La ville existait déjà au IVe siècle av. J.-C. comme peuplement du peuple local des apuliens, avant que les Phéniciens y établirent un poste de commerce pour échanger avec les tribus locales et les Étrusques plus au nord. En particulier, le vin y fut importé de Grèce avant qu'il ne soit introduit avec succès dans la région, qui fut même appelée par la suite « pays du vin » par les grecs.
A Barletta se trouve l'emplacement de l'antique cité de Cannes (Cannae), prospère sous les romains, et où en 216 avant notre ère eu lieu la célèbre bataille de Cannes où les romains furent vaincus par les Carthaginois menés par Hannibal.
Plus tard, Cannes subit plusieurs pillages sarrasins, et a finalement été détruite par les Normands, pour être abandonnée au Moyen Age.
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Barletta.
Barletta fut un bastion des Lombards, puis des Normands, devenant un important relais pour les croisés, les chevaliers Teutoniques et les Templiers sur leur route vers la Terre Sainte.
C'est après l'immigration des habitants de la voisine Cannes abandonnée, que Barletta se développa. Elle connut sa plus grande splendeur sous l'empereur Frédéric II et ensuite sous les rois angevins de Naples.
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Barletta.
Architecture mussolinienne.
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Le colosse de Barletta
Mieux connu comme Héraclius, c'est une statue de bronze gigantesque, haute de 4,50 m, datant du Ve siècle.
Elle est de nos jours installée en face du côté gauche de la basilique du Saint-Sépulcre. De fabrication nettement de style byzantin, son origine demeure incertaine, ainsi que l'identité du personnage qu'elle représente. Toutefois, l’hypothèse la plus partagée est qu'elle représenterait l'empereur Théodose II, et qu'elle aurait été érigée en 439 par Valentinien III à Ravenne.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
La Basilique du Saint-Sépulcre (Basilica de San Sepolcro, construite au XIIe siècle) est un ancien siège des Chevaliers de Malte. L'église romane avec la façade en partie baroque porte des influences orientales. Au chevet, on remarque les trois absides. Les absides latérales portent quatre arcs, celui du centre étanr interrompu par une fenêtre, l'abside centrale porte sept arcs. Sur la façade nord, on peut voir 6 arcs.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
Portail sur le cours Victor Emmanuel.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
Porte principale à l'ouest, surmontée d'un fronton triangulaire.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
De chaque coté de la partie centrale, un arc : celui de gauche englobe une portion de la tour, celui de droite une porte qui donne accès à la nef latérale.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
La façade principale ouest présente trois parties horizontales et verticales. Le deuxième niveau montre une tripartition moins marquée que le premier niveau. Au centre, une fenêtre terminée par un arc, surmontée d'une corniche et d'un tympan cuviligne. Au sommet, le tympan qui recouvre la nef centrale.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
L'intérieur est basé sur un plan basilical à trois nefs de sept travées. La nef centrale a une voûte en ogive.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
La nef centrale a une voûte en ogive.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
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Basilique du Saint-Sépulcre.
Sur l'autel principal se dresse une croix de bois
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Basilique du Saint-Sépulcre.
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Barletta.
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Eglise du Mont de piété.
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Eglise du Mont de piété.
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Barletta.
La préfecture.
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Barletta.
La préfecture.
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Palais du défit.
En 1503, le roi de France Louis XII et celui d'Espagen,Ferdinand le catholique, cherchent un accord pour la possesion de l'Italie méridionale. Barletta était occupé par Consalvi de Cordova qui, suivant la règle de la chevalerie organisa un banquet pour honorer les chevaliers français prisonniers. Lors de ce banquet, Diego de Mendoza fit l'éloge des soldats italiens qui étaient à la solde des espagnols. Le français Charles de la Motte mit en doute la valeur des italiens. Le débat s'envenima et on décida que treize chevaliers français et autant d'italiens s'affronteront lors d'un duel. Ce fut les italiens qui gagnèrent.
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Palais du défit.
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Palais du défit.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
La cathédrale de Santa Maria Maggiore se situe sur l'ancien site du Temple de Neptune. C'est un exemple de la fusion des styles gothique et romans. cathédrale de barletta
Dans son niveau inférieur, se trouvent des tombes rupestres du IIIe siècle avant J.-C., sur lesquelles fut construite la basilique paléochrétienne (VIe), puis une nouvelle au IXe, renouvelée au XIIe siècle pour être consacrée en 1267, dans le style roman, et rénovée dans le style gothique au XIVe siècle.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
L'intérieur est divisé en trois nefs.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
La nef centrale.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
La nef de gauche.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
Les cinq chapelles renferment les emblèmes des familles nobles de la ville qui financèrent l'édifice.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
Symboles des quatre évangélistes : le Lion de st Marc et le Taureau de st Luc.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
Symboles des quatre évangélistes : l'Homme de st Matthieu et l'Aigle de st Jean.
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La cathédrale Santa Maria Maggiore
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Forteresse de Barletta.
La structure initiale du château a été érigée au Xe siècle par les Normands, comme une typique motte fortifiée. Il fut agrandi lors des croisades pour héberger les soldats. Frédéric II y apporta des modifcations. Il y séjourna avant de partir pour la sixième croisade.
Les espagnols ajoutèrent les quatre gros bastions au XVIe.
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Forteresse de Barletta.
Le bastion de sainte Marie. A gauche celui de saint Vincent
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Forteresse de Barletta.
Bastion de l'Annonciation, au sud est. A droite, celui de saint Antoine.
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Forteresse de Barletta.
Armes de la dynastie des Aragons.
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Castel del Monte.
Le castel del Monte est un château italien du XIIIe siècle construit par l'empereur du Saint Empire, Frédéric II de Hohenstaufen. Il se dresse au sommet d'une colline qui domine la chaîne des Murges occidentales, à 540 m au-dessus du niveau de la mer. Dépourvu de pont-levis et de douves, il se peut qu'il n'ait jamais eu de rôle défensif.
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Castel del Monte.
L'édifice a un plan octogonal, avec à chacun des huit angles de l'octogone une tour elle-même octogonale. Sur sa paroi extérieure, chaque mur mesure 10,30 m de tour à tour, et chaque tour a un diamètre de 7,90 m, soit 2,70 m de côté.
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Castel del Monte.
La porte d'entrée principale s'ouvre dans celui des murs de la structure octogonale qui est orienté exactement vers l'est, c'est-à-dire en face du point où le soleil se lève lors des équinoxes de printemps et d'automne. On y accède maintenant par l'intermédiaire de deux volées d'escaliers symétriques « en tenaille » disposées sur les côtés de l'entrée, et reconstruites en 1928.
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Castel del Monte.
L'entrée principale, en brèche coralline, est décorée de deux colonnes cannelées qui soutiennent un faux linteau au-dessus duquel se détache un fronton de forme triangulaire.
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Castel del Monte.
Les deux colonnes qui encadrent le portail d'entrée sont surmontées chacune d'un lion accroupi. Celui de droite regarde à gauche, et vice-versa ; leur regard est tourné vers le point de l'horizon où le soleil se lève lors du solstice d'été, pour celui de gauche, et lors du solstice d'hiver, pour celui de droite.
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Castel del Monte.
Bien qu'il soit communément appelé castel (château), la fonction exacte de cet impressionnant édifice est encore inconnue. Privé d'éléments architecturaux typiquement requis dans l'architecture militaire, posté sur une position non stratégique, cet édifice n'a probablement jamais été conçu pour être une forteresse. Plusieurs éléments de la construction, de plus, font rejeter fermement cette hypothèse : par exemple, les escaliers en colimaçon dans les tourelles montent en sens inverse des aiguilles d'une montre, à la différence de toutes les autres constructions défensives de l'époque, situation qui désavantage les occupants du château vis-à-vis d'éventuels assaillants, parce qu'ils auraient été obligés de tenir leur arme de la main gauche. Les meurtrières, en outre, sont trop étroites pour envisager de les utiliser pour tirer des flèches.
Même l'hypothèse qu'il s'agissait d'une résidence de chasse, activité que le souverain affectionnait, est remise en doute par la présence d'ornements élaborés et l'absence d'écuries et d'autres annexes typiques des résidences de chasse.
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Castel del Monte.
L'entrée secondaire sur la face opposée (orienté vers l'ouest) du bâtiment, est constituée d'un simple portail en arc d'ogive.
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Castel del Monte.
Toutes les parois présentent deux fenêtres : une à simple baie correspondant au rez-de-chaussée, et une à deux arcs au deuxième étage, pas toujours verticalement alignées. Cette règle n'est pas respectée sur les faces occidentales et orientales, où sont percées les deux portes, et qui n'ont pas de fenêtre du rez-de-chaussée, et la face nord, qui présente une fenêtre à trois arcs au deuxième niveau. De plus, des meurtrières dans les parois des tourelles donnent de la lumière aux escaliers en colimaçon aménagés à l'intérieur.
D'un point de vue structurel, il est important de noter que les murs du bâtiment principal, entre les tourelles, émergent directement du sol, tandis que les tourelles présentent un soubassement, dont le sommet est mis en valeur par une corniche de style gothique.
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Castel del Monte.
Fenêtre extérieure.
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Castel del Monte.
Fenêtre extérieure.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
La décoration de l'édifice, à l'origine très riche, mais désormais presque entièrement disparue, se distingue au niveau des clés de voûte des nervures, décorées de créatures mythologiques et de motifs végétaux, caractéristiques du réalisme de la sculpture souabe tardive, d'inspiration romanisante (comme le buste de Barletta). Architecture et sculpture trahissent les influences des constructions françaises et cisterciennes.
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Castel del Monte.
La cour interne est un octogone irrégulier, dont les côtés varient entre 6,89 m et 7,83 m. Son diamètre est de 17,85 m.
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Castel del Monte.
Les hautes murailles de la cour intérieure évoquent l'idée d'être à l'intérieur d'un puits, ce qui dans la symbolique médiévale représente la connaissance.
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Castel del Monte.
L'espace intérieur est réparti sur deux étages, qui surplombent le terrain environnant de 3 et 9,5 m respectivement. Dans la cour intérieure, la compacité des murs est atténuée par la présence de trois portes au niveau inférieur et de trois portes richement ornées au niveau supérieur. La sensation à l'intérieur de la cour est que tout le rez-de-chaussée joue le rôle de soubassement pour l'étage supérieur, allégé par des arcs aveugles.
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Castel del Monte.
Les portes de l'étage supérieur donnaient probablement à l'origine sur une galerie en bois placée en encorbellement, aujourd'hui disparue, et qui faisait le tour de la cour au complet. Cette galerie aurait permis de se rendre d'une pièce à l'autre de l'étage sans avoir à en traverser toutes les pièces.
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Castel del Monte.
Porte intérieure.
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Castel del Monte.
Porte intérieure.
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Castel del Monte.
Porte intérieure.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
Les nervures n'ont pas de fonction porteuse, mais seulement une fonction décorative.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
La cage d'un des escaliers en colimaçon.
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Castel del Monte.
De riches corniches en porphyre décorent les portes.
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Castel del Monte.
Une cheminée.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
Le problème de la couverture des chambres est résolu en divisant le trapèze initial en un carré central et deux triangles latéraux. Le carré central est couvert d'une voûte d'arêtes,
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Castel del Monte.
alors que les deux triangles latéraux sont couverts de deux quartiers de voûte en berceau pour chaque chambre.
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Castel del Monte.
Premier étage. Colonnes trilobées en marbre blanc veiné de gris. Chapiteaux décorés d'éléments végétaux.
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Castel del Monte.
Le plan d'appui de la voûte est souligné par une corniche, soutenue par le chapiteau au sommet des colonnes porteuses.
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Castel del Monte.
Les pièces trapézoïdales sont séparées par des murs joignant les arêtes de l'octogone interne et les arêtes de l'octogone extérieur, où sont placées les tourelles.
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Castel del Monte.
Au centre de chaque voûte d'arêtes, à l'intersection des nervures, une clé de voûte dépasse de l'intrados, différente dans chaque pièce.
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Castel del Monte.
Le problème de la couverture des chambres est résolu en divisant le trapèze initial en un carré central et deux triangles latéraux. Le carré central est couvert d'une voûte d'arêtes, alors que les deux triangles latéraux sont couverts de deux quartiers de voûte en berceau pour chaque chambre.
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Castel del Monte.
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Une cheminée.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
Une salle du premier étage : fenêtre à deux arcs, avec son escalier et ses banquettes latérales.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
Les toilettes.
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Castel del Monte.
Les toilettes.
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Castel del Monte.
Petite salle.
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Castel del Monte.
Petite salle.
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Castel del Monte.
Petite salle.
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Castel del Monte.
Escalier en colimaçon.
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Castel del Monte.
Le long des murs de chaque salle court une banquette qui passe en dessous de la base des colonnes
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
Une cheminée.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
Une cheminée.
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Castel del Monte.
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Castel del Monte.
Le bâtiment, en plus d'être un exemple de construction précise, est également un bâtiment plein de symbolisme, qui a passionné de nombreux chercheurs.
L'octogone, sur lequel se fonde le plan de l'ensemble et de ses composantes, est une forme géométrique hautement symbolique : c'est la figure géométrique intermédiaire entre le carré, symbole de la terre, et le cercle, qui représente l'infinité du ciel, et marque le passage de l'un à l'autre.
Le choix de l'octogone pourrait provenir du Saint-Sepulcre ou du Dôme du Rocher à Jérusalem, que Frédéric II avait pu voir au cours de la sixième croisade, ou de la Chapelle Palatine à Aix-la-Chapelle.
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Castel del Monte.
L'ensemble du bâtiment est plein de symboles astrologiques forts8, et sa position est conçue de telle sorte que le jour des équinoxes et des solstices, les ombres portées par les murs aient un sens particulier. À midi de l'équinoxe d'automne, par exemple, l'ombre des murs atteint très exactement la longueur de la cour intérieure, et un mois exactement après, elle couvre la totalité de la longueur des pièces. Le soleil est le véritable architecte de Castel Del Monte qui est comme un ''livre de pierre''. Ainsi en certains points, quand le soleil se lève et se couche à la date des solstices d'hiver et d'été (les 21 mars et 23 septembre) l'ombre portée détermine alors un rectangle de proportions correspondant au nombre d'or. Deux fois par an (le 8 avril et le 8 octobre, qui était à l'époque compté comme le huitième mois de l'année), un rayon de soleil pénètre par la fenêtre dans le mur sud-est et, en traversant la fenêtre de la cour intérieure, éclaire une partie du mur avant, où est sculpté un bas-relief.
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Matera.
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Matera.
Le palais Lanfranchi fut construit en 1672. A gauche, la "goutte", bronze de Kenjiro Azuma.
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Le palais Lanfranchi.
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Le palais Lanfranchi.
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Le palais Lanfranchi.
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Le palais Lanfranchi.
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Le palais Lanfranchi.
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Matera.
La Gravina a creusé dans le calcaire le site sur lequel des habitants troglodytiques se sont installés depuis le paléolithique jusqu'au milieu du XXe siècle.
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Matera.
La roche environnante de Matera est appelée "calcarénite" par les géologues et tufo (tuf) par les gens communément. Les maîtres artisans de cette région ont appris à travailler avec elle depuis les temps anciens. Le matériau friable et adaptable est fournis en grande quantité par les montagnes surplombant la ville, et pour les gens de Matera cela semblait tout à fait normal d'aller en-haut de la montagne et de creuser directement dans la roche pour construire leur maison. Ce qui était extrait, était ensuite travaillé ensuite pour devenir la façade de l'habitation.
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Matera.
De nombreuses grottes naturelles ont ainsi été creusées et ont servi de refuge aux hommes depuis le paléolithique ; ce serait l'un des plus anciens sites préhistoriques. Grecs et Romains ont à leur tour occupé les lieux, à la croisée des routes commerciales. Au cours de l'histoire de nombreuses grottes ont abrité des églises rupestres. Aux VIIe et VIIIe siècles, les grottes devinrent le refuge de moines byzantins, qui transformèrent leurs murs en chapelles. On peut ainsi y admirer des fresques à forte influence byzantine.
Pendant la domination normande, la ville connaît une période de prospérité, on y construit le château et les remparts. La population s'accroit, elle est contrainte d'occuper les grottes situées en dehors de la protection des remparts. Elle occupe alors deux amphithéâtre naturels, le Sasso Caveoso et le Sasso Barisano. Jusqu'au XVIe siècle, la vie s'organise avec et autour du relief. Pendant la période d'occupation catalane / espagnole, la ville ne possède plus le même rayonnement. Les priorités artistiques de l'époque dénigrent les Sassi, qui deviennent méprisés et abritent une population de plus en plus démunie et qui occupe les lieux par défaut.
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Matera.
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De chaque coté du toit, un espace pour récupérer l'eau de pluie.
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Matera.
Canalisation pour envoyer l'eau de pluie dans la citerne.
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Orifices d'aération.
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Matera.
La place commune à tous les voisins.
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Matera.
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Os de mulet pour soutenir la gouttière.
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Matera.
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Couvent de Saint Antoine
Positionné dans le district de Casalnuovo, dans le merveilleux paysage du Sasso Caveoso, il est un exemple particulier de complexe rupestre (XII-XIII siècle).
Le Convicinio de Saint Antoine embrasse les quatre églises anciennes de Saint Prime, Saint Égide (ou de l'Annonciation), Saint Donato et Saint Antoine le Grand (XII/XIII siècle), reliées par une large cour qui est accessible par un portique avec un arc ogival.
Chaque église au cours des siècles a traversé des changements constants et toutes gardent des traces de leurs différentes utilisations, car entre la fin du XVIIe siècle et le début du XIXe siècle elles n'étaient plus utilisées comme des lieux sacrés.
Cependant, chacune d'entre elles garde à l'intérieur de nombreuses fresques intéressantes de caractère religieux.
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
Croix des Angevins.
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Couvent de Saint Antoine
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Matera.
La maison musée.
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La maison musée.
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La maison musée.
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La maison musée.
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La maison musée.
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La maison musée.
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La maison musée.
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La maison musée.
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La maison musée.
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Matera.
La maison musée.
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Matera.
La maison musée. Les animaux passaient dans la pièce principale et descendaient cet escalier.
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Matera.
La maison musée. Espace réservé pour les animaux.
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La maison musée.
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Matera.
La maison musée.
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Matera.
Maison abandonnée.
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Matera.
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Matera.
Quartier abandonné mais protégé pour en faire un musée à ciel ouvert.
