En haut, au centre, la statue de saint Jacques le Majeur, au centre saint Jean-Baptiste, avec à ses côtés, dans des médaillons, ses parents sainte Elisabeth et saint Zacharie. A gauche, saint Pierre (dans un médaillon en haut) et saint Joseph, et à droite, saint André (dans un médaillon), et saint Isidore. Sous la statue de saint Jean Baptiste figure sa tête, posée sur un plateau. Hérodiade lui crève un oeil. En bas, de gauche à droite, un saint prêtre, les attributs de St Joseph (le rabot et le compas), une religieuse, la visitation de la Vierge à Elisabeth, un saint, les attributs de st Jean-Baptiste, deux cimeterres, un saint. Dans la partie supérieure de petites statues en terre cuite et assez naïves auraient été fabriquées par les moines du couvent.
135
Église Notre-Dame-des-Anges.
Sous la statue de St Jean-Baptiste, encadrée par les médaillons de ses parents sainte Elisabeth et saint Zacharie, figure la tête de saint Jean Baptiste, posée sur un plateau. Hérodiade lui crève un oeil. En bas, les attributs de St Joseph (le rabot et le compas), une religieuse, la visitation de la Vierge à Elisabeth,
136
Église Notre-Dame-des-Anges.
La Vierge et l'Enfant Jésus.
137
Église Notre-Dame-des-Anges.
Saint Vincent empalé. Vitrail d'Henri Gesta, Toulouse, Début XXe siècle.
138
Église Notre-Dame-des-Anges.
Sainte Jeanne d'Arc.
139
Église Notre-Dame-des-Anges.
Saint Vincent guéri de ses blessures.
140
Église Notre-Dame-des-Anges.
La chaire, avec le Christ portant le mouton, entouré des quatre évagélistes.
141
Église Notre-Dame-des-Anges.
La “Vierge de la Miséricorde” (panneau peint, 2eme moitié du 15e).
142
Église Notre-Dame-des-Anges.
La “Rencontre de Saint- Dominique et Saint-François d’Assise“ (début 15°).
143
Église Notre-Dame-des-Anges.
144
Église Notre-Dame-des-Anges.
Notre Dame des Anges en bois polychrome, XVIIe – XVIIIe siècles. Statue portée en procession jusqu'en 2003, nommée Notre-Dame des Anges, cette statue représente l’Assomption de la Vierge.
145
Église Notre-Dame-des-Anges.
Le meuble de sacristie est une belle pièce d’ébénisterie du 17eme siècle, en hêtre et chêne.
146
Église Notre-Dame-des-Anges.
147
Église Notre-Dame-des-Anges.
148
Église Notre-Dame-des-Anges.
Plus d’une vingtaine de pièces d’orfèvrerie allant du 14eme au 19eme siècle (calices, reliquaire, croix-reliquaire, croix et bâtons de procession, encensoir, bénitier portatif, goupillon, navettes à encens, ciboires, plats de quête, bijoux ex- voto, ampoule à huile des malades, chandeliers d’acolytes... presque toutes en argent ciselé, parfois doré, avec incrustations d’émaux, de cristal ou de corail),
149
Église Notre-Dame-des-Anges.
150
Église Notre-Dame-des-Anges.
Sardine en argent doré.
151
Église Notre-Dame-des-Anges.
Cœurs de velours rouge avec bijoux.
152
Église Notre-Dame-des-Anges.
153
Église Notre-Dame-des-Anges.
Un bas-relief sur marbre.
154
Église Notre-Dame-des-Anges.
Bénitier
155
Église Notre-Dame-des-Anges.
Poissons dans le bénitier.
156
Le château royal.
Le château de Collioure est déjà cité en 673, preuve du rôle stratégique et commercial tenu par la cité à l’époque wisigothique. Le château et la ville appartiennent ensuite aux comtes de Roussillon, puis aux divers rois qui se succèdent en Roussillon : rois d’Aragon de 1172 à 1276, puis rois de Majorque jusqu’en 1343, avant de revenir aux rois d’Aragon. Sous le règne des rois de Majorque, le château, entièrement reconstruit entre 1242 et 1280. Après le mariage des Rois catholiques, Ferdinand V d’Aragon et Isabelle Ire de Castille, Collioure et le Roussillon tout entier passent sous la domination de la monarchie espagnole, sans qu’il y ait fusion centralisatrice. La province est occupée de 1475 à 1481 par le roi de France Louis XI, qui fait bâtir des fortifications à Collioure, rebaptisée Saint-Michel, fortifications aujourd’hui dissimulées par les constructions postérieures. Son successeur, Charles VIII, rend le Roussillon à Ferdinand le Catholique, dont le successeur l’empereur Charles Quint renforce les fortifications de la ville. L'Empereur décida la construction du Fort Saint-Elme destiné à protéger les anses de Collioure et de Port-Vendres.
157
Le château royal.
En 1642, la ville est prise par les armées de Louis XIII, avant d’être annexée officiellement à la France en 1659 par le traité des Pyrénées sous Louis XIV. Le rôle stratégique de Collioure est redéfini par Vauban, qui voulant en faire une ville de garnison, rase la vieille ville pour accroître le château, fortifie le Pla de las Fourques (Fort Carré et Fort Rond) et réaménage les forts : Saint-Elme et le Mirador (anciennement Fort Sainte-Thèrése). La population, menacée de déportation à Port-Vendres, obtient de reconstruire la ville à son emplacement actuel.
158
Le château royal.
Le château royal. Demeure des Rois de Majorque au XIII° et XIV° siècle, le château devient forteresse au XV° siècle. Les Rois d’Aragon, d’Espagne, de France la transforment en citadelle aux XVI° et XVII° siècles. L’étrave de ses remparts, fondée sur la Méditerranée, fascine les peintres du XX° siècle. Après 1939, les Républicains espagnols sont incarcérés dans les cachots de son centre de rétention.
159
Le château royal.
Le fossé du château médiéval.
160
Le château royal.
161
Le château royal.
162
Le château royal.
Le château royal.
163
Le château royal.
A l'extrémité du fossé, la porte du château conserve la mémoire de la herse.
164
Le château royal.
165
Le château royal.
Entrée du château.
166
Le château royal.
Les souterrains.
167
Le château royal.
La place d'armes. Au milieu du XIVème siècle, les maisons du village sont repoussées vers l'ouest, au-delà d'un rempart doté d'une tour-porche. À partir du XVIème siècle, des casernes sont construites à l’intérieur de cette enceinte, autour d'une vaste place d'armes.
168
Le château royal.
La place d'armes. A gauche, la chapelle.
169
Le château royal.
La place d'armes.
170
Le château royal.
La place d'armes.
171
Le château royal.
La place d'armes. Un boulet en pierre et le puits.
172
Le château royal.
173
Le château royal.
Cette exposition commémore la mémoire des républicains espagnols et plus particulièrement le millier d'hommes, le monument a été transformé en camp disciplinaire et camp de travail.
174
Le château royal.
Cette exposition commémore la mémoire des républicains espagnols et plus particulièrement le millier d'hommes, le monument a été transformé en camp disciplinaire et camp de travail.
175
Le château royal.
La cour d'honneur et le donjon.
176
Le château royal.
Appartement de la reine.
177
Le château royal.
Au sommet de la colline, la tour de la Massane.
178
Le château royal.
179
Le château royal.
180
Le château royal.
Casernement.
181
Le château royal.
Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
182
Le château royal.
183
Le château royal.
184
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Depuis le XIVème siècle, les murailles suivent le même tracé. Le bastion des Dominicains a été construit sur une tour médiévale au XVIIème siècle.
185
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Il domine le faubourg du port d'aval et tire son nom d'un couvent proche. Fort Saint-Elme. Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
186
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Vers le nord, le rempart à crête arrondie et la barbacane couverte du XVIème siècle sont conservés.
187
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Sur les crêtes, à droite, la tour de la Massane, à gauche, celle Madeloc.
188
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. D'un côté, le fossé, la demi-lune et le glacis qui ont provoqué la destruction de la ville haute de Collioure, rasée sur ordre de Vauban entre 1671 et 1673.
189
Le château royal.
De l'autre, la place d'armes et ses casernes.
190
Le château royal.
Les casernes.
191
Le château royal.
La chapelle et le donjon.
192
Le château royal.
La chapelle et le donjon.
193
Le château royal.
194
Le château royal.
Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
195
Le château royal.
Fort Saint-Elme.
196
Le château royal.
Le bastion de la tour carrée. Il tire son nom de la tour médiévale qu'il enveloppé. Depuis le Moyen Âge, les fortifications de toutes les époques se superposent. Vers le sud, le rempart à crête arrondie et la barbacane couverte du XVIème siècle sont conservés.
197
Le château royal.
Le bastion de la tour carrée.
198
Le château royal.
L'entrée du bastion nord qui domine le faubourg du port d'amont.
199
Le château royal.
L'entrée du bastion nord.
200
Le château royal.
Intérieur de la barbacane.
201
Le château royal.
Intérieur de la barbacane.
202
Le château royal.
203
Le château royal.
204
Le château royal.
205
Le château royal.
Sur la crête, la tour de la Massane.
206
Le château royal.
L'arrière des casernes.
207
Le château royal.
Au sommet de la colline, le fort Carré. A droite, le fort Miradou .
208
Le château royal.
Le fort Miradou.
209
Le château royal.
210
Le château royal.
211
Le château royal.
Église Notre-Dame-des-Ange.
212
Le château royal.
Le château royal.
213
Le château royal.
214
Collioure
Au sommet de la colline, le Fort Saint-Elme.
215
La baie de Paulilles
216
Port-Vendres
217
Port-Vendres
218
Port-Vendres
Statue de Maillol. L'Air, 1938, monument à la mémoire des aviateurs de l’Aéropostale.
219
Port-Vendres
Statue L'Action Enchainée, réplique de l'original du monument qui sert d'hommage à Auguste Blanqui à Puget-Thénier.
220
Port-Vendres
221
Port-Vendres
222
Port-Vendres
Église Notre-Dame de Bonne Nouvelle
223
Port-Vendres.
Place de l'Obélisque : pour marquer d'un symbole la naissance de Port-Vendres, et à la demande même des habitants d'alors, Louis XVI permit à la Province, en 1780, de faire ériger à sa gloire le premier monument élevé en France en son honneur, l'obélisque de Port-Vendres, qui est aussi le seul monument dédié à Louis XVI qui ait survécu sans trop de dommages à la Révolution. Culminant à cent pieds au-dessus du niveau de la mer (autrement dit, trente-trois mètres), cette œuvre en marbre des Pyrénées surmontée d'un globe terrestre et couronnée d'une fleur de lys, tous deux réalisés en bronze, fut en partie préservée des destructions révolutionnaires.
224
Port-Vendres.
Il perdit ses ornements inférieurs : après 1793 ne subsistaient que les quatre tortues de bronze placées aux angles du collet, entre la colonne et le dé soutenant les draperies.
225
La côte Vermeille.
226
Banyuls.
227
Banyuls.
228
Musée Maillol
En 1994 est inauguré le musée Maillol de Banyuls-sur-Mer, sa ville natale, dans son ancienne métairie qui lui servit d’atelier. Dina Vierny restaura pendant de nombreuses années le bâtiment, le sauvant ainsi de la ruine. C’est là que Maillol venait méditer, travailler.
229
Musée Maillol
La Méditerranée. 1905.
230
Musée Maillol
Maillol est aujourd’hui enterré sous le socle de l’un de ses chefs-d’œuvre, La Méditerranée.
231
Musée Maillol
Autour de sa table, qui était réputée, se sont réunies les personnalités artistiques, littéraires, politiques et scientifiques du siècle.
Aux murs, les tapisseries sont de Maillol. Celui-ci est fasciné par la suite des tapisseries de La dame à la licorne et de La vie seigneuriale qu’il découvre au Musée de Cluny. L’élégance des figures qui s’intègrent sur le fond hérité de la technique des « mille fleurs » l’enchante. Voilà ce qu’il veut faire.
232
Musée Maillol
Le jardin enchanté de 1895, dans lequel on aperçoit ses quatre ouvrières et dont la deuxième en partant de la droite deviendra sa femme, est une œuvre exubérante de couleurs. Elle témoigne du désir qu’a Maillol de restituer le climat du merveilleux propre au Moyen Age. Elle indique également la volonté d’appliquer la leçon des estampes japonaises en abolissant reflet de perspective et en faisant côtoyer plusieurs plans simultanément.
233
Musée Maillol
234
Musée Maillol
235
Musée Maillol
La cuisine.
236
Musée Maillol
Harmonie, sa dernière œuvre en 1940, inachevée.,
237
Musée Maillol
Harmonie.
238
Musée Maillol
Torse naissance de Vénus, 1918.
239
Musée Maillol
Femme accroupie, 1900
Épreuve originale bronze EA Fondeur, Bengen et Costenoble.
240
Musée Maillol
Le couple, 1896.
Épreuve originale bronze n°3/6 Fondeur, A. Rudier
Etude pour Méditerranée, 1923, Épreuve originale bronze n°3/6 Fondeur E. Godard.
244
Musée Maillol
Frank Horvat (né en 1928) vit littéralement avec les statuettes de Maillol. La pertinence de son axe de prise de vue nous ouvre une porte. Horvat n’interprète pas l’œuvre par la photographie, il offre une avancée poétique de notre regard sur elle.
Léda, 1900, terre cuite, 2015