Le MuCEM : expositions 2013
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Noria
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Noria
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Vase-silo à céréales.
2800-2000 av J.C Fonds J Arnal. Site archéologique Lattara. Musée Henri Prades. Montpellier.
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Petite barque pour la pêche et la riziculture
Lagune de l'Albufera, Valence, Espagne 1900-1950. Bois. Musée d'Ethnologie de Valence, Espagne
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Cérès Borghese.
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Sonnailles
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Sonnailles
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Sonnailles.
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Outillage de moissonneur
Enclume et marteau de faucheur. Doigtiers de moissonneur. Étui et pierre à faux.
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Panetière
Provence 1850-1900. Bois, fer. MuCEM
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Des pains.
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Des pains.
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Outils pour le dépiquage.
Alicante. 1900 – 1950. Dans sa position normale d'utilisation, les larmes sont placées sur le sol et broient les épis de céréales.
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Charrette sicilienne.
Cette charrette est l'une des expressions les plus caractéristiques de l'identité de la Sicile : jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, la Sicile ne disposait que d'un réseau de voies rudimentaires, et le transport des marchandises était principalement réalisé à dos de mules. Pour circuler, les siciliens ont mis au point des charrettes légères et robustes, dotées de roues puissantes.
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Charrette sicilienne.
Les scènes peintes sur les parties externes de cette charrette sont tirées de la littérature chevaleresque du Moyen Âge européen, qui conte l’Histoire des paladins de France, et qui sert également de trame aux spectacles de marionnettes joués dans le sud de l’Italie. Ces spectacles sont classés au patrimoine mondial de l’humanité.
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Charrette sicilienne.
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Relief représentant Akhenaton en sphinx
Egypte. IVe siècle av. J.-C. Calcaire polychrome. Le monothéisme, croyance en un Dieu unique et universel, est issu d'un processus complexe. En Egypte, au XIVe siècle avant J.-C, Akhenaton impose pour la première fois la croyance en un seul dieu, représenté par le disque solaire Aton. Ce mouvement ne survit pas au règne du pharaon.
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Icônes.
Icône de la Nativité. Grèce XVIIIe siècle Peinture à l'œuf sur bois. Icône au Christ Pantocrator, avec la Bible. Eglise Saint-Ioannis, Thissia, Grèce 1802. Peinture sur bois. Icône de la Vierge à l'Enfant. Ecole de Jérusalem XIXe siècle Peinture sur bois. Icône de l'Ascension du Christ. Grèce XVIIIe siècle Peinture à l'œuf sur bois. Icône de l'Annonciation. Grèce XVIIIe siècle Peinture sur bois. Icône de la Résurrection. Grèce XVIIIe siècle Peinture à l'œuf sur bois. Icône de la fontaine de Vie. Entrée à Jérusalem. Grèce. XVIIIe-XIXe siècle Peinture à l'œuf sur bois. Icône de l'Annonciation. Ashraf. Georges Fayek Le Caire, Egypte 2003. Peinture sur bois.
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Sheikh Sana'an, la vierge et l'enfant.
Iran, vers 1875. Cette vierge à l'enfant produite en contexte musulman témoigne de la place attribuée à Jésus (Isa) et à sa mère Marie (Mariam) dans le Coran où ils apparaissent comme des modèles à suivre, cités entre autres sur les inscriptions qui ornent le Dôme du Rocher à Jérusalem.
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Corne à boire représentant le sacrifice d'Abraham
Espagne XIXe-XXe siècle Corne, liège. De grandes figures communes aux trois religions, appelées prophètes et patriarches, ont laissé dans le sol de Jérusalem la trace de leur passage. La Torah, la Bible et le Coran racontent que c'est là qu'Abraham aurait préparé le sacrifice de son fils Isaac (ou Ismaël selon la tradition musulmane). Jésus-Christ, considéré comme le Messie par les chrétiens, apparaît également dans te Coran, sous le nom d'Isa : les musulmans voient en lui un prophète ayant réalisé de nombreux miracles.
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La traversée de la Mer Rouge. Marc Chagall 1955. Huile sur toile Musée national d’art moderne/Centre de création industrielle, en dépôt au Musée national Marc Chagall, Nice Fuyant l'Egypte pour libérer le peuple hébreu de l'esclavage, Moïse traverse la Mer Rouge pour parvenir en Terre Promise, la terre d'Israël. Figure fondatrice du judaïsme, Moïse préfigure pour les chrétiens le Christ et annonce, pour les musulmans, la figure du Prophète Muhammad.
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Dieu se manifeste à Moïse dans le buisson ardent (...) (Exode, III, 1-6)
Marc Chagal. 1931-1934. Gravure
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Muhammad, Ali et ses fils
Téhéran, Iran 1900-1950. L'image montre d'un coté Ali recevant l'enseignement du prophète Muhammad, de l'autre Ali et ses fils Hassan et Hussein.
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Rimonim, ornements de Torah
Maroc. XIXe siècle. Cuivre argenté. Musée d'art et d'histoire du Judaïsme.
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Rimonim, ornements de Torah
Maroc. XIXe siècle. Cuivre argenté. Musée d'art et d'histoire du Judaïsme.
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Décret honorifique pour Denys Ier de Syracuse
Athènes, Grèce 394-393 av. J.-C. Musée épigraphique Athènes Le relief surmontant l'inscription représente la déesse Athéna serrant la main à la personnification de la Sicile ou de Syracuse. L'inscription met en évidence la procédure démocratique nécessaire pour décerner les honneurs à Denys, tyran de Syracuse
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Statuette de Tyché
Grèce. Ier siècle av. J.-C. - Ier siècle. Terre cuite
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Clous de fondation
Suse, Iran. 2000 av. J.-C. Terre cuite
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Rouleau
Grèce. XIIIe siècle. Parchemin.
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Si le judaïsme, le christianisme et l'islam sont appelés « religions du livre», c'est parce que tous trois s'appuient sur un texte sacré. La Torah, la Bible et le Coran relatent le discours des prophètes et patriarches, et restituent la révélation transmise par Dieu. Ces textes sacrés sont les supports de prière des croyants associée à Jérusalem. Les juifs prient en direction de la « Villa sainte » comme les chrétiens, dont les églises sont orientées vers l'est, et une prière musulmane dite à Jérusalem en vaudrati 25 000 prononcées ailleurs. 1 Tablette coranique Marrakech, Maroc 1900-1950 Bois, encre. 2 Coran. 3 Tablette coranique Algérie 1900-1950 Bois, argile encre. 4 Boîte à Coran. 5 Sabha, chapelet. 6 Sabha, chapelet Téhéran, Iran XXe siècle Perles en agate. 7 Sabha, chapelet Medea, Algérie XXe siècle Perles en bois.
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Coran
Egypte ou Syrie 1302 (an 701 de l'hégire) Papier vélin enluminé, cuir doré
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Boîte à Coran
Ohrid, République de Macédoine 1900-1950 Argent
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Sabha, chapelet
Jableh, Syrie 2000-2001 Perles, métal
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Icône de pèlerin, vue de Jérusalem.
Jérusalem Fin XVIIIe – début XIXe siècle. Ces icônes, peintes en série dans des ateliers de Jérusalem, représentent majoritairement des vues de Jérusalem et des événements qui s'y sont déroulés. Elles étaient vendues aux pèlerins chrétiens, qui les rapportaient comme souvenir de leur périple en Terre Sainte.
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Icônes de pèlerin.
Daniel dans la fosse aux lions. Présentation de Marie au temple. Jérusalem. 1900 – 1950.
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Album de cartes postales, portraits de papes romains
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Al-Buraq devant la mosquée Al-Aqsa
Nasser Ellefi Tunisie Vers 2000 Peinture sous verre. Après avoir été transporté de La Mecque à Jérusalem sur le dos d'Al-Buraq, un être fantastique, le Prophète Muhammad s'éleva dans les cieux accompagné par l’ange Gabriel pour rencontrer tour à tour Adam, Jésus, Moïse et Abraham et recevoir d'Allah la recommandation des cinq prières quotidiennes.
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Pèlerinage à La Mecque
Abou Subi al-Tinawi Damas, Syrie 1950-2000. Peinture sous verre.
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Reliquaires
Reliquaire représentant le tombeau du Christ. Jérusalem 1752. Bois, nacre. Reliquaire. Jérusalem XVIIe siècle Pierres, bois, nacre, verre, papier.
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Carreau aux trois saints hiérarches
Kûtahya, Turquie 1718-1719. Faïence Ce carreau représente saint Grégoire l'illuminateur, évangélisateur de l'Arménie, entre saint Basile de Césarée et saint Jean Chrysostome. Il appartient à une série de près de 50 carreaux commandés par l'Eglise arménienne pour décorer l'église du Saint-Sépulcre.
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Carreaux à l’ange
Iran Vers 1700 Céramique
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Lampe de Hanoukah
Les lampes allumées lors de la fête juive de Hanoukah font directement référence au miracle de la fiole d'huile, permettant aux prêtres du Temple de faire brûler pendant huit jours une quantité d'huile à peine suffisante pour une journée. Afrique du Nord. XVIIIe-XXe siècle. Calcaire.
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Amulette Juive représentant le chandelier du Temple
Afrique du Nord.
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Apocalypse
Paris, France. 1550-1600. Papier. L'attente du Messie est partagée par les trois religions Si les juifs espèrent toujours la venue sur terre du Messie pour apporter la paix, les chrétiens l'ont reconnu en Jésus-Christ. Il est considéré comme le fils de Dieu venu sur terre pour racheter les péchés des hommes, a souffert sa Passion et est mort sur la croix, mais il reviendra à la fin des temps. Dans l'islam on attend le retour de Jésus sur la terre au moment de la fin du monde. Et les musulmans shiites, qui se réclament de la lignée de l'imam Ali, attendent l'avènement du XIIe imam, un Messie qui mettra fin aux forces de l'ignorance.
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Icône de la Confession
Grèce XVIIIe - XIXe siècle. Peinture à l'œuf sur bois.
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Éventail liturgique
Grèce ? Milieu duXIXe siècle Peinture sur bois.
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Statue du magistrat au nom de Caninius
Le procurateur Caninius administrait la province d'Afrique au nom de l'empereur dont il dépendait directement. Il est représenté vêtu de la toge cérémonielle des magistrats, grande pièce de laine au drapé codifié, qui était à l'origine l'insigne des citoyens romains. Marbre.
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Athlète vainqueur au pugilat.
Rome, troisième siècle.
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Mur de portraits
Depuis des millénaires, le portrait est une forme d'affirmation de soi. Dans l'Antiquité, les notables de la cité, notamment les patriciens, font réaliser leur portrait pour affirmer leur pouvoir. Puis la place grandissante de l'individu dans la société entraîne une diffusion plus large du portrait, prélude à l'idéal contemporain de citoyenneté et de démocratie pour tous. Au dessus des vitrines, pièce supplémentaire de Dominique Àngel (né en 1942) 2013. Plâtre, terre crue, moulages. Collection de l'artiste. De gauche à droite, de haut en bas : 12 Portrait funéraire Palmyre, Syrie 75-100 Calcaire. 13 Portrait funéraire Palmyre Syrie 100-150 Calcaire. 14 Portrait funéraire Palmyre, Syrie Milieu du IIIe siècle Calcaire 15 Portrait de matrone âgée. Rome, Italie Ier siècle Marbre. 16 Masque funéraire de femme. Egypte Ier- IVe siècle Stuc, verre, traces de dorure et peinture bleue 17 Portrait d'un contemporain de l'avènement de l'Empire romain Anzio, Italie Après 31 av. J.-C Marbre. 18 et 19 Masque funéraire Tounah el-Gebel. Egypte Ie r - Ve siècle Stuc, peinture noire, rose Masque funéraire de jeune garçon Tounah el-Gebel, Egypte r Ier - Ve siècle Stuc, peinture noire, brun-rouge. 20 Portrait funéraire Palmyre. Syrie 200 - 250 Calcaire. 21 Masque funéraire féminin Tounahel-Gebel. Egypte Ier -Ve siècle. Stuc, peinture noire, rose rose-brun.
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De gauche à droite, de haut en bas : 12 Portrait funéraire Palmyre, Syrie 75-100 Calcaire. Musées d'art et d'histoire de Genève 13 Portrait funéraire Palmyre Syrie 100-150 Calcaire. Musées d'art et d'histoire de Genève 14 Portrait funéraire Palmyre, Syrie Milieu du IIIe siècle Calcaire Musées d'art et d'histoire de Genève 15 Portrait de matrone âgée. Rome, Italie Ier siècle Marbre. Musées d'art et d'histoire de Genève 16 Masque funéraire de femme. Egypte Ier- IVe siècle Stuc, verre, traces de dorure et peinture bleue Musées d'art et d'histoire de Genève 17 Portrait d'un contemporain de l'avènement de l'Empire romain Anzio, Italie Après 31 av. J.-C Marbre. Musées d'art et d'histoire de Genève
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16 Masque funéraire de femme. Egypte Ier- IVe siècle Stuc, verre, traces de dorure et peinture bleue Musées d'art et d'histoire de Genève 17 Portrait d'un contemporain de l'avènement de l'Empire romain Anzio, Italie Après 31 av. J.-C Marbre. Musées d'art et d'histoire de Genève 18 et 19 Masque funéraire Tounah el-Gebel. Egypte Ie r - Ve siècle Stuc, peinture noire, rose Musées d'art et d'histoire de Genève Masque funéraire de jeune garçon Tounah el-Gebel, Egypte r Ier - Ve siècle Stuc, peinture noire, brun-rouge. Musées d'art et d'histoire de Genève 20 Portrait funéraire Palmyre. Syrie 200 - 250 Calcaire. Musées d'art et d'histoire de Genève 21 Masque funéraire féminin Tounahel-Gebel. Egypte Ier -Ve siècle. Stuc, peinture noire, rose rose-brun. Musées d'art et d'histoire de Genève
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Mur de portraits
Mur de portraits Depuis des millénaires, le portrait est une forme d'affirmation de soi. Dans l'Antiquité, les notables de la cité, notamment les patriciens, font réaliser leur portrait pour affirmer leur pouvoir. Puis la place grandissante de l'individu dans la société entraîne une diffusion plus large du portrait, prélude à l'idéal contemporain de citoyenneté et de démocratie pour tous. Au dessus des vitrines, pièce supplémentair de Dominique Àngel (né en 1942) 2013. Plâtre, terre crue, moulages. Collection de l'artiste. 1 et 2 Mme Agnès Meyer Charles Despiau 1929. Bronze, socle de bois noir, patine dorée Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris. Portrait de jeune femme Charles Despiau 1937 Plâtre. Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris 3 et 4 Buste de M. L. Vogel. Chana Orloff 1922. Ciment teinté Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris. Jeune sportif. Jules Oscar Maes XXe siècle. Bois. Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris. 5 portraits du sénateur Borletti. Francesco La Monaca. Bronze patiné, socle en pierre. Donc du sénateur en 1935. Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris. 6 Portrait de Gaby. Marino Marini 1932. Terre cuite. Don du sénateur Borletti 1935. Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris. 7 Jean-Claude Osouf. Portrait du fils aîné de l'artiste Jean Osouf. Bronze doré, socle en marbre noir. 1934. Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris. 8 Tête de Pierre Camo. Martinez I Hugue Manuel dit Manolo. 1913. Terre cuite. Don de M. Daniel-Henry Kahnweileren 1962 Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris 9 Buste d'homme. Séraphin Soudbinine 1912 Bronze. Musée d Orsay, Paris 10 Marie-Jeanne, buste de jeune fille. Henri Albert Lagriffoul. 1932 Marbre. Centre Pompidou. 11 Le peintre Ernest Desurmont. Henri Vallet 1920.Bronze, socle en marbre. Centre Pompidou. MNAM/CCI, Paris
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Mur de portraits
1 et 2 Mme Agnès Meyer Charles Despiau 1929. Bronze, socle de bois noir, patine dorée Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris. Portrait de jeune femme Charles Despiau 1937 Plâtre. Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris 3 et 4 Buste de M. L. Vogel. Chana Orloff 1922. Ciment teinté Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris. Jeune sportif. Jules Oscar Maes XXe siècle. Bois. Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris. 5 portraits du sénateur Borletti. Francesco La Monaca. Bronze patiné, socle en pierre. Donc du sénateur en 1935. Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris. 6 Portrait de Gaby. Marino Marini 1932. Terre cuite. Don du sénateur Borletti 1935. Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris. 7 Jean-Claude Osouf. Portrait du fils aîné de l'artiste Jean Osouf. Bronze doré, socle en marbre noir. 1934. Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris. 8 Tête de Pierre Camo. Martinez I Hugue Manuel dit Manolo. 1913. Terre cuite. Don de M. Daniel-Henry Kahnweileren 1962 Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris
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Mur de portraits
6 Portrait de Gaby. Marino Marini 1932. Terre cuite. Don du sénateur Borletti 1935. Centre Pompidou, MNAM/CCI, Paris. 7 Jean-Claude Osouf. Portrait du fils aîné de l'artiste Jean Osouf. Bronze doré, socle en marbre noir. 1934. Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris. 8 Tête de Pierre Camo. Martinez I Hugue Manuel dit Manolo. 1913. Terre cuite. Don de M. Daniel-Henry Kahnweileren 1962 Centre Pompidou, MNAM/CCI. Paris 9 Buste d'homme. Séraphin Soudbinine 1912 Bronze. Musée d Orsay, Paris 10 Marie-Jeanne, buste de jeune fille. Henri Albert Lagriffoul. 1932 Marbre. Centre Pompidou. 11 Le peintre Ernest Desurmont. Henri Vallet 1920.Bronze, socle en marbre. Centre Pompidou. MNAM/CCI, Paris
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Masque funéraire féminin
Tounahel-Gebel, Egypte. Ier - Ve siècle. Stuc, peinture noire, rose, rose-brun.
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Le duc de Montpensier visitant les ruines du temple de Jupiter à Athènes.
Dominique Papety. Marseille, 1848.
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Venise, le Grand Canal avec Bucentaure.
Félix Ziem, XIXe siècle.
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Allégorie du serment civique, Constitution de l'an II
Maquette de la cheminée de l'hôtel de ville de Marseille Alexandre-Charles Renaud 1794 Plâtre. Musée des Beaux-Arts, Marseille
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Buste de Pascal Paoli.
Bastia, XIXe siècle. Élu général en chef de la nation corse, Pascal Paoli, inspiré par l'esprit des Lumières, propose en 1755, près de 30 ans avant la révolution française, une constitution qui établit la souveraineté du peuple et la séparation des pouvoirs. Il accorde le droit de vote aux chefs de famille, dont les femmes. Son action sera saluée par Jean-Jacques Rousseau.
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Femmes grecque en costumes traditionnels
Dominique Papety Vers 1846-1847 Mine de plomb, aquarelle, papier. Musée du Louvre, département des Arts graphiques, Paris
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Navires.
Manufacture. Mezannar..Damas, Syrie 1950 – 2000. Tissu façonné soie. Ville de Clermont-Ferrand, collection du musée Bargo
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La Guillotine.
Alphonse Léon Berger, ébéniste, 1872. La guillotine a été inventée pour éviter toute torture physique aux condamnés à mort. Elle incarne la peine capitale et pose la question de la violence d'État : dissuasive ? Exemplaire ? Légitime ? La peine de mort sera abolie en France en 1989.
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Jardin d'addictions.
Christophe Berdaguer et Marie Péjus. 2010 – 2011. Cette œuvre contient des parfums de substances addictives (café, drogues, alcools) que l'homme utilise dans ses quêtes vers les zones inconnues du cerveau. Séduisante et effrayante, elle suggère désir et peur associée à tout voyage, qu'ils soient réels ou virtuels.
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Jardin d'addictions.
Christophe Berdaguer et Marie Péjus. 2010 – 2011. Cette œuvre contient des parfums de substances addictives (café, drogues, alcools) que l'homme utilise dans ses quêtes vers les zones inconnues du cerveau. Séduisante et effrayante, elle suggère désir et peur associée à tout voyage, qu'ils soient réels ou virtuels.
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Jardin d'addictions.
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Jardin d'addictions.
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Vue cavalière de Venise.
École italienne.
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Globe terrestre.
Vincenzo Coronelli, auteur, Gattelier, fabriquant. Paris, 1688 – 1695.
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Globe terrestre.
Vincenzo Coronelli, auteur, Gattelier, fabriquant. Paris, 1688 – 1695.
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Sphère armillaire.
Système géocentrique de Ptolémée. Vers 1725. Cette sphère illustre le mouvement des astres autour de la terre selon le système hérité de Ptolémée, géographe et astronome grec de l'Antiquité. Cet objet fait partie des instruments de mesure du temps et de l'espace qui ont permis aux navigateurs méditerranéens de trouver de nouvelles routes maritimes, dès la Renaissance.
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Maquette du San Gabriel, navire de Vasco de Gama.
Échelle 1/20, Vladimir Evine, 1990. Du bateau de pêche appelé caravelle, les Portugais firent un navire adapté au long cours sur la route maritime des Indes. Avec ses voiles triangulaires latines, ses hauts bords, sa coque large ou son gouvernail d'étambot, il peut affronter le gros temps avec des courants contraires.
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Instruments de mesure
Eramus Habermel fabricant-horloger Prague. Fin du XVIe siècle. Cuivre redoré. Erasmus Habermel œuvrait à Prague au temps de l'empereur Rodolphe II, Protecteur des sciences. L'empereur s'était entouré de scientifiques qui passèrent commande à Habermel. Les instruments présentés recouvrent l'ensemble des savoirs, comme géographie ou la cosmographie. Ils servent à différentes mesures, utilisées pour la cartographie par exemple.
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Globe terrestre dit Globe de Rouen.
France XVIe siècle. Cuivre gravé.
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2 Astrolabe syro-égyptien. 3 Sextant. 4 Astrolabe
2 Astrolabe syro-égyptien Ibn al-Shatir Damas, Syrie. 1326. aiton Observatoire de Paris, Bibliothèque. 3 Sextant Aappareil de géodésie, utilisé parSavorgnan de Brazza (officier de marine et explorateur du XIXe siècle). Europe. Laiton, argent. Ancienne collection René de Chambrun Musée du quai Branly, Paris. 4 Astrolabe Fez, Maroc. Fin du XVIIIe siècle. Laiton Observatoire de Pa Bibliothèque Inventé dans l'Antiquité, puis amélioré par les Arabes, l'astrolabe sert d'abord à calculer l'heure. Au XVe siècle, les Portugais adaptent cet instrument à un usage maritime, permettant de déterminer la latitude des bateaux. Il joue un grand rôle dans les traversées maritimes du XVe siècle.
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5 Clinomètre
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Instruments de mesure
6 Instrument topographique ? 7 Cercle équatorial à équinoxal 8 Cercle entier
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Instrument topographique ?
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Cercle équatorial ou équinosal.
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9 Compas
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10 Instrument topographique?
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11 Trigonomètre
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12 Cercle entier
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13 Théodolite
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14 Equerre de canonnier
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Instruments de mesure
13 Cercle entier 15 Equerre de canonnier
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Instruments de mesure
16 Nécessaire à dessin 17 Quarré géométrique
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16 Nécessaire à dessin
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17 Quarré géométrique
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Surtout de table
Ruines d Egypte. Anne et Patrick Poirier nés en 1940 et 1942 - Porcelaine émaillée (bleu de Sèvres). Réalisée à partir des moules du surtout d'Egypte de Napoléon Ier, cette œuvre souligne la puissance évocatrice des ruines des grande civilisations méditerranéen, leur fragilité au temps qui passe et leur place centrale dans notre imagination collective.
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Surtout de table
Ruines d Egypte. Anne et Patrick Poirier nés en 1940 et 1942 - Porcelaine émaillée (bleu de Sèvres). Réalisée à partir des moules du surtout d'Egypte de Napoléon Ier, cette œuvre souligne la puissance évocatrice des ruines des grande civilisations méditerranéen, leur fragilité au temps qui passe et leur place centrale dans notre imagination collective.
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Surtout de table
Ruines d Egypte. Anne et Patrick Poirier nés en 1940 et 1942 - Porcelaine émaillée (bleu de Sèvres). Réalisée à partir des moules du surtout d'Egypte de Napoléon Ier, cette œuvre souligne la puissance évocatrice des ruines des grande civilisations méditerranéen, leur fragilité au temps qui passe et leur place centrale dans notre imagination collective.
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Bleu II.
Joan Miro. 1961.
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L'entrée du port de Marseille.
Joseph Vernet. 1754. Ce panorama de Joseph Vernet illustre la place de Marseille au XVIIIe. C'est le premier port de commerce de France, ouvert sur le levant. La ville entretient des relations avec l'empire ottoman, appelé la Sublime Porte, et certains pays placés sous son autorité, comme les régences « barbaresques ».
102
Eruption du Vésuve
Volaire, 1785
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Audience accordée par le Grand Vizir Aïmali-Carac à Monsieur de Saint-Priest, le 18 mars 1779
François Joseph Casanova. Huile sur toile. Musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. L'Empire ottoman au XVIIIe est la grande puissance qui domine la plus grande partie des côtes de la Méditerranée, des Balkans jusqu'en Algérie. De nombreux échanges entre la Sublime Porte et l'Europe se nouent, qui se manifestent notamment par des réceptions des ambassadeurs.
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Bataille des Pyramides, 21 juillet 1798
François Louis Joseph Watteau. Vers 1800. Huile sur toile. Musée des Beaux-Arts de Valenciennes Lors de la bataille des Pyramides (21 juillet 1798), Bonaparte et son armée remportent la victoire contre les mamelouks. Le peintre nous donne une vision de l'événement qui glorifie les actions de l'armée française d'Orient. Cette victoire marque profondément l'imaginaire français et européen. Avec l'expédition d'Egypte (juillet 1798 - août 1801), Bonaparte poursuit un but militaire, couper la route de l'Inde aux Anglais, et un projet de civilisation réformer et étudier l'Egypte. Mais le peuple du Caire accepte difficilement ces « missionnaires armés » et se révolte. La répression envers la population sera brutale. L'expédition est finalement un échec militaire, Bonaparte doit quitter l'Egypte, mais elle devient une légende à l'avantage de Bonaparte sous le pinceau de peintres qui glorifient l'histoire nationale.
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