Quartier de la Plaine
Le palais des Arts, la Plaine et ses rues voisines, les graphs du cours Julien.
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Le Palais des Beaux-Arts.
L'Académie de peinture est fondée grâce à quelques peintres, sculpteurs, dessinateurs, réunis en 1753 pour dessiner d'après modèle vivant. Après avoir jeté les premiers fondements de l'Académie, ils forment une école de dessin ouverte au public. L'institution se destine à fournir les dessinateurs aux manufactures de Marseille. L'Académie prospère jusqu'à la Révolution, puis les tableaux, modèles, papiers, meubles sont détruits ou dispersés. En 1796, l'école est reconstituée sous le nom d'école publique de dessins, sous la direction du peintre Guénin. Elle est installée au couvent des Bernardines. Face au nombre croissant d'élèves, la municipalité décide de créer un nouveau bâtiment qui abritera, outre la future école des Beaux-Arts, une bibliothèque et le cabinet des médailles de la Ville. Henry Espérandieu est chargé de dresser les plans du futur édifice. Le 18 février 1864, l'architecte propose alors trois projets à la Commission des Bâtiments Civils du Département. Le projet définitif est présenté en 1865.
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Le Palais des Beaux-Arts.
Le chantier a été long et difficile, et les premiers ralentissements apparaissent début 1867. L'année suivante, les travaux sont suspendus à cause de difficultés financières. Un devis supplémentaire couvre une partie des travaux, mais de 1870 à 1872, la construction s'arrête avec la guerre. À la mort d'Espérandieu en 1874, le chantier est repris par Joseph Letz avec Gaudensi Allar comme inspecteur des travaux. Letz put achever l'œuvre d'Espérandieu avec fidélité, puisqu'il l'avait suivi durant la construction du Palais Longchamp en tant qu'inspecteur.
La façade principale: elle est la seule entièrement blanche en pierre de Tarascon. De 54 m de long, le décor de la façade principale évoque les grandes étapes de l'histoire de l'architecture. Au premier étage, sur chaque trumeau séparant les fenêtres, l'architecte place une colonnette d'ordre ionique ornée d'une palme surmontée d'une niche abritant le buste d'un grand bâtisseur de l'histoire, d'un roi, représentant une époque illustre. Sur l'écoinçon qui le surmonte est sculpté en bas-relief le monument le plus remarquable de chacune de ces époques. Ces références à l'architecture font écho à l'enseignement de l'architecture au XIXe. Espérandieu propose ainsi une histoire de l'architecture en dix étapes, de Sésostris à Napoléon Ier.
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Le Palais des Beaux-Arts.
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La façade principale
École romaine. Arc de Triomphe de Septime Sévère. École byzantine. Façade Sainte-Sophie. Buste d’Auguste. École romane. Cathédrale d’Aix-la-Chapelle. Buste de Charlemagne. École gothique. La Sainte-Chapelle. Buste de Saint-Louis. École italienne. Saint-Étienne de Rome. Buste de Léon X. École renaissance. Château de Chambord. Buste de François Ier.
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La façade principale
École égyptienne. Pylône du temple de Karnac. Buste de Sésostris. École grecque. Temple du Parthénon. Buste de Périclès.
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La façade principale
École romaine. Arc de Triomphe de Septime Sévère. École byzantine. Façade Sainte-Sophie. Buste d’Auguste. École romane. Cathédrale d’Aix-la-Chapelle. Buste de Charlemagne.
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La façade principale
École gothique. La Sainte-Chapelle. Buste de Saint-Louis. École italienne. Saint-Étienne de Rome. Buste de Léon X. École renaissance. Château de Chambord. Buste de François Ier.
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La façade principale
École française. Dôme des Invalides. Buste de Louis XIV. École moderne. Arc de Triomphe de l’Étoile à Paris. Buste de Napoléon 1er.
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L’école des beaux-arts
Deux anges sculptés couronnent la composition. Ils encadrent un cartouche gravé de l'année du début du projet de 1864. Au niveau supérieur, dans une niche, le sculpteur Félix Chabaud exécute « le Génie des Arts. »
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L’école des beaux-arts
« le Génie des Arts. » de Félix Chabaud.
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La Bibliothèque
Les deux petits anges, portent cette fois un cartouche gravé de la date de la fin du chantier, 1869. Sur le couronnement, le sculpteur François Truphème exécute « Le génie des Sciences. »
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La Bibliothèque
« Le génie des Sciences. » de François Truphème.
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Le Palais des Beaux-Arts
L'entrée de gauche conduisaitt à la bibliothèque, située à l'étage et à l'école de musique. Aujourd'hui, c'est l'accès au conservatoire de musique et à la cour. Le traitement de la façade principale traduit la double fonction du bâtiment, à travers ses deux entrées, et la distribution intérieure. Espérandieu a en effet travaillé l'édifice, intérieur et extérieur, comme un ensemble cohérent. La structure générale est un peu modifiée en 1865, les fonctions sont toujours réparties en deux corps de bâtiments.
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Le Palais des Beaux-Arts
La porte de droite conduit à l'école des Beaux-Arts. Aujourd'hui elle mène à la salle des fêtes. Un ordre colossal embrasse le premier et second étage.
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La Bibliothèque
Le pavillon de gauche possède une composition symétrique à celui de droite.
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L’école des beaux-arts
L'avant corps droite abrite au rez-de-chaussée l'accès à l'école des Beaux-Arts.
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L'escalier à l'Impériale
Dans le vaste espace de l'escalier d'honneur menant à la salle des fêtes l'architecte multiplie les références à Marseille et aux arts. Les balustres de l'escalier sont formées d'une succession de M, évoquant la cité phocéenne.
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L'escalier à l'Impériale
La clef de l'arc de l'étage est ornée de trois visages symbolisant les Lettres au centre, les Sciences à gauche et les Arts à droite.
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L'escalier à l'Impériale
Dans les chapiteaux des colonnes, des chouettes, symboles de la sagesse, préludent à l'accès de ce lieu d'étude.
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La salle des fêtes au premier étage
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La salle des fêtes au premier étage
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La salle des fêtes au premier étage
Art grec, Ictinos (architecte du Ve siècle av. J.-C. qui a conçu avec Callicratès et Phidias le Parthénon (447-432 av. J.-C.), Apelle (célèbre peintre grec qui a vécu au IV siècle av.), Phodias (un des plus célèbres sculpteurs, orfèvres et peintres du premier classicisme grec)
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La salle des fêtes au premier étage
Le dernier, art romain.
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La salle des fêtes au premier étage
Moyen-Age.
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La salle des fêtes au premier étage
Renaissance.
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La salle des fêtes au premier étage
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La salle des fêtes au premier étage
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La Cour Intérieure
Construite en briques et en pierres, la cour intérieure est un hommage à l'architecture française de la Première Renaissance. Cet hommage aux génies de l'art se poursuit dans les cartouches situés sous les fenêtres du premier étage. Ils portent les noms d'architectes célèbres sur la façade gauche : Brunelleschi, Bramante, Mansart. Les noms des sculpteurs Michel-Ange, Goujon, Coysevox, Coustou sont gravés sur la façade droite.
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La Cour Intérieure
L'aile située en fond de cour est ornée des noms des peintres Léonard de Vinci, Le Titien, Raphaël, Le Corrège, Poussin, Rembrandt.
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La Cour Intérieure
Les noms des sculpteurs Michel-Ange, Goujon, Coysevox, Coustou sont gravés sur la façade droite.
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La Cour Intérieure
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La Cour Intérieure
Monument à Espérandieu.
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Le monument de la peste
Ce monument se compose d'une colonne de granit provenant de l'abbaye de Saint-Victor, surmontée du génie de la santé, exécuté par Chardigny.
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Le monument de la peste
Le génie de la santé, exécuté par Chardigny (copie).
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La fontaine de Jules Cavelier
La fontaine constitue un hommage des anciens élèves d'Henry Espérandieu à leur maître.
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La fontaine de Jules Cavelier
Au centre, un mascaron féminin dont la chevelure est ornée de putti, déverse de l'eau dans une grande vasque. Cette sculpture, œuvre de Jules Cavelier, est placée dans l'axe d'une arcature dont le décor simule une perspective en trompe l'œil. Cette arcature est couronnée par un fronton orné d'un décor de tritons.
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La fontaine de Jules Cavelier
Le mascaron féminin dont la chevelure est ornée de putti.
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La fontaine de Jules Cavelier
Le fronton orné d'un décor de tritons.
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Le cheval de Ludovico de Luigi
Cette sculpture mise en place en 1983 est un cadeau de l'artiste, Ludovico de Luigi, à la Ville de Marseille.
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Le cheval de Ludovico de Luigi
Cette sculpture mise en place en 1983 est un cadeau de l'artiste, Ludovico de Luigi, à la Ville de Marseille.
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Le cheval de Ludovico de Luigi
Cette sculpture mise en place en 1983 est un cadeau de l'artiste, Ludovico de Luigi, à la Ville de Marseille.
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La Plaine
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La Plaine
Monument à Louis Capazza et Alphonse Fondere qui ont réalisé la première traversée aérienne de la Méditerranée, le 14 novembre 1886.
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La Plaine
L'architecte Gaston Castel fut choisi pour concevoir le monument qui fut édifié entre janvier 1929 et juillet 1930. Le décor sculpté évoque les différents épisodes de la traversée, du départ de Marseille à l'arrivée en Corse.
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La Plaine
Monument à Louis Capazza et Alphonse Fondere. Les portraits des deux aéronautes sculptés par Louis Bottinelly, couronne le bas-relief central.
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La Plaine
Monument à Louis Capazza et Alphonse Fondere.
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Rue Sibié
Eglise arménienne catholique. Paroisse Arménienne St-Grégoire-l’Illuminateur. L’Église d’Arménie, détachée de Rome à la suite du concile de Chalcédoine (451), est toujours restée séparée de l’Église catholique aussi bien que de l’Église orthodoxe. En marge d’elle se forma une communauté « uniate », l’Église arménienne catholique. Une de ses paroisses marseillaises s’est installée près de la Place Jean Jaurès dans l’ancienne chapelle du couvent des Sœurs de l’Observance
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Rue Sibié
Dès le XIIe siècle, parmi les Arméniens qui s’étaient réfugiés en Cilicie pour échapper aux persécutions musulmanes et y avaient fondé un royaume, il se trouvait des catholiques. Malgré la disparition, en 1375, du royaume de Cilicie, des religieux arméniens, les frères de l’Unité de saint Grégoire l’Illuminateur, posèrent, sous l’influence des Dominicains, les fondements de la future Église arménienne catholique. Celle-ci devint une réalité en 1740, lorsque l’évêque arménien d’Alep, Abraham Artzivisian, qui était catholique, fut élu patriarche de Sis en Cilicie. En 1911, l’Église fut divisée en dix-neuf diocèses, mais plusieurs d’entre eux furent supprimés après les massacres perpétrés par les Turcs (1915-1918), et les fidèles se réfugièrent à l’étranger.
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Rue Sibié
La hiérarchie fut réorganisée en 1928, et plusieurs sièges épiscopaux furent successivement érigés. Le patriarche arménien de Cilicie réside actuellement à Beyrouth, et il est l’évêque ordinaire du lieu. L’Église compte, en outre, trois archidiocèses (Alep, Bagdad et Istanbul), trois diocèses (Alexandrie ; Ispahan ; Kaméchliyé, en Syrie), un exarchat apostolique (Paris) et deux ordinariats (Athènes ; Gherla, en Roumanie). Le chef de la communauté arménienne catholique, qui comptait environ 100 000 membres en 1985, a le titre de « patriarche des Arméniens catholiques et catholicos de Cilicie » ; il porte habituellement le nom de Pierre. C’est l’arménien classique qui, aujourd’hui encore, est la langue liturgique de cette Église, qui suit le rite oriental (rite arménien).
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La Plaine
Place Jean Jaurès, ex place Saint-Michel en 2014. Sous la révolution, place de la Constitution : constitution du 4 août 1799 qui décrète qu'il n'y a plus de sujets, mais des citoyens.
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La Plaine
Fontaine Wallace.
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La Plaine
Des les années trente, un square avec bacs de sable pour les enfants a été construit au centre de la place (square dénommé ultérieurementYves Montand, autour duquel se tient un marché (non alimentaire) le mardi, jeudi et samedi et un marché aux fleurs le mercredi.
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En avril 2022.
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En avril 2022.
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En avril 2022.
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En avril 2022.
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En avril 2022.
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En avril 2022.
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Un certain Pierre Casile se fait construire, en 1894, un bel immeuble de rapport à l’angle de la rue de la Bibliothèque et de la place Saint-Michel.
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La Plaine
Une pareille façade accueille traditionnellement la modeste effigie d’une Vierge ou d’un saint protecteur ; ici, le traitement diffère par sa monumentalité et par le choix du sujet. Couronnant une colonne et un chapiteau ouvragé, une Jeanne d’Arc plus grande que nature se dresse fièrement, épée à la main et bannière au vent.
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La Plaine
La sculpture, œuvre de l’ornemaniste Adolphe Royan (1869-?) d’après les traces de signature, fait peut-être, elle aussi, écho à la décision papale. Pour autant, l’iconographie répond plus certainement au Monument aux enfants du département morts pour la défense de la Patrie pendant la guerre de 1870-1871, érigé sur la Canebière et inauguré le 26 mars 1894 ; dès lors, l’invocation de la Pucelle d’Orléans relèverait plutôt de l’esprit revanchard et du désir de reconquête de l’Alsace-Lorraine qui enflent partout en France, à la fin du XIXe siècle.
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La Plaine
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Rue Ferrari
Du nom de Nicholas Jacques Ferrari, échevin en 1766 qui achète une carterée de terrain qui bordait sa propriété rurale, à la plaine Saint Michel.
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Rue Ferrari
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Rue Ferrari
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Rue Terrusse
Esprit Joseph Terrussse, né en 1756, était un capitaine de navire de commerce. Il achète en 1822 une grande propriété rurale au Petit Camas.
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Rue Terrusse
Architecte, Paul Jaubert. Entrepreneur A. Perreau.
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Rue Terrusse
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Rue Terrusse
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Rue Terrusse
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Rue Terrusse
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Rue Terrusse
Le garage Devoulx (Negrel RG, architecte, atelier Félix Guis, sculpteur Margherini). 1930. Le nouveau programme du garage entre en ville, Ici il s'inscrit dans la trame des trois fenêtres marseillaises. La façade vise une image urbaine qui n'incommode pas le voisinage, avec ses verrières horizontales et verticale on hésite entre ateliers et grand magasin
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Rue Terrusse
Le garage Devoulx (Atelier Félix Guis, sculpteur Margherini). Durant l’Entre-deux-guerres, la voiture se démocratise et crée de nouveaux métiers tels que garagiste et concessionnaire automobile. Des architectures nouvelles répondent aux besoins générés. À Marseille, le plus célèbre de ces établissements reste le Palais de l’Automobile voulu par Raoul Mattéi (1890-1970), directeur de la Société des Auto-Taxis Marseillais et concessionnaire régional de Citroën. Ce bâtiment, construit sur le Prado en 1924-1925 par l’architecte André Ramasso et décoré par le sculpteur Alphonse Annoi, est détruit en 1989.
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Rue Terrusse
Le garage Devoulx (Atelier Félix Guis, sculpteur Margherini). Ce destin est malheureusement celui de la majorité des garages édifiés à cette époque. Un cependant a survécu : le garage Devoulx, sis 21-23 rue Terrusse. L’Indicateur marseillais de 1932 le présente comme une agence de Peugeot. Sa façade très géométrique s’orne de deux bas-reliefs identiques dus à Félix Guis (1887-1972) où une procession de véhicules soulève des volutes de poussière et de fumée. Ce garage fut, paraît-il, le premier à disposer d'un ascenseur pour monter les véhicules aux étages. Quelques années plus tard, un homme étend tombé dans le vide, l'ascenseur fut remplacé par une rampe d'accès aux étages.
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Rue Abbé-de-l'Epée.
Charles Michel de l'Epée, né à Versailles en 1712, se consacra au sort des sourds et muets dont il bouleverse de fond en comble les méthodes d'instruction en usage. invente un système par signes.
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La Plaine
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Boulevard Chave
Buste d'André Chave Ainé (1799-1868). Créateur du boulevard Chave et du quartier en 1830.
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Boulevard Chave
Buste d'André Chave Ainé (1799-1868). Créateur du boulevard Chave et du quartier en 1830.
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Boulevard Chave
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Boulevard Chave
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Rue Horace Bertin.
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Rue Horace Bertin.
Maison natale de Simon Bense, dit Horace Bertin (1842 – 1917). Il fonda plusieurs journaux dont le bavard, journal satirique qui paraît jusqu'à 1939. De 1899 à sa mort, il écrit dans le petit marseillais. Il écrit de nombreux ouvrages sur sa ville natale.
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Rue Saint Savournin.
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Rue Saint Savournin.
Foyer Jean-François Régis. Œuvre Saint Régis fondé en 1845, rue Bouterie puis rue de la Fare sous le nom de l'œuvre des Servantes, pour accueillir les jeunes filles de la campagne qui venaient se placer à Marseille, dans l'attente d'un emploi.
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Rue Saint Savournin.
École, ancien hôtel particulier. Dans le cartouche, au-dessus de la porte, les initiales G.L sont entrelacées, le balcon et soutenu par des sirènes.
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Rue Saint Savournin.
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Rue du loisir
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Maison natale de Louis Foucard, né en 1852. Félibre, artiste marseillais qui se produit surtout sur les foires, dans un théâtre démontable en bois.
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Le cours Julien
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En 2014, sur le même mur autorisé, lors du festival de graph. A droite, le diamant de l’artiste féminin Ouch.
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Puis, le 18 février 2015.
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Rue Poggioli.
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Rue Fontange
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Rue de l'olivier
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Rue Briffaut.
L Chauvet, architecte, 1895.
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Rue Briffaut.
Buste d'Auguste Bourdier, zouave du troisième régiment, édifiée par sa veuve.
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Rue Briffaut.
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Rue Briffaut.
Magasin de vins et liqueurs qui était à l'origine une boucherie dont l'intérieur était en marbre rouge.
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