<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Retable de Saint-Jean, daté de 1697.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Retable de Saint-Jean, daté de 1697.
134
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>En haut, au centre, la statue de saint Jacques le Majeur, au centre saint Jean-Baptiste, avec à ses côtés, dans des médaillons, ses parents sainte Elisabeth et saint Zacharie. A gauche, saint Pierre (dans un médaillon en haut) et saint Joseph, et à droite, saint André (dans un médaillon), et  saint Isidore. Sous la statue de saint Jean Baptiste figure sa tête, posée sur un plateau. Hérodiade  lui crève un oeil. En bas, de gauche à droite, un saint prêtre, les attributs de St Joseph (le rabot et le compas), une religieuse, la visitation de la Vierge à Elisabeth, un saint, les attributs de st Jean-Baptiste, deux cimeterres, un saint. Dans la partie supérieure de petites statues en terre cuite et assez naïves auraient été fabriquées par les moines du couvent.
Église Notre-Dame-des-Anges.
En haut, au centre, la statue de saint Jacques le Majeur, au centre saint Jean-Baptiste, avec à ses côtés, dans des médaillons, ses parents sainte Elisabeth et saint Zacharie. A gauche, saint Pierre (dans un médaillon en haut) et saint Joseph, et à droite, saint André (dans un médaillon), et saint Isidore. Sous la statue de saint Jean Baptiste figure sa tête, posée sur un plateau. Hérodiade lui crève un oeil. En bas, de gauche à droite, un saint prêtre, les attributs de St Joseph (le rabot et le compas), une religieuse, la visitation de la Vierge à Elisabeth, un saint, les attributs de st Jean-Baptiste, deux cimeterres, un saint. Dans la partie supérieure de petites statues en terre cuite et assez naïves auraient été fabriquées par les moines du couvent.
135
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Sous la statue de St Jean-Baptiste, encadrée par les médaillons de ses parents sainte Elisabeth et saint Zacharie, figure la tête de saint Jean Baptiste, posée sur un plateau. Hérodiade  lui crève un oeil. En bas, les attributs de St Joseph (le rabot et le compas), une religieuse, la visitation de la Vierge à Elisabeth,
Église Notre-Dame-des-Anges.
Sous la statue de St Jean-Baptiste, encadrée par les médaillons de ses parents sainte Elisabeth et saint Zacharie, figure la tête de saint Jean Baptiste, posée sur un plateau. Hérodiade lui crève un oeil. En bas, les attributs de St Joseph (le rabot et le compas), une religieuse, la visitation de la Vierge à Elisabeth,
136
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>La Vierge et l'Enfant Jésus.
Église Notre-Dame-des-Anges.
La Vierge et l'Enfant Jésus.
137
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Saint Vincent empalé. Vitrail d'Henri Gesta, Toulouse, Début XXe siècle.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Saint Vincent empalé. Vitrail d'Henri Gesta, Toulouse, Début XXe siècle.
138
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Sainte Jeanne d'Arc.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Sainte Jeanne d'Arc.
139
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>L’église Notre-Dame-des-Anges. <br> Saint Vincent guéri de ses blessures.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Saint Vincent guéri de ses blessures.
140
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>La chaire, avec le Christ portant le mouton, entouré des quatre évagélistes.
Église Notre-Dame-des-Anges.
La chaire, avec le Christ portant le mouton, entouré des quatre évagélistes.
141
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>La “Vierge de la Miséricorde” (panneau peint, 2eme moitié du 15e).
Église Notre-Dame-des-Anges.
La “Vierge de la Miséricorde” (panneau peint, 2eme moitié du 15e).
142
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>La “Rencontre de Saint- Dominique et Saint-François d’Assise“ (début 15°).
Église Notre-Dame-des-Anges.
La “Rencontre de Saint- Dominique et Saint-François d’Assise“ (début 15°).
143
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>
Église Notre-Dame-des-Anges.
144
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Notre Dame des Anges en bois polychrome, XVIIe – XVIIIe siècles. Statue portée en procession jusqu'en 2003, nommée Notre-Dame des Anges, cette statue représente l’Assomption de la Vierge.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Notre Dame des Anges en bois polychrome, XVIIe – XVIIIe siècles. Statue portée en procession jusqu'en 2003, nommée Notre-Dame des Anges, cette statue représente l’Assomption de la Vierge.
145
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Le meuble de sacristie est une belle pièce d’ébénisterie du 17eme siècle, en hêtre et chêne.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Le meuble de sacristie est une belle pièce d’ébénisterie du 17eme siècle, en hêtre et chêne.
146
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>
Église Notre-Dame-des-Anges.
147
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>
Église Notre-Dame-des-Anges.
148
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Plus d’une vingtaine de pièces d’orfèvrerie allant du 14eme au 19eme siècle (calices, reliquaire, croix-reliquaire, croix et bâtons de procession, encensoir, bénitier portatif, goupillon, navettes à encens, ciboires, plats de quête, bijoux ex- voto, ampoule à huile des malades, chandeliers d’acolytes... presque toutes en argent ciselé, parfois doré, avec incrustations d’émaux, de cristal ou de corail),
Église Notre-Dame-des-Anges.
Plus d’une vingtaine de pièces d’orfèvrerie allant du 14eme au 19eme siècle (calices, reliquaire, croix-reliquaire, croix et bâtons de procession, encensoir, bénitier portatif, goupillon, navettes à encens, ciboires, plats de quête, bijoux ex- voto, ampoule à huile des malades, chandeliers d’acolytes... presque toutes en argent ciselé, parfois doré, avec incrustations d’émaux, de cristal ou de corail),
149
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>
Église Notre-Dame-des-Anges.
150
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Sardine en argent doré.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Sardine en argent doré.
151
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Cœurs de velours rouge avec bijoux.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Cœurs de velours rouge avec bijoux.
152
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>
Église Notre-Dame-des-Anges.
153
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Un bas-relief sur marbre.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Un bas-relief sur marbre.
154
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Bénitier
Église Notre-Dame-des-Anges.
Bénitier
155
<center> Église Notre-Dame-des-Anges.</center>Poissons dans le bénitier.
Église Notre-Dame-des-Anges.
Poissons dans le bénitier.
156
<center>Le château royal.</center>Le château de Collioure est déjà cité en 673, preuve du rôle stratégique et commercial tenu par la cité à l’époque wisigothique. Le château et la ville appartiennent ensuite aux comtes de Roussillon, puis aux divers rois qui se succèdent en Roussillon : rois d’Aragon de 1172 à 1276, puis rois de Majorque jusqu’en 1343, avant de revenir aux rois d’Aragon. Sous le règne des rois de Majorque, le château, entièrement reconstruit entre 1242 et 1280. Après le mariage des Rois catholiques, Ferdinand V d’Aragon et Isabelle Ire de Castille, Collioure et le Roussillon tout entier passent sous la domination de la monarchie espagnole, sans qu’il y ait fusion centralisatrice. La province est occupée de 1475 à 1481 par le roi de France Louis XI, qui fait bâtir des fortifications à Collioure, rebaptisée Saint-Michel, fortifications aujourd’hui dissimulées par les constructions postérieures. Son successeur, Charles VIII, rend le Roussillon à Ferdinand le Catholique, dont le successeur l’empereur Charles Quint renforce les fortifications de la ville. L'Empereur décida la construction du Fort Saint-Elme destiné à protéger les anses de Collioure et de Port-Vendres.
Le château royal.
Le château de Collioure est déjà cité en 673, preuve du rôle stratégique et commercial tenu par la cité à l’époque wisigothique. Le château et la ville appartiennent ensuite aux comtes de Roussillon, puis aux divers rois qui se succèdent en Roussillon : rois d’Aragon de 1172 à 1276, puis rois de Majorque jusqu’en 1343, avant de revenir aux rois d’Aragon. Sous le règne des rois de Majorque, le château, entièrement reconstruit entre 1242 et 1280. Après le mariage des Rois catholiques, Ferdinand V d’Aragon et Isabelle Ire de Castille, Collioure et le Roussillon tout entier passent sous la domination de la monarchie espagnole, sans qu’il y ait fusion centralisatrice. La province est occupée de 1475 à 1481 par le roi de France Louis XI, qui fait bâtir des fortifications à Collioure, rebaptisée Saint-Michel, fortifications aujourd’hui dissimulées par les constructions postérieures. Son successeur, Charles VIII, rend le Roussillon à Ferdinand le Catholique, dont le successeur l’empereur Charles Quint renforce les fortifications de la ville. L'Empereur décida la construction du Fort Saint-Elme destiné à protéger les anses de Collioure et de Port-Vendres.
157
<center>Le château royal.</center>En 1642, la ville est prise par les armées de Louis XIII, avant d’être annexée officiellement à la France en 1659 par le traité des Pyrénées sous Louis XIV. Le rôle stratégique de Collioure est redéfini par Vauban, qui voulant en faire une ville de garnison, rase la vieille ville pour accroître le château, fortifie le Pla de las Fourques (Fort Carré et Fort Rond) et réaménage les forts : Saint-Elme et le Mirador (anciennement Fort Sainte-Thèrése). La population, menacée de déportation à Port-Vendres, obtient de reconstruire la ville à son emplacement actuel.
Le château royal.
En 1642, la ville est prise par les armées de Louis XIII, avant d’être annexée officiellement à la France en 1659 par le traité des Pyrénées sous Louis XIV. Le rôle stratégique de Collioure est redéfini par Vauban, qui voulant en faire une ville de garnison, rase la vieille ville pour accroître le château, fortifie le Pla de las Fourques (Fort Carré et Fort Rond) et réaménage les forts : Saint-Elme et le Mirador (anciennement Fort Sainte-Thèrése). La population, menacée de déportation à Port-Vendres, obtient de reconstruire la ville à son emplacement actuel.
158
<center>Le château royal.</center>Le château royal. Demeure des Rois de Majorque au XIII° et XIV° siècle, le château devient forteresse au XV° siècle. Les Rois d’Aragon, d’Espagne, de France la transforment en citadelle aux XVI° et XVII° siècles. L’étrave de ses remparts, fondée sur la Méditerranée, fascine les peintres du XX° siècle. Après 1939, les Républicains espagnols sont incarcérés dans les cachots de son centre de rétention.
Le château royal.
Le château royal. Demeure des Rois de Majorque au XIII° et XIV° siècle, le château devient forteresse au XV° siècle. Les Rois d’Aragon, d’Espagne, de France la transforment en citadelle aux XVI° et XVII° siècles. L’étrave de ses remparts, fondée sur la Méditerranée, fascine les peintres du XX° siècle. Après 1939, les Républicains espagnols sont incarcérés dans les cachots de son centre de rétention.
159
<center>Le château royal.</center>Le fossé du château médiéval.
Le château royal.
Le fossé du château médiéval.
160
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
161
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
162
<center>Le château royal.</center>Le château royal.
Le château royal.
Le château royal.
163
<center>Le château royal.</center>A l'extrémité du fossé, la porte du château conserve la mémoire de la herse.
Le château royal.
A l'extrémité du fossé, la porte du château conserve la mémoire de la herse.
164
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
165
<center>Le château royal.</center>Entrée du château.
Le château royal.
Entrée du château.
166
<center>Le château royal.</center>Les souterrains.
Le château royal.
Les souterrains.
167
<center>Le château royal.</center>La place d'armes. Au milieu du XIVème siècle, les maisons du village sont repoussées vers l'ouest, au-delà d'un rempart doté d'une tour-porche. À partir du XVIème siècle, des casernes sont construites à l’intérieur de cette enceinte, autour d'une vaste place d'armes.
Le château royal.
La place d'armes. Au milieu du XIVème siècle, les maisons du village sont repoussées vers l'ouest, au-delà d'un rempart doté d'une tour-porche. À partir du XVIème siècle, des casernes sont construites à l’intérieur de cette enceinte, autour d'une vaste place d'armes.
168
<center>Le château royal.</center>La place d'armes. A gauche, la chapelle.
Le château royal.
La place d'armes. A gauche, la chapelle.
169
<center>Le château royal.</center>La place d'armes.
Le château royal.
La place d'armes.
170
<center>Le château royal.</center>La place d'armes.
Le château royal.
La place d'armes.
171
<center>Le château royal.</center>La place d'armes. Un boulet en pierre et le puits.
Le château royal.
La place d'armes. Un boulet en pierre et le puits.
172
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
173
<center>Le château royal.</center>Cette exposition commémore la mémoire des républicains espagnols et plus particulièrement le millier d'hommes, le monument a été transformé en camp disciplinaire et camp de travail.
Le château royal.
Cette exposition commémore la mémoire des républicains espagnols et plus particulièrement le millier d'hommes, le monument a été transformé en camp disciplinaire et camp de travail.
174
<center>Le château royal.</center>Cette exposition commémore la mémoire des républicains espagnols et plus particulièrement le millier d'hommes, le monument a été transformé en camp disciplinaire et camp de travail.
Le château royal.
Cette exposition commémore la mémoire des républicains espagnols et plus particulièrement le millier d'hommes, le monument a été transformé en camp disciplinaire et camp de travail.
175
<center>Le château royal.</center>La cour d'honneur et le donjon.
Le château royal.
La cour d'honneur et le donjon.
176
<center>Le château royal.</center>Appartement de la reine.
Le château royal.
Appartement de la reine.
177
<center>Le château royal.</center>Au sommet de la colline, la tour de la Massane.
Le château royal.
Au sommet de la colline, la tour de la Massane.
178
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
179
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
180
<center>Le château royal.</center>Casernement.
Le château royal.
Casernement.
181
<center>Le château royal.</center>Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
Le château royal.
Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
182
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
183
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
184
<center>Le château royal.</center>Le bastion des Dominicains. Depuis le XIVème siècle, les murailles suivent le même tracé. Le bastion des Dominicains a été construit sur une tour médiévale au XVIIème siècle.
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Depuis le XIVème siècle, les murailles suivent le même tracé. Le bastion des Dominicains a été construit sur une tour médiévale au XVIIème siècle.
185
<center>Le château royal.</center>Le bastion des Dominicains. Il domine le faubourg du port d'aval et tire son nom d'un couvent proche. Fort Saint-Elme. Au sommet de la colline, la tour  Madeloc.
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Il domine le faubourg du port d'aval et tire son nom d'un couvent proche. Fort Saint-Elme. Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
186
<center>Le château royal.</center>Le bastion des Dominicains. Vers le nord, le rempart à crête arrondie et la barbacane couverte du XVIème siècle sont conservés.
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Vers le nord, le rempart à crête arrondie et la barbacane couverte du XVIème siècle sont conservés.
187
<center>Le château royal.</center>Le bastion des Dominicains. Sur les crêtes, à droite, la tour de la Massane, à gauche, celle Madeloc.
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. Sur les crêtes, à droite, la tour de la Massane, à gauche, celle Madeloc.
188
<center>Le château royal.</center>Le bastion des Dominicains. D'un côté, le fossé, la demi-lune et le glacis qui ont provoqué la destruction de la ville haute de Collioure, rasée sur ordre de Vauban entre 1671 et 1673.
Le château royal.
Le bastion des Dominicains. D'un côté, le fossé, la demi-lune et le glacis qui ont provoqué la destruction de la ville haute de Collioure, rasée sur ordre de Vauban entre 1671 et 1673.
189
<center>Le château royal.</center>De l'autre, la place d'armes et ses casernes.
Le château royal.
De l'autre, la place d'armes et ses casernes.
190
<center>Le château royal.</center>Les casernes.
Le château royal.
Les casernes.
191
<center>Le château royal.</center>La chapelle et le donjon.
Le château royal.
La chapelle et le donjon.
192
<center>Le château royal.</center>La chapelle et le donjon.
Le château royal.
La chapelle et le donjon.
193
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
194
<center>Le château royal.</center>Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
Le château royal.
Au sommet de la colline, la tour Madeloc.
195
<center>Le château royal.</center>Fort Saint-Elme.
Le château royal.
Fort Saint-Elme.
196
<center>Le château royal.</center>Le bastion de la tour carrée. Il tire son nom de la tour médiévale qu'il enveloppé. Depuis le Moyen Âge, les fortifications de toutes les époques se superposent. Vers le sud, le rempart à crête arrondie et la barbacane couverte du XVIème siècle sont conservés.
Le château royal.
Le bastion de la tour carrée. Il tire son nom de la tour médiévale qu'il enveloppé. Depuis le Moyen Âge, les fortifications de toutes les époques se superposent. Vers le sud, le rempart à crête arrondie et la barbacane couverte du XVIème siècle sont conservés.
197
<center>Le château royal.</center>Le bastion de la tour carrée.
Le château royal.
Le bastion de la tour carrée.
198
<center>Le château royal.</center>L'entrée du bastion nord qui domine le faubourg du port d'amont.
Le château royal.
L'entrée du bastion nord qui domine le faubourg du port d'amont.
199
<center>Le château royal.</center>L'entrée du bastion nord.
Le château royal.
L'entrée du bastion nord.
200
<center>Le château royal.</center>Intérieur de la barbacane.
Le château royal.
Intérieur de la barbacane.
201
<center>Le château royal.</center>Intérieur de la barbacane.
Le château royal.
Intérieur de la barbacane.
202
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
203
<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
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<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
205
<center>Le château royal.</center>Sur la crête, la tour de la Massane.
Le château royal.
Sur la crête, la tour de la Massane.
206
<center>Le château royal.</center>L'arrière des casernes.
Le château royal.
L'arrière des casernes.
207
<center>Le château royal.</center>Au sommet de la colline, le fort Carré. A droite, le fort Miradou .
Le château royal.
Au sommet de la colline, le fort Carré. A droite, le fort Miradou .
208
<center>Le château royal.</center>Le fort Miradou.
Le château royal.
Le fort Miradou.
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<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
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<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
211
<center>Le château royal.</center>Église Notre-Dame-des-Ange.
Le château royal.
Église Notre-Dame-des-Ange.
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<center>Le château royal.</center>Le château royal.
Le château royal.
Le château royal.
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<center>Le château royal.</center>
Le château royal.
214
<center>Collioure</center>Au sommet de la colline, le Fort Saint-Elme.
Collioure
Au sommet de la colline, le Fort Saint-Elme.
215
<center>La baie de Paulilles</center>
La baie de Paulilles
216
<center>Port-Vendres</center>
Port-Vendres
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<center>Port-Vendres</center>
Port-Vendres
218
<center>Port-Vendres</center>Statue de Maillol. L'Air, 1938, monument à la mémoire des aviateurs de l’Aéropostale.
Port-Vendres
Statue de Maillol. L'Air, 1938, monument à la mémoire des aviateurs de l’Aéropostale.
219
<center>Port-Vendres</center>Statue L'Action Enchainée, réplique de l'original du  monument qui sert d'hommage à Auguste Blanqui à Puget-Thénier.
Port-Vendres
Statue L'Action Enchainée, réplique de l'original du monument qui sert d'hommage à Auguste Blanqui à Puget-Thénier.
220
<center>Port-Vendres</center>
Port-Vendres
221
<center>Port-Vendres</center>
Port-Vendres
222
<center>Port-Vendres</center>Église Notre-Dame de Bonne Nouvelle
Port-Vendres
Église Notre-Dame de Bonne Nouvelle
223
<center>Port-Vendres.</center>Place de l'Obélisque : pour marquer d'un symbole la naissance de Port-Vendres, et à la demande même des habitants d'alors, Louis XVI permit à la Province, en 1780, de faire ériger à sa gloire le premier monument élevé en France en son honneur, l'obélisque de Port-Vendres, qui est aussi le seul monument dédié à Louis XVI qui ait survécu sans trop de dommages à la Révolution. Culminant à cent pieds au-dessus du niveau de la mer (autrement dit, trente-trois mètres), cette œuvre en marbre des Pyrénées surmontée d'un globe terrestre et couronnée d'une fleur de lys, tous deux réalisés en bronze, fut en partie préservée des destructions révolutionnaires.
Port-Vendres.
Place de l'Obélisque : pour marquer d'un symbole la naissance de Port-Vendres, et à la demande même des habitants d'alors, Louis XVI permit à la Province, en 1780, de faire ériger à sa gloire le premier monument élevé en France en son honneur, l'obélisque de Port-Vendres, qui est aussi le seul monument dédié à Louis XVI qui ait survécu sans trop de dommages à la Révolution. Culminant à cent pieds au-dessus du niveau de la mer (autrement dit, trente-trois mètres), cette œuvre en marbre des Pyrénées surmontée d'un globe terrestre et couronnée d'une fleur de lys, tous deux réalisés en bronze, fut en partie préservée des destructions révolutionnaires.
224
<center>Port-Vendres.</center>Il perdit ses ornements inférieurs : après 1793 ne subsistaient que les quatre tortues de bronze placées aux angles du collet, entre la colonne et le dé soutenant les draperies.
Port-Vendres.
Il perdit ses ornements inférieurs : après 1793 ne subsistaient que les quatre tortues de bronze placées aux angles du collet, entre la colonne et le dé soutenant les draperies.
225
<center>La côte Vermeille.</center>
La côte Vermeille.
226
<center>Banyuls.</center>
Banyuls.
227
<center>Banyuls.</center>
Banyuls.
228
<center>Musée Maillol</center>En 1994 est inauguré le musée Maillol de Banyuls-sur-Mer, sa ville natale, dans son ancienne métairie qui lui servit d’atelier. Dina Vierny restaura pendant de nombreuses années le bâtiment, le sauvant ainsi de la ruine. C’est là que Maillol venait méditer, travailler.
Musée Maillol
En 1994 est inauguré le musée Maillol de Banyuls-sur-Mer, sa ville natale, dans son ancienne métairie qui lui servit d’atelier. Dina Vierny restaura pendant de nombreuses années le bâtiment, le sauvant ainsi de la ruine. C’est là que Maillol venait méditer, travailler.
229
<center>Musée Maillol</center>La Méditerranée. 1905.
Musée Maillol
La Méditerranée. 1905.
230
<center>Musée Maillol</center>Maillol est aujourd’hui enterré sous le socle de l’un de ses chefs-d’œuvre, La Méditerranée.
Musée Maillol
Maillol est aujourd’hui enterré sous le socle de l’un de ses chefs-d’œuvre, La Méditerranée.
231
<center>Musée Maillol</center>Autour de sa table, qui était réputée, se sont réunies les personnalités artistiques, littéraires, politiques et scientifiques du siècle.
Aux murs, les tapisseries sont de Maillol. Celui-ci est fasciné par la suite des tapisseries de La dame à la licorne et de La vie seigneuriale qu’il découvre au Musée de Cluny. L’élégance des figures qui s’intègrent sur le fond hérité de la technique des « mille fleurs » l’enchante. Voilà ce qu’il veut faire.
Musée Maillol
Autour de sa table, qui était réputée, se sont réunies les personnalités artistiques, littéraires, politiques et scientifiques du siècle. Aux murs, les tapisseries sont de Maillol. Celui-ci est fasciné par la suite des tapisseries de La dame à la licorne et de La vie seigneuriale qu’il découvre au Musée de Cluny. L’élégance des figures qui s’intègrent sur le fond hérité de la technique des « mille fleurs » l’enchante. Voilà ce qu’il veut faire.
232
<center>Musée Maillol</center>Le jardin enchanté de 1895, dans lequel on aperçoit ses quatre ouvrières et dont la deuxième en partant de la droite deviendra sa femme, est une œuvre exubérante de couleurs. Elle témoigne du désir qu’a Maillol de  restituer le climat du merveilleux propre au Moyen Age. Elle indique également la volonté d’appliquer la leçon des estampes japonaises en abolissant reflet de perspective et en faisant côtoyer plusieurs plans simultanément.
Musée Maillol
Le jardin enchanté de 1895, dans lequel on aperçoit ses quatre ouvrières et dont la deuxième en partant de la droite deviendra sa femme, est une œuvre exubérante de couleurs. Elle témoigne du désir qu’a Maillol de restituer le climat du merveilleux propre au Moyen Age. Elle indique également la volonté d’appliquer la leçon des estampes japonaises en abolissant reflet de perspective et en faisant côtoyer plusieurs plans simultanément.
233
<center>Musée Maillol</center>
Musée Maillol
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<center>Musée Maillol</center>
Musée Maillol
235
<center>Musée Maillol</center>La cuisine.
Musée Maillol
La cuisine.
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<center>Musée Maillol</center>Harmonie, sa dernière œuvre en 1940, inachevée.,
Musée Maillol
Harmonie, sa dernière œuvre en 1940, inachevée.,
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<center>Musée Maillol</center>Harmonie.
Musée Maillol
Harmonie.
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<center>Musée Maillol</center>Torse naissance de Vénus, 1918.
Musée Maillol
Torse naissance de Vénus, 1918.
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<center>Musée Maillol</center>Femme  accroupie, 1900
Épreuve originale bronze EA Fondeur, Bengen et Costenoble.
Musée Maillol
Femme accroupie, 1900 Épreuve originale bronze EA Fondeur, Bengen et Costenoble.
240
<center>Musée Maillol</center>Le couple, 1896.
Épreuve originale bronze n°3/6 Fondeur, A. Rudier
Musée Maillol
Le couple, 1896. Épreuve originale bronze n°3/6 Fondeur, A. Rudier
241
<center>Musée Maillol</center>Femme assise jambe repliée, 1900.
Épreuve originale bronze, Fondeur Valsuani.
Musée Maillol
Femme assise jambe repliée, 1900. Épreuve originale bronze, Fondeur Valsuani.
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<center>Musée Maillol</center>Femme couchée, 1900.
Épreuve originale, bronze, n°5/6, Fondeur Valsuani.
Musée Maillol
Femme couchée, 1900. Épreuve originale, bronze, n°5/6, Fondeur Valsuani.
243
<center>Musée Maillol</center>Etude pour Méditerranée, 1923, Épreuve originale bronze n°3/6 Fondeur E. Godard.
Musée Maillol
Etude pour Méditerranée, 1923, Épreuve originale bronze n°3/6 Fondeur E. Godard.
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<center>Musée Maillol</center>Frank Horvat (né en 1928) vit littéralement avec les statuettes de Maillol. La pertinence de son axe de prise de vue nous ouvre une porte. Horvat n’interprète pas l’œuvre par la photographie, il offre une avancée poétique de notre regard sur elle.
Léda, 1900, terre cuite, 2015
Musée Maillol
Frank Horvat (né en 1928) vit littéralement avec les statuettes de Maillol. La pertinence de son axe de prise de vue nous ouvre une porte. Horvat n’interprète pas l’œuvre par la photographie, il offre une avancée poétique de notre regard sur elle. Léda, 1900, terre cuite, 2015
245
<center>Musée Maillol</center>L’Art d’aimer d’Ovide
1930- 1935
Lithographie - Aristide Maillol
Musée Maillol
L’Art d’aimer d’Ovide 1930- 1935 Lithographie - Aristide Maillol
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<center>Musée Maillol</center>DINA 1943 lithographie.
Musée Maillol
DINA 1943 lithographie.
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<center>Musée Maillol</center>Baigneuse nue, 1921
Bronze, Fondeur E. Godard EA
Musée Maillol
Baigneuse nue, 1921 Bronze, Fondeur E. Godard EA
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<center>Musée Maillol</center>Baigneuse nue, 1921
Bronze, Fondeur E. Godard EA
Musée Maillol
Baigneuse nue, 1921 Bronze, Fondeur E. Godard EA
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<center>Musée Maillol</center>Baigneuse nue, 1921
Bronze, Fondeur E. Godard EA
Musée Maillol
Baigneuse nue, 1921 Bronze, Fondeur E. Godard EA
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<center>Musée Maillol</center>Torse de l'été, 1911
Bronze, Fondeur C. Valsuani E.A
Musée Maillol
Torse de l'été, 1911 Bronze, Fondeur C. Valsuani E.A
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<center>Musée Maillol</center>Nature morte aux poivrons 1940
Huile sur bois - 30 X 33 cm. Aristide Maillol .
Musée Maillol
Nature morte aux poivrons 1940 Huile sur bois - 30 X 33 cm. Aristide Maillol .
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<center>Musée Maillol</center>Petite baigneuse 1922
Huile sur bois - 29 X 18,5 cm
Aristide Maillol 1861-1944
Musée Maillol
Petite baigneuse 1922 Huile sur bois - 29 X 18,5 cm Aristide Maillol 1861-1944
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<center>Musée Maillol</center>Le nu nacré 1930
Huile sur bois - 20,5 X 31 cm Aristide Maillol
Musée Maillol
Le nu nacré 1930 Huile sur bois - 20,5 X 31 cm Aristide Maillol
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<center>Musée Maillol</center>Jeune fille assise, 1936
Bronze, Fondeur E. Godard 1/6
Musée Maillol
Jeune fille assise, 1936 Bronze, Fondeur E. Godard 1/6
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<center>Musée Maillol</center>Torse du printemps, 1911
Bronze, Fondeur E. Godard 4/6
Musée Maillol
Torse du printemps, 1911 Bronze, Fondeur E. Godard 4/6
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<center>Musée Maillol</center>Torse d’une nymphe 1931
Epreuve originale bronze N° EA
Fondeur A. Rudier H. 131 cm
Musée Maillol
Torse d’une nymphe 1931 Epreuve originale bronze N° EA Fondeur A. Rudier H. 131 cm
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