Le massif de la Sainte-Victoire s'étend sur 18 kilomètres de long et sur 5 kilomètres de large, suivant une stricte orientation ouest-est. Devant, à droite, le plateau du cengle.
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La Sainte-Victoire, tout comme le massif de la Sainte-Baume, peut être considérée comme un cas particulier parmi les massifs alpins car les différentes étapes de la formation de son relief rattachent son histoire géologique aussi bien à celle de l'ancienne chaîne pyrénéo-provençale qu'à celle des Alpes occidentales lui ayant succédé. De l'ancienne montagne Sainte-Victoire, contemporaine des dinosaures du Crétacé, il ne reste aujourd'hui que le pli de Bimont, dit chaînon des Costes Chaudes. La forme actuelle de la montagne, qui apparut 15 millions d'années avant notre ère résulte de la première surrection des grands reliefs alpins.
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Le versant sud se caractérise par la présence d'importantes falaises calcaires hautes de 500 à 700 m dont l'aspect blanc ajouté au soleil donne l'aspect d'une haute muraille. Au centre, la Croix de Provence, 946 m. A droite, surmonté d'un nuage, le Pic des Mouches, 1011 m.
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La Croix de Provence, 946 m. A droite, le Pic des Mouches, 1011 m.
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Côté Nord.
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Côté Nord.
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Côté Nord.
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Côté Nord.
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Le barrage et le lac de Bimont
C'est un barrage voûte mis en service en 1952, construit par l’ingénieur Joseph Rigaud . On aperçoit le contre-barrage situé à son pied côté rive gauche, qui prélève l'eau déversée pour alimenter la branche Marseille-nord du canal de Provence. La construction du canal de Provence a réduit l’importance de cet ouvrage qui constitue surtout aujourd’hui une réserve de stockage et sécurit
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Le barrage et le lac de Bimont
Il retient les eaux de la Cause, issues du ruissellement de la face nord du massif de Sainte-Victoire, mais il est en fait principalement alimenté par une conduite souterraine artificielle, la galerie ampane, amenant l’eau du Verdon par le Canal de Provence.
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Le barrage et le lac de Bimont
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Le barrage et le lac Zola
Construit en pierres de taille entre 1850 et 1854 par François Zola, père du romancier, ce barrage était destiné à retenir les eaux de ruissellement de la montagne Sainte-Victoire afin de créer une réserve nécessaire à l’alimentation de la ville d’Aix jusqu'en 1877, année de mise en service du Canal du Verdon. Depuis, le Canal de Provence lui a été substitué, mais le barrage continue à être entretenu par la Société du Canal de Provence, et sert de tampon potentiel en cas de vidange d'urgence du barrage de Bimont, situé en amont. C'est le tout premier barrage voûte de l'ère industrielle.
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Le barrage et le lac Zola
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Cheminées de Gardanne et massif de l'Etoile.
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Cheminée et tour de réfrigération de la centrale de Gardanne (plus en exploitation). A gauche, le Pilon du Roi, au centre, antenne de la station de Télévision.
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Au fond, la Sainte-Baume.
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Les Monts Aurélien.
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La chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire.
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La chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire.
Elle est à 885 m d'altitude. Elle fut construite en 1657, comme l'atteste le millésime gravé sur le fronton.
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La chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire.
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La chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire.
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La chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire.
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La Croix de Provence.
La croix, datant de 1875, fut restaurée une première fois en 1982, puis en 2004. Le monument est construit à l'initiative du curé de Rousset, l'abbé Meissonnier. Son but est de conjurer deux maux qui accablent alors la France : la variole et les suites de la guerre franco-prussienne de 1870.
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La Croix de Provence.
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La Croix de Provence.
La « croix de Provence » est un point remarquable du massif : celle-ci haute de 19 mètres a été posée non sur le point culminant mais sur un pic (946 mètres), qui, de par sa forme, se détache bien plus du massif que le pic des Mouche
