Toulon et sa rade
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Plages du Mourillon.
Au fond, la presqu'île de Saint-Mandrier et les Tamaris.
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Plages du Mourillon.
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Plages du Mourillon.
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Plages du Mourillon.
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Plages du Mourillon.
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La porte du séminaire Jésuite.
Après l'expulsion de France des jésuites en 1764, leur séminaire de Toulon fut transformé en hôpital de la marine. À l'occasion de la destruction de l'hôpital de la marine en 1911, la belle porte en chêne de l'ancien séminaire des jésuites fut transportée devant la Corderie et placée contre le mur d'enceinte de l'arsenal. Les boiseries ont été réalisées par Louis Imbert, d’après des modèles de Claude Dubreuil, élève de Pierre Puget. Désormais adossée contre la façade du pavillon est de la Corderie, elle est entourée de quatre colonnes doriques.
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La porte du séminaire Jésuite.
Le fronton oest orné de deux majestueuses. Celle de gauche représente la Religion et celle de droite la Force, armée d'une massue. C’est l’œuvre de Rombaud Langueneux réalisée par Tombarelli. Au-dessus, les armoiries de Louis XIV sont tenues par deux putti, le tout surmonté par la couronne royale.
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Entrée de l'arsenal.
Tour de l'horloge ou « tour carrée », dans l'enceinte de l'arsenal (seconde moitié XVIIIe siècle). Le pavillon, bâti sur pilotis entre 1772 et 1775, est surmonté d'une tour carrée de 24m, elle-même ornée d'une horloge avec cadran horaire. La terrasse de la tour servait aux guetteurs en charge de la surveillance de l'Arsenal. Au-dessus de la terrasse, nichée au sommet de la tour, une cloche était enserrée dans un campanile en fer forgé. À l'époque, elle annonçait les heures de début et de fin de travail. Elle sonna la mobilisation de 1914 et fut remplacée par une sirène en 1918.
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La Tour de l'horloge
Depuis 1929, la cloche est posée sur un socle devant le bâtiment de l'Horloge. Très endommagée lors des bombardements de la Seconde Guerre mondiale, le campanile a été refait au début des années 1950. Une fausse cloche en bois est suspendue dans le campanile depuis 1954.
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La porte de l'Arsenal
L'arsenal de Toulon fut créé par Henri IV en 1599, agrandi sous le règne de Louis XIV de 1680 à 1701. Il comportait une enceinte dont la porte fut érigée sous le règne de Louis XV. Elle fut construite en 1738, avec l'aide du personnel de l'Arsenal. La réalisation du projet architectural de la porte de l'Arsenal est attribuée à Bruno Nègre de Sainte Croix, ainsi qu'au sculpteur Jean Maucord, chef de l'atelier de sculpture de l'Arsenal. En 1956, cette porte de l'arsenal cesse d'être utilisée, la grille d'entrée actuelle ayant été réalisée. En 1976, cette porte est déplacée en lui faisant faire une rotation de 90° pour la plaquer sur la façade du musée de la Marine.
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La porte de l'Arsenal
Des études récentes ont montré que les colonnes sont romaines, en marbre de Carystos (ou Marbre Cipolin), de la ville antique de Leptis Magna, envoyées en France, avec d'autres, en 1688 et en 1690 par Claude Le Maire, consul de Tripoli, sur l'ordre de Jean-Baptiste Colbert de Seignelay. Le monument est fermé par une porte à deux vantaux en noyer et intérieurement par une grande grille qui date de 1832.
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La porte de l'Arsenal
La porte est surmontée d'un attique sur lequel est placé un grand écusson entouré d'armes et de drapeaux. De part et d'autre un petit génie soutient un bouquet de palmes et de lauriers : ces sculptures ont été réalisées par Joseph Hubac (1716-1761). Deux grandes statues en pierre de Calissane (environ 2,20m de hauteur) sont postées au-dessus de l'entablement. Minerve, déesse de l’intelligence et de la stratégie, placée à droite, fut réalisée par Maucord. Mars, dieu de la guerre, est l'oeuvre de Verdiguier.
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La porte de l'Arsenal
Louis XV roi très chrétien rétablit cette porte principale de l'arsenal maritime pour que rien ne dépérit de la splendeur du port de Toulon édifié sous Louis le Grand. 1738.
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La porte de l'Arsenal
Les quatre belles colonnes en marbre cipolin qui supportent le fronton ont été rapportées de Grèce par le marquis de Seignelay, ministre de la marine, en 1686.
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La porte de l'Arsenal
Derrière chaque paires de colonnes se trouvent deux bas-reliefs superposés et tous sculptés dans de la pierre jaune par Jean Michel Verdiguier ; ces quatre panneaux représentent des trophées d'armes et des attributs marins : mâts brisés avec leur voilure déchirée, sabre, ancre, gouvernail, épée, proue de galère, rames etc.
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Le musée de la Marine
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Le musée de la Marine
Le Port neuf ou l'arsenal de Toulon, pris dans l'angle du Parc d'Artillerie. Détail du tableau peint par Joseph Vernet à Toulon en 1755.
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Le musée de la Marine
Le cardinal de Richelieu, d'après Gian Lorenzo Bernini, dit le 1641. Richelieu est le véritable fondateur de la marine.
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Le musée de la Marine
Le port vieux de Toulon. La vue est prise du côté des magasins aux vivres, 1756. D'après Joseph Vernet.
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Le musée de la Marine
La corderie de Toulon, 1686 – 1692. Elle a été construite sur les plans de l'architecte Gobert. Elle mesure 402 m de long sur 20 m de large.
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Le musée de la Marine
La corderie de Toulon.
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Le musée de la Marine
Masque de lion. Maître fondeur : François Hurant. Fonderie de la marine, Toulon, 1682 – 1683. Fonte de cuivre. Quatre masques de lion sur les huit ont servi à supporter les extrémités de deux énormes chaînes destinées à fermer la darse neuve la nuit.
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Le musée de la Marine
Cloche de l'arsenal de Toulon. Fondeur général : Jean Baubé. Cette très belle cloche en bronze surnommée la « grosse cloche » mesure 1 m de diamètre à sa base et pèse près de 800 kg. Elle était ornée à l'origine d'une figure de Louis XIV qui fut martelée à la Révolution.
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Le musée de la Marine
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Le musée de la Marine
La rade de Toulon.
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Le musée de la Marine
Le Duquesne, vaisseau de 74 canons (1788 – 1805). Il est lancé en septembre 1788 et navigue en Méditerranée jusqu'en 1801.
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Le musée de la Marine
La Sultane, frégate de 26 canons (1765 – 1793).
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Le musée de la Marine
La Sultane.
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Le musée de la Marine
La Sultane.
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Le musée de la Marine
Poupe de la Sultane.
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Le musée de la Marine
De droite à gauche, Duquesne, Forbin, Du Gay-Trouin, Dumont d'urville.
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Le musée de la Marine
Atlante de poupe.
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Le musée de la Marine
Figure de proue du vaisseau le Neptune (1818 – 1868).
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Le musée de la Marine
Neptune armé de son trident. Neptune, le Poséidon des Grecs, est le dieu de la mer. C'est donc naturellement l'une des figures mythologiques les plus représentées en sculpture navale. Irascible, belliqueux mais généreux, on le reconnaît souvent comme un personnage de haute stature, assez rassurant portant la barbe et muni d'un trident. Neptune est aussi le maître des chevaux, animal auquel il est fréquemment associé.
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Le musée de la Marine
Décor de poupe provenant d'une demi-galère : « le Génie de la France au milieu des quatre saisons ». Décor de poupe provenant de la galère La Valeur (1687 – 1696), panneau latéral gazuche : « Mars fait triompher les lys de France ».
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Le musée de la Marine
Décor de provenant du vaisseau le Montebello (1812 – 1889). Atlantes représentant « Hercule vêtu de la peau du lion de Némée ». Les deux figures en pied forment une paire disposée symétriquement à l'arrière du navire.
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Le musée de la Marine
Élément ornemental avec le tête de jeune homme. XVIIIe siècle Élément ornemental avec tête de femme africaine. XVIIIe siècle.
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Le musée de la Marine
Bellone, déesse romaine de la guerre. Vers 1815. Ronde bosse en bois polychrome.
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Le musée de la Marine
Décor de poupe provenant du vaisseau Le Souverain (1819 – 1905). Ce tableau arrière est orné des armoiries royales entourées de drapeaux et d'emblèmes maritimes. Écusson de dunette. XVIIIe siècle. Décor de poupe d'un canot impérial. Époque premier empire. Deux génies de la mer soutiennent un écusson au centre duquel figure l'aigle impérial.
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Le musée de la Marine
Panneau décoratif représentant le roi Louis XVIII en médaillon. Entre 1814 et 1824.
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Le musée de la Marine
Jean Bart (Dunkerque, 1650 – 1702). Ronde bosse en tilleul.
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Le musée de la Marine
Figure de proue de la Sultane.
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Le musée de la Marine
Figure de proue du Duquesne.
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Le musée de la Marine
Atlante de poupe.
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Le musée de la Marine
La Dauphine, galère extraordinaire, 1736. Elle est l'œuvre du maître constructeur Reynoir. Ce fut l'une des deux dernières galères extraordinaires construites en France et la dernière à porter ce nom. Rebaptisée l'Espérance à la révolution, elle reste à flot jusqu'en 1792, mais ne navigue plus.
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Le musée de la Marine
La Dauphine, galère extraordinaire, 1736. Elle est l'œuvre du maître constructeur Reynoir. Ce fut l'une des deux dernières galères extraordinaires construites en France et la dernière à porter ce nom. Rebaptisée l'Espérance à la révolution, elle reste à flot jusqu'en 1792, mais ne navigue plus.
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Le musée de la Marine
La Dauphine, galère extraordinaire, 1736. Elle est l'œuvre du maître constructeur Reynoir. Ce fut l'une des deux dernières galères extraordinaires construites en France et la dernière à porter ce nom. Rebaptisée l'Espérance à la révolution, elle reste à flot jusqu'en 1792, mais ne navigue plus.
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Le musée de la Marine
Décor de poupe provenant de la galère de Versailles, 1685. Panneau latéral droit : « la France entourée des neuf muses » ce décor provient de la petite réale construite par Jean-Baptiste Chabert en 1685 pour le canal de Versailles. La France, sous les traits de Minerve, s'appuie sur une lance et un bouclier et désigne un médaillon portant l'emblème du Roi-Soleil. Elle est entourée des neuf muses et d'angelot. Panneau latéral gauche : « la France reçoit les présents des quatre continents ». Minerve reçoit les hommages des quatre parties du monde. L'Europe, suivie de son cheval, tient un sceptre et une corne d'abondance ; derrière elle, l'Asie apporte avec son chameau les parfums de l'orient ; l'Afrique, agenouillée près d'un crocodile et d'un serpent, présente des épis de blé, tandis que l'Amérique, parée d'une cuirasse de plumes, porte son arc, sa flèche et son carquois.
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Le musée de la Marine
Visite de Seignelay et Vivonne à l'arsenal des galères de Marseille, 1678. D'après une peinture de l'école française du XVIIe siècle. Copie de Pierre-Louis GANNE (1906 -1982). L'arsenal des galères connaît son jour de gloire en 1678 lors de la venue à Marseille du secrétaire d'État à la Marine, le marquis de Seignelay. L'intendant général organise un grand spectacle destiné à montrer l'efficacité et le savoir-faire de l'arsenal : la construction (ou plutôt l'assemblage) d'une galère de 26 bancs en 24 heures ! L'exploit mobilise près d'un millier d'ouvriers : 330 charpentiers, 150 perceurs, 60 porteurs de clous, 80 portefaix, 260 calfats, 26 menuisiers, 60 sculpteurs, 8 peintres, et les forçats de la meilleure chiourme, celle de la Réale.
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Le musée de la Marine
Registre de matricules des galères, XVIIIe siècle. Ce registre concerne les listes des hommes enfermés sur les galères du roi. En 1748, le corps des galères est supprimé, un bagne à terre est institué, le registre devient registre du bagne. On y trouve les informations suivantes : le matricule du détenu, son nom, son prénom, son âge, sa profession, son origine familiale, et ses particularités physiques.
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Place d'Armes.
En bordure de l'Arsenal, cette place dessinée par Colbert et destinée à la revue des troupes s'appelait initialement Champ de Bataille, car elle avait été conçue pour le défilé des troupes. A gauche, elle longe l'ancienne corderie de l'arsenal.
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Place d'Armes.
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Place d'Armes.
Dans les années 1970 la place a été surélevée avec la création du parking souterrain.
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Place d'Armes.
L'îlot Saint Louis.
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Place d'Armes.
On y effectue des animations au cours de l’année (Bacchus, Fête du livre, festivités de Noël).
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Place d'Armes.
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Rue Anatole France.
Angle de la rue Sematd, la porte monumentale de l'ancien Séminaire des Jésuites.
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Fontaine de la porte royale.
Sculpture réalisée par Henri Milazzo et Brigitte Léger d'après les vestiges de la statue originale de Sébastien Pesetti. 1985.
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Fontaine de la porte royale.
Sculpture réalisée par Henri Milazzo et Brigitte Léger d'après les vestiges de la statue originale de Sébastien Pesetti. 1985.
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Fontaine de la porte royale.
Sculpture réalisée par Henri Milazzo et Brigitte Léger d'après les vestiges de la statue originale de Sébastien Pesetti. 1985.
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Rue Nicolas Laugier
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Sculpture de la « partie de Cartes».
Place Raimu, reproduction d’une célèbre scène du film « Marius » (premier volet de la trilogie de Pagnol), représente César (à gauche) et Panisse (à droite).
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Sculpture de la « partie de Cartes».
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Sculpture de la « partie de Cartes».
Place Raimu, reproduction d’une célèbre scène du film « Marius » (premier volet de la trilogie de Pagnol), représente César (à gauche) et Panisse (à droite). On peut s'asseoir sur les deux chaises aux places de Mr Brun et Escartefigue.
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Rue Chevalier Paul
Hôtel du port. Cette fresque murale a été réalisée dans le cadre de la réhabilitation de la vieille ville de Toulon. Elle représente un atelier de corderie et de voiles de la fin du XIXe siècle dans la partie supérieure. A la partie inférieure, l’hôtel du Port, un hôtel comme on en trouvait dans l’arrière-port de Toulon avec ses occupants habituels ou de passage. Elle a été réalisée en 1995 par Michel Deguil.
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Rue Chevalier Paul
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Toulon
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Rue du Noyer
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Rue du noyer
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Rue des Riaux
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Rue des Riaux
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La place du Globe
Photo 2024. La Place du Globe a été le point de départ de la rénovation urbaine de Toulon. Ce globe, anciennement fontaine, représentant notre « planète bleue », a été implanté en 2001. Dès 2002, la Maison de la Photographie sur cette même place a été inaugurée, puis le Metaxu et le Port des Créateurs, des lieux proposant la création artistique émergeante de la ville.
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La place du Globe
Photo 2012
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La place du Globe
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La place du Globe
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La place du Globe
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Passage de la place du globe à la place Baboulène.
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Place Eugène Baboulène.
Peintre Toulonnais, 1905-1994.
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Place Eugène Baboulène.
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Place Eugène Baboulène.
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Rue d'Alger
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Rue d'Alger
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Rue Pierre Semard
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Place de l'équerre
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Place de l'équerre
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Place de l'équerre
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
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Rue des Savonnières
Le Port des Créateur
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Rue des Savonnières
Au bout, le Bateau Sculpture.
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Le Bateau Sculpture.
Sur une petite place ombragée sous les palmiers au milieu du quartier du vieux Toulon dans l’arrière port, se trouve cette œuvre monumentale qui est la reproduction fidèle de la proue d’un navire royal du XVIIIe siècle. L’original de la figure de proue, représentant Neptune, dieu romain de la mer, se trouve au Musée National de la Marine. Derrièe, on pouvait voir une voile ou alors un rideau de théâtre, en trompe-l’œil, oeuvre de Michel Deguil.
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Le Bateau Sculpture.
Place Vatel. Cette œuvre monumentale, mise en couleurs en octobre 2021 par l’artiste Alexandre-Benjamin Navet, est la reproduction fidèle de la proue d’un navire royal du XVIIIe siècle. L’original de la figure de proue, représentant Neptune, dieu romain de la mer, se trouve au Musée National de la Marine.
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Le Bateau Sculpture.
Cette œuvre monumentale, mise en couleurs en octobre 2021 par l’artiste Alexandre-Benjamin Navet.
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Rue Lamodieu
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Rue Lamodieu
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Eglise St Louis.
L’église Saint-Louis fut construite à l’initiative de Monseigneur Armand de Chalucet, évêque de Toulon. Alors que les travaux de construction de l'église étaient engagés sur la place d'Armes en 1709, le roi Louis XVI ordonne sa démolition en 1780, prétextant que l'église gênerait le champ de manœuvre des troupes de la garnison sur la place d'Armes. Le chantier de la future église fut donc déplacé sur l’emplacement actuel, là où se dressaient auparavant le couvent des Capucins et la chapelle Saint Sébastien.
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Eglise St Louis.
Ce nouvel édifice est bâti par Sigaud de 1782 à 1788 mais, à cause de la Révolution française, il est tout d'abord dédié en 1794 au culte de la Raison et de l'être suprême, avant de servir de dépôt de munitions et de caserne jusqu'en 1803, où l'empereur Napoléon Ier le rend au culte catholique. L'église ne sera cependant consacrée que bien plus tard, le 25 janvier 1858, par l'évêque de Fréjus, Monseigneur Jordany. Exemple majeur de l’architecture religieuse néoclassique en France, d'inspiration gréco-romaine, elle comporte un parvis et quatre colonnes massives d'ordre toscan qui supportent un fronton triangulaire.
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Eglise St Louis.
Restaurée après guerre par Colas, c'est un bel exemple d'architecture néo-classique, en forme de temple grec. Elle comporte trois nefs séparées par des architraves reposant sur une double colonnade dorique en pierres blanches de Cassis.
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Eglise St Louis.
Le plafond à caissons.
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Eglise St Louis
Le chœur, entouré de dix colonnes corinthiennes, est surplombé d'une remarquable coupole à lanternons. Le Christ a le visage incliné vers sa gauche. Ses genoux sont pliés dans le sens opposé. En bois taillé, peint, doré, XVIIIe siècle.
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Eglise St Louis.
Le Christ a le visage incliné vers sa gauche. Ses genoux sont pliés dans le sens opposé. En bois taillé, peint, doré, XVIIIe siècle.
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Eglise St Louis.
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Eglise St Louis
Le chœur, entouré de dix colonnes corinthiennes, est surplombé d'une remarquable coupole à lanternons.
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Eglise St Louis.
Le rois Saint Louis, portant sur un coussin la Couronne d'Epines.
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Eglise St Louis.
Saint Pierre.
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Eglise St Louis
Bas-côté droit.
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Eglise St Louis.
Chapelle des Pénitents Noirs , avec une statue de saint Joseph
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Eglise St Louis.
Sainte Marie Madeleine.
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Eglise St Louis.
Saint Antoine l'Ermite ?
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Eglise St Louis
Un confessionnal
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Eglise St Louis.
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Eglise St Louis
Saint-Laurent. Réalisé par Marius Mullerké, sur du bois de châtaignier du massif des Mauress, ce bas-relief est un ex-voto d'un ancien prisonnier de guerre allemand devenu un vrai provençal.
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Eglise St Louis
La chaire.
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Eglise St Louis
La chaire. Saint Luc et saint Matthieu.
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Eglise St Louis.
La chaire. Remise des clés à Saint Pierre.
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Eglise St Louis
La chaire. Saint Jean.
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Eglise St Louis
La chaire. Rencontre de Jésus avec Pierre en train de pêcher sur le lac de Tibériade avec son frère André. Saint Pierre guérit un paralytique.
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Eglise St Louis
La chaire. Saint Pierre guérit un paralytique. Découverte du tombeau vide du Christ.
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Eglise St Louis.
La chaire. La libération de Pierre par un ange. Crucifixion de Pierre, la tête en bas.
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Eglise St Louis
La chaire. La colombe du Saint Esprit sous l'abat-voix.
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Eglise St Louis
L'Annonciation.
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Eglise St Louis.
Chapelle du Sacré Coeur.
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Eglise St Louis.
Le lavement des pieds.
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Eglise St Louis.
Bas-côté gauche. Marie et l'Enfant.
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Eglise St Louis
Jésus, à 12 ans, au milieu des maitres du temple. Sous le porche, Marie et Joseph.
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Eglise St Louis
Sainte Thérèse de Lisieux ou sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus. A gauche, le chemin de croix.
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Eglise St Louis.
Sainte Rita.
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Eglise St Louis.
Saint Antoine de Padoue.
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Eglise St Louis
Fonts baptismaux.
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Eglise St Louis.
L’Arbre de l’Espérance. Une grande fresque représentant l'Arbre de l'Espérance a été apposée sur le mur. Réalisée avec les habitants du quartier, elle illustre à merveille, la méditation sur la vie : dans les racines, l'empreinte multicolore des pieds et l'inscription des pays d'origine nous invitent à faire mémoire, de notre héritage familial, affectif et spirituel. Les mains dans les branches, soulignées d'une multitude de prénoms illustrent la vie communautaire et fraternelle faite de mains ouvertes.
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Eglise St Louis.
Fonts baptismaux en marbre, ornés de feuilles stylisées, en relief. XIXe siècle. Au fond, une pietà.
Le choix du baptistère comme lieu de reposoir funéraire n'est pas contradictoire : la Liturgie de l'Église nous fait prendre conscience que la liturgie des funérailles à quelque chose à voir avec le baptême.
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Eglise St Louis.
Fonts baptismaux. Une Pièta.
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Eglise St Louis.
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Eglise St Louis
L’orgue de Saint-Louis est le 4e orgue de cette église. L'instrument a été construit en 1962 par Athanase Dunand de Villeurbanne et inauguré une première fois par Marcel Prévôt le 23 avril 1963. Un relevage a été effectué par la société Merklin en 1979 et une deuxième inauguration a eu lieu le 20 janvier 1980 par François Santon. En 2001 et 2002 un nouveau relevage a été effectué par la Manufacture Provençale d’Orgues de Carcès.
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Eglise St Louis
L’orgue de Saint-Louis est le 4e orgue de cette église. L'instrument a été construit en 1962 par Athanase Dunand de Villeurbanne et inauguré une première fois par Marcel Prévôt le 23 avril 1963. Un relevage a été effectué par la société Merklin en 1979 et une deuxième inauguration a eu lieu le 20 janvier 1980 par François Santon. En 2001 et 2002 un nouveau relevage a été effectué par la Manufacture Provençale d’Orgues de Carcès.
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Rue du docteur Jean Bertholet.
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Rue Pastoureau
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Rue Pastoureau
Ancien bâtiment de La Poste, le Télégraphe, un des bâtiments emblématiques du XIXe siècle, bâti en 1850, abrite depuiis 2018 plusieurs espaces dédiés au bien-être et au bien manger, avec une note artistique.
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Toulon
Le Télégraphe.
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Place de la Liberté
Cette place, créée en 1858 lors de l'agrandissement de la ville décidé par Napoléon III et donnant sur l'artère principale qui traverse Toulon, le boulevard de Strasbourg, fait la jonction entre ce que l'on appelle la ville haute, créée au XIXe s., et la basse ville, qui correspond à la ville ancienne. C'est en 1889 qu'elle prit le nom de "place de la Liberté".
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Place de la Liberté
La Fontaine de la Fédération fut érigée en 1889 pour le centenaire de la révolution française. C'est la même année que la place prit le nom de "place de la Liberté".
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération. Le projet a été conçu par deux frères, l'architecte Gaudensi Allar et le sculpteur André Allar, artiste toulonnais qui a été grand prix de Romer. Taillée dans la pierre de Calissane (calcaire blanc), la statue, composée d'un bassin ovale surmonté des figures allégoriques de la France, de la Justice et de la Force, est érigée en 1889 par la Fédération républicaine du Var avant d'être inaugurée par le président Carnot en 1890. Elle symbolise aussi le transport de la statue de la Liberté de la France vers l'Amérique.
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération. Le groupe sculpté se dresse au centre d'un grand bassin ovale agrémenté d'une série de bassins semi-circulaires formant cascades, et de chaque côté un mascaron déverse de l'eau dans une vasque en forme de coquille. Il est formé de trois figures principales à l'antique : la Liberté, dressée sur un piédestal marqué des initiales RF ; elle est flanquée à gauche d'un personnage masculin symbolisant la Force ; et à droite d'un personnage féminin représentant la Justice. Tous trois prennent place sur une proue de navire à l'antique, dont le rostre est orné d'une guirlande de fleurs. Aux extrémités, des chevaux marins jaillissent des flots, maintenus par des putti.
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération.
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération. Un des mascarons qui déversent de l'eau dans une vasque en forme de coquille.
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération. La Liberté, le personnage masculin symbolisant la Force, le personnage féminin représentant la Justice prennent place sur une proue de navire à l'antique, dont le rostre est orné d'une guirlande de fleurs.
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération. La Liberté est casquée et une épée est attachée à sa ceinture. Elle lève fièrement un flambeau et tient dans l'autre main la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen.
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération. La Force, symbolisée par un homme, au lieu de l'habituelle massue faisant référence à Hercule, tient ici un faisceau de licteur, l'un des symboles révolutionnaires. A ses pieds, un putti s'agippe au cheval marin.
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Place de la Liberté
La fontaine de la Fédération. La Justice tient ses symboles habituels, l'épée et la balance. A ses pieds, un putti tient le mors du cheval marin d'une main, et de l'autre tient une corne dans laquelle il souffle.
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Le Grand Hôtel.
Place de la Liberté. Édifié en 1870, le Grand Hôtel qui s'élève au nord de la place fut réquisitionné par l'occupant pendant la Seconde Guerre mondiale avant d'être transformé en Préfecture maritime en 1944. Après avoir abrité des appartements, il a fermé définitivement ses portes en 1997.
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Place de la Liberté
La Maison aux Citrons
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La Maison aux Citrons
Immeuble de style Art Nouveau, elle est ainsi surnommée à cause des nombreux citrons décorant fenêtres et étages.
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La Maison aux Citrons
La porte d'entrée.
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La Maison aux Citrons
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La Maison aux Citrons
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La Maison aux Citrons
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La Maison aux Citrons
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La Maison aux Citrons
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La gare de Toulon.
Le premier bâtiment est construit par l'architecte Laroze ; il est détruit par un incendie en 1868. La nouvelle gare due à l'architecte Louis-Jules Bouchot est un édifice monumental avec un imposant corps central comportant trois ouvertures de plein cintre en façade qui permettent d'accéder au hall. Ce bâtiment voyageurs de la gare est achevé en 1887. Dans les années 1960, sa vaste halle de l'époque industrielle est détruite. La gare devenue « Pôle d’Échange Multimodal » a bénéficié d'une extension avec doublement de la surface du hall voyageurs et création de 2 halls d'été ombragés en 2013.
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Place Albert Ier
Monument édifié après la guerre de 1870, en 1884, mais dédié à la mémoire des marins et soldats toulonnais tués à l'ennemi depuis 1870, sans plus de précisions. Deux sculpteurs sont à l’origine de ce monument.
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Place Albert Ier
La statue est l’oeuvre du toulonnais Guillaume. Le piédestal est confié à Gauthier de l’atelier. Nous voyons un jeune mobile frappé d’une balle mortelle. Un marin le soutient, armé d’une hache et tenant le drapeau de la Patrie. Une ancre, deux épées et une couronne de lauriers apparaissent sur le socle.
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Place Albert Ier
Il est écrit, en bas : Dulce et decorum est pro patria mori. Horace.
Au-dessus de l'ancre : Ce monument a été élevé à la mémoire des marins et soldats toulonnais tués à l'ennemi depuis 1870 par souscription publique sur l'initiative des sauveteurs de Toulon sous la présidence du docteur Ch. Aubin, monsieur Casimir Périer étant président de la république et monsieur Prosper Ferrero maire de Toulon. 16 décembre 1884
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Place Albert Ier
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Place Albert Ier
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Chambre de Commerce et d'Industrie du Var.
236, boulevard du Maréchal Leclerc. Elle a été créée le 13 juin 1833 et par ordonnance du roi Louis-Philippe. En 1912, le président Lazare Nicoli décide la construction d’un immeuble dédié.
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Boulevard du Maréchal Leclerc.
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Rue Jean Jaurès
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Rue Adolphe Guiol
Le dôme et la façade latérale de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Var. A droite, l'Hôtel des Arts.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Le projet monumental est confié à l’architecte toulonnais Stanislas Gaudensi Allar (1841-1904). Ce dernier dessine un plan en U permettant de mettre en scène les façades du musée, et d'offrir à la vue des promeneurs du nouveau boulevard un petit jardin à la française et une fontaine. Allar opte pour un style rappelant la Renaissance italienne, avec deux remarquables loggias au rez-de-chaussée et au premier étage du corps principal. Percées de cinq grands arcs en plein-cintre, elles inondent de lumière les galeries de circulation et l’immense escalier à double-impériale desservant les étages.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Le fronton s'orne des armoiries de Port-la-Montagne (nom sous lequel fut rebaptisée la ville en 1793, après avoir perdu son statut de chef-lieu), encadrées par une jeune paysanne et un pêcheur.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Les deux ailes latérales du bâtiment, plus massives, s'ornent de chaînages d’angles, et s’ouvrent, sur leurs trois côtés, de larges fenêtres en plein-cintre. Leurs avant-corps sont coiffés d’un étage attique percé de petites fenêtres carrées autour desquelles sont disposés des médaillons en émail polychrome. Sur leurs murs se trouvent deux bustes sculptés par Benoît Lucien Hercule. Ici, celui du célèbre sculpteur et peintre Pierre Puget, entouré de deux listes de noms : ceux d'artistes toulonnais à gauche, ceux d'artistes provençaux à droite.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Le buste de Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580-1637), « prince de la république des lettres » et humaniste local, entouré de deux listes de noms : ceux d'historiens, poètes, orateurs et savants du Var à gauche, et ceux de Provençe à droite.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Le buste de Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580-1637), « prince de la république des lettres » et humaniste local, entouré de deux listes de noms : ceux d'historiens, poètes, orateurs et savants du Var à gauche, et ceux de Provençe à droite.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Les deux pavillons bordant les loggias s'ornent de quatre cariatides de pierre sculptées par André Allar (1845-1926), frère de l’architecte. Le pavillon occidental (côté musée) est orné par des allégories de La Peinture et La Sculpture.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Le pavillon oriental (côté bibliothèque) accueille les statues de La Poésie et L'Histoire.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Le bâtiment est orné de douze médaillons en céramique émaillée de Jules Paul Loebnitz.
184
Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Sur l'aile nord, côté musée, six médaillons sculptés par Émile Hugoulin représentent les artistes Christophe Veyrier, Simon Julien,
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
José Louis Hubac, Jean Nicolas Laugier,
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Bernard Turreau, dit Toro, et Jean-Honoré Fragonard, qui sont tous toulonnais à l'exception de Fragonard.
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Sur l'aile sud, côté bibliothèque, six médaillons sculptés par Victorien Bastet représentent les écrivains Honoré-Gabriel Riquetti de Mirabeau, Jean-Baptiste Massillon,
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Pierre Gassendi, Jean-Jacques Barthélemy,
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Le musée et la Bibliothèque d’Art de Toulon.
Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues et Louis Moréri.
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L'ancien Hôtel-Dieu
En 1678, l'ecclésiastique Jean de Gautier permet l'établissement d'un premier “Hospice de la Charité". En 1681, Pierre Meissonier, propriétaire bourgeois d'un vaste domaine composé de jardins et de terres maraîchères jouxtant le Béal, fait don de l'intégralité de ses biens à l'Hospice de la Charité. En 1694, Armand-Louis Bonnin de Chalucet le nouvel évêque de Toulon, parvient à racheter les legs du chevalier Paul, et à réunir les terrains du chevalier Paul et de Heissonier. Il fait dresser les plans d’un nouveau bâtiment par le sieur Chaumont, ingénieur de la Marine.
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L'ancien Hôtel-Dieu
Les travaux sont exécutés par les maîtres maçons César Aguillon, Jean Geofroy et Claude Grand, et durent près de vingt ans.
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L'ancien Hôtel-Dieu
Au début du XIXe siècle, l'Hôpital devenu désuet et insalubre, la ville s'engage à construire un nouvel hôpital. Entre 1849 et 1856, plusieurs architectes se succèdent à la conduite du chantier de ce qui deviendra l'Hôtel- Dieu. Les nouveaux bâtiments s’implantent autour du bâtiment du début de XVIIIe siècle. Lors de la construction de l’Hôtel-Dieu, le bâtiment historique de l’hôpital de la Charité est réaménagé et l’aile orientale du bâtiment est transformée en chapelle (1853-54). Un nouveau corps de bâtiment est construit symétriquement à l'ancien par rapport à cette chapelle, la plaçant au centre de la composition d'ensemble.
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L'ancien Hôtel-Dieu
Lors de la transformation de l’aile Est de l'ancien hôpital en chapelle, le comble est remplacé par un attique. Les chaînages d'angles sont à refends, et un second entablement raccorde le frontispice à la nef. En 1875, les vitraux de la nouvelle chapelle sont soufflés par l'explosion du vaisseau Magenta qui se trouvait dans la rade de Toulon. Aujourd'hui, les façades Est et Ouest de la chapelle ont conservé leur décor d'origine (bandeaux entablement). La façade sud est dépourvue de ses deux clochetons depuis leur démolition en 1970.
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L'ancien Hôtel-Dieu
La médiathèque, cœur du nouveau quartier, ouverte sur le jardin lui-même restauré, par la porte centrale de l'ancien Hôtel Dieu. Elle est identique à celle du premier hôpital. En 2015, la plupart des bâtiments du XIXe sont déconstruits pour faire place au futur Quartier de la Créativité et de la Connaissance. Les bâtiments remarquables sont conservés. L'aile orientale du premier hôpital, transformée en chapelle en 1854 est protégée au titre des Monuments Historiques. L'aile Sud-Est de l'Hôtel-Dieu du XIXe, attenante à la chapelle est identifiée en Aire de Valorisation de l'Architecture et du Patrimoine.
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L'ancien Hôtel-Dieu
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L'ancien Hôtel-Dieu
La porte centrale de l'ancien Hôtel Dieu. Elle est identique à celle du premier hôpital.
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L'ancien Hôtel-Dieu
Les éléments porteurs de la chapelle et le décor d'architecture sont en pierre de taille. Le reste de l'édifice est enduit. L'entrée de la chapelle est encadrée par deux niches occupées par les statues des fondateurs de l'hôpital, Jean de Gautier ((1678) à gauche, et Armand-Louis Bonnin de Chalucet (+1712) à droite. L’intérieur comporte une nef de six travées à collatéraux terminée par une abside à déambulatoire. Lors de la transformation de l’aile Est de l'ancien hôpital en chapelle, le comble est remplacé par un attique, les ouvertures sont modifiées et l'aile reçoit, au sud, un avant-corps. Ce nouveau frontispice, constitué d'un portique à quatre colonnes ioniques, est couronné par un fronton triangulaire.
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L'ancien Hôtel-Dieu
Armand Louis Bonnin de Chalucet (1641-1712). Sculpteur : Marius Montagne, 1847. Évêque de Toulon à partir de 1684, Mgr de Chalucet entreprit la construction du premier Hôpital de la Charité, jusqu’à sa mort en 1712. Le legs de l'ensemble de ses biens à sa mort permit le fonctionnement de l'hospice pendant tout le XVIIIe siècle. Mgr de Chalucet est représenté tenant en sa main droite une bourse, et montrant de cette même main, l'acte de donation qu'il tient dans sa main gauche.
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L'ancien Hôtel-Dieu
Jean de Gautier (†1678). Sculpteur : Louis-Joseph Daumas 1857. Cet important homme d'église toulonnais permit de rendre possible la construction de la Charité grâce au legs d'une partie de ses biens par voie de testament, à sa mort en 1678. La somme léguée fut suffisante pour la construction de l'hôpital. Le prieur est représenté tenant entre ses mains les plans de l'hôpital tandis qu'à ses pieds se trouve une truelle.
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L'ancien Hôtel-Dieu
Terrasse des orangers et l'Hôpital Chalucet.
201
L'ancien Hôtel-Dieu
L'Hôpital Chalucet. Au début des années 90, la ville décide de démolir tout le versant Est de l'hôpital Dieu pour y construire un nouveau bâtiment, plus épais et fonctionnel. Cette construction modifiera la composition du XIXe.
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L'Hôpital Chalucet.
Façade latérale.
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Le jardin Alexandre Ier
Le béal. En 1794, le plan relief de Toulon établit la présence de trois jardins : le jardin de l'hôpital de la charité à l’ouest, au pied des bâtiments de l'hospice de la charité ; Le jardin botanique de la marine royale au centre ; Le jardin du roi à l'est, créé sous Louis XIV pour la production des oignons à fleurs.
204
Le jardin Alexandre Ier
Le béal. 1718 : achèvement de l'hôpital de la charité édifié sur les terrains mitoyens au jardin du roi acquis par monseigneur Armand-Louis Bonnin de Chalucet. 1781 : la marine royale négocie avec l'hôpital la location d'une parcelle pour y installer un jardin botanique en lien avec l'École de Médecine navale. 1849 : Le bail de location n’est pas renouvelé par l’hôpital qui souhaite s’agrandir et la marine est invitée à quitter les lieux. La marine reste propriétaire des espèces végétales, qui seront transférées sur la presqu'île de Saint-Madrier.
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Le jardin Alexandre Ier
1854 : le jardin botanique et le jardin de la charité n'en forme plus qu'un sous la dénomination du jardin de la vie, tandis que le jardin du roi disparaît. 1863- 1876 : La destruction des remparts de Vauban, en 1863, permet l’agrandissement du jardin, qui s'agrandit à nouveau en 1882. 1925 : construction du monument aux morts au sud du jardin et édification du palais de justice. 1934 : le jardin est rebaptisé jardin Alexandre Ier en hommage au roi de Yougoslavie assassiné à Marseille. 1955 : le jardin est vendu à la commune de Toulon. 1989 : le jardin est remanié profondément.
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Le jardin Alexandre Ier
L'allée principale du Jardin Alexandre 1er située sur le même axe que la chapelle.
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Le jardin Alexandre Ier
Porte de la chapelle Notre-Dame de Courtine. 1624. Réalisation d'une porte de style Louis XIII provençale, pour la chapelle Notre-Dame de Courtine à Six-Fours, par l'architecte toulonnais Julien Rollet. 1876. Sous la mandature de François Joachim Martin de Roquebrune, la porte fut achetée par la ville de Toulon pour la somme de 200 francs. Démontée pierre par pierre, elle fut remontée ensuite dans le jardin Alexandre 1er.
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Le jardin Alexandre Ier
Porte de la chapelle Notre-Dame de Courtine. 1624. Réalisation d'une porte de style Louis XIII provençale, pour la chapelle Notre-Dame de Courtine à Six-Fours, par l'architecte toulonnais Julien Rollet.
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Le jardin Alexandre Ier
1880. Réalisation de la «Fontaine du Buveur» par le sculpteur Benoît Lucien Hercule. 1943. Le haut-relief encastré dans un massif de rocaille, en retrait de la Porte de Courtine dans le Jardin Alexandre 1er fut déposé par les troupes allemandes afin d'être fondu pour en récupérer le bronze.
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