Saint Mandrier, les Tamaris
Saint Mandrier et le cimetière franco-italien, Domaine de l'Ermitage, La Seyne sur Mer Tamaris.
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Saint-Mandrier
Fermant la célèbre rade, tel un verrou, la presqu'île de Saint-Mandrier, aux temps les plus reculés, était formée de trois îles rapprochées devenues au cours des siècles « l'Isle de Sépet ». Les Phéniciens, les Rhodiens, les Ligures, les Celto-ligures, les Massadiens, les Romains s'y arrêtèrent. Ainsi, la baie du Creux Saint-Georges abrita de nombreux navigateurs et quelques huttes apparurent sur le rivage. Au VIe siècle, Six-Fours, La Seyne, l'Île de Cépet ne formaient alors qu'un seul territoire. Du VIe au XIe siècle, cette île n'était qu'un ensemble de fermes. Sa renommée provenait de la présence sur ses terres d'une tour phocéenne transformée en chapelle en 566 et de la chapelle Saint-Honorat avec son prieuré, datant de 1020.
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En 1657, La Seyne obtient son indépendance communale avec bornage des terrains s'étendant jusqu'à la presqu'île de Sépet, car l'île était devenue presqu'île entre 1630 et 1657 grâce à la formation de l'isthme des Sablettes par ensablement. Le village, appelé aussi le Cros Saint-Georges commence à prendre forme et devient alors une section de la commune-mère La Seyne. En 1670, on construisit l'infirmerie royale Saint-Louis remplacée en 1818 par l'hôpital maritime de Saint-Mandrier. Tout au long du XVIIIe siècle, la vie à Saint-Mandrier a été intimement liée aux événements se déroulant dans la rade. L'indépendance de la commune a été proclamée le 24 avril 1950, et menée par Louis Clément, son premier maire. Le 24 avril de l'année suivante, Saint-Mandrier devient Saint-Mandrier-sur-Mer.
Le portail de l'église paroissiale a un fronton triangulaire.
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L'église paroissiale. De son chevet plat s’élève un clocher de plan carré coiffé d'un campanile en fer forgé.
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En 1845 une petite chapelle fut édifiée au Cros Saint Georges, au fond du port. La même année, elle fut érigée en église paroissiale. Elle se compose d'une nef unique avec abside à chevet plat, de deux chapelles latérales. Elle est voûtée en berceau plein cintre.
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Mandrier et Flavien, soldats de la garde saxonne du roi arien Alaric II, furent convertis au christianisme par Saint Cyprien. Renonçant au métier des armes, ils se retirèrent sur l'île de Sépet et consacrèrent leur vie à Dieu. Venant en aide aux plus pauvres ou secourant les naufragés, leur bonté n'avait d'égal que leur foi. Persécutés par les hérétiques, ils auraient subi le martyre en l'an 566 sur cette même île de Sépet qui deviendra plus tard la presqu'île de Saint Mandrier. Les reliques de Saint Mandrier, Saint Patron de l'église, sont conservées à la cathédrale de Toulon dans la chapelle de Saint Cyprien.
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En 1864 arrivent d'un village près de Naples des pêcheurs. De 1910 à 1936 des essais de sous-marins sont menés par Schneider. Le 18 novembre 1943, le village est évacué : il sera détruit à 70%.
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Couvercle de sarcophage des Vème et VIème siècles, en calcaire jaune. Mis au jour en 1816 à l’hôpital militaire de Saint-Mandrier. Restitués par la marine à la commune en 2008.
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Cimetière Franco-Italien. Située sur la route du sémaphore, la nécropole de Saint-Mandrier est créée en 1670 par Colbert. Dépendant de l'ancien hôpital de la marine, ce cimetière est pris en charge par le ministère des anciens combattante, le 8 décembre 1948. A l’intérieur de la partie française reposent des soldats et marins tués au cours ou des suites de la première guerre mondiale, notamment sur le front d’Orient : 1024 français, 22 combattants serbes, 18 grecs, 16 russes, et 1 bulgare reposent en tombes individuelles. Les restes mortels de 777 combattants français ont été rassemblés dans un ossuaire. En 1961, la partie sud-est a été cédée au gouvernement italien. Celui-ci a déposé, dans un columbarium, les restes de 975 soldats décédés dans le sud de la France au cours de la seconde guerre mondiale.
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Cimetière Franco-Italien.
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Cimetière Franco-Italien. Il est donc formé de deux parties. La première, mise en forme en 1922, pour les soldats français et étrangers des Balkans, morts durant la 1ère guerre mondiale. La seconde, créée en 1961, pour les soldats italiens. Cette réorganisation fut terminée en1963.
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Cimetière Franco-Italien. Partie française où reposent des soldats et marins tués au cours ou des suites de la première guerre mondiale, notamment sur le front d’Orient.
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Cimetière Franco-Italien.
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Cimetière Franco-Italien. Partie Italienne.
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Cimetière Franco-Italien. Partie Italienne.
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Cimetière Franco-Italien. Partie Italienne.
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Cimetière Franco-Italien. Partie Italienne. Columbarium renfermant les restes de 975 soldats décédés dans le sud de la France au cours de la seconde guerre mondiale.
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Cimetière Franco-Italien. Partie Italienne. Columbarium renfermant les restes de 975 soldats décédés dans le sud de la France au cours de la seconde guerre mondiale.
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Cimetière Franco-Italien. Partie Italienne. Columbarium renfermant les restes de 975 soldats décédés dans le sud de la France au cours de la seconde guerre mondiale.
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Cimetière Franco-Italien.
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Cimetière Franco-Italien. Tombe de quatre soldats français morts en service aérien commandé le 14 octobre 1964.
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Cimetière Franco-Italien.
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Cimetière Franco-Italien.
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Cimetière Franco-Italien. Une pyramide, haute de 8 mètres, ornée de deux sphinx, est érigée en septembre 1810. Elle renferme la dépouille du vice-amiral Latouche-Treville, grand officier de l'Empire, commandant en chef des Forces Navales de la Méditerranée, décédé en rade de Toulon le 17 août 1804 à bord du vaisseau Le Bucentaure.
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Cimetière Franco-Italien. Tombeau renfermant la dépouille de Marie-Nicolas Ravier, capitaine de l’armée d’Orient, « mort pour la France » le 8 octobre 1917 et portant l’inscription : « En reconnaissance des soins donnés à son fils Marie-Nicolas. Ravier de Dounemari a légué, le 8 janvier 1919, la moitié de sa fortune à l’Hôpital de Saint-Mandrier ».
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Cimetière Franco-Italien. Un monument est érigé à la mémoire des officiers du Service de Santé de la Marine, du personnel soignant et des religieuses, décédés à l’Hôpital maritime de Saint-Mandr
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Domaine de l’Ermitage. Aux portes de l’agglomération toulonnaise, bordant la plage de la Coudoulière au sud de la presqu’île de Saint-Mandrier, cette propriété agricole de la fin du XIXème siècle constitue l’un des derniers témoins des propriétés rurales du littoral varois. Dominé par une maison de maître et d’anciens bâtiments d’exploitation, ce domaine allie une pinède de pins d’Alep abritant un maquis dense, une prairie avec d’anciennes cultures méditerranéennes, et des falaises maritimes offrant un panorama exceptionnel. Préservée de l’urbanisation environnante, cette propriété est désormais sauvegardée pour toujours par le Conservatoire du littoral dans un double objectif de préservation et de valorisation, en partenariat avec la commune.
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A la fin du 19e siècle, Paul Juvénal, avocat à la cour de Toulon, fait construire la maison de maître et les bâtis agricoles sur l’arrière-plage de la Coudoulière. Il décède en 1940, et ce n'est qu'en 1952, après le règlement de la succession familiale, que son neveu, Maximin dit Max, prend possession des lieux. Avocat à la Cour d'Aix-en-Provence, il a joué un rôle primordial dans l’unification de la Résistance en Provence, et présidera le Comité de Libération à Marseille. Après ses mandats de Député et Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, il s'installe sur le Domaine agricole de son oncle à Saint Mandrier, où il devient conseiller municipal dès 1965 puis maire (1970-1984). A son décès, les parts d'indivision d’une branche de la famille sont cédées à une société civile immobilière, qui se retrouve en copropriété avec Max fils (l'un des fils de Max Juvénal).
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Pendant des années, la propriété, partiellement constructible dans les documents d'urbanisme, est l'enjeu de polémiques locales quant à sa constructibilité et sa protection. Max Juvénal décidera finalement de céder la propriété au Conservatoire du littoral, afin d’éviter le morcellement du Domaine.
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Suite à l'acquisition de la propriété en 2007, un ambitieux projet de réhabilitation du domaine de l’Ermitage est élaboré dès 2008, et approuvé par enquête publique en 2010. L’une des priorités aura été de restaurer le patrimoine bâti du site. La rénovation de la maison de maître, de l'ancienne ferme et des autres édifices a été finalisée en 2015.
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Deux puits sont présents sur le domaine, un puits voûté situé dans le vignoble et le second aux abords de la maison de maître, muni d'un dispositif de pompage que l'on appelle noria. La noria est constituée d'une roue à godets qui était autrefois actionnée par la force animale, et utilisée pour envoyer l’eau du puits vers des canaux secondaires qui permettaient l’irrigation de l'ancien potager, des plantations, et du poulailler.
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La pêche.
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La chasse.
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L'ancien hôpital militaire. En 1658, un lazaret est créé. Il restera en fonction jusqu'en 1898. Il accueillera, entre autres, le général Desaix, Champollion, l'émir Abd-el-Kader. En 1818, cet hôpital est créé. Il restera en fonction jusqu'en 1936, année de l'ouverture de l'hôpital Sainte Anne à Toulon.
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Les Sablettes.
La plage de Sait Mandrier Les Sablettes, le cap Sicié et les rochers des deux frères.
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Le port pour aller à Toulon.
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Presqu'île de st Mandrier et un parc de mytiliculture.
Michel PACHA de son vrai nom Blaise-Jean-Marius Michel né le 16 juillet 1819 à Sanary-sur-Mer où il sera maire à deux reprises, est décédé le 6 janvier 1907 à Tamaris sur Mer. Il emprunte le même cap que sa famille de marins en devenant mousse à 16 ans. En 1854, il est Capitaine de Navire. En 1855 il est nommé Directeur des phares de l'Empire Ottoman. Il obtient du Sultan Abdülmecit 1er le titre de Pacha de l'Empire Ottoman en 1879. Dorénavant et pour la postérité, il sera Michel PACHA. Brillant homme d'affaires, il constitue une véritable fortune.
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En reconnaissance de ses œuvres charitables innombrables et du soutien qu'il apporta aux institutions religieuses locales (Don Bosco, Sœurs de Sanary, église de La Seyne, etc...), il fut récompensé par le Souverain pontife Léon XIII qui lui conféra en 1882 le titre de : Comte Héréditaire Michel de Pierredon (nom de l'un de ses anciens domaines). En 1883 Michel PACHA achète par plusieurs dizaines d'hectares des terres le long du littoral, et métamorphose les lieux pour constituer la station balnéaire de Tamaris - Le Manteau. Il crée des routes, aménage l'actuelle Corniche Michel PACHA, des villas orientales sortent de terre mais aussi des Casinos, le Grand Hôtel. Il veut faire de Tamaris, le Bosphore de la Côte d'Azur Il rapporte de ses voyages orientaux non seulement de la végétation mais également des bateaux-navettes du Bosphore pour faciliter les échanges vers Toulon et les Sablettes.
Au bord de l'eau, l'institut de physiologie marine Michel Pacha, et à droite, la Villa Tamaris. Le grand bâtiment, à droite, est la Villa Tamaris-Pacha.
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Le port du Manteau..
Situation idéale pour ce lieu abrité du mistral grâce aux collines qui l'entoure, végétation abondante et verdoyante, une mer paisible dans cette Petite Rade de Toulon, une exposition exceptionnelle au soleil de la Côte d'Azur.
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Le port du Manteau..
C’est en 1861 que George SAND, décide de s’installer à Tamaris, pour quelques mois. En convalescence, elle trouve l’endroit reposant et revivifiant, bien que très difficile d’accès. A cette époque, il n’y a aucune voie praticable, il faut, depuis la Seyne sur Mer, passer à travers champs, et franchir les chemins de terre caillouteux.
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La résidence Port-Tamaris.
Elle a été construite à l’emplacement du château de Michel Pacha qui n’a pas survécu aux bombardements américains de la Secondaire Guerre Mondiale et aux pillages allemands. Il a été détruit au début des années 1970. Son parc à senteur Orientale est un vrai trésor. De véritables œuvres d’art se cachent parmi une flore exceptionnelle, souvenir des voyages en Orient de Michel Pacha. Les deux grands piliers blancs qui soutiennent les lions, gardiens du parc, ouvrent la voie à un kiosque à musique / belvédère.
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La résidence Port-Tamaris.
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La résidence Port-Tamaris.
Le moulin, rocaille de Stanislas Cailhol.
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La résidence Port-Tamaris.
Le kiosque à musique / belvédère à plan octogonal qui illustre l’éclectisme orientaliste.
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La résidence Port-Tamaris.
De grandes serres atteignant douze mètres de hauteur, chauffées l'hiver par circulation d'eau chaude, protégeaient les agrumes. Des ananas et des bananiers y parvenaient à maturité. Une serre spéciale pour les fleurs alimentait tout le domaine en espèces d'une variété infinie.
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La résidence Port-Tamaris.
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La résidence Port-Tamaris.
Une rocaille de Vincent Picasse.
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La résidence Port-Tamaris.
L'ancienne chapelle (1883).
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La Villa Tamaris.
C'était un hôtel de luxe sous l'ère Michel Pacha où a séjourné l'amiral de la flotte impériale russe Grigorowitch en 1893. La Villa Tamaris se situe en front de mer sur la Corniche Michel Pacha en face l'embarcadère (navette maritime Toulon et Sablettes). Elle est voisine de La Poste une autre œuvre de l'ère Michel Pacha. Elle est aujourd'hui une copropriété privée présentant une des meilleures vues sur la baie du Lazaret et la rade de Toulon.
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La Poste.
Une autre œuvre de l'ère Michel Pacha.
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La boite aux lettres.
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Le Grand Hôtel de Tamaris sur mer.
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Le Grand Hôtel de Tamaris sur mer.
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Le Grand Hôtel de Tamaris sur mer.
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L'annexe du Grand Hôtel de Tamaris sur mer.
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Cartel d'époque.
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Cartel d'époque.
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Chalet basque.
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Les Anémones.
1910. Architectes J. Roustan et C. Souque.
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Chalet suisse.
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Villa Tamaris-Pacha.
Aujourd'hui un centre d'art où des artistes exposent leurs œuvres. Érigée en 1893 sur un modèle d'architecture palatial pour le mécène Michel Pacha, elle est un cas à part des demeures à l'architecture orientale habituellement construites par l'aménageur. Michel Pacha fit édifier sa propre maison pour lui et son épouse, la villa Tamaris Pacha. De style classique, et à l'ordonnancement rigoureux, la bâtisse domine la baie du Lazaret. À la mort de son épouse, il fit arrêter les travaux et il faut attendre 1991 pour que la ville décide de la réhabiliter.
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Villa Tamaris-Pacha.
Historiquement construite pour l'épouse de Michel PACHA qui n'aura jamais l'occasion de voir le projet terminé. Aujourd'hui un centre d'art où des artistes exposent leurs œuvres.
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Villa Tamaris-Pacha.
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Villa Tamaris-Pacha.
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Villa Tamaris-Pacha.
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La Coquette.
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La Lézardière.
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La Villa l'Orientale.
Ella a été occupée par les Frères Lumière dans le cadre de leur projet cinématographique de La Ciotat.
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Institut de Biologie Marine de Tamaris.
Il a été construit de 1891 à 1900 par l'architecte Paul Page et avec le concours de Hirsch sur un terrain gagné sur la mer et offert par Michel PACHA à l'Université de Lyon.
En Juin 1889, le professeur Raphaël Dubois, Directeur du Laboratoire de l'Université de Lyon vient à Tamaris. Il s'intéresse à la production de lumière par certains animaux marins. Pourquoi vient-il explorer les fonds de la baie du Lazaret ? Parce qu'il sait que le plancton y est d'une richesse incomparable. Un nombre d'espèces considérables y vit et se développe là dans une masse d'eau rarement agitée : poissons, mollusques, crustacés, échinodermes, holothuries, éponges... Tous ces êtres vivants se reproduisent dans une végétation d'une extrême diversité.
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Institut de Biologie Marine de Tamaris.
Le professeur, spécialiste en biologie sous-marine, rêve d'une station permanente où il pourra installer ses laboratoires. Il rencontre Michel Pacha, propriétaire des lieux, et lui expose son projet. D'emblée avec sa générosité coutumière, notre mécène offre le terrain nécessaire à la construction et mieux encore détache de son bien une parcelle de 2 715 m2 dont il fait don à la Faculté de Lyon. À cette libéralité, il ajoutera 1 000 m3 de pierres pour la construction de l'édifice. En échange il exige une seule condition : c'est que l'établissement porte son nom. Comme chacun sait, sa volonté a été respectée.
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Institut de Biologie Marine de Tamaris.
De style résolument oriental avec ses moulures, ses colonnes et ses balustrades.
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Institut de Biologie Marine de Tamaris.
L'institut de l'Université de Lyon ou "fondation Michel PACHA" bénéficie d'un cadre d'exception : la baie du Lazaret et ses riches ressources naturelles, son eau transparente et peu profonde. Délaissé par l'Université, l'institut de Biologie Marine de Tamaris va certainement retourner dans la famille PACHA. En effet Michel PACHA avait fait ce don à l'Université à condition que des activités de recherche en lien avec la physiologie marine y soit menées. Ce n'est plus le cas : seul le CNRS avec le projet Antarès occupe aujourd'hui une partie des lieux.
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Institut de Biologie Marine de Tamaris.
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Institut de Biologie Marine de Tamaris.
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Institut de Biologie Marine de Tamaris.
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La Villa Le Croissant.
Cette villa présente toutes les caractéristiques des maisons orientales avec sa tour-minaret, ses merlons bordant le toit-terrasse et sa frise à décor géométrique rappelant le goût prononcé de Michel Pacha pour l'Orient. Il s'agit d'un des rares exemples de demeures hispano-mauresque dans le quartier de Tamaris...
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La Villa Le Croissant.
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L'orangerie.
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La Mouette.
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Le Casino du Manteau.
En longeant la corniche, vous pourrez découvrir le Casino du Manteau qui fut construit en 1905. De style orientaliste, il comporte un belvédère.
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Le Casino du Manteau.
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Le Casino du Manteau.
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Le fort Balaguier.
La Seyne sur Mer. Le fort fut construit en 1636 dans la commune de La Seyne-sur-Mer. Sa mission principale était de compléter l'action la tour Royale et donc, protéger la rade de Toulon. La menace principale était celle des Habsbourg, et c'est à cette époque que fut érigée une longue série de forts depuis Antibes jusqu'à l'île des Embiez en passant par les iles d'Hyères.
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Le fort Balaguier.
En 1673, les défenses du fort seront améliorées, la veille de la guerre contre la Hollande. Puis, vers les années 1700, Vauban vint faire une inspection des édifices de défense et les jugea mal protégés si l'attaque provenait de la terre. C'est alors que se monta un projet d'amélioration des installations, qui n'aboutira pas. Après de nombreuses attaques, le fort est bel et bien renforcé.
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