La donation du Rosaire à sainte Catherine de Sienne par Jésus et saint Dominique par le Vierge.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La Sainte Famille, encadrée par les statues, à gauche Saint Mamert protecteur contre les avalanches et à droite Saint Donat protecteur contre la grêle et le tonnerre. Deux Saints importants dans cette vallée d'Hauteluce.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La chaire à prêcher, en noyer teinté, date du début du 18e siècle. Quatre personnages sculptés en haut relief occupent les panneaux de la cuve hexagonale. Ils sont groupés deux par deux.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Pierre (clés) et Saint Paul (épée). Sur le bas de la cuve, des têtes d'anges que supportent des consoles.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Jacques Apôtre et Saint Jacques d’Assyrie.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Le mouvement dans les attitudes évoque le style particulier et expressif du sculpteur savoyard Jacques Clérant.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
L’abat-voix avec la colombe. Sur le dossier, le Bon Pasteur.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Première travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Première travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Première travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Deuxième travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Deuxième travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Deuxième travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Troisième travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Troisième travée.
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Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Troisième travée.
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Hauteluce.
Le Mont Blanc.
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Hauteluce.
Vallée du Beaufortain.
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Hauteluce.
Vallée du Beaufortain.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La chapelle Notre Dame de Haute au col des Saisies est une chapelle moderne construite en 2000 sur l’initiative d’une association l’ A.C.C.S. (Association pour la Construction de la Chapelle des Saisies). Il n’existait pas de chapelle avant et le village station ne date que des années soixante.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
L’architecte Gerard Jubier a conçu une forme octogonale (les baptistères primitifs) une charpente lumineuse reposant sur douze piliers (les apôtres), huit à l’intérieur, quatre à l’extérieur.
146
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La salle comme un théâtre descend vers l’autel. Le nom Notre Dame de Haute Lumière vient de son architecture avec de nombreuses ouvertures orientées plein sud apportant beaucoup de lumière à l’intérieur de l’édifice. La charpente, impressionnante, repose sur sept fermes (symbole des sept dons de l’Esprit Saint) fixées sur les colonnes, elles-mêmes ancrées sur le rocher.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Les vitraux sont l’œuvre de Joel Mône verrier à Lyon avec une visitation et une annonciation de chaque côté du chœur et une nativité (2008). 4 piliers.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Dans le choeur, les œuvres en bois sont de de René Picard, le père de Franck.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Croix lumineuse.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Charpente lumineuse et quatre des douze piliers.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La Nativité.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La Nativité.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La Visitation.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
L'annonciation.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L'Église Saint-Maxime de Beaufort est placée sous la patronage du saint, évangélisateur du Beaufortain. Il s'agît d'une église de style baroque, aménagée, puis agrandie entre 1608 et 1670, transformée à nouveau en 1958.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
La tour du clocher est massive.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Placée au cœur du village, sur un promontoire rocheux, l’église offre une façade à pignon très sobre avec un portail. La porte en noyer clair est sculptée de fleurs de marguerite et décorée de cabochons en bronze. La statue de saint Maxime évêque trône dans une niche au-dessus d’un arc en plein cintre.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Porte du clocher.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L'église comporte une nef centrale et deux collatéraux. La tribune à retours d’angle avec une balustrade en noyer va jusqu’au chœur. Le chevet est plat.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Les voûtes de la nef et des collatéraux sont dans le style du XVIIIe siècle : motifs végétaux et floraux, avec des chapeaux de cardinal. Ces peintures murales ont été restaurées en 1992.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Retable majeur dont la partie centrale est réalisé par François Cuenot entre 1650 et 1659, et qui recouvre la totalité du chevet. La partie supérieure fut réalisée au XIXe siècle. Couleurs opaques gris et vert cendré typique du XIXe siècle, rehaussé de dorures. Premier registre probablement réalisé par François Cuenot.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L’autel-tombeau en marqueterie date de 1746.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Niche gauche : statue de saint Aubin bénissant (guérisseur des enfants faibles) attribuée à François Cuenot.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Tabernacle en bois doré et argenté, monumental. La porte convexe coulissante de l’ostensoir est ornée de l’Agneau aux Sept Sceaux de l’Apocalypse. Porte entourée de deux niches avec à gauche saint Paul et saint Pierre à droite. Monstrance terminée par des volutes formant une couronne fermée qui supporte la croix tréflée de saint Maurice. Deux anges portent une guirlande de fleur. Quatre autres tiennent des instruments de la Passion.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Tabernacle en bois doré et argenté, monumental : en bas, la réserve des hosties est décorée d’une gravure de l’Ascension.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Panneau central : toile peinte représentant saint Maxime en évêque (gauche) face à saint Maurice en légionnaire agenouillé.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Saint Maurice en légionnaire agenouillé. Au-dessus d’eux, la Vierge et l’Enfant parmi les anges musiciens observent la scène.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Niche droite : statue de saint Guérin portant la clé de son cilice (protecteur des troupeaux de bovins) attribuée à François Cuenot.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre supérieur. Panneaux plats ornés de grappes de raisin (vin eucharistique), et d’épis de blé (pain eucharistique).
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Attique : la colombe du Saint-Esprit figure dans un vitrail du XIXe siècle, inséré dans un œil-de-bœuf.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Au-dessus du retable, st maxime. Poutre de gloire : le Christ en croix est entouré de la Vierge debout et voilée à droite, de Marie-Madeleine au pied de la croix, et de saint Jean sur la gauche. Deux angelots dans une gloire.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Poutre de gloire : le Christ en croix est entouré de la Vierge debout et voilée à droite, de Marie-Madeleine au pied de la croix, et de saint Jean sur la gauche. Deux angelots dans une gloire.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
La Pentecôte.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
La Résurrection. Ces deux panneaux peints datent de 1840-1850.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Les stalles.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Autel du Rosaire. Toile peinte et cadre datés de la première moitié du XVIIe siècle. Encadrement précieux posé sur deux gradins à frise fleurie. Au sommet : les deux cœurs flambants de Marie (le glaive) et de Jésus (la croix) figurent dans un gros médaillon couronné par la colombe du Saint-Esprit.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Le tableau représente la Vierge et l’Enfant au centre d’une couronne de roses. Tandis que la Vierge remet le chapelet à saint Dominique, l’Enfant le remet à sainte Catherine de Sienne. Le chien aux pieds des deux saints dominicains est une figure du serviteur de Dieu. Il tient dans sa gueule le flambeau allumé, symbole du triomphe de la foi sur l’hérésie. Le lys qu’ils tiennent symbolise la chasteté. Au sommet : les deux cœurs flambants de Marie (le glaive) et de Jésus (la croix).
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Autel saint Éloi. Retable de corporation de métier, dédié à saint Éloi. Une hache, une équerre et un compas décorent le devant d’autel.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Sur la gauche, saint Éloi évêque brandit le marteau des orfèvres et des maréchaux ferrants. Sur la droite, saint Crépin offre une paire de chaussures à un enfant (saint patron des cordonniers).
En haut : la Vierge Marie et l’Enfant Jésus sont encadrés par saint Antoine abbé (muni du Tau et de la clochette) à gauche, et saint Joseph portant le bâton fleuri à droite.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Chaire à prêcher.
Sculptée par Jacques Clérant (originaire de Moûtiers), en noyer enduit d’une patine noire. Cuve hexagonale, ornée des quatre Pères de l’Église latine en haut-relief : : le pape Grégoire le Grand, saint Augustin évêque,
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
saint Ambroise évêque, le pape Grégoire le Grand,
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
saint Jérôme cardinal, saint Ambroise évêque.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Sur le dossier : le Bon Pasteur.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L’abat-voix est décoré de guirlandes de fleurs et des anges musiciens en occupent la partie supérieure. Un angelot, perché au sommet, souffle dans la trompette du Jugement Dernier.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Motifs végétaux et floraux, avec des chapeaux de cardinal.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Motifs végétaux et floraux.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
En haut, le baptême de Jésus par Saint Jean-Baptiste.
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Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Le chemin de Croix.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
L'appellation « beaufort » associé au fromage remonte à 1865. Le projet de création de la Coopérative laitière du Beaufortain débute en 1957 mené par un groupe d'agriculteurs. Après un démarrage difficile, elle ouvre ses portes en 1961. L'année suivante, la fruitière d'Arêches cesse son activité et ses adhérents rejoignent la nouvelle Coopérative. En 1968, la protection comme Appellation d'origine contrôlée est enregistrée. La zone de production du lait et sa transformation est limitée aux vallées du Beaufortain, de la Maurienne, de la Tarentaise et d'une partie du val d'Arly et les vaches doivent être de race tarine ou abondance. En 1972, l'ouverture de la Coopérative au public puis le développement de la vente directe ont contribué à sa réussite et à la notoriété du fromage Beaufort. La coopérative comporte 41 caves d'affinage avec une capacité totale de 32 000 meules, et fabrique plus de 30 000 meules par an. C'est le 1er producteur de Beaufort avec 1/4 de la production nationale.
203
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Le lait non refroidi collecté dans les deux heures est emprésuré dès son arrivée à la laiterie. Le caillé est emprisonné dans la toile et le cercle de bois, et mis sous presse pendant 20 heures et retourné à plusieurs reprises. Il faut 10 kg de lait cru pour élaborer 1 kg de fromage. Salé par trempage 24 heures en saumure, le fromage passe ensuite des mains du fromager à celles du caviste. Le fromage est entreposé en cave à la température inférieure à 12 °C et à l'hygrométrie supérieure à 92 %. Le caviste dépose deux fois par semaine une petite poignée de sel sur le fromage. Une fois fondu, le sel est étalé et le surplus essuyé à la main, avant que la meule ne soit retournée. Le fromage est posé sur des planches d'épicéa brutes. L'affinage dure au minimum 5 mois après la date d'emprésurage.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Une plaque de caséine bleue signale les fromages conformes au décret d'appellation. Elle est posée en talon lors du premier retournement du fromage. Il s'agit d'un droit à produire. Elle est achetée auprès du Syndicat de Défense du Beaufort qui protège l'AOP.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Informations de fabrication.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
À la sortie des presses, les fromages sont marqués d'une lettre indiquant l'instant de fabrication (matin ou soir), de la lettre du fromager, de la lettre de la cuve, du jour et du mois de fabrication. Ces meules sont en train d'être retournées par un robot : la première colonne a été retournée. L'homme est plus rapide que la machine : il peut faire 70 retournements dans l'heure.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
La meule est saisie par le robot.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est posée sur un plateau tournant.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est salée par de l'eau saumurée.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est reprise par le robot.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est reposée retournée sur la planche en épîcéa.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Dans cette cave sont entreposés du fromage qui n'est pas du beaufort : sa face latérale n'est pas concave. Cette forme particulière est donnée par moulage dans un cercle de bois de hêtre convexe appelé "cercle de beaufort".
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Les 4 étapes finales.
« Le fromager est soucieux de la qualité du fromage. Avant de procéder au moulage il prend, les grains de caillé dans sa main pour faire son jugement : c’est le test du pâton. Il apprécie la texture à sa juste valeur : les grains ne doivent être ni, trop fermes, ni, trop, doux ».
Soutirage et moulage.
Le mélange du caillé et du petit-lait est évacué puis réparti dans les cloches de soutirage. Les grains de fromage se déposent en partie basse de la cloche où ils se rassemblent dans la toile de lin et le cercle en bois de hêtre.
Pressage et retournement.
Les fromages sont mis en presse, soumis à une force proche de 1000 kg, jusqu'au lendemain. Les grains se soudent et le petit-lait s'écoule. Plusieurs retournements seront réalisés afin de changer la toile et de resserrer le cercle.
Saumurage. .
À la sortie de presse, les fromages sont placés pendant 24 h dans une tour de refroidissement puis sont plongés à nouveau 24 h dans une saumure dynamique, un bain d'eau saturée en sel. Le fromage durcit en surface et commence à se former.
Affinage.
Placées sur des tablards en épicéa, dans les caves fraîches et humides, les meules sont salées, frottées et retournées deux
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Pressage et retournement. Les fromages sont mis en presse, soumis à une force proche de 1000 kg, jusqu'au lendemain. Les grains se soudent et le petit-lait s'écoule. Plusieurs retournements seront réalisés afin de changer la toile et de resserrer le cercle.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Les fromages arrivent recouverts de toile de lin.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On découvre la meule.
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On enlève aussi le cerclage.
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La meule n'est marquée que par la plaque de caséine.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On imprime le chiffre du mois (6 pour juin).
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On ajoute toutes les lettres de fabrication.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On remballe le tout et la meule passe dans une presse. Ensuite on enlève la toile.
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Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On resserre le cerclage à coups de maillet. Ensuite les meules vont être reposées.
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