Le MuCEM en toutes saisons, à toutes les heures.
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Le J4 en construction
A gauche le MuCEM, à droite le CEREM, rebaptisé ensuite La Villa Méditerranée.
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Le J4 en construction
Passerelle reliant le MuCEM avec le fort St Jean. Le Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée offira trois sites, trois ambiances pour des propositions riches et surprenantes à découvrir sur 40 000 m2 : le MuCEM sera un vrai musée du XXIème siècle, capable de séduire un vaste public avec une large palette d’activités. Les uns pourront voyager grâce aux expositions, les autres profiter d’une lecture, d’un concert, d’un débat, d’une projection… ou plus simplement d’une promenade en plein air dans les jardins méditerranéens du Fort Saint-Jean. Le MuCEM sera un lieu de vie ouvert à tous.
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Le J4 en construction
Le MuCEM (Musée des Civilisations Europe méditerranée) représente le premier véritable transfert d’un musée national dans une grande capitale régionale. C’est la troisième vie d’un grand musée consacré à la société dont les origines remontent à 1884, avec l’ouverture d’une «salle» de France au Musée d’Ethnographie du Trocadéro. Après avoir été, depuis 1937 et pendant plus d’un demi-siècle, le Musée des arts et traditions populaires à Paris, le MuCEM offre désormais un regard sur la Méditerranée, son histoire, ses sociétés et son patrimoine.
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Le J4 en construction
Entre la ville et la mer, sur l’ancien môle portuaire J4, le bâtiment est construit selon les plans de l’architecte Rudy Ricciotti, associé à Roland Carta. Ce bâtiment est relié au fort St Jean par une passerelle.
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Le J4 en construction
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Le J4 en construction
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Journée inaugurale 13/01/2013
Tout d'abord un carré parfait de 72 m de côté, un plan classique, latin, grec ou oriental sous le contrôle de Pythagore. Dans ce carré, un autre inscrit, de 52 mètres de côté, comprenant les salles d'exposition et de conférences identifiées comme le cœur du musée.
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Journée inaugurale
L’architecte a imaginé le futur musée dans un matériau inspiré par « le paysage minéral de Marseille et les pierres du Fort Saint-Jean » : le béton. Pas un béton ordinaire, un béton « exceptionnel, à la pointe des dernières recherches scientifiques » qui lui permet de faire… de la dentelle ! Sur le môle va donc s’élever un cube minéral bordé de douves, enserré par une résille de béton fibré et des façades brise-vent qui laisseront passer la lumière, l’air et les odeurs d’iode.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
Le palais du Pharo.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
La tour du Fanal.
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La Vierge de la Garde.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
Sur 15 000 m2, le bâtiment accueillera deux plateaux d’expositions, des espaces dédiés aux enfants, un auditorium, une librairie et un restaurant doté d’une terrasse panoramique.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
Une des salles d'exposition.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
Le déambulatoire.
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Journée inaugurale
Le déambulatoire.
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Le déambulatoire du MuCEM.
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Journée inaugurale
La terrasse panoramique.
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Journée inaugurale
La terrasse panoramique.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
La passerelle.
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Journée inaugurale
La darse, creusée au pied du Fort Saint-Jean, est remplie d’eau de mer, pour accentuer la proximité de l’élément liquide.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale
La tour du Fanal.
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Journée inaugurale
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Journée inaugurale.
La Villa Méditerranée.
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Journée inaugurale
Galerie de la montée des canons. Les deux niveaux de la forteresse sont reliés par un tunnel qui permet le passage des canons depuis la partie basse pour les hisser à la partie haute.
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Journée inaugurale
Une seconde passerelle relie le fort St Jean à l'église Saint-Laurent, dans le quartier du Panier.
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Le J4, vu de l'esplanade de la cathédrtale.
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Le MuCEM vu de Saint Laurent.
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Le MuCEM.
La passerelle qui relie le MuCEM au fort St Jean.
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Le MuCEM.
La passerelle qui relie le MuCEM au fort St Jean. Le petit port.
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Le MuCEM.
Le petit port.
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L'entrée de la darse.
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Le MuCEM.
Le MuCEM narcissique.
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La Villa Méditerranée et le MuCEM
La villa en fait de même.
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Le MuCEM.
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La passerelle.
Les dessous de la passerelle.
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Le MuCEM.
La passerelle qui relie le MuCEM ....
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Le MuCEM.
... au fort St Jean.
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Le MuCEM.
Le petit port.
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Le MuCEM.
Au pied du fort Saint Jean.
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Le MuCEM.
Au pied du fort Saint Jean.
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La tour du fanal..
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La tour du Fanal.
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Le Mucem et la tour du Fanal.
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Fort St Jean
C'est sur la rive Nord du Lacydon que les Hospitaliers chevaliers de l'ordre de Saint-Jean établirent, à la fin du XIIe siècle, l'une de leurs premières commanderies. Fondé vers 1090, avant les premières croisades, le futur ordre de Malte choisit également le promontoire Nord pour y installer la chapelle Saint-Jean Baptiste, première église romane de la cité phocéenne, devenue église Saint-Jean après sa démolition à la fin du XIIIe siècle.
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Fort St Jean
Grâce à l'argent récupéré après le procès des Templiers,Ils firent ensuite construire l'hôpital au nord de l'église, partiellement encastré dans le rocher et exhaussant le rivage, ils purent créer une cour sur laquelle donnait le palais du commandeur bâti en bordure de la passe. Des murs solides entouraient le tout et formaient un bastion indépendant de la ville. Il était achevé en 1365, voire un peu plus tôt, puisqu'à cette date, le palais du commandeur accueillit la suite pontificale accompagnant le pape Urbain V. Cette muraille n'empêchât pas l'invasion des Aragonais, en 1423.
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Fort St Jean
Le 20 novembre 1423, une flotte aragonaise attaque la ville et la met à sac. La tour Maubert est détruite, et les assaillants emportent en guise de trophée la chaîne qui défendait l'entrée du port, toujours visible aujourd'hui dans la cathédrale de Valence (Espagne). Dès 1452, le Roi René, qui cherche à redresser la ville, fait construire une nouvelle tour, qui prendra son nom, en lieu et place de la tour Maubert. Elle est financée en partie par la ville, en partie par les pêcheurs de Saint-Jean. Durant cette période en revanche, les Hospitaliers de Saint-Jean se désintéressent progressivement du site, et les bâtiments se détériorent.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
Passerelle qui relie le fort st Jean à l'église st Laurent. C'est Vauban qui fit creuser un fossé entre le fort et st Laurent, estimant que le fort était vulnérable de la butte st Laurent. Au XIXe siècle, un canal est ouvert dans le fossé pour faire communiqué le Vieux Port avec celui de la Joliette. En 1937, il sera comblé pour faire passer une route.
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Eglise Saint Laurent.
Esplanade de la Tourette. Construite au XIIème siècle, Saint Laurent était l'église paroissiale du plus vieux quartier de Marseille : le quartier St Jean. Edifiée au sommet de la butte à laquelle elle a donné son nom, elle profile au dessus du port son clocher en forme de tour de guet. Elle conserve encore, malgré de nombreux remaniements, les éléments essentiels de son architecture romano-provençale.
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Eglise Saint Laurent.
Esplanade de la Tourette. A gauche, la chapelle sainte Catherine. Elle a été construite en 1604, pour les Pénitents Blancs. A droite, l'église Saint Laurent, avec le buste du Chevalier Roze, né en 1675 à Marseille. En 1720, lors de la grande épidémie de peste qui touche la ville puis la Provence, c’est lui qui, avec l’aide d’environ 150 soldats et forçats, a dégagé l’esplanade de la Tourette de plus de 1 000 cadavres d’hommes et de femmes tués par la peste.
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Eglise Saint Laurent.
Esplanade de la Tourette. Le buste du Chevalier Roze, né en 1675 à Marseille. En 1720, lors de la grande épidémie de peste qui touche la ville puis la Provence, c’est lui qui, avec l’aide d’environ 150 soldats et forçats, a dégagé l’esplanade de la Tourette de plus de 1 000 cadavres d’hommes et de femmes tués par la peste.
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Eglise St Laurent.
Passerelle qui mène au fort Saint Jean.
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Eglise St Laurent.
Passerelle qui mène au fort Saint Jean. Au fond, les tours La Marseillaise et CMA-CGM. Derrière St Laurent, le dôme de Ste Catherine, les immeubles Pouillon et la cathédrale.
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La passerelle de St Laurent
Entrée du fort Saint Jean.
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La passerelle de St Laurent
Entrée du fort Saint Jean.
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Vue de la passerelle de St Laurent
Sur le mur en face, trace d'une ouverture, l'ancienne entrée du fort.
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La passerelle de St Laurent
En bas, au pied du Fort Saint-Jean, le Mémorial des camps de la mort est devenu le Mémorial des déportations. Ce Mémorial est installé dans un blockhaus construit en 1943, témoin de la présence militaire allemande dans la ville alors occupée.
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Vue de la passerelle de St Laurent
Les trois ouvertures sont celles de la casemate.
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Entrée vers St Laurent
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Entrée vers St Laurent
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Place d'Armes.
Ces dentelles métalliques ont été enlevées.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
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Les casernements.
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Les casernements.
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Place du Dépôt.
Ces quatre visages féminins en résine sont 4 déesses grecques saluant l’Est, l’Ouest, le Nord et le Sud figurant l’œil et l’esprit ouverts à tout. Elles ont été supprimées.
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Place du Dépôt.
Cette oeuvre cache un castelet, théâtre miniature surprenant et qui s’ouvre aux marionnettistes.
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Place du Dépôt.
Emplacement où se trouvaient les Têtes.
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L'escalier du Gouverneur.
Il mène à la place d'Armes.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
A gauche, la dernière caserne, l'actuel bâtiment Georges-Henri Rivière, a été bâtie au début du 20e siècle.
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Place d'Armes.
Le bosquet chênes verts et chênes blancs.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
La tour du Fanal. Tour de guet, elle a été érigée à la demande des armateurs marseillais en 1644, avant même la création des remparts du fort. On y allumait des feux la nuit pour guider les navires. Elle ne sera en service que jusqu'en 1670.
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Place d'Armes.
De la tour, la perspective s'ouvre sur les îles du Frioul mais pas sur le célèbre château d'if (construit sous François Ier). Porte d'entrée de la ville les îles servaient notamment à la mise en quarantaine des voyageurs venus de Méditerranée. Au premier plan, l'aire de battage.
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Place d'Armes.
Au fond, la Côte Bleue.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
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Esplanade du Fort Saint-Jean.
Le jardin du vent.
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Esplanade du Fort Saint-Jean.
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Entrée du port.
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Le palais du Pharo.
Le palais du Pharo est un monument dont la construction fut ordonnée par Napoléon III pour l'impératrice Eugénie dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
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Le palais du Pharo.
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Le palais du Pharo.
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La tour du Fanal.
A son pied, le jardin potager.
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La tour du Fanal.
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La tour du Fanal.
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Une halte dans le jardin ethnobotanique.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
En bas, les pierres plates.
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Au pied des remparts.
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Au pied des remparts.
Les pierres plates.
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Au pied des remparts.
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Au pied des remparts.
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Au pied des remparts.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
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La tour du Fanal.
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La tour du Fanal.
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L'aire de battage.
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Place d'Armes.
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L'aire de battage.
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L'aire de battage.
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L'aire de battage.
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Début du chemin de ronde du fort Saint Jean.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
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Le Mucem et la Villa Méditerranée.
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La Villa Méditerranée.
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La Villa Méditerranée.
Au loin, les deux tours La Marseillaise et CMA-CGM. A droite, la cathédrale.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
Au loin, les deux tours La Marseillaise et CMA-CGM. Au centre, la cathédrale, avec, à ses pieds, le musée Regards de Provence.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
Le sommet de la tour du roi René.
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Sur le chemin de ronde du fort Saint Jean.
Le haut de la tour du roi René.
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La tour du roi René.
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La tour du roi René.
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L'escalier de la tour du Roi René.
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La terrase de la tour du Roi René.
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La terrase de la tour du Roi René.
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De la terrase de la tour du Roi René.
Le Vieux Port.
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De la terrase de la tour du Roi René.
Le Vieux Port.
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De la terrase de la tour du Roi René.
Le Vieux Port.
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De la terrase de la tour du Roi René.
Le Vieux Port.
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De la terrase de la tour du Roi René.
Le fort Saint Nicolas.
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De la terrase de la tour du Roi René.
Les pierres plates.
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De la terrase de la tour du Roi René.
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De la terrase de la tour du Roi René.
L'entrée du port.
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De la terrase de la tour du Roi René.
Le palais du Pharo.
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De la terrase de la tour du Roi René.
La galerie des Officiers.
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De la terrase de la tour du Roi René.
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De la terrase de la tour du Roi René.
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De la terrase de la tour du Roi René.
L'église Saint Laurent, les immeubles Pouillon.
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La cour de la Commande.
La tour du roi René, le clocher de la chapelle Saint Jean, le palais du Commandeur .
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La cour de la Commande.
La tour du roi René, le clocher de la chapelle Saint Jean.
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La cour de la Commande.
En bas, la chapelle saint Jean. Le clocher à peigne de la chapelle a été restauré au 20e siècle par l'ordre de Malte. La chapelle à nef unique jouxte alors un cimetière. Une chaîne est tendue depuis la tour Maubert (à l'emplacement de l'actuelle tour du Roi René) jusqu'à la rive sud du port pour en interdire l'accès la nuit et une muraille prolonge la tour pour protéger la passe du port. Cet ensemble est complété en 1365 par le Palais du Commandeur qui accueillait les hôtes de marque.
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La cour de la Commande.
Le bâtiment moderne est situé à l'emplacement de l'ancien palais du Commandeur des Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem, construits au XIVe siècle face à la chapelle plus ancienne. Le palais a été détruit en 1944 par une explosion de munitions allemandes.
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La cour des orangers.
La cour des orangers, à l’abri des adversités climatiques, est protégée dans son endos. Emplie de notes fraîches, toniques et fruitées des agrumes, elle évoque le parfum des « Pommes d'or » du jardin de l'immortalité, le verger fabuleux du jardin des Hespérides. C’est l'image de la Méditerranée qui s'exprime ici, celle du premier enclos des jardins almohade, la cour des orangers des mosquées de Cordoue ou de Séville, les Riads marocains... Pour les Marseillais c’est certainement le déchargement des oranges sur les quais du Vieux Port qu’elle rappelle. Une activité qui a atteint des proportions considérables dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
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La cour de la Commande.
A droite, la galerie des Officiers. A gauche, le bâtiment a été édifié en 1970 sur l'emplacement de l'ancienne Commanderie. Durant le haut Moyen-âge, la ville de Marseille souffre de nombreuses agressions et invasions. Les fortifications antiques sont renforcées. Une première chapelle dédiée à Saint Jean-Baptiste aurait été édifiée à la même époque au pied de la butte.
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La cour de la Commande.
La galerie des Officiers.
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La galerie des Officiers.
En 1662, Louis-Nicolas de Clerville, ingénieur des fortifications, est chargé par Louis XIV de l'édification du fort Saint-Nicolas et de l'agrandissement du fort Saint-Jean. Les nouveaux bâtiments du fort Saint-Jean vont s'appuyer sur des structures plus anciennes ou s'insérer entre elles. C’est le cas de la galerie des Officiers : ces longues galeries à arcades abritaient les cuisines et les salles de repas au niveau inférieur tandis que les parties supérieures étaient réservées au logement des officiers.
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La galerie des Officiers.
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La galerie des Officiers.
Au-delà de la porte, le chemin de ronde.
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La galerie des Officiers.
Au-delà de la porte, le chemin de ronde.
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Le chemin de ronde..
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Entrée du port.
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Les pierres plates..
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L'ancien palais du Commandeur.
Le palais du Commandeur, qui accueilait les hôtes de marque, a lui aussi disparu. en 1944 lors de l'explosion.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
La galerie des Officiers.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
La tour du roi René.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
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L'ancien palais du Commandeur.
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La tour du roi René.
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La cour des orangers.
La cour des orangers, à l’abri des adversités climatiques, est protégée dans son endos. Emplie de notes fraîches, toniques et fruitées des agrumes, elle évoque le parfum des « Pommes d'or » du jardin de l'immortalité, le verger fabuleux du jardin des Hespérides. C’est l'image de la Méditerranée qui s'exprime ici, celle du premier enclos des jardins almohade, la cour des orangers des mosquées de Cordoue ou de Séville, les Riads marocains... Pour les Marseillais c’est certainement le déchargement des oranges sur les quais du Vieux Port qu’elle rappelle. Une activité qui a atteint des proportions considérables dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
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L'entrée par le Vieux Port.
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La chapelle Saint Jean.
Les aménagements de l’entrée du fort sous Louis XIV ont englobé la moitié de la chapelle, tandis que l'explosion de 1944 achevait de détruire une partie de ce secteur. Le clocher en peigne, visible sur un dessin du XVIe siècle, a été récemment restauré grâce a l’ordre de Malte, l’un des rares Ordres religieux fondés au Moyen Age encore actifs aujourd’hui.
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La chapelle Saint Jean.
La chapelle Saint- Jean est mentionnée pour la première fois au début du XIIIe siècle. Elle serait implantée sur une chapelle plus ancienne offerte à saint Jean-Baptiste. A partir de 1205, les Hospitaliers utilisèrent la chapelle et ses abords comme cimetière. Composée d’une nef unique scandée de trois travées, elle a subi au cours des siècles de nombreux remaniements, dont l’adjonction de chapelles latérales, et un changement d’orientation par la création, au début du XVIe siècle, d’une nouvelle abside semi-circulaire à l’ouest.
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La chapelle Saint Jean.
La voûte.
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La chapelle Saint Jean.
La voûte.
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La cour de la Commande.
Le bâtiment de la Commanderie a disparu dans l'explosion de munitions qui a fortement endommagé le fort durant la Seconde Guerre Mondiale, mais la voûte de sa grande salle est encore décelable dans la falaise artificielle de poudingue (cour de la commande). A droite, la montée des canons.
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La cour de la Commande.
Au fond, reste de la voûte de la grande salle.
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La cour de la Commande.
Reste de la voûte de la grande salle.
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La montée des canons.
Les deux niveaux de la forteresse sont reliés par un tunnel qui permet le passage des canons depuis la partie basse pour les hisser à la partie haute.
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La montée des canons.
Les deux niveaux de la forteresse sont reliés par un tunnel qui permet le passage des canons depuis la partie basse pour les hisser à la partie haute.
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La montée des canons.
Vue vers la partie haute. A droite, entrée de la casemate.
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La casemate.
Les trois fenêtres visibles de Saint Laurent.
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La casemate.
Aération de la casemate.
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La passerelle.
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La passerelle.
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La passerelle.
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La passerelle.
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La passerelle.
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La passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Vue de la passerelle.
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Le toit du MuCEM.
La tour du Fanal.
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Le toit du MuCEM.
Le palais du Pharo.
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Le toit du MuCEM.
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Le toit du MuCEM.
La cathédrale, la tour CMA-CGM..
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Le toit du MuCEM.
La cathédrale, la tour CMA-CGM et celle de La Marseillaise.
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Le toit du MuCEM.
La cathédrale.
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Le toit du MuCEM.
La cathédrale.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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La terrasse du MuCEM.
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