Oloron-Sainte-Marie, le Fort du Portalet.
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Oloron-Ste-Marie
Place Saint-Pierre. Cette place doit son origine à l’organisation d’un tournoi célèbre entre le roi d’Aragon et le roi d’Angleterre en 1287. Pour cela, pommiers et vignes furent arrachés et les fossés de la ville comblés. Au XIXème siècle, la place changea de physionomie avec la construction de murets « à l’espagnole » qui lui conférèrent une forme ovale. A gauche, l’église St-Pierre (XVIIIe) de style Contre-réforme, désaffectée, est une ancienne église romane.
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Oloron-Ste-Marie
Vers 1080, le vicomte de Béarn, Centulle V le Jeune, vint rebâtir une ville sur les ruines du site défensif antique qu’il nomma Oloron. Il la dota de nombreux privilèges surtout commerciaux et militaires. La ville prit alors de l’importance et accueillit des souverains étrangers et de plus en plus de pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle. De nombreuses traces attestent de ce riche passé médiéval comme les maisons à colombages qui abritaient une partie du marché, la Maison du Sénéchal, l’Hôtel de ville et sa prison où le roi Louis XI vint séjourner.
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Oloron-Ste-Marie
Maison sur « couverts ».
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Eglise Sainte-Croix
Edifice roman de la fin du XIème – début du XIIème siècle, l’église Sainte-Croix fut construite afin de doter la nouvelle ville créée par Centulle V le Jeune d’un lieu de culte. Elle est dédié à la Sainte-Croix. Cette dédicace est due, non pas à la présence de reliques, mais en rappel aux Croisades auxquelles ont participé plusieurs vicomtes béarnais en Terre Sainte puis dans la péninsule ibérique. L’implication des vicomtes béarnais dans la Reconquête espagnole ainsi que les échanges artistiques favorisés par les chemins de Saint-Jacques de Compostelle expliquent les influences stylistiques retrouvées dans l’édifice. Statue d'art contemporain de l'Irlandais Warren le Chi.
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Eglise Sainte-Croix
L’église se compose d’une nef, de deux collatéraux, d’un transept coiffé d’une coupole sur tambour, d’un chevet comportant une abside et deux absidioles, et d’un clocher carré.
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Eglise Sainte-Croix
Le clocher carré.
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Eglise Sainte-Croix
Le clocher carré.
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Eglise Sainte-Croix
Le porche situé au nord, creusé en coquille, présente six voussures en plein cintre et quatre chapiteaux. Les deux premiers portent une décoration végétale stylisée,
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Eglise Sainte-Croix
les deux autres représentent une femme saisie par deux griffons ailés (la Luxure ou la Damnation)
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Eglise Sainte-Croix
et une colombe buvant dans un calice tendu par un bras (la Félicité ou la Vie Éternelle).
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Eglise Sainte-Croix
L'église a été construite suivant le plan bénédictin avec une nef et deux collatéraux se terminant sur un chœur avec une abside et deux absidioles voûtées comme l'abside en cul-de-four, après le transept. La croisée du transept est couverte d'une coupole centrale byzantine, enveloppée extérieurement d'un tambour cylindrique. Le bras nord du transept est surmonté d'un clocher.
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Eglise Sainte-Croix
La croisée du transept est, en fait, une coupole soutenue par des nervures carrées disposées en étoile à huit branches. D’inspiration mozarabe, cet élément d’architecture rare, a pour exemples la coupole de l’Aljéferia de Saragosse ou celle de la mosquée de Cordoue édifiée par El Hakam II.
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Eglise Sainte-Croix
Le choeur décoré d'un Jugement dernier, dans le cul de four, de scènes de la passion et d'évêques locaux.
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Eglise Sainte-Croix
Un décor a été peint au XIXe siècle : la Passion du Christ a été réalisée par Bertrand Bernard, peintre décorateur de Bagnères-de-Luchon, le Jugement dernier, les martyrs et les évêques locaux de l'abside, l'Agonie dans le jardin des oliviers, la Résurrection du Christ sont dus au peintre Romain Cazes, peintre d'histoire à Paris, élève d'Ingres.
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Eglise Sainte-Croix
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Eglise Sainte-Croix
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Eglise Sainte-Croix
Le Jugement dernier.
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Eglise Sainte-Croix
L'Agonie dans le jardin des oliviers. Les stalles oot été réalisées par un menuisier local, Raymond Diumidou, dit Magna, en 1717.
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Eglise Sainte-Croix
La Résurrection du Christ.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Adalbaud, martyr en vasconie.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Léon, évêque de Bayonne.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Galactoire, évêque de Lescar.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Julien, premier évêque de Béarn.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Grat, évêque d'Oloron.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Amand, apôtre des Basques.
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Eglise Sainte-Croix
Sainte Bictrude, Dame vascone et Abbesse.
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Eglise Sainte-Croix
La nef a conservé des chapiteaux romans à motifs végétaux.
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Eglise Sainte-Croix
Ceux de l'abside et de l'absidiole sud illustrent des thèmes de l'Ancien et du Nouveau Testament avec des scènes profanes. Ils semblent avoir été réalisés dans les années 1140 – 1145 par des compagnons formés sur le chantier du maître de la cathédrale Sainte-Marie. Le Christ Maître d’œuvre et les bâtisseurs de l'église.
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Eglise Sainte-Croix
Chapiteau roman repeint au XIXe, vie de Saint-Jean-Baptiste
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Eglise Sainte-Croix
Adoration des Mages.
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Eglise Sainte-Croix
la Tentation du Christ au Désert.
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Eglise Sainte-Croix
Abel et Caïn.
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Eglise Sainte-Croix
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Eglise Sainte-Croix
L'Annonciation, le baptême de Jésus, la donation des clés à St Pierre, la Crucifixion.
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Eglise Sainte-Croix
Le tabernacle.
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Eglise Sainte-Croix
Chapelle saint Clémen.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Clément est un jeune martyr romain (14-15 ans). Ses reliques ont été portées dans cette église en 1864 grace au Père Paulet. Saint Clément est invoqué comme protecteur des enfants et des jeunes.
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Eglise Sainte-Croix
Le retable de style baroque espagnol réalisé par Jean Dartigacabe est achevé en 1708, date à laquelle il trône dans le choeur de l’église. Cette disposition ne correspondant plus à la liturgie du XIXe siècle, il est déplacé et adapté au bras nord du transept.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Pierre et saint Paul ancadrant une Crucifixion avec la Vierge et saint Jean.
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Eglise Sainte-Croix
A gauche, saint Jean-Baptiste. Tout en haut, Dieu le Père.
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Eglise Sainte-Croix
Saint Pierre.
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Eglise Sainte-Croix
Vierge à l'Enfant.
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Eglise Sainte-Croix
La Vierge.
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Eglise Sainte-Croix
La chaire a été éalisée par un menuisier local, Raymond Diumidou, dit Magna, en 1717.
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Eglise Sainte-Croix
Fonts baptismaux.
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Eglise Sainte-Croix
Le sol intérieur est constitué des tombes des paroissiaux, qui aux dix-septièmes et dix-huitièmes siècles, ont souhaité être enterrés dans l'église selon une pratique qui prit fin avec l'édit du roi Louis XVI de 1776.
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Eglise Sainte-Croix
Nef à berceau en plein cintre.
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Eglise Sainte-Croix
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Eglise Sainte-Croix
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Eglise Sainte-Croix
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Eglise Sainte-Croix
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Promenade Bellevue
Les remparts qui cernent la colline Sainte-Croix ont été élevés par les romains au début du Vème siècle. Durant le Moyen Age, l’enceinte a subi des modifications à plusieurs reprises avec l’installation du château vicomtal par lequel on entrait dans la ville où se tenaient marchés et foires. La promenade Bellevue qui borde les remparts a été aménagée au XIXème siècle et offre un magnifique point de vue sur la ville et le Piémont Oloronais.
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Tour de Grède
D’abord appelée « Oustau de Poey » au XIIIème siècle, habitée ensuite par la famille Agreda, la tour, entièrement restaurée, abrite aujourd’hui une scénographie consacrée à la Faune des Pyrénées. Du haut de ses 113 marches, la Tour de Grède offre un panorama exceptionnel sur la ville et la chaîne des Pyrénées.
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La cathédrale Sainte-Marie
C’est en 1102, au retour de la croisade de Jérusalem du vicomte de Béarn Gaston IV le Croisé, que débute la construction de l’actuelle cathédrale. Détruit partiellement suite à des incendies au XIIIe et au XIVe siècles, l’édifice de style roman et gothique est reconstruit puis agrandi au XVIIIe siècle. En 1801, la cathédrale perd son statut suite au Concordat transférant l’évêché à Bayonne. Devenue église paroissiale, elle entre dans le patrimoine communal suite à la séparation des biens de l’Eglise et de l’Etat en 1905.
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La cathédrale Sainte-Marie
En avant de son portail roman, un massif clocher-porche du XIIe siècle de caractère défensif surmonté une toiture d'ardoise.
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La cathédrale Sainte-Marie
Exécuté par deux artistes différents au XIIe siècle, le portail roman constitue un véritable livre ouvert sur la Foi de l’époque, ravivée par les Croisades et les guerres de Reconquête en Espagne.
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La cathédrale Sainte-Marie
On doit au premier la Descente de Croix du tympan, émouvante dans sa simplicité. La sculpture s’affirme mais, imitée de l’orfèvrerie et des ivoires, peine encore à se détacher du fond.
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La cathédrale Sainte-Marie
On attribue aussi à cet artiste le groupe des Hommes de l’Ancien Testament, lourdement enchaînés comme des atlantes au bas du trumeau, en marbre de Gabas. Les deux personnages sculptés enchaînés dos à dos semblent être des Sarrazins captifs ( daprès leurs vêtements et leurs sandales lacées à caractère oriental ).
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La cathédrale Sainte-Marie
Les atlantes enchaînés du trumeau du portail ouest.
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La cathédrale Sainte-Marie
Les atlantes enchaînés du trumeau du portail ouest.
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La cathédrale Sainte-Marie
Le tympan principal est orné d'une descente de Croix sculptée, due au premier artiste. Les réminiscences orientales s'imposent, la croix ornée de gemmes et de cabochons rappelle certain reliquaires orfévrés, le vêtement du Christ est le périzonium ; enfin, la facture même de la sculpture au faible relief fait penser à celle des ivoiriers byzantins. On peut reconnaître : Joseph dArimathie, arc bouté soutenant le corps du Christ, Nicomède achevant de déclouer Jésus avec des tenailles, une sainte femme recevant la main du Christ , St Jean à droite tenant un marteau recourbé et la Vierge Marie un peu à l’écart, sur la gauche. Le Christ paraît massif, la tête inclinée sur l’épaule, ses bras démesurés. Au-dessus de la Croix, des petits personnages voilés portant un croissant de lune et un soleil (c'est l'heure des ténèbres). Sous la croix, le chrisme X et P entrelacés, premières lettres du mot Christ en grec « XPISTOS ») et un taureau tirant la langue. Au-dessous de cette scène, deux petits tympans refaits au XIXe siècle : à gauche, le Christ bénissant entouré de lions (symbole de l'Eglise glorieuse ) et à droite, un homme tenant des griffons (symbole de l'Eglise persécutée ).
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La cathédrale Sainte-Marie
Le « Maître de Sainte-Marie » qui lui succède est d’un plus grand talent encore. Voussure supérieure : les 24 vieillards de l'Apocalypse dans la gloire du Ciel. Assis, ayant des traits réguliers, leurs attitudes sont variés . Ils brandissent des luths, rebecs et violes ou tiennent des vases de parfum. Leurs yeux, en pâte de verre, ne cessent de nous regarder depuis 9 siècles... Voussure inférieure : scènes typiques du Béarn avec l'abattage du sanglier, le pèle-porc, le tonnelier et ses aides, le vendangeur et sa hotte, la pêche au saumon (énorme ) et sa conservation, la fabrication de la galette, le canard que l'on égorge, le moule à fromage, le jambon que l'on découpe.
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La cathédrale Sainte-Marie
Au centre de la voussure supérieure, l'Agneau Pascal portant la Croix Glorieuse entouré d'un phylactère tenu par deux petits anges, avec l'inscription « Dans la Croix, le Salut et la Vie », évoquant la Rédemption accomplie par le Christ qui triomphe des forces du Mal par la Croix. Désormais les vivants de la Terre et du Ciel sont associés au Christ pour la gloire de Dieu. Au centre de la vousure inférieure, est sculpté un mufle d'animal (un ours sans doute), contrepoint terrestre à l'animal symbolique qui le surmonte, et évoque la figure du Mal.
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La cathédrale Sainte-Marie
De chaque côté, en encorbellement , un groupe sculpté : à droite, un cavalier dont la monture écrase un malheureux qui tente de se protéger, symbolise le triomphe du christianisme sur le paganisme
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La cathédrale Sainte-Marie
à gauche, un lion dévorant sa victime, dont les jambes sortent de sa gueule, figure peut-être l'enfer. Leurs significations : d’un côté le triomphe, de l’autre le châtiment.
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La cathédrale Sainte-Marie
Dominant le portail, deux hommes ont une attitude figée, contemplative devant une sculpture disparue, la Résurrection ? A gauche, un pélerin
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La cathédrale Sainte-Marie
A droite, un homme d'armes qui pourrait être Gaston IV le Croisé.
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La cathédrale Sainte-Marie
Les hommes nus accroupis, s’écartant la bouche de leur main.
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La cathédrale Sainte-Marie
Les animaux hybrides, gardiens farouches du sanctuaire.
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La cathédrale Sainte-Marie
Le sagittaire et l’oiseau ou la rencontre de l’initié avec l’âme du Grand Œuvre.
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La cathédrale Sainte-Marie
Quatre lions à trois têtes ou un chemin par les Nombres.
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La cathédrale Sainte-Marie
Le cavalier et son destrier, ou la royauté en esprit née du ciel. Au-dessous, la femme nue à la chevelure abondante ou l’énergie indifférenciée de l’Œuvre
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La cathédrale Sainte-Marie
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La cathédrale Sainte-Marie
Les Vieillards au regard de verre.
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La cathédrale Sainte-Marie
Voussure intérieure, une chasse au sanglier.
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le pèle-porc, le tonnelier et ses aides,.
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La cathédrale Sainte-Marie
le vendangeur et sa hotte, la pêche au saumon (énorme ) et sa conservation,
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la fabrication de la galette, le canard que l'on égorge,
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le moule à fromage, le jambon que l'on découpe
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La cathédrale Sainte-Marie
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Porte des Cagots.
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La cathédrale Sainte-Marie
Les portes cloutées ont été offertes par Henri IV après son mariage avec Marie de Médicis. Il rendit également la cathédrale au culte catholique.
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La cathédrale Sainte-Marie
Elle est formée d'une nef à collatéraux doublés de chapelles au nord et au sud, précédant un transept puis un chevet à chapelles rayonnantes. Certains chapiteaux sont sculptés alors que le choeur et les chapelles rayonnantes ont été ornés de peintures sous Louis XV.
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La cathédrale Sainte-Marie
Le bénitier des Cagots représente une scène de chasse. Il s’agit vraisemblablement d’un chapiteau provenant de l’édifice roman ou du cloître, creusé pour devenir bénitier.
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La cathédrale Sainte-Marie
De style gothique rayonnant, le chevet a été reconstruit au XIVe siècle suite à un incendie. Composé d’un déambulatoire et de cinq chapelles rayonnantes, il est le seul chevet de pèlerinage du Béarn. La technique utilisée pour réaliser la voûte d’ogive couvrant le chœur et le déambulatoire a été expérimentée à Reims et Soissons. Il semble qu’un maître champenois soit venu l’appliquer à la cathédrale d’Oloron Sainte-Marie mais aussi à celle de Bayonne, réalisée pendant la même période.
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La cathédrale Sainte-Marie
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La cathédrale Sainte-Marie
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La cathédrale Sainte-Marie
La plupart des vitraux sont de l'atelier de Charles Champigneulle fils à l'exception des vitraux de la chapelle Saint-Pierre et de la chapelle du Sacré-Cœur qui sont de A. Strauss. Les vitraux du haut sont du XVIe siècle, et ont des couleurs très nuancées avec une fusion de détails.
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Une Crucifixion.
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La cathédrale Sainte-Marie
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La cathédrale Sainte-Marie
Adoration des bergers.
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La cathédrale Sainte-Marie
Jeanne d'Arc ?
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La cathédrale Sainte-Marie
Sainte Thérèse de Lisieux ?
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La cathédrale Sainte-Marie
Sainte Monique.
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Saint Augustin.
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La cathédrale Sainte-Marie
Chapelle du sacré Coeur.
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La cathédrale Sainte-Marie
Chapelle du sacré Coeur. Saint Jean. Les vitraux du bas sont du XIXe et les couleurs sont plus simples : rouge, vert, bleu, jaune. Saint Jean.
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Chapelle du sacré Coeur. Saint Roch.
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Chapelle du sacré Coeur. Saint Paul et saint Pierre.
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Chapelle du Saint Sacrement.
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La cathédrale Sainte-Marie
Chapelle du Saint Sacrement. Présentation de Marie au Temple et l'Annonciation.
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La cathédrale Sainte-Marie
Saint François de Paule.
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La cathédrale Sainte-Marie
Sainte Thérèse d'Avila.
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La cathédrale Sainte-Marie
La Chapelle Saint-Grat : entièrement restaurée, elle accueille cinq panneaux de bois polychromés et dorés du XVIIIe siècle (classés le 7 décembre 1908) illustrant la vie épiscopale du premier évêque d’Oloron connu, Gratus.
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La cathédrale Sainte-Marie
La Chapelle Saint-Grat : entièrement restaurée, elle accueille cinq panneaux de bois polychromés et dorés du XVIIIe siècle (classés le 7 décembre 1908) illustrant la vie épiscopale du premier évêque d’Oloron connu, Gratus.
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