Accueil
Contact
1
2
Précédent
Suivant
Archives Départementales.
Le stockage des archives se fait sur 78 km de linéaires.
232
Archives Départementales.
Le parvis est en pierre de lave et décoré d'un semis de lettres.
233
Archives Départementales.
234
Archives Départementales.
Le "galet" est une énorme coque, de couleur rouge brique, rappelant celle des containers du port tout proche.
235
Archives Départementales.
L'ensemble du bâtiment est enveloppé par une peau de verre opalescent qui, selon l'heure, devient mat ou brillant, net ou nuageux.
236
Archives Départementales.
L'entrée.
237
Archives Départementales.
L'entrée.
238
Archives Départementales.
Hall d'entrée.
239
Archives Départementales.
Hall d'entrée.
240
Eglise St Martin d'Arenc.
Cette église a été c onstruite entre 1904 et 1924, sur un terrain donné par une grande famille marseillaise, les Armand. Elle est désaffectée depuisb les années 1970. Une association, défense de l'environnement Marceau et riverains, se bat pour empêcher sa démolition.
241
Eglise St Martin d'Arenc.
C'est une église néo-romane de plan basilical, comportant une nef et deux bas-côtés et un choeur en abside, les deux collatéraux constitués de chapelles communicantes et se terminant par une absidiole et elle ne comporte pas de transept. Elle a été édifiée sur des pieux en bois plantés dans le sol en 1913, par Théodore Dupoux, architecte du Sacré Coeur sur le Prado.
242
Eglise St Martin d'Arenc.
L'entrée de la nef se fait par un porche hors-œuvre ouvert d' un portail à large ébrasement surmontée de trois fenêtres géminées sous un arc de décharge. Deux petits porches ouvrent directement sur les collatéraux. Située en retrait d'alignement, l'église est entourée de jardins de part et d'autre et son périmètre fermé par une grille.
243
Eglise St Martin d'Arenc.
244
Eglise St Martin d'Arenc.
245
Eglise St Martin d'Arenc.
246
Eglise St Martin d'Arenc.
247
Eglise St Martin d'Arenc.
248
Eglise St Martin d'Arenc.
249
Eglise St Martin d'Arenc.
Dans le tympan de la porte, une oeuvre d'Henri Raybaud. Le Christ, montrant son coeur, est entouré de deux anges aux ailes déployées. A sa droite, Saint-Paul, le livre des épîtres à la main et Saint-Augustin sont debout. A genoux, Anne Madeleine Rémusat, et dans l'angle, Amédée Armand qui tient dans une main un cierge aux armes de la ville. A sa gauche, Saint Jean, son livre d'Évangile à la main et Saint Bernard sont debout. À genoux devant eux, Monseigneur Belsunce et un personnage tenant la maquette de l'église.
250
Eglise St Martin d'Arenc.
251
Eglise St Martin d'Arenc.
Le clocher est accolé à gauchte.
252
Eglise St Martin d'Arenc.
Le clocher est accolé à gauche.
253
Eglise St Martin d'Arenc.
Vue du jardin.
254
Jardin derrière l'église.
255
Jardin derrière l'église.
256
Jardin derrière l'église.
257
Jardin derrière l'église.
258
Rue Chevalier Paul.
259
L'école Chevalier Paul.
C'était une manufacture de tissus : les entrepôts Noailles Textiles, construits en 1912.
260
L'école Chevalier Paul.
En 2006, la mairie a lancé un concours pour les architectes avec la condition que l'ancienne façade du bâtiment administratif soit conservée. Le concours a été gagné par l'architecte marseillais Edouard Sarxian.
261
L'école Chevalier Paul.
Edouard Sarxian s'est inspiré des entrepôts existants pour son projet. La forme des ouvertures sur la rue Chevalier Paul rappelle celle des toitures en sheds (toiture en dents de scie) de l'usine démolie.
262
263
Le Domaine Cuoq
C'est un ensemble de grands entrepôts commerciaux. à l'âge d'or du port, on y travaillait énormément ! Des entreprises y louaient de vastes espaces pour stocker leurs marchandises (grains, sucre, peaux...). Elle pouvaient aussi y installer des machines-outils qui fabriquaient des produits.
264
Le Domaine Cuoq
Pendant la Guerre mondiale, le Domaine Cuoq a été gravement endommagé par les bombardements. Le port, les chemins de fer et les installations industrielles étaient des cibles stratégiques, car elles faisaient vivre l'économie de la ville.
265
Le Domaine Cuoq
266
Le Domaine Cuoq
Cette ligne de chemin de fer a été construite en 1863 pour relier la Gare Saint-Charles aux nouveaux ports de la Joliette et puis d'Arenc.
267
L'hôpital Euroméditerranée.
268
Collège Jean-Clause Izzo.
Construit en 2005A chitectes : R. Isnardon, F. Lacube, J. Redondo. Entrée composite avec conteneurs et voiles de béton.
269
Collège Jean-Clause Izzo.
270
Collège Jean-Clause Izzo.
Le terrain multisport. Bâtiment d’enseignement bas surmonté d’un rang de 5 logements de fonction, situés en toiture du collège. A gauche, l'immeuble le Corail, à droite la tour la Marseillaise.
271
L'îlot M5.
C'est un ancien bâtiment des Entrepôts Gontrand. Trois architectes ont travaillé sur ce projet : Yves Lion, Roland Castro et Sophie Denisof. C'est à l'initiative de Yves Lion, que ce bâtiment a été conservé et transformé, pour son intérêt historique.
272
L'îlot M5.
Ce n'est plus un lieu de travail, mais d'habitation. Le tout est organisé autour d'une petite place centrale.
273
Rue Forbin.
L'entrée des anciens établissements Bietron. La société Aimé Biétron commercialisait ici des produits laitiers dans les années 1910-30 (le "Suprême Gruyère", les Camemberts "Le Minet", "Le Chemineau", le "Mongouter"...).
274
Rue Forbin.
L'entrée des anciens établissements Bietron. Pour construire ce bâtiment en 1911, elle a fait appel à deux architectes, Gaston et Victor Faure, ce qui n'était pas courant pour des usines. Puis Bietron a fermé et le bâtiment a été démoli en 2013. La Mairie a décidé de conserver le portail.
275
Rue Forbin.
Le Centre d'Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) de la fondation Saint Jean de Dieu.
276
Rue Malaval.
La résidence Argo, du nom du célèbre bateau de la mythologie grecque,à l’angle des rues Fauchier et Malaval, a été signée par Rudy Ricciotti qui a souhaité rendre hommage à l’activité du port de Marseille en lui donnant l’apparence d’un navire dont les courbes forment une proue à l’intersection des rues Malaval et Fauchier.
277
Rue Malaval.
L’effet de proue d’un navire est recréé par la forme triangulaire du bâtiment et renforcé par la pente : plus de 7 mètres de dénivelé entre le haut de la rue Malaval et le point le plus bas de l’îlot à la rencontre des rues Malaval et Fauchier. Cette architecture est bien évidemment en clin d’oeil à Marseille et à la mer. La forme du bâtiment avec une proue arrondie et des balcons filants rappelle sans équivoque un bateau de croisière.
278
Rue Malaval.
C'est un peu plus haut, dans cette rue, que l'on a découvert la nécropole paléochrétienne qui pourrait être la basilique Saint-Étienne située au nord de Massilia évoqué par Grégoire de Tours dans ses écrits du sixième siècle.
279
Rue Malaval
Rue Malaval.
On y a mis au jour 228 sarcophage et une mémoria contenant de sarcophages accolés, en pierre rose de la couronne. Chacun d'entre renfermer le cercueil de plomb. Probablement des Saints ou des personnages très importants qui ont fait l'objet d'une vénération : des conduits en bronze pouvaient acheminer de l'huile près des dépouille,s ce qui lui donnait des propriétés spéciales pour guérir toutes sortes de maux physiques ou spirituels.
280
Les Terrasses du Port.
Les bassins, avec le pont tournant. A l'aube du XVIIIème siècle la rive du Lacydon, au delà de l'Arsenal des Galères, se dote de "domaines". Ce système qui est la conséquence d'une gestion spéculative des stocks rationalise les entrepôts sur les nouveaux quais. A partir de 1830 un accroissement du trafic de marchandises rend caduques ces méthodes. Vers 1840, on regarde alors vers la Joliette car un nouveau venu a bouleversé les données anciennes : le chemin de fer. L'extension du port, coté sud, est alors abandonné. En 1844, le gouvernement ordonne la construction du bassin de la Joliette qui est achevé en 1853.
281
Les Terrasses du Port.
La construction de la digue du Large reprend les techniques de blocs de béton. L'extension du port continue en 1854 et 1856 par la construction des bassins du Lazaret et d'Arenc, puis la construction du bassin Napoléon (1859). Pour relier l’ancien et le nouveau port, la rue Impériale est tracée. Elle deviendre la rue de la République. Sur la digue, les cinq grues, surnommées "les élégantes".
282
Les Terrasses du Port.
283
Les Docks.
Au début du Second Empire, Paulin TALABOT (1799-1885) est déjà le maître du chemin de fer qui deviendra bientôt le Paris-Lyon-Méditerranée (P.L.M) et possède les Messageries Maritimes, une société équipée de bateaux à vapeur les plus modernes. En octobre 1856 il se porte acquéreur du droit d'ouvrir des docks-entrepôts. Avec comme concepteur Gustave DESPLACES, il va construire les docks entre 1858 et 1863 suivant le modèle des docks anglais.
284
Les Docks.
Le grand entrepôt est composé de cinq corps de bâtiments contigus, créant un impressionnant parallélépipède allongé, distribué comme un long train de marchandises. 365 mètres de long : le nombre de jours dans une année, 52 portes : le nombre de semaines, 7 niveaux : le nombre de jours dans une semaine, 4 cours (les fameux atriums) : le nombre de saisons.
285
Place de la Joliette.
La tête du train, un élégant immeuble de brique et de pierre néo-Louis XIII, reçoit un décor illustrant la vocation commerciale de l'entreprise : c'est l'Hôtel d'Administration de la Compagnie. Son architecte est Bouchot. La place de la Joliette est née du comblement de l'anse de l'Ourse par les déblais des démolitions lors du percement de la rue Impériale.
286
Place de la Joliette.
Façade d'entrée des docks.
287
Place de la Joliette.
Façade d'entrée des docks.
288
Place de la Joliette.
Façade d'entrée des docks.
289
Place de la Joliette.
Cette fontaine est un des deux exemplaires créés en 1841 pour l’ornementation du cours Belsunce par l’ architecte de la Ville Pascal Coste.
290
Place de la Joliette.
291
Les Docks.
Le grand entrepôt, rénové depuis quelques années, constituait à lui seul le plus grand bâtiment du XIXème siècle à Marseille et le plus coûteux. L'utilisation exclusive de la pierre pour des murs en maçonnerie lourde, de la brique et de la fonte, en proscrivant totalement l'emploi du bois, ainsi que le fractionnement extrême de l'espace en modules clos de 500 m², répondaient à la crainte de l'incendie, véritable fléau dans ce type de hangars.
292
Les Docks.
Cet ensemble de constructions reçoit, stocke, parfois transforme, et réexpédie les marchandises par bateau ou par le P.L.M., au gré de ses clients, grâce à une série de machines ultramodernes, grues, treuils et ascenseurs fonctionnant grâce à l'emploi de la nouvelle énergie, la force hydraulique centralisée, apparue ici pour la première fois en France.
293
Les Docks.
Entrée latérale.
294
Les Docks.
Le hall d'entrée.
295
Les Docks.
Le hall d'entrée.
296
Les Docks.
Le hall d'entrée.
297
Les Docks.
Le hall d'entrée.
298
Les Docks.
Le hall d'entrée.
299
Les Docks.
Dès la reprise du trafic portuaire, dans les années 1950, les techniques de manutention avaient changé, l'apparition des Clarks et de nouveaux hangars plus commodes vont délaisser les docks et son grand entrepôt à six étages. En 1981, on se tourne vers l'immobilier de bureau. C'est un jeune architecte marseillais, fils d'immigrés italiens, Éric Gastaldi, qui est alors choisi pour la rénovation des locaux qui commence en 1992. Les locaux seront livrés en 2002.
300
Les Docks.
La création d'une rue intérieure permet de faire communiquer l'ensemble des locaux tout en respectant l'unité du bâtiment.
301
Les Docks.
Chaque étage est couvert de voûtes de brique légères, tandis que, sous le bâtiment, d'immenses caves aux forts piliers de pierre offrent un espace de conservation.
302
Les Docks.
Les cours étaient couvertes, comme le reste du bâtiment, donc sombres. Castaldi en a fait des puits de lumière. Dans la première il installa un bassin, symbolisant le premier élément, l'eau. Il utilisa ce bassin comme un miroir.
303
Les Docks.
304
Les Docks.
305
Les Docks.
306
Les Docks.
Le concept de verticalité, cher à Castaldi, est présent dans toutes les cours.
307
Les Docks.
Dans la deuxième cour, c'est l'air qui est représenté par Amedeo et Pavleski.
308
Les Docks.
309
Les Docks.
Les deux autres cours ont été amenagées par Castaldi. Le thème de celle-ci est la terre.
310
Les Docks.
311
Les Docks.
312
Les Docks.
Le feu, symbolisé par ces lampadaires.
313
Les Docks.
314
Entrée côté la Joliette.
Quinze ans après leur transformation en bâtiment de bureaux, Les Docks, bâtiment emblématique d’Euroméditerranée, construit il y a un siècle et demi, connaît une nouvelle mutation avec l’aménagement, au cœur de cet ensemble, de 15 000 m2 dédiés à des activités commerciales. Propriétaire du bâtiment depuis 2007, JP Morgan Asset Managment a en effet confié cette opération à Constructa Urban Systems. Les travaux ont étés confiés en entreprise générale à Dumez Méditerranée et Girard, l’entreprise spécialisée dans la restauration des monuments historiques de Vinci Construction.
315
Place du Port.
Plus de deux ans de travaux ont été nécessaires pour créer de part et d’autre de l’axe de 365 m de long les emplacements de 65 boutiques et transformer les quatre cours -dont deux ont été décaissées pour rendre accessibles les rez-de-chaussée bas- en «places publiques». Dans ces cours, grâce au projet architectural d’Alfonso Femia de l’agence 5+1AA, des ambiances et des univers différents ont été créés en travaillant la pierre, les céramiques, la végétalisation, la transparence et à la lumière. En 2015, création et ouverture (décembre) des Docks Village Marseille.
316
Place du Port.
317
Place du Port.
318
Place du Port.
319
Place du Port.
320
Grand Place.
321
Grand Place.
322
Grand Place.
323
324
Place des Palmiers.
325
Place des Palmiers.
326
Les docks.
327
Place du Marché.
328
Place du Marché.
329
Place du Marché.
330
Place du Marché.
331
Sortie vers Euromed.
332
Sortie vers Euromed.
333
Sortie vers Euromed.
334
Sortie vers Euromed.
335
Sortie vers Euromed.
336
Le J1.
337
Le J1.
338
En face le J1
La digue du large. La grande jetée du large construite pour protéger, de la houle, du mistral et des ...Anglais, les bateaux au mouillage, est de conception tout-à-fait nouvelle. En utilisant la superposition d'enrochements naturels et d'énormes blocs de béton, elle améliore les schémas élaborés à Cherbourg et à Alger. Etonnant ouvrage d'art au caractère militaire, elle constituait un nouveau cours à promenade d'où l'on peut assister depuis la mer à un admirable spectacle sur Marseille. Elle est aujourd'hui interdite d'accés, sauf certains jours... Les grues, sauvées de la destruction, restaurées par Le Grand Port Maritime de Marseille avec l'aide de la région, sont surnommées "les élégantes". Elles sont du modèle Man construit par la société lilloise Paindavoine, ou des Martelines, conçues par Georges Martel, ingénieur rattaché à la Chambre de Commerce, et qu'il a fait fabriquer par l'entreprise des Constructions Navales Industrielles de Méditerranée.
339
Boulevard du Littoral.
Avant l’opération de la rue Impériale réalisée entre 1862 et 1864, c’est la construction d’un nouveau quartier sur les terrains de la Joliette, soutenue par le spéculateur Jules Mirès dès 1856, qui se situe, selon Marcel Roncayolo, au “ démarrage ” de l’haussmannisation marseillaise par le type de bâti standardisé qu’on y rencontre et par l’effet d’entraînement qu’elle exerce durant les années 1860.
340
Boulevard du Littoral.
Les nouveaux quartiers d'habitations édifiés le long du littoral par le financier Jules Mirès à partir de 1856. Mirès crée le 15 mars 1856 la Société des ports de Marseille. S'associant avec l'entrepreneur Paulin Talabot, un disciple du saint-simonien Barthélemy Prosper Enfantin, il reconstruit les docks de Marseille et a un projet pharaonique pour le port de la Joliette qu'il veut urbaniser mais que sa chute va interrompre. En 1861, la société est en pleine déconfiture. En 1862 la Compagnie immobilière des frères Pereire (Emile et Isaac) rachète les terrains de la rue Impériale et en 1863, les Pereire rachètent les actions de la société des ports à 30 % de leur valeur.
341
Boulevard du Littoral.
2013.
342
Boulevard du Littoral.
2013, avant rénovation.
343
Boulevard du Littoral.
2013, avant rénovation.
344
Boulevard du Littoral.
2013, avant rénovation.
345
Boulevard du Littoral.
2019.
346
Boulevard du Littoral.
2019.
347
Boulevard du Littoral.
348
Boulevard du Littoral.
2012, avant rénovation.
349
Boulevard du Littoral.
2019.
350
Boulevard du Littoral.
Cour intérieure, 2013.
351
Boulevard du Littoral.
2013.
352
Boulevard du Littoral.
2013.
353
Boulevard du Littoral.
2016.
354
Boulevard du Littoral.
2016.
355
Boulevard du Littoral.
Le couloir.
356
Boulevard du Littoral.
357
Boulevard du Littoral.
358
Boulevard du Littoral.
359
Boulevard du Littoral.
360
Boulevard du Littoral.
361
Boulevard du Littoral.
362
Boulevard du Littoral.
2016.
363
Boulevard du Littoral.
2016.
364
Boulevard du Littoral.
Cour intérieure. 2012.
365
Boulevard du Littoral.
2016.
366
Boulevard du Littoral.
2016.
367
Boulevard du Littoral.
Couloir. 2016.
368
Boulevard du Littoral.
Couloir. 2012.
369
Boulevard du Littoral.
Couloir. 2012.
370
Boulevard du Littoral.
Entrée. 2022.
371
Boulevard du Littoral.
2016.
372
Boulevard du Littoral.
2022.
373
Boulevard du Littoral.
2022.
374
Boulevard du Littoral.
2019.
375
Boulevard du Littoral.
2019.
376
Boulevard du Littoral.
2012.
377
Boulevard du Littoral.
378
Boulevard du Littoral.
Cour intérieure 2016.
379
Boulevard du Littoral.
Cour intérieure 2012.
380
Boulevard du Littoral.
Cour intérieure. 2012.
381
Boulevard du Littoral.
Cour intérieure. 2012.
382
Ancien siège de la SNCM.
La construction de ce bâtiment fut assurée par la Société des Grands Travaux de Marseille, sous la direction de l'architecte Gaston Castel, en 1928.
383
Ancien siège de la SNCM.
C'était le siège de l'agence de la Compagnie Générale Transatlantique, puis de la SNCM, et peut être, ce bâtiment hébergera le Casino de Marseille. Racheté en partenariat avec Eiffage Immobilier, ANF Immobilier a fait l’acquisition en 2012 de ce siège historique afin de réaliser Le Castel Héritage. C'est l'oeuvre du cabinet d’architecte marseillais Poissonnier-Ferran.
384
Ancien siège de la SNCM.
2013, avant rénovation.
385
Ancien siège de la SNCM.
2013, avant rénovation.
386
Rue Jean François Leca
2016. L'ancien bâtiment de logements du siège de la SNCM.
387
Rue Jean François Leca
2022. Immeuble Le Castel. C'est l'oeuvre du cabinet d’architecte marseillais Poissonnier-Ferran.
388
Rue Jean François Leca
2022.
389
Rue Jean François Leca
2016.
390
Rue Jean François Leca
A gauche, le Tribunal Administratif.
391
Rue de Mazenod.
Bâtiments des anciens ateliers techniques de la SNCM. La société Compagnie générale transméditerranéenne (CGTM) est créée en 1969 lors de la fusion des services méditerranéens de la Compagnie générale transatlantique et de la Compagnie de navigation mixte. Nationalisée en 1976 dans le cadre de la création du principe de la continuité territoriale entre le continent et la Corse, la compagnie devient la SNCM (Société nationale maritime Corse-Méditerranée). Photo 2015.
392
Rue de Mazenod.
Bâtiments des anciens ateliers techniques de la SNCM. Photo 2015.
393
Rue de Mazenod.
Bâtiments des anciens ateliers techniques de la SNCM. C'est aujourd'hui le siège du Tribunal Administratif, conçu avec l’agence d’architecture Map. Son agencement prévoit une mise en valeur de la cour centrale, éclairée par une verrière à l’ossature de métal, autour de laquelle seront notamment disposées trois salles d’audience. La façade présente une architecture industrielle, caractéristique du début du 20ème siècle, composée de pierres de taille, de briques et de ferronneries. Le tribunal administratif s’insère dans une opération de plus grande envergure baptisée « La Transat », portée par Pitch Promotion.
394
Rue de Mazenod.
Ancien bâtiment de la Compagnie Fraissinet. Rénové par Pitch Promotion, architectes Poissonnier, Ferran, 2016. Photo 2022. La Compagnie de navigation Fraissinet a été fondée en janvier 1836 à Marseille par Marc Constantin Fraissinet, fils d'un marchand protestant du Languedoc. En 1964, la Compagnie Fraissinet fut rachetée par la Compagnie Maritime des Chargeurs Réunis, acquise en même temps qu'une autre société marseillaise, la Société générale des transports maritimes (SGTM).
395
Rue de Mazenod.
Ancien bâtiment de la Compagnie Fraissinet. Rénové par Pitch Promotion, architectes Poissonnier, Ferran, 2016. Photo 2022.
396
Rue de Mazenod.
Montée vers l'avenue Robert Schuman.
397
La Cathédrale.
Escalier permettant d'accéder au parvis de la cathédrale.
398
La Cathédrale.
Escalier permettant d'accéder au parvis de la cathédrale.
399
La Cathédrale.
Escalier permettant d'accéder au parvis de la cathédrale.
400
Boulevard du Littoral.
Bleu de Chine, oeuvre du sculpteur Bruno Catalano. Cette sculpture rend hommage à tous les travailleurs du port de Marseille, ainsi qu'à toutes celles et à tous ceux qui ont recommencé leur vie sur ces quais. Réalisée par la fonderie d'art Barthélémy à Valence (France) en juillet 2018.
401
La Cathédrale.
Etienne Delestrac, ingénieur de la ville, a dirigé les travaux de fondations de l'esplanade dominant la Méditerranée de 9 mètres et du mur de soutènement à arcades donnant accès aux magasins bordant la plateforme qui constitue l'assise du bâtiment.
402
La Cathédrale
Si les Voûtes gardent leur vocation commerciale jusqu’au milieu des années 70, occupées notamment par la corporation des peseurs jurés de Marseille et par la société Margnat, elles n’en connaissent pas moins de profonds bouleversements liés aux nombreux travaux réalisés dans ce secteur dès le début du XX° siècle. A la fin des années 70 elles sont fermées et leur accès est condamné.
403
La Cathédrale
Aujourd'hui les voûtes abritent des commerces.
404
La fontaine des Trois Dauphins.
Cet escalier à double volée permet d’accéder, à l'esplanade, neuf mètres plus haut.
405
La fontaine des Trois Dauphins.
406
La fontaine des Trois Dauphins.
407
La fontaine des Trois Dauphins.
408
La fontaine des Trois Dauphins.
409
La fontaine des Trois Dauphins.
410
La fontaine des Trois Dauphins.
Avant rénovation, 2013.
411
La Cathédrale.
L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
412
La Cathédrale.
413
La Cathédrale.
414
La Cathédrale.
415
La Cathédrale.
La cathédrale que l'on a appelée, comme l'ancienne, la Major ou Sainte-Marie-Majeure, a été bâtie de 1852 à 1893 dans le style byzantin (coupoles, décoration de mosaïques), mais avec le plan des églises gothiques et de nombreux détails empruntés à l'architecture romane. L'édifice est construit en assises de pierre alternativement blanches (pierre de Calissane) et vertes (pierre de Florence, la golfaline).
416
La Cathédrale.
417
La Cathédrale.
Le dôme du transept Ouest, avec au-dessus, le clocheton du dôme central qui dépasse.
418
La Cathédrale.
La présence simultanée de clochers et de coupoles est due à la volonté de l'architecte Vaudoyer de faire référence à l'Occident et à l'Orient, sur le modèle de Notre-Dame des Doms à Avignon. Mais ses dômes et ses coupoles rappellent ceux des églises d'Istanbul.
419
La Cathédrale.
La Cathédrale.
Les matériaux utilisés pour la construction de cette cathédrale de style byzantin sont très variés : pierre verte de Florence, marbre blanc de Carrare, pierres de Calissane et du Gard, onyx d'Italie et de Tunisie, mosaïques de Venise.
420
La Cathédrale.
Sous les arcades, on peut voir une rangée de sept hautes statues représentant Le Christ au centre entouré des apôtres Pierre à gauche, tenant les clés, et à droite Paul, avec son épée. Ils sont encadrés par Lazare, qui aurait été, selon la légende, le premier évêque de Marseille et Maximin. Aux extrémités, à gauche, Marie-Madeleine avec ses longs cheveux, et à droite, la soeur de Lazare, Marthe, avec l'encensoir et la Tarasque domptée, à ses pieds. Ce sont les saints légendaires de Provence.
421
La Cathédrale.
Jésus par Guillaume, saint Pierre par Pascal, saint Lazare par Maniglier et sainte Madeleine par Allard.
422
La Cathédrale.
Jésus par Guillaume, saint Paul par Tournier, saint Maximin par Gaudran et sainte Marthe par Cabuchet.
423
La Cathédrale.
Cette statue repose sur un socle en pierre de Cassis sur lequel sont fixés deux hauts-reliefs en bronze.
424
La Cathédrale.
Vue de l'esplanade de la cathédrale.
425
La Cathédrale.
Le J4, vu de l'esplanade de la cathédrale.
426
La Cathédrale
Le J4, vu de l'esplanade de la cathédrale.
427
Ancien évéché.
L'Evêché. C'est à l'évêque de Marseille, Artus Despinay de Saint-Luc qu'on doit cet édifice. Le projet fut long à mettre en place et ce fut son successeur, Etienne de Puget, qui obtint satisfaction et commença à réaliser le palais en 1648 qui ne fut achevé qu'une vingtaine d'années plus tard, sous l'évêque Toussaint de Forbin-Janson.
428
Ancine évêché.
Il fut embelli par Monseigneur de Belsunce au XVIIIe et complètement remanié au milieu du 19ème siècle par l'architecte Henry Espérandieu au moment de la construction de la cathédrale de la Major.
429
Ancien évéché.
Il est devenu le l'hôtel de police, communément appelé "l'évêché", depuis 1908. Une extension construite en 1952 par René Egger et Fernand Pouillon a été accolée à sa façade nord (à gauche).
430
Ancien évéché.
Le porche devant lequel avait été installée en 1891 la statue de Mgr de Belsunce..
431
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
C'est l'ancienne école primaire de La Major, construite en 1885 sur les plans d'Ernest Paugoy, architecte de la ville. C'est une école Jules Ferry, avec un corps central et deux ailes sur les côtés et des grilles tout autour.
432
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
Corps central, avec, sous la corniche Liberté Egalité Fraternité. Tout en haut des couronnes de laurier.
433
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
Dans le fronton, un écusson avec le mot Travail. Sous la corniche, une frise porte des noms de scientifiques français du XVIIIe siècle.. Ici Van Der Monde, Prony, Vauquelin..
434
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
Aile de gauche.
435
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
Daubenton, Laplace, Volney, Bernardin de Saint Pierre, Bougainville.
436
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
Aile de droite.
437
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
Lagrange, Monge, Haüy, Berthollet, Guyton de Morveau, Fourcroy, Chaptal.
438
Mairie des 2ème et 3ème arrondissements
439
Rue de la Cathédrale
440
Rue de la Cathédrale
441
Rue de la Cathédrale
Un évêque.
442
Musée Regards de Provence.
Ce musée se trouve dans l'ancienne station sanitaire rénovée grâce à la ténacité de la famille Dumon.
443
Musée Regards de Provence.
La station sanitaire fut construite en 1948, par les architectes Champollion, Pouillon et Egger. Elle succéda aux anciens Lazarets et elle était destinée à la désinfection des passagers des bâteaux et au dépistage des cas douteux. Elle ne servit pratiquement pas. Elles ont été squattées durant des années.
444
Musée Regards de Provence.
Sa rénovation a été faite sous la direction de l'architecte Guy daher, du cabinet Marseille Architectures Partenaires, assisté de Thierry Rousseau.
445
Musée Regards de Provence.
La façade est labellisée "Patrimoine du XXe siècle".
446
Le MuCEM.
Le MuCEM (Musée des Civilisations Europe méditerranée) représente le premier véritable transfert d’un musée national dans une grande capitale régionale. C’est la troisième vie d’un grand musée consacré à la société dont les origines remontent à 1884, avec l’ouverture d’une «salle» de France au Musée d’Ethnographie du Trocadéro. Après avoir été, depuis 1937 et pendant plus d’un demi-siècle, le Musée des arts et traditions populaires à Paris, le MuCEM offre désormais un regard sur la Méditerranée, son histoire, ses sociétés et son patrimoine.
447
Le MuCEM.
Entre la ville et la mer, sur l’ancien môle portuaire J4, le bâtiment est construit selon les plans de l’architecte Rudy Ricciotti, associé à Roland Carta. Ce bâtiment est relié au fort St Jean par une passerelle.
448
Le MuCEM.
Tout d'abord un carré parfait de 72 m de côté, un plan classique, latin, grec ou oriental sous le contrôle de Pythagore. Dans ce carré, un autre inscrit, de 52 mètres de côté, comprenant les salles d'exposition et de conférences identifiées comme le cœur du musée.
449
Le MuCEM.
L’architecte a imaginé le futur musée dans un matériau inspiré par « le paysage minéral de Marseille et les pierres du Fort Saint-Jean » : le béton. Pas un béton ordinaire, un béton « exceptionnel, à la pointe des dernières recherches scientifiques » qui lui permet de faire… de la dentelle ! Sur le môle va donc s’élever un cube minéral bordé de douves, enserré par une résille de béton fibré et des façades brise-vent qui laisseront passer la lumière, l’air et les odeurs d’iode.
450
La Villa Méditerranée et le MuCEM
La villa en fait de même.
451
La Villa Méditerranée.
La villa Méditerranée, anciennement CeReM, est l'œuvre de l'architecte Stefano Boeri. Ce sera un lieu de croisement des hommes et des réseaux qui font la Méditerranée d'aujourd'hui et préparent celle de demain.
452
La Villa Méditerranée.
Le bâtiment est à une prouesse architecturale unique : un spectaculaire porte-à-faux de plus de 40 m de longueur surplombant tel un plongeoir-promenoir la darse et la Méditerranée à une hauteur exceptionnelle de 19 m.
453
La Villa Méditerranée.
454
Journée inaugurale.
La Villa Méditerranée.
455
La Villa Méditerranée.
456
La Villa Méditerranée.
457
1
2
Précédent
Suivant
Accueil
Contact