe siècle).
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Sainte Radegonde.
Les voûtes très bombées sont articulées par des nervures d'un profil simple et élégant, ogives (en diagonale) et liernes (transversales et longitudinales). La technique de construction, ainsi que l'effet produit, font ranger cette oeuvre dans le style gothique "angevin", encore appelé "Plantagenêt".
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Sainte Radegonde.
Il reste encore de beaux vitraux de la seconde moitié du XIIIe siècle et du XIVe siècle, vie et miracles de Radegonde dans les baies jumelles des deux premières travées nord. deux baies jumelées de style roman. Ici, c’est l’histoire de Sainte-Radegonde qui est exposée. Il est intéressant de voir qu’elle porte un vêtement bleu à fleur de lys, rappelant alors son statut de reine de France.
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Sainte Radegonde.
Il reste encore de beaux vitraux de la seconde moitié du XIIIe siècle et du XIVe siècle, vie et miracles de Radegonde dans les baies jumelles des deux premières travées nord. deux baies jumelées de style roman. Ici, c’est l’histoire de Sainte-Radegonde qui est exposée. Il est intéressant de voir qu’elle porte un vêtement bleu à fleur de lys, rappelant alors son statut de reine de France. A gauche, de bas en haut : Exorcisme d'une possédée. La guérison de l'aveugle Bella (XIIIe siècle). Sainte Radegonde met en fuite les démons (XIIIe siècle). Enfant présenté à la Sainte. Sainte Radegonde consacrée par Saint Médard. Sainte Radegonde lave les pieds des pauvres (XIIIe siècle). Guérison d'Arcimia dans le bain (XIIIe siècle). Sainte Radegonde met en fuite un oiseau funèbre. A droite : Le tonneau intarissable. Guérison de l'abbé Abbon. Remerciements des prisonniers miraculeusement délivrés. Guérison de la jeune Goda. Des pécheurs sauvés de la tempête (XIIIe siècle). Apparition de la Vierge à la Sainte. Résurrection d'une morte par Sainte Radegonde (XIIIe siècle). Enfant mort-né ressuscité par le cilice de la Sainte.
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Rosace d’Alphonse de Poitiers, frère de Saint-Louis, en 1269. Elle illustre un Christ en majesté, un jugement dernier et les apôtres. En dessous de la rosace, dans les baies jumelées se trouvent quelques épisodes de la naissance et de l’enfance du Christ : nativité, présentation au temple ou encore fuite en Egypte..
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Les vitraux sont en partie authentiques, bien que leurs médaillons aient été complétés et remontés à diverses reprises dans un certain désordre, et qu'il soit devenu difficile de reconnaître la vie de sainte Radegonde, le Jugement dernier et l'Enfance du Christ (panneaux du nord, à gauche en entrant). Les maîtres verriers ont utilisé ici l'alternance entre la couleur et la grisaille (verres incolores non historiés), ce qui permet d'éclairer davantage et constitue une nouvelle tendance de l'époque (vers 1270 ?).
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Dans le mur sud un enfeu abrite le groupe sculpté du Pas-de-Dieu (XVIIe siècle) le Christ apparaît à Radegonde un an avant sa mort et lui annonce qu'il l'accueillera bientôt au Paradis, laissant, de son passage, la trace de son pied dans la pierre.
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Dans la nef les tableaux du XVIIe siècle sont consacrés à l'Annonciation, l'Adoration des bergers, la Présentation de l'Enfant au Temple,...
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