La Ville.
Accueil
Contact
1
2
Précédent
Suivant
L’amphithéâtre de Poitiers.
L'une des plus grandes arènes de Gaule. L’amphithéâtre de Poitiers est l'un des plus vastes monuments de ce type construit en Gaule' romaine. Il est attribué au règne de l'empereur Claude (41-54 après J.C,), Le monument mesurait 155,80 mètres dans son grand axe et il pouvait accueillir plus de 30000 spectateurs. l'arène où se déroulaient les spectacles était entourée de gradins.
1
L’amphithéâtre de Poitiers.
Les spectateurs pouvaient rejoindre leur place en empruntant des couloirs, puis. des promenoirs annulaires. Deux.couloirs axiaux permettaient de gagner l'arène. L'amphithéâtre était, selon la règle, implanté en marge de la ville antique. Ce vaste édifice public tient une place importante dans l'urbanisme. Il vient clore l'axe majeur de la cité antique, jalonné par les grands thermes de Saint-Germain et probablement par le forum, place centrale de la ville.
2
3
4
M
Autour de Notre-Dame-la-Grande.
Maisons à colombage.
5
M
Autour de Notre-Dame-la-Grande.
Maisons à colombage.
6
M
Autour de Notre-Dame-la-Grande.
Maisons à colombage.
7
Médiathèque François Mitterrand..
8
Médiathèque François Mitterrand..
9
Hôtel Royrand.
L’Hôtel Royrand appartient à ces demeures que les notables poitevins font construire à la fin du XVe siècle. Nicolas Royrand, maire de Poitiers, en 1485, fut lieutenant général de la sénéchaussée du Poitou. Un des plus hauts postesde l'administration royale. Cet hôtel se compose de deux bâtiments disposés en équerre, réunis par une tour à cinq pans dotée d'une tourelle à encorbellement. Le premier est perpendiculaire à la rue sur laquelle il donne par un haut mur pignon percé d'ouvertures décorées.
10
Hôtel Royrand.
L'ancienne porte d'entrée, aujourd'hui murée, est surmontée d'un arc en accolade.
11
Hôtel Royrand.
Le second est un logis sur cour, clos par un portail de 1623, au sommet duquel figurent les armes du commanditaire, le chevalier Brumault de Beauregard.
12
Hôtel de La Prévôté.
L’hôtel occupait l’îlot compris entre la rue de la Prévôté, le 2 rue Cloche-Perse et la place de la liberté. Côté place de la Liberté, l'ensemble offre un mélange de bâtiments des XVIe et XVIIIe siècles.
13
Hôtel de La Prévôté.
De la prévôté, il ne reste, face à l'Hôtel Fumé, que deux petites fenêtres en forme de trèfle.
14
Place de la Liberté.
Au coeur d'une zone de transition entre la «cité» (Notre-Dame-la-Grande et le palais comtal) et le bourg nouveau de Montierneuf, l'actuelle place de la Liberté accueillait au début du XIIe siècle le «marché neuf». L'incendie du quartier par Henri de Lancastre, comte de Derby, lors de la prise de la ville, en octobre 1346, marque le déclin économique de la place appelée, en 1307, place du Pilori. C'est là que seront exposés les malfaiteurs à titre d'exemple. La Révolution y installe sa guillotine qui servira encore lors de l'exécution du général Berton. Jean-Baptiste Breton, dit Berton (1769-1822) s'illustra lors des campagnes napoléoniennes. Nostalgique de l'Empire, il complote contre Louis XVIII et inspire les conspirations de Thouars et de Saumur. Pris et jugé, il est guillotiné le 5 octobre 1822.
15
Place de la Liberté.
En 1900, cette place devient place de la Liberté en hommage au général Berton mort en criant «Vive la Liberté». En 1903, on inaugure une copie réduite de la statue de la Liberté de Bartholdi dont l'original est à New-York.
16
Place de la Liberté.
17
Place de la Liberté.
Vers 1775, un muletier, chargé de conduire des sacs de poudre, attacha sa bête au coin de la place du Pilori. L'animal, tourmenté par les mouches, frappa du pied sur le pavé : une étincelle jaillit et provoqua une explosion formidable. Le mulet, mis en pièces, disparut totalement et un de ses fers vint se ficher dans la façade de cette maison.
18
Hôtel Fumé.
Construit à la fin du XVe et au début du XVIe siècle pour une riche famille de magistrats, les Fumé, l'hôtel comporte deux corps de logis, séparés par une cour. Pierre et son fils François Fumé furent maires de Poitiers. L'hôtel sur rue fur construit par François.
19
Hôtel Fumé.
20
Hôtel Fumé.
La façade sur rue, du second bâtiment, est un des plus beaux exemples de l'architecture civile gothique flamboyante. Elle s'articule en deux avant-corps aux angles arrondis percés par un passage couvert de trois voûtes d'ogives. Une moulure continue sépare clairement les parties haute et basse du bâtiment. La partie haute de l'hôtel renforce l'aspect de «château médiéval» avec les petits toits en poivrière, les créneaux et le faux mâchicoulis qui surmonte la partie centrale.
21
Hôtel Fumé.
Le logis sur cour, le plus ancien, bâti par Pierre, est flanqué d'un escalier en vis qui dessert les deux bâtiments reliés par une galerie de circulation. Celle-ci est une construction légère à pans de bois, portée par quatre colonnes enveloppées de moulures en spirale.
22
Hôtel Fumé.
23
Hôtel Fumé.
24
Hôtel Fumé.
La licorne sur le toit.
25
Hôtel Fumé.
Une tourelle d'escalier, une galerie aux colonnes torsadées et un balcon en encorbellement assurent la communication entre des deux logis.
26
Hôtel Fumé.
27
Hôtel Fumé.
28
Hôtel Fumé.
29
Hôtel Fumé.
30
Maison médiévale.
Cette maison à encorbellements, surplomb des étages les uns par rapport aux autres, est un bel exemple de l'architecture civile médiévale, au décor fin XVe siècle. Le rez-de-chaussée, à peu près intact, se compose de deux entrées encadrant une boutique. On voit encore, dans les angles sous le premier encorbellement, la présence d'aisseliers. Un aisselier est un lien de renfort souvent courbe, situé entre une pièce de bois verticale ou oblique et une pièce horizontale. Les fenêtres étroites sont caractéristiques des constructions de l'époque, comme les moulures sculptées, terminées en pointe de flèche, présentes sur les poteaux d'angles, dits poteaux corniers.
31
32
Hôtel Berthelot.
Construit pour René Berthelot, qui fut maire de la ville en 1529, cet hôtel est l'un des premiers édifices de la Renaissance à Poitiers. Il se démarque de son voisin, l'hôtel Fumé (8 rue Descartes), par sa situation très en retrait de la rue et par ses éléments décoratifs, caractéristiques de la Renaissance française. Le décor sculpté, inspiré de l'italie, se concentre autour des fenêtres à meneaux, encadrées de pilastres ornés de losanges, avant de s'étendre largement sur les lucarnes.
33
Hôtel Berthelot.
Au dessus de la porte, qui donne accès à un des plus larges et des plus beaux escaliers en vis de Poiriers, une frise de délicats végétaux (rinceaux) se termine par les beaux bustes en médaillon de René Berthelot et de sa femme.
34
Hôtel Berthelot.
Frise de délicats végétaux qui se termine par les beaux bustes en médaillon de René Berthelot et de sa femme.
35
Immeubles rénovés.
36
Immeubles rénovés.
37
Immeubles rénovés.
38
Immeubles rénovés.
39
Rue de la chaîne.
40
Rue de la chaîne.
41
Hôtel Renaissance.
La façade sur rue ne laisse rien deviner e la qualité architecturale de l'ensemble, concentrée sur la facade sur cour.
42
Hôtel Renaissance.
La disposition des fenêtres, le décor de pilastres surmontés de chapiteaux et les lucarnes ornées de pots à feu et de bustes en médaillons, témoignent du goût nouveau pour les formes décoratives de la Renaissance.
43
44
Eglise Saint Germain.
Des fouilles effectuées dans le quartier, à la fin du XIXe siècle ont révélé l'existence de bains publics gallo-romains de grandes dimensions et richement décorés.Ils comportaient trois salles (chaude, tiède et froide) alimentées par un aqueduc ainsi qu'un vaste terrain réservé aux exercices physiques. Ces thermes datés de la fin du ler siècle ont été détruits et remplacés par une nécropole mérovingienne.
45
Eglise Saint Germain.
Sur l'emplacement d'une partie des thermes, sera édifiée une église dédiée à saint Germain, évêque de Paris, venu en 552 consacrer la première abbesse de Sainte-Croix, à la demande de Radegonde.
46
Place Montierneuf.
47
Place Montierneuf.
Ancien hôpital de la charité (1656).
48
Réverbère à gobelets.
49
Jardin des plantes.
50
Jardin des plantes.
51
Jardin des plantes.
52
Vestiges de l'église des cordeliers.
53
Vestiges de l'église des cordeliers.
54
Vestiges de l'église des cordeliers.
55
Vestiges de l'église des cordeliers.
56
57
Hôtel Barbarin XVIe siècle.
Cette maison de la fin du XVIe siècle témoigne des modes de construction de la Renaissance. La façade offre des lignes horizontales et verticales particulièrement marquées ; elle contraste, par sa symétrie et sa régularité, avec les façades des demeures médiévales. Construit pour la famille Barbarin, l'hôtel s'ouvre largement sur la rue par de grandes fenêtres et une série de lucarnes, sous lesquelles on peut lire la devise de la famille : nec spe nec metu, medüs tranquillus in undis "Sans ambition ni crainte, j'évolue tranquille au milieu des eaux".
58
59
Hôtel du Grand Prieuré d'Aquitaine XVIIe siècle.
L'inscription, dans la partie haute du portail, au-dessus des armoiries, indique la fonction du lieu et le nom du Grand Prieur ; "Hôtel du Grand Prieur d'Aquitaine, F. Gilbert de Vieil Bourg -1667". Au XVIIe siècle, il n'y a que six grands prieurés en France, chargés d'administrer les biens du puissant ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem (devenu plus tard ordre de Malte). Le prieuré d'Aquitaine siège à Poitiers depuis 1317, prenant la suite du siège provincial des Templiers, dont l'ordre venait d'être supprimé. Sa juridiction s'étend du Périgord à la Bretagne. Le portail donnait accès au bâtiment où résidait le prieur. L'effet monumental résulte des dimensions et de l'emploi d'un appareil â bossages (pierres formant saillie sur le mur).
60
La Grand-Rue.
61
Maison des Trois Clous XVe siècle.
Cette maison doit son nom aux trois clous insolites plantés au sommet de la façade, au-dessus de la fenêtre. Edifiée sur une étroite parcelle rectangulaire, perpendiculaire à la rue, elle se distingue par sa haute façade à pignon, entièrement en pierre de taille. Les étages sont éclairés par des baies aux encadrements soignés et aux moulures caractéristiques du XVe siècle.
62
Maison des Trois Clous XVe siècle.
Les deux gargouilles, dans la partie supérieur datent également de cette époque.
63
Hôtel de Briey.
64
Hôtel de Briey.
65
La Grand-Rue.
66
Panorama des Dunes.
67
Panorama des Dunes.
68
Ancien théâtre.
Théâtre de 1954, Miroir de Pansart.
69
Ancien théâtre.
70
Ancien théâtre.
71
Ancien théâtre.
72
Ancien théâtre.
73
Autour de la place Maréchal Leclerc, ex place d'armes.
CIC : immeuble art déco, de Jammard.
74
Autour de la place Maréchal Leclerc, ex place d'armes.
Avant d'être un cinéma, c'était un café hispano-mauresque de 1890. Le blason avec les châteaux de Castille sont les armoiries d'Alphonse de Poitiers qui sont devenues celles du Poitou. A droite, les armoiries de la ville de Poitiers.
75
Autour de la place Maréchal Leclerc, ex place d'armes.
76
Autour de la place Maréchal Leclerc, ex place d'armes.
77
Autour de la place Maréchal Leclerc, ex place d'armes.
78
Hôtel de Beaucé.
Construit en 1554 pour Jean Beaucé, riche négociant protestant, cet hôtel particulier de style Renaissance présente encore des réminiscences médiévales avec la mise en évidence de la tour d'escalier. L'ornementation des lucarnes (masques, rubans, coquilles, etc.) puise dans le répertoire propre aux règnes de François Ier et d'Henri II. La superposition des trois ordres (dorique, ionique et corinthien) témoigne d'un nouvel intérêt pour l'Antiquité.
79
Hôtel de Beaucé.
Ce logis abrita, en 1558, un colloque sur la prédestination, qui allait se prolonger par l'organisation de deux synodes (assemblées des délégués des conseils régionaux) de l'Église protestante, dont le second devait se tenir à Poitiers, en 1561.
80
81
Pavillon central du collège Henri IV.
La construction du pavillon central du collège des Jésuites -aujourd'hui collège Henri IV date de 1654. L'étagement du décor sculpté (palmes, guirlandes, volutes, blasons), les effets de surface et de profondeur, le lanternon qui couronne le tout, participent à la majesté un peu rigide de l'édifice. Les portraits sculptés de Henri IV et de Louis XIV furent ajoutés au XIXe siècle. Fondateurs de l'établissement, les Jésuites restèrent à Poitiers jusqu'en 1762, date à laquelle l'ordre fut expulsé de France. Ils jouèrent un rôle important dans la propagation des idées de la Contre-Réforme ou Réforme catholique.
82
Maison Art Déco.
Cette maison a été construite par les frères Marineau, pour la famille Rat. La façade semble sortir des colonnes. Les fenêtres sont grandes grâce au verre industriel.
83
Maison Art Déco.
84
1
2
Précédent
Suivant
Accueil
Contact