Auriol
Ville d'Auriol et le Pôle Historique Minier du puits Hély d’Oissel.
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Au centre ville, la tour de l'horloge à deux cadrans (1564) s'élève derrière l'ancien hôtel de ville qui est maintenant le Musée Martin-Duby.
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Le Musée Martin-Duby.
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Fontaine de 1727.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Un service à liqueur bleu monté sur armature laiton.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Une carafe émaillée avec ses deux verres Mary Grégory – XIXe.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Cruche Dourgo, signée Cachard. Saint-Zacharie. XIXe siècle. Saladier au coq. Pots à fraises. Huilier, terre cuite vernissée en provenance d'Uzès.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Viholo avec sa mèche. L. Philippe
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Auriol. Musée Martin-Duby
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Auriol. Musée Martin-Duby
Un bougeoir en verre filé. Décor deux fleurs peintes à l’or. Louis- Philippe ?
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Auriol. Musée Martin-Duby
« Vase au bouquet de roses ». Huile. Joseph Martin-Duby.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Paysage à la rivière. Adolphe Monticelli. Marseille 1824-1886. Huile.
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Auriol. Musée Martin-Duby
« Oratoire Sainte Madeleine ». Huile. Joseph Martin-Duby.
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Auriol. Musée Martin-Duby
« Cabanon et amandiers en fleurs ». Huile. Joseph Martin-Duby.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Vue de Roquevaire. Huile. Joseph Martin-Duby.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Les Encanaux. Huile. Joseph Martin-Duby.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Décor pour l'opéra de Marseille. Huile sur bois. Joseph Martin-Duby.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Fontaine en cuivre.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Conservateur à raisins.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Trompette de la Saint-Jean en céramique vernissée.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Monnaies type d'Auriol. Le 27 février 1867, un cultivateur, Louis-Biaise Aubert, labourant avec son fils André, découvre, au pied d’un olivier, un vase d’argile contenant 2137 petites pièces d’argent maintenant connues des numismates du monde entier, sous le nom de TRESOR D’AURIOL. Ce trésor se composait d’oboles présentant une grande variété de types, voisins de ceux de plusieurs villes grecques, telles Phocée et Milet, mais aussi de Cysique, Lesbos, Cnide, Colophon, Clazomène, Chio, Panticapée. Elles avaient cours à MASSALIA aux premiers temps de sa fondation. On observe. sur ces pièces des têtes de lion, sanglier, veau, porc, chien, bélier, griffon, hippocampe et phoque ou des têtes humaines de style archaïque avec œil de face pouvant être attribuées à Artémis, Apollon, Bacchus indien, Héraclès, Athéna ou plus remarquables, une tête de nègre. Les numismates supposent que ce trésor fut enfoui vers 480 avant J.C. car les pièces qui le composent sont antérieures et se situent par leur style à la fin du VIème siècle avant J.C. Mais il y a aussi sans nul doute plusieurs pièces importées de diverses régions d’IONIE.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Après un premier inventaire descriptif et l’annonce rapide de la découverte dans le milieu de la numismatique par- l’intermédiaire du chanoine BARGES et des spécialistes marseillais, de nombreux spécialistes et collectionneurs se sont partagé ces inestimables monnaies, tout en polémiquant à souhait sur leur origine : grecque ou locale ? Parmi eux, des musées de Paris, de Saint-Germain- en-Laye, de Londres, de Lyon, de Milan, de Saint- Pétersbourg, de New-York ... sans oublier Marseille qui possède cent cinquante médailles parmi les plus significatives. L’importance de cette découverte a suscité de nombreuses publications itératives jusqu’à la plus exhaustive de A.E. FURTWANGLER en 1976, reprise en 1999.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Les premières pièces ont été frappées sur les côtes de la mer Egée, en Asie Mineure, en Lydie vers 650 avant J.C. avant de se répandre dans l’ensemble du monde grec. Massalia, qui deviendra Marseille, était une colonie phocéenne et son commerce dépendait des grands armateurs négociants de Phocéa qui envoyaient sur place des hommes de confiance, investis d’importants pouvoirs commerciaux et politiques. Le monnayage initial employé pour les échanges commerciaux était celui utilisé dans la cité mère : oboles ou multiples et divisions d’oboles ayant cours à Phocéa et autres villes de Méditerranée orientale. Très rapidement l’antique cité frappa ses premières monnaies entre 575 et 460 avant J.C. donc peu de temps après l’invention de la monnaie en Asie Mineure en Lybie vers 620 - 590 avant J.C.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Tête de bélier, à gauche. Tritartémorion milésiaque 0,86 g. env 495/470-460 av. J.-C. Tête de lion à gauche, la gueule ouverte. Hémiobole milésiaque 0,50 g. env. 490/485-470 av. J.-C. Tête perlée à droite, à la boucle d'oreille. Tritartémorion phocaïque. 0,62 g. env. 475-465 av. J.-C. Tête de veau, à droite. Hémiobole milésiaque. 0,54 g. env. 485-470 av. J.-C.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Tête de bélier, à gauche. Tritartémorion milésiaque 0,86 g. env 495/470-460 av. J.-C. Tête de lion à gauche, la gueule ouverte. Hémiobole milésiaque 0,50 g. env. 490/485-470 av. J.-C. Tête perlée à droite, à la boucle d'oreille. Tritartémorion phocaïque. 0,62 g. env. 475-465 av. J.-C.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Tête de bélier, à gauche. Tritartémorion milésiaque 0,86 g. env 495/470-460 av. J.-C. Tête de lion à gauche, la gueule ouverte. Hémiobole milésiaque 0,50 g. env. 490/485-470 av. J.-C.
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Auriol. Musée Martin-Duby
Tête perlée à droite, à la boucle d'oreille. Tritartémorion phocaïque. 0,62 g. env. 475-465 av. J.-C. Tête de veau, à droite. Hémiobole milésiaque. 0,54 g. env. 485-470 av. J.-C. Tête de griffon, à droite. Hémiotooie milésiaque. 0,54 g. env. 470- 460 av. J.-C.
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Au centre ville, la tour de l'horloge à deux cadrans (1564) ou beffroi. Porte de l’ancien rempart, appelée Porte d’Amont jusqu’à l’extension de la ville au XVIIème siècle, (gonds des deux portes encore en place, entre l’emplacement des deux portes : passage de la herse). Le premier rempart est cité dans les archives en 1376. Le beffroi avec ajout d’un étage de 6 cannes (12 mètres) date de 1564.
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Après avoir vaincu les sarrasins en 983, le comte de Provence, érigea en- fief le domaine d’Auriol au profit de Boniface de Reillane, premier seigneur particulier d’Auriol. Le fief d’Auriol comprenait ce qu’est aujourd’hui le canton de Roquevaire.
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Rue Salomon. Ici se trouvait la maison des Salomon, ancienne famille huppée d’Auriol. C’était la maison de la dime, démoli en 1975. En 1600, Germain de Salomon était juge général des possessions de St-Victor. C’est lui qui encaissait l’impôt de l’Abbé de St-Victor, seigneur majeur d’Auriol.
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Rue Etroite. Ancienne “ rue Droite “, artère principale de la cité médiévale où circulaient jadis piétons, charrettes et animaux portant le bât.
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Passage rue Etroite. Les passages permettaient de donner du jour dans les maisons.
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Sur la place Sainte Barbe, patronne des artificiers, sa fontaine portant le même nom dispense l'eau fraîche et potable des collines avoisinantes. Les moulins à poudre sur l’Huveaune, avant Marseille, privaient d’eau l’agriculture. Aubagne, Roquevaire, Auriol et St Zacharie payèrent 6000 livres au roi Louis XIV pour les faire transférer à St Chamas. Cette place est rendue célèbre en 1954 par Marcel Pagnol qui y tourne l’arrivée de la diligence de Beaucaire à Pampérigouste, dans son film tiré des Lettres de mon Moulin.
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La statue est placée sur la fontaine en 1767.
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La statue est placée sur la fontaine en 1767.
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La statue est placée sur la fontaine en 1767.
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Le beau beffroi des XVII° et XVIII° siècles. L’horloge Briquet depuis 1767 était autrefois entourée de la chapelle de Ste Barbe et des pénitents Blancs. Briquet est l’un des trois donateurs (avec MM.Gorse et Barthelemy) qui ont financé cette horloge.
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Rue Coulette.
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Rue Coulette.
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21, rue Coulette, ancien Grand Chemin, qui permettait d’atteindre le pont St Claude. Un simple particulier, Maximin BONIFAY dont le père était propriétaire d’une « fabrique de mallons et tomettes » au quartier de la Tuilière obtint un insigne honneur : l’autorisation en 1756, de faire apposer sur sa portes les statues représentant les armoiries du Duc de Villars, gouverneur-général des Pays et Comté de Provence.
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Les ruines du château médiéval. Il est cité en 1001 (charte 70 et 69). Assiégé par le viguier Pons de Lanchac le 13 juin 1383, après la mort de la reine Jeanne en 1382. Il sera maltraité par les impériaux en 1524 et le Duc d’Epernon l’anéanti en 1593. En 1599, le château est reconstruit. Il est fait état, en 1629, d’une "livraison à faire au seigneur en son château". Il est abandonné quelques années plus tard, vendu à la Commune comme Biens Nationaux en 1792 puis à des particuliers. La tour ronde est la tour Magne.
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Rue Cluée. Pont enjambant le torrent qui passe sous la rue.
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Dès 1563, on été érigé 14 oratoires qui ponctuaient le chemin d’accès à la colline sur laquelle trône la Chapelle Sainte Croix. Chaque oratoire décrivait la station qu’il représentait, peinte sur un tableau de bois, posé au fond de la niche. Oratoire de St Bernard, le premier des 14.
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St-Bernard
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Les remparts, cités en 1322, construits pendant la guerre de 100 ans pour se protéger Grandes Compagnies. Ils sont réparés pour la dernière fois en 1577. Il n'en reste que quelques fragments.
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La chapelle Sainte Croix qui domine la ville. Le Duc d’Epernon autorise sa construction en 1553. Le 24 juin 1554, il est procédé à la « vente de 4 charges de blé pour la construction de la chapelle Sainte-Croix ». Une charge équivaut à 128 kg mais le gain est insuffisant. Par testament reçu par Me Audibert, notaire, le 17 septembre 1557, Jean-Baptiste Tremellat légua «tous ses biens avec faculté de les vendre, pour la construction de ladite Chapelle avec charges aux prieurs et administrateurs de cette fondation, de faire dire et célébrer, chaque année et à perpétuité, le jour et fête de son saint patron, dans l’église paroissiale, une messe anniversaire pour le repos de son âme »
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Un vestige du rempart, rue Ste Croix.
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Place d’Amont. Elle était jadis un pré, hors de la ville fortifiée.
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Place d’Amont
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Porte d’Amont. Auriol s’agrandit au cours du XVIIème siècle et une nouvelle porte a été faite plus à l’est que l’ancienne porte". Elle est l’un des accès la place du même nom.
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Fontaine devant l'ancien moulin à grains, aujourd’hui maison sociale. Le moulin de la Paroisse fonctionnait avec le béal dont l’eau descendait de la rue des Gorgues par une chute. Il était très important en 1524, détruit le 18 août 1536 par Blaise de Montluc, Maréchal de France, pour priver d’approvisionnement les troupes de Charles Quint. Puis il fut remis en fonction
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Auriol. L'église.
Cette église paroissiale est consacrée à St Pierre. Inaugurée le 19 décembre 1858, elle remplace l’église Notre- Dame des Trois Ombres et empiète sur l’ancien cimetière. Sur le fronton est gravé " République Française-Liberté, Egalité, Fraternité ", inscrption que fit inscrire M. BAUX, élu maire en 1880. Cette devise Républicaine témoigne d’un passé tumultueux entre l'église et l’Etat, encore présents, comme la porte Saint-Eloi et les voûtes séculaires. Au-dessus de la porte : beato Petro apostolorum principi : le bienheureux Pierre le premier des apôtres.
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Auriol. L'église.
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Auriol. L'église.
ND des Anges portant l’Enfant Jésus. Statue en bois sculpté.
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Auriol. L'église.
St François-Xavier ou Saint Jean de Garguier.
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Auriol. L'église.
Statues : Saint Pierre , Saint Paul , le Couronnement de la Vierge Marie.
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Auriol. L'église.
Au sommet le "Christ Roi".
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Ste Anne et Marie.
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Chapelle latérale droite dédiée à Saint Joseph.
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Tableau la "mort de Saint Joseph" entouré du Rosairede Saint Joseph (principales étapes de sa vie).
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Auriol. L'église.
Chapelle latérale gauche dédiée à la Vierge.
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Auriol. L'église.
Tableau "donation du rosaire" entouré des quinze mystères du rosaire de Marie, XVIIe.
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Auriol. L'église.
Saint Pierre. Statue en bois polychrome XVIIXe siècle. Tableau : copie de la "donation des clefs à Saint pierre" d'Ingres par L.Verro ( XIXe )
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Auriol. L'église.
Saint-Roch (1350-1378 ou 1379). Statue en carton-pâte polychrome du premier tiers du XIXe siècle. Tableau : Saint Antoine l'ermite et Saint Roch.
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Auriol. L'église.
Notre-Dame de LOURDES apparaît à Sainte BERNADETTE (1844-1879) pour la 1ère fois le 11 Février 1858 Il y aura 18 apparitions. La dernière aura lieu le 16 juillet 1858. Tableau : la Vierge présentant l'enfant Jésus aux premiers compagnons de François d'Assise , martyrs au Maroc.
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Auriol. L'église.
La toile représente la Vierge Marie intercédant pour les âmes du Purgatoire.
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Tableau : Saint Antoine de Padoue adorant l'enfant Jésus. XVIIIe.
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Auriol. L'église.
Un calvaire (1890).
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Auriol. L'église.
Les fonts baptismaux et Notre Dame des Anges avec Saint Henri et Saint Louis d'Anjou.
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Auriol. L'église.
Saint-Eloi. Évêque de Noyon (+ 660). Statue portée traditionnellement lors des fêtes organisées pour la Saint-Éloi. Tableau : Saint Jacques,Saint Blaise et Saint Denis. ( XVIIe )
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Sacré-Cœur de Jésus. Autel édifié en 1876. Statue datant environ de 1870.
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Auriol. L'église.
Toile représentant St Joseph et Jésus. Sur le confessionnal, photo de l'abbé Fouque.
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Auriol. L'église.
Saint Jean-Marie VIANNEY. Curé d’ARS. Plâtre polychrome. Tableau : Une "pentecôte" ( XVIIe ).
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Auriol. L'église.
Reliquaire contenant un phalange de l'abbé Fouque.
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La chaire.
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La chaire.
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La chaire.
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Auriol. L'église.
Les vitraux sont de la fin du XIXe. St Joseph, St Paul et St François.
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Le Sacré-Coeur, Ste Rose de Lima et St Martin.
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Ste Marie-Madeleine, la sainte Famille et St Honoré.
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St Jean, St Pierre et Ste Marie Mère de Dieu.
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LE BAPTEME. Une nouvelle naissance qui nous fait entrer dans la famille des chrétiens. Les symboles et les signes sont ; L'eau, signe de vie Le saint Chrême,( huile parfumée consacrée), c'est le don de l’Esprit Saint au nouveau baptisé. Le Vêtement blanc, symbolise que le baptisé a « revêtu le Christ ».
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Auriol. L'église.
La première communion ou communion privée. Les symboles et les signes sont : le vêtement blanc, signe de pureté ; la présence réelle du Christ sous l'apparence du pain et du vin. La communion solennelle ou profession de foi. La Confirmation.
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Auriol. L'église.
Le mariage.
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Auriol. L'église.
Notre-Dame du Rosaire avec l’Enfant Jésus. Statue reliquaire en bois sculpté doré pouvant dater de la seconde moitié du XVIIIème siècle.
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Portail latéral de l'église Saint-Pierre. domus dei et porta coeli : la demeure du seigneur et la porte des cieux.
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L'Huveaune.
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L'Huveaune.
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Le puits Hély d’Oissel
Le puits est l'œuvre de l'ingénieur Etienne Emile Hély d'Oissel pour la société nouvelle des charbonnages des Bouches-du-Rhône. Foncé en 1912, il atteint une profondeur de 455,85 mètres. Il est exploité de 1917 à 1960.
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Le puits Hély d’Oissel
Le chevalement métallique a été construit plus tard, en 1917, par la société Derobert. Il possède des molettes de 5 mètres de diamètres dont l'axe de rotation se trouve à 25,50 mètres de haut.
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Le puits Hély d’Oissel
Une des cages qui servait à faire descendre ou remonter les hommes et le charbon. Leur vitesse était de 6m/s.
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Le puits Hély d’Oissel
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Le puits Hély d’Oissel
Le bâtiment de la machine. Les câbles y pénétraient par les fenêtres en zig-zag.
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Le puits Hély d’Oissel
Casiers qui permettaient aux mineurs de déposer leurs affaires.
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Le puits Hély d’Oissel
La machine d'extraction possède un tambour d’enroulement bicylindroconique.
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Le puits Hély d’Oissel
Le moteur électrique qui a remplacé la machine à vapeur à partir de 1959.
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Le puits Hély d’Oissel
Le tambour est la partie qui sert à enrouler et à dérouler les câbles tenant les ascenseurs. Les câbles fixés de part et d’autre s’engagent dans les gorges du tambour, qui font comme un gros dérailleur de vélo et permettent donc de gérer les vitesses des cages d’ascenseur.
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Le puits Hély d’Oissel
Le frein présent à gauche du tambour est le frein de sécurité. Il fonctionne grâce à un système de contrepoids.
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Le puits Hély d’Oissel
Un banc de charge et ses batteries de lampes.
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Le puits Hély d’Oissel
Une reconstitution du fond. On peut y voir tout le matériel qui était utilisé au fond, des couffins portés par les mendits aux perforateurs et aux étançons métalliques, sans oublier des éléments de la vie quotidienne : gulard, barrette, Ste Barbe.
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