Fuveau
Ville de Fuveau et le Musée Provençal des Transports Urbains et Régionaux.
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Le cours Leydet. Edifié entre la fin du XVIIIe et le milieu du XIXe siècle lors de l'essor de l'extraction industrielle de la lignite sur la commune, il est depuis le centre de la vie sociale du village, à la fois agora, place du marché et lieu privilégié des fêtes et animations. Son nom évoque le souvenir de Victor Leydet, député et sénateur aixois, grâce auquel la gare de Fuveau put être bâtie en 1904 sur l’emplacement de factuelle fontaine, place du Général De Gaulle. Il est d’usage d'appeler ce lieu « le cours » en insistant particulièrement sur la prononciation du « S » final pour le distinguer de tous les autres cours français. On remarquera les nombreux balcons qui ornent la plupart des immeubles et donnent à cette place une intéressante unité de style. Ces balcons se trouvaient sur les maisons des ingénieurs.
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Le cours Leydet. En 1847, la maison des Associations a été construite sur un puits de désengorgement de l'eau de la mine. Au rez-de-chaussée, on avait la sortie de ce puits. On utilisait l'eau dans des moulins, pour le lavoir et pour l'irrigation. Son débit était de 30 m³ à la minute
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Le cours Leydet. La fontaine avec le buste de Victor Leydet.
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Le cours Leydet. Sous la génoise, une tête de Marianne. Au rez-de-chaussée exerçait en ce début de vingtième siècle un maréchal-ferrant surnommé simplement "le maréchal" qui eût l'idée, en 1906, de vouloir faire partie d'une liste aux municipales. Sa présence n'étant pas vraiment souhaitée, il lui fut reproché de ne pas avoir assez l'esprit républicain. En geste de revanche, il fit accoler un mascaron de Marianne sous sa génoise.
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Le cours Leydet. Le balcon de Juliette... et de Louis.
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Cette ancienne auberge était le premier bâtiment hors les murs. Devant, la présence d’un jujubier, dont les fruits en provençal s'appellent des chichourles, signalait que c'était un bordel.
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L'imposte est intéressante car elle comporte un monogramme composé des lettres JJV, il est fort vraisemblable qu'il soit dû à Joseph VITALIS, de son vrai nom, Jean Joseph VITALIS, riche prêtre et coseigneur à la fin du dix-huitième siècle.
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La poste est l'ancien hôtel de Maladi Depousier qui a fait fortune en envoyant le charbon extrait des mines locales à Marseille pour les savonneries.
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On peut voir ses initiales MD au centre de la grille au-dessus de la porte.
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En montant la rue Rondet, il faut lever la tête pour apercevoir ce cadran solaire parfaitement orienté et daté (1874) mais tout aussi mal conservé. Visible depuis le bas de la rue en montant jusqu'au monument aux Morts, cet immeuble était celui de la boucherie Gouirand qui exerça durant près d'un demi siècle à Fuveau.
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Place du souvenir Français.
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Place du souvenir Français. Panorama sur la Montagne Sainte Victoire et le plateau du Cengle.
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Place du souvenir Français. Erigé sur l'emplacement de l'ancien cimetière de la commune, ce monument représente une Marianne les bras levés, qui jusqu’en 2008, ne brandissait rien, avec la bouche ouverte de façon quelque peu surprenante et les autochtones lui ont donné un surnom peu amène, la folle. Depuis, elle a retrouvé sa palme.
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Les armoiries de Fuveau. La boucle de ceinture tiendrait son origine du consul romain Caius Sextius Calvinus qui, conquérant la région en 124 av. J.-C. dans la bataille contre l'oppidum d'Entremont, aurait jeté sa ceinture sur le sol après la bataille. Les palmes sont celles du blason des Vitalis, co-seigneurs de la communauté à l'époque où le blason a été imposé par l'édit royal de novembre 1696. Le blason est surmonté de seulement deux tours et désigne donc un village simple fief contrairement à Trets qui était chef-lieu de viguerie, et qui en a trois. Autre thèse : la boucle est celle formée par les deux ruisseaux qui ceinturent toujours le village et qui éclaire quelque peu l'origine du nom de Fuveau (Affuellum puis Fuvel).
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Depuis le haut de la rue Rondet, un des plus beaux panoramas du Pays d’Aix en Provence, sur la Montagne Sainte Victoire et le plateau du Cengle. S’étendant sur 18 km de long, cette face Sud superbe et imposante culmine à 1011m d’altitude. On aperçoit aussi bien le Pic des Mouches que la monumentale croix de 19m surplombant le prieuré à une altitude de 942 m.
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C'est ici que se trouvait une des portes du village, la porte Principale.
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L'église Saint Michel.
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La Rue Nationale. La plus longue et la plus importante des artères du vieux village. Dénommée auparavant rue de Nice, on l'appelait plus couramment « Traverse Roumpo-cue » (casse cul). Très mal exposée, relativement pentue, étroite et fort desservie par la présence de soues à cochons à l'étage inférieur des immeubles ce qui la rendait glissante en toutes saisons. Elle se prolongeait à l’est jusqu'à la Porte principale du village aujourd'hui détruite.
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La Rue Nationale. Au numéro 4, une ancienne maison de co-seigneurs particulièrement bien remise en valeur par ses actuels propriétaires. Les deux passages, côté nord et côté ouest, ne sont pas d'anciennes portes mais des ouvertures pratiquées au XIXe siècle pour aérer et dégager la rue. La petite fenêtre, en haut, à droite, est celle du pigeonnier.
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Un passage couvert.
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Porte du bas de la rue nationale. Ce n'est pas une porte historique.
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Chapelle Saint-Roch. Edifiée hors les murs en 1729 à l'initiative du consul Honorat Jourdan en hommage au saint qui aurait protégé le village lors de la grande peste de Marseille en 1720.
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Chapelle Saint-Roch. Devant la chapelle, l'un des nombreux endroits de Fuveau bien exposés, les dames aimaient se retrouver pour enfiler des perles. Pendant une large première moitié du siècle dernier, l'une des activités fuvelaines réservée aux femmes et éventuellement aux enfants et pouvant rapporter quelque argent était l'enfilage des perles. On appelait cela faire des perles. Le travail consistait dans un premier temps à remplir de perles un plat creux qui pouvait tourner autour d'un axe et en utiliser la petite force centrifuge pour enfiler des perles sur du fil de fer fin dont on avait au préalable crocheté l'embout. A partir de ces longueurs garnies de perles, il fallait confectionner des fleurs ou des feuilles selon la demande. Des négociants marseillais venaient régulièrement en prendre livraison et les assemblaient pour fabriquer des couronnes mortuaires
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Chapelle Saint-Roch. Le choeur de la chapelle a gardé le même aspect depuis l'origine.
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Chapelle Saint-Roch. Le choeur de la chapelle a gardéle même aspect depuis l'origine. De chaque côté du tabernacle, on a une pierre de la sainte Victoire, une brèche, dite marbre du Tholonet.
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Chapelle Saint-Roch. Voici le "trésor" de la chapelle Saint-Roch, ce superbe ex-voto sur lequel on peut lire : Honorat Jourdan étant consul en l'année 1720, la peste étant dans la Province, le peuple ayant recours au glorieux saint Roch, ce lieu a été préservé de ce mal peut et en mémoire cette chapelle a été édifiée des aumônes que le sieur Jourdan a ramassées des bonnes gens et il a fait faire ce tableau avec sa famille. C’est effectivement le saint en majesté, le consul avec sa mère, sa femme et ses six enfants qui sont représentés.
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Chapelle Saint-Roch. Ex-voto.
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Chapelle Saint-Roch. Ex-voto.
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Chapelle Saint-Roch. Le cœur de Saint Roch en argent, suspendu à son cou, a été offert par les paroissiens de Fuveau, en reconnaissance à Saint Roch « qui les a protégé du Choléra en août 1884. Une souscription a été ouverte, elle a rapporté 104,60 francs. Avec cet argent a été acheté le cœur, 2 reconnaissances, 2 girandoles à 2 lumières, une nappe, des cierges.... La chaîne a été offerte par un paroissien.
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Chapelle Saint-Roch. Le cœur de Saint Roch en argent, suspendu à son cou, a été offert par les paroissiens de Fuveau, en reconnaissance à Saint Roch « qui les a protégé du Choléra en août 1884. Une souscription a été ouverte, elle a rapporté 104,60 francs. Avec cet argent a été acheté le cœur, 2 reconnaissances, 2 girandoles à 2 lumières, une nappe, des cierges.... La chaîne a été offerte par un paroissien.
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Chapelle Saint-Roch.
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Rue Barthélémy Niollon (ex rue des Lices).
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La porte de Bassac. Auparavant nommée porte Barbière, elle doit son nom à l'avocat aixois dont on apercevait tout le domaine, l’actuel Jas de Bassas, dès la sortie de celle-ci. Ce coin du village particulièrement bien exposé et abrité est resté longtemps un lieu de rencontre dans les meilleures heures de la journée.
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La porte de Bassac. La construction actuelle aurait été réaménagée au XVIII siècle.
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La porte de Bassac. Les murs de Fuveau dont on devine quelques vestiges le long de la rue étaient percés seulement de deux portes, la principale, totalement détruite et la porte de Bassac. Percée dans un mur moyenâgeux de 1,50m d'épaisseur, elle est l'unique vestige des remparts qui protégeaient le village. Depuis les origines, la quasi totalité des habitants vivaient à l'intérieur : les campagnes n'étaient pas sûres, il était préférable de bâtir sa demeure à l'abri des incursions de bandes armées.
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La porte de Bassac. La porte de Bassac, conservée quasiment en l'état, n'était qu'une entrée secondaire ne permettant pas le passage des charrois en raison de sa présentation en chicane.
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La porte de Bassac.
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La porte de Bassac.
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La porte de Bassac. Emplacement de la herse ou de l'assommoir permettant aux défenseurs de laisser tomber divers objets sur l'assaillant pour l'assommer ou des matières brûlantes : sable chauffé à blanc, récipients remplis de poix, soufre et salpêtre, de plomb fondu, de chaux vive liquide .
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Maison natale de Barthélémy Niollon. Dans cette demeure est né le 1er mars 1849, Barthélémy Niollon. Peintre, ami de Cézanne, il fait partie d'un courant dit des "Petits Maîtres d'Aix ". Mineur de fond à la suite de son père, il est placé chez un commerçant aixois après un accident et devient nougatier. Sa profession lui laisse le temps de pratiquer son art en parcourant la campagne aixoise. Son œuvre illuminée et diaprée de couleurs est fortement influencée par le courant impressionniste. Cinq de ses œuvres sont au musée d'Orsay. Il est mort à Aix le 20 avril 1927. Dans cette rue ont été tournées des vues du film "le Boulanger de Valorgue", d'Henri Verneuil.
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Clocher de l'église Saint-Michel.
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Château des Peysonnel, Cercle Saint Michel. Demeure des principales familles des co-seigneurs de Fuveau, cette vénérable demeure plus couramment dénommée « Cercle Saint- Michel » tire son nom des Peysonnel, famille qui l'a occupée de 1676 à la Révolution. A l’intérieur de ses murs épais subsistent une belle salle à manger, une grande cheminée dans la cuisine, des gypseries dans les escaliers et un ancien garde-manger souterrain localement appelé « salle des pendus », Propriété de l’Association qui le gère depuis un siècle et demi, il est essentiellement utilisé pour des activités artistiques, associatives et récréatives. Jean de Peysonnel a émis des hypothèses très avant-gardistes sur la vie des coraux dès la fin du XVIIe siècle. Les autre co-seigneurs étaient les de Vitalis qui ont acheté une part de la charge en 1529.
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Charles Joseph VERMINCK. L'installation de sa statue en 1902 sera à l'origine de l'aménagement de la place qui perpétue son souvenir. Elle a nécessité la destruction de plusieurs masures, d'une chapelle de pénitents et de l'ancienne Maison Communale.
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Charles Joseph VERMINCK. Bronze en ronde bosse en l'honneur du fondateur de la première école fixe et définitive du village. D'origine belge, il se retrouve précepteur à Fuveau au bout d'un itinéraire dans plusieurs couvents. Il s'y marie en 1825 avec Magdeleine Blanc et aura treize enfants dont l'aîné, Charles Auguste, armateur, sera le fondateur de la CFAO, société à l'origine des grandes compagnies maritimes marseillaises. Il poursuit son œuvre d’enseignant et éducateur durant plus de quarante-cinq ans. En 2005, la statue d'origine, de Vernay, a été dérobée. Malgré les recherches lancées par les polices internationales, il n'y eu aucun espoir de la retrouver. Une nouvelle statue en bronze a été créée et dévoilée le 16 septembre 2006, c’est l’œuvre M. Christian Maas, dont les dimensions sont les 4/5 de l'originale.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Hors d’eau en treize mois et bénie le 04 octobre 1854, elle a remplacé un édifice plus modeste, orienté nord-Sud, devenu trop exigu, situé au niveau du clocher actuel. Sa façade s’inspire du baroque italien et l’intérieur, quoique très remanié, garde un style néo-gothique. La façade de ce bâtiment massif est inspirée du baroque italien. Ses dimensions sont grandioses : 36 m de long, 20 m de large et 13 m de haut, d'où l'appellation d'origine de basilique de Fuveau.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. L'immense porte a dû être refaite deux fois aux frais des paroissiens suite à deux incendies au cours des siècles précédents.
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Eglise paroissiale Saint-Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Inscription qui figure au fronton : TERRIBILIS EST LOCUS ISTE HIC DOMUS DEI EST ET PORTA CŒLI : "Ce lieu est terrible. C'est la maison de Dieu et la porte du ciel". C'est une phrase tirée du de la Bible (Génèse, 28, 17). Sachant qu'elle figure dans l'introït des messes de dédicaces des églises, cela peut être une explication car pour l'église Saint-Michel, celle-ci a été célébrée en très grande pompe. Très rares sont les lieux de culte où figure cette inscription : l'une à Lyon sur l'église Saint-Georges et l'église Sainte-Marie-Madeleine à Rennes-le-Château. Cette dernière a été voulue par le célèbre et énigmatique abbé Saunière à la fin du XIXe.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. La nef centrale est d'inspiration néo-gothique.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Un des deux beaux bénitiers en "Brèche d'Entremont", marbre extrait d'une carrière aixoise en vogue au dix-neuvième siècle.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. La vasque des fonts baptismaux provient de la même veine alors que le piédouche de Giordano qui la supporte a été taillé dans la roche locale très dure dite pierre de Cos utilisée en son temps comme pierre à aiguiser.
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Eglise paroissiale Saint-Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Tableau représentant le baptême du Christ, de Désiré Bourrelly, un artiste local, comme Giordano.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Au fond de la neflatérale droite, le deuxième monument aux morts du village. A l'intérieur de l'autel qui orne le dit monument a été enfermé un objet personnel de chacun des héros dont la liste figure sur les plaques : peigne, blague à tabac et autre bibelot.
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Eglise paroissiale Saint-Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Sainte Barbe.
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Eglise paroissiale Saint-Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. St Michel, encadré par st Roch et st Jean-Baptiste.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Les orgues, don de Charles Auguste Verminck, inaugurées en avril 1911 et posées sur la tribune dont il avait financé l'édification en 1910.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Le père, Charles Joseph, et son fils aîné, Charles Auguste ont marqué la vie de Fuveau. Ce dernier, né en 1827, fut un brillant homme d'affaires marseillais : armateur, négociant avec les pays d'Afrique Occidentale, fabricant d'huile et de savons. Dans les affaires, on l'appelait le crocodile. L'un de ses navires s'appelait "Ville de Fuveau". Pour Fuveau, son village natal, il fut surtout un généreux donateur: il acheta des terrains qu'il offrit à la commune et fit des nombreux travaux : l'école des filles (1911), il restaura l'église, fit don des vitraux, du dallage, de la tribune de l'orgue, des stalles, de la cloche et de la porte. Et bien sûr, c'est lui qui acheta le 5 novembre 1900 l'ensemble des masures devant l'église, les fit raser pour y aménager la place que l'on connaît … et y ériger la statue à la mémoire de son père.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Le fond du chœur est particulièrement intéressant, il s'agit du mur de l'ancienne église mitoyen avec le Château des Peysonnel actuel Cercle Saint-Michel. Il a été redécouvert lors de la destruction de l'autel dans les années 60. La famille seigneuriale pouvait assister aux offices, sans sortir de sa demeure, au travers d'une ouverture maintenant décorée par un vitrail. Pour la compréhension de ce mur, il faut savoir que l'ancienne église était orientée nord-sud.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. La « Flagellation du Christ » de Désiré Bourrelly, d'apès Rubens.
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Eglise paroissiale Saint-Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. St Joseph.
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Eglise paroissiale Saint-Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. Les vitraux ont aussi été offerts par Charles Auguste Verminck. St Jean-Baptiste, st Roch et st Michel.
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Eglise paroissiale Saint-Michel. St Charles Borromée, ste Marie-Madeleine.
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Ruer Emile Loubet. La partie basse du village avec ses grands boulevards à l’ombre des platanes, date en grande partie du XIXème siècle. Le village vit alors à l’unisson de la production minière. C’est à cette époque que le Cours Victor LEYDET et les Boulevards Emile LOUBET et Célestin BARTHELEMY sont ouverts.
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L'église Saint-Michel.
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Boulevard Célestin Barthélémy. La partie basse du village avec ses grands boulevards à l’ombre des platanes, date en grande partie du XIXème siècle. Le village vit alors à l’unisson de la production minière. C’est à cette époque que le Cours Victor LEYDET et les Boulevards Emile LOUBET et Célestin BARTHELEMY sont ouverts.
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Musée Provençal des Transports Urbains et Régionaux.
Il est situé dans la gare ferroviaire fermée de La Barque-Fuveau. ancienne gare de bifurcation des lignes de Carnoules à Gardanne et d'Aubagne à La Barque.
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Le petit train de 60 (écartement des roues) permet une promenade en campagne sur un parcours de 1 km 800. Ce n'est ni un manège, ni un gros jouet. Il est constitué avec des matériels professionnels des mines de charbon et de bauxite, des carrières et des travaux publics.
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