Ce village est perché au bord de sa falaise, sur une colline qui fait face au village du Castellet. Au sommet s'élève le clocher de l'église Saint André. A droite, la chapelle Sainte-Madeleine.
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La Cadière-d’Azur.
L'évocation la plus ancienne de La Cadière se trouve dans un texte de donation de la chapelle Saint-Côme-et-Saint-Damien à l'abbaye Saint-Victor de Marseille, en 977. Vers 993, Cathedra et Catedra sont cités. Le mot signifie siège, lieu de repos et, par extension, chaise. On écrira plus tard en provençal cadiera. Elle fait partie de la Seigneurie des vicomtes de Marseille puis de l’Abbaye Saint-Victor de Marseille. En 1564, le roi de France Charles IX et Mazarin passent à La Cadière. En 1715, elle est amputée d’une partie de son territoire pour créer la commune de Bandol. En 1825, le territoire communal est de nouveau amputé pour créer la commune de Saint-Cyr-sur-Mer – Les Lecques.
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La Cadière-d’Azur.
Le campanile et le clocher de l'église.
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La Cadière-d’Azur.
Maison de 1771.
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La Cadière-d’Azur.
Rue Denfert Rochereau.
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La Cadière-d’Azur.
Rue des Maures. Elle était appelée anciennement rue des Maugo, nom provençal de la mauve. On la trouve dans le cadastre de 1830 sous le nom « rue des Mauves ». Les grandes mauves sont des plantes médicinales de la famille des Malvaceae. L’orthographe actuelle, rue des Maures tient à une lecture erronée.
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La Cadière-d’Azur.
Rue des Maures.
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La Cadière-d’Azur.
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La Cadière-d’Azur.
Rue des Maures.
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La Cadière-d’Azur.
Rue des Maures.
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La Cadière-d’Azur.
Rue des Maures. Cette maison est ornée d'un étal de pierre (une échoppe pour disposer les marchandises à la vente).
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La Cadière-d’Azur.
Rue de la Boucherie.
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La Cadière-d’Azur.
Adduction de l'eau. 1905. Témoignage de reconnaissance de la population à Mr. V. Négrel, maire et à M.M. les conseillers municipaux.
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La Cadière-d’Azur.
La Porte de la Colle. Cette porte s’ouvrait autrefois sur la colline du mot provençal « coualo » devenu aujourd’hui « la colle ». De cette porte, on peut aussi voir la mer par beau temps. Elle était à l’origine munie d’une herse (grille coulissant verticalement dans des glissières, armée de pointes à sa partie inférieure) et de gros vantaux (battants) dont il ne reste que remplacement des gonds.
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La Cadière-d’Azur.
La Porte de la Colle vue de l'intérieur.
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La Cadière-d’Azur.
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La Cadière-d’Azur.
Rue des Grenadiers, à droite. Au moment de la Révolution, elle portait le nom de rue du Migranier, nom provençal pour grenadier. De fait, on peut écarter l’origine militaire, à savoir les soldats qui se distinguaient par l’utilisation efficace de la grenade. Il s’agit là de l’arbre fruitier de la famille des Lythracées, cultivé depuis la plus haute Antiquité pour ses fruits comestibles (les grenades) et pour les qualités ornementales de ses grandes fleurs.
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La Cadière-d’Azur.
Avenue Max Dormoy. Cette Avenue dite la « Grande Rue » au siècle dernier a été plus tard appelée « Rue Nationale ». Dans le bas des portes n° 33-35 et 37, de chaque côté, des encoches taillées dans la pierre permettaient d’y glisser des planches qui protégeaient l’entrée des maisons en cas de gros orages.
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Avenue Max Dormoy..
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La Cadière-d’Azur.
Avenue Max Dormoy. La maison n° 32 porte sur sa façade des ouvertures percées dans les remparts, on peut lire la date de 1586. Sous la Révolution il y avait là le moulin à huile des Espanets.
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La Cadière-d’Azur.
Avenue Max Dormoy.
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La Cadière-d’Azur.
Traverse qui mène à la Petite Ruelle qui traverse donc l’enceinte médiévale.
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La Cadière-d’Azur.
Traverse qui mène à la Petite Ruelle.
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La Cadière-d’Azur.
Traverse Marquand.
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La Cadière-d’Azur.
Traverse Marquand.
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La Cadière-d’Azur.
Avenue Max Dormoy.
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La Cadière-d’Azur.
Avenue Max Dormoy..
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La Cadière-d’Azur.
Tour de l'Horloge. Jusqu’au XXe siècle, le monde paysan vivait au rythme du soleil et des saisons. Les registres d’état civil révèlent que nombreux étaient ceux qui ignoraient l’année de leur naissance et mourraient sans que l’on connaisse exactement leur âge. Les cloches de l’église signalaient les principales divisions de la journée qui commençait par la messe de l’aube. Dès 1540, le conseil est conscient de la nécessité d’installer une horloge moderne avec sa cloche. Cependant, elle ne verra le jour qu’en 1585 sous la main experte de Jean Giraud.
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La Cadière-d’Azur.
Tour de l'Horloge. Afin qu’elle soit visible du plus grand nombre, l’on choisit de bâtir une tour en dehors des remparts. En moins d’un an, la tour était construite et l’horloge placée. Un an auparavant, le conseil a passé commande d’une cloche de 10 quintaux à Jean Ardisson, fondeur pour le roi à Marseille. L’entretien de l’horloge était assuré par le valet de ville (appelé aussi « Soldat de la commune" il était chargé, entre autres, d'appliquer les ordonnances et les mesures que prenait le conseil). La Communauté sera toujours soucieuse de son bon fonctionnement, tant elle était devenue indispensable aux habitants, notamment aux travailleurs des champs. Campanile en fer forgé du XVIe siècle.
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La Cadière-d’Azur.
Le campanile.
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Avenue Max Dormoy.
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La Cadière-d’Azur.
Avenue Max Dormoy.
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La Cadière-d’Azur.
Porte Saint-Jean. C'est une des trois majestueuses portes. C’était au Moyen-Age l’accès principal du village. Elle était, anciennement munie d’une herse. Sa porte est bardée d’énormes clous avec inscriptions.
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La Cadière-d’Azur.
Porte Saint-Jean. Ses deux vantaux sont ornés d’un nombre considérable de vieux clous dont certains portent encore des sigles du XIIIe siècle.
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La Cadière-d’Azur.
Porte Saint-Jean. Ses deux vantaux sont ornés d’un nombre considérable de vieux clous dont certains portent encore des sigles du XIIIe siècle.
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La Cadière-d’Azur.
Porte Saint-Jean. Certains clous portent encore des sigles du XIIIe siècle.
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La Cadière-d’Azur.
Porte Saint-Jean. Dessus est apposée une plaque portant la date du 6 janvier 1561.
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La Cadière-d’Azur.
Porte Saint-Jean, vue de l'intérieur.
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La Cadière-d’Azur.
Au-dessus de la porte, le blason de la ville qui signifie : enceinte médiévale avec ses trois portes (Saint Jean, Mazarine et la Colle), la croix de Saint André et le tabouret (siège épiscopal, lieu de repos).
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La Cadière-d’Azur.
L'hôtel de ville.
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La Cadière-d’Azur.
L'hôtel de ville.
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La Cadière-d’Azur.
La place Jean Jaurès. Formée de deux niveaux, elle est devenue la place du village lorsque celui-ci s’est étendu au sud de la 2ème enceinte moyenâgeuse, dans le courant du XVI° siècle, avec la constitution d’un faubourg. Anciennement appelée place St André, elle a été plusieurs fois remaniée, la dernière fois en 2001. La partie basse était appelée « place ou rue sous la fontaine » ou avant la Révolution place aux Herbes.
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La Cadière-d’Azur.
Place Jean Jaurès avec le comptoir du célèbre et typique "Cercle des Travailleurs" réservé aux membres adhérents, (laisser-passer toujours d'actualité !).
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La Cadière-d’Azur.
Fontaine qui a remplacé, en 1900, la fontaine Saint André. Elle ressemble à la fontaine salière de Bandol.
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La Cadière-d’Azur.
L'autre fontaine.
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La Cadière-d’Azur.
Rue de l'Horloge. Au premier plan une ancienne boutique, avec étals de pierre pour disposer les marchandises à la vente.
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La Cadière-d’Azur.
La rue Auguste Charlois. Auguste Honoré Pierre Charlois naît le 26 novembre 1864 à La Cadière-d’Azur. Après des études secondaires à l’Institution des Frères de la Doctrine chrétienne à Marseille, il entre à l’âge de 16 ans à l’Observatoire de Nice pour y assister Henri Perrotin, son premier directeur. En 1882, il accompagne Louis Thollon à Avila en Espagne pour observer le transit Vénus.
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La Cadière-d’Azur.
La rue Auguste Charlois. On lui confia la recherche de ce qu’on appelait alors les petites planètes (astéroïdes). Entre 1887 et 1904, Charlois découvrit 99 nouveaux astéroïdes, dont 27 par observation directe. L’astronome réalisa également des milliers d’observations équatoriales, calcula les éléments orbitaux de 16 comètes, d’une centaine d’astéroïdes et mesura 338 étoiles doubles.
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La Cadière-d’Azur.
La rue Auguste Charlois.
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La Cadière-d’Azur.
Au fond, l'entrée de l'église. L’existence d’une église à La Cadière est mentionnée dans un document du XIIe siècle. Elle est citée pour la première fois en 1361 sous le nom de St-André. Au début du XVIe siècle, elle tombe en ruine. Devenue trop petite pour recevoir tous les fidèles, elle est entièrement reconstruite sur le même emplacement à partir de 1508. Elle fut consacrée le 12 octobre 1522. Elle n’avait alors qu’une seule nef. Une deuxième cloche est posée en 1541.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
En 1740, elle est agrandie sur l’emplacement d’une ancienne citerne et d’un magasin. A l’époque révolutionnaire, l’église est devenue un temple de la déesse Raison. Portail de style flamboyant ouvert au midi dans un mur latéral, avec un arc surbaissé surmonté de deux accolades qui se rejoignent au pied de la croix.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Entre les deux moulures, une niche abrite une statue de saint André.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Entre les deux moulures, une niche abrite une statue de saint André.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
A l’époque révolutionnaire, l’église est devenue un temple de la déesse Raison. Peu de temps après, sous le premier Empire, à partir de 1804, l’église est rendue au culte chrétien. Un nouveau clocher est construit en 1864 grâce à un don de 18 000 francs. L’ancien s’effondrera en 1875, après des pluies torrentielles.
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La Cadière-d’Azur.
Clocher pyramidal en briques de style néogothique assez peu commun en Provence, avec flèche et clochetons. La tour supérieure est percée de baies ogivales et couronnée d'une balustrade.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Le clocher hexagonal. Il abrite la plus ancienne cloche d’église datée du Var (1458).
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Elle est de type tardo-gothique. Son abside pentagonale est éclairée par des vitraux du XIXe siècles.0 Intégrée aux remparts, c’est une véritable curiosité architecturale.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Elle a une nef principale, deux collatéraux du XVIIe et XVIIIe que coupent trois travées. Les voûtes sont à croisillons avec pendentifs, les arceaux reposant sur des colonnes sans chapiteaux.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
En 1607, 1682, 1782 furent ouvertes des chapelles. A travers celles-ci furent édifiés les deux bas-côtés de forme irrégulière. Le bas-côté gauche.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
En 1607, 1682, 1782 furent ouvertes des chapelles. A travers celles-ci furent édifiés les deux bas-côtés de forme irrégulière. Le bas-côté droit.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Les deux collatéraux sont coupés par trois travées, les arceaux reposant sur des colonnes sans chapiteaux..
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
La chaire.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
La chaire.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
La crucifixion de saint André.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Sur la cuve, les trois vertus théologales.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Une des trois vertus théologales : la charité qui accueille un enfant et tient dans ses bras un nourrisson.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Une des trois vertus théologales : la foi avec un livre.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
La troisième vertu théologale, l'espérance avec l'ancre.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
La troisième vertu théologale, l'espérance avec l'ancre. Sur la rampe, les allégories des quatre évangélistes, ici Jean avec l'aigle.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Sur la rampe, les allégories des quatre évangélistes, ici Jean avec l'aigle.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Matthieu avec l'homme et Marc avec le lion.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Matthieu avec l'homme.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Marc avec le lion.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
et Marc avec le lion et Luc avec le taureau.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Luc avec le taureau.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Le Sacré Coeur.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Sainte Thérèse de Lisieux ou sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Saint Jean-Baptiste.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Le choeur.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
A l'entrée du choeur, Saint André.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
A l'entrée du choeur, une Vierge.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Une Vierge.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Bel autel en marbre polychrome placé en 1773, surmonté d'un ciborium.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Le tabernacle.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Le ciborium.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Les stalles.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Les stalles.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Restes de fresques.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Jésus devant le gouverneur romain Pilate et le roi Hérode.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Abside du bas-côté gauche. Chapelle de la Vierge.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Chapelle de la Vierge. Vierge à l'Enfant.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Abside du bas-côté droit. Chapelle Saint Joseph, avec tout autour de la satue, les outils de charpentier.
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La Cadière-d’Azur. Église Saint-André.
Abside du bas-côté droit. Chapelle Saint Joseph, avec tout autour de la satue, les outils de charpentier.
