Martigues

La ville de Martigues, l'église st Louis d'Anjou, l'église de la Madeleine, l'église st Géniès, la chapelle de l'Annonciade, le monument à Henri Fabre, le Fort de Bouc.

Martigues est posée sur l'eau au bord de l'étang de Berre et reliée à la mer par le chenal de Caronte qui se divise en deux : à gauche le canal Baussenque, à droite le canal Gallifet avec le pont levant. Les bourdigues étaient des pièges fixes en osier, que l'on laissait à demeure huit à neuf mois et qui permettait de pêcher au Moyen Âge dans le canal de Caronte qui à cette époque était peu profond. Cette pêche a été abandonnée au XIXe siècle. En bas, des piquets pour la pêche au calen.
Martigues est posée sur l'eau au bord de l'étang de Berre et reliée à la mer par le chenal de Caronte qui se divise en deux : à gauche le canal Baussenque, à droite le canal Gallifet avec le pont levant. Les bourdigues étaient des pièges fixes en osier, que l'on laissait à demeure huit à neuf mois et qui permettait de pêcher au Moyen Âge dans le canal de Caronte qui à cette époque était peu profond. Cette pêche a été abandonnée au XIXe siècle. En bas, des piquets pour la pêche au calen.
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Martigues vient du nom de l'étang, étang de Martigues qui s'est appelé ensuite l'étang de Berre.
Martigues vient du nom de l'étang, étang de Martigues qui s'est appelé ensuite l'étang de Berre.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center> Chapelle des pénitents bleus. A droite, une gargouille à tête de chien.
Eglise St Louis d'Anjou
Chapelle des pénitents bleus. A droite, une gargouille à tête de chien.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center> C'est l'église du quartier de Ferrières. Elle fut construite à partir du XIVe siècle puis rebâtie vers 1675. C'est entre les murs de cette modeste église que fut signé, le 21 avril 1581, l'Acte d'union des trois bourgs, Jonquières, l'Île et Ferrières, donnant ainsi naissance à la Ville de Martigues.
Eglise St Louis d'Anjou
C'est l'église du quartier de Ferrières. Elle fut construite à partir du XIVe siècle puis rebâtie vers 1675. C'est entre les murs de cette modeste église que fut signé, le 21 avril 1581, l'Acte d'union des trois bourgs, Jonquières, l'Île et Ferrières, donnant ainsi naissance à la Ville de Martigues.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center> Saint Louis en façade.
Eglise St Louis d'Anjou
Saint Louis en façade.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center> A gauche en entrant, les chapelles Sainte Catherine et de la Vierge.
Eglise St Louis d'Anjou
A gauche en entrant, les chapelles Sainte Catherine et de la Vierge.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center>
Eglise St Louis d'Anjou
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center> Tombeaux mitoyens ornés de dalles gravées, découverts en 2003. La décoration principale est cernée de versets tirés des deux Testaments, L'Ecclésiastique et l'Evangile selon Saint-Luc pour le caveau ouest, la Genèse, le Livre de Job et l'Evangile selon Saint-Jean pour le caveau est. Ces caveaux sont ornés des armes de la famille de Turc. Les inhumations se sont échelonnées durant une période couvrant sans doute près de deux siècles. On peut la situer entre la première moitié du XVIIe siècle, signalée par une iconographie de style baroque, et 1778, date de l'interdiction des inhumations dans des caveaux familiaux au sein des églises de Martigues.
Eglise St Louis d'Anjou
Tombeaux mitoyens ornés de dalles gravées, découverts en 2003. La décoration principale est cernée de versets tirés des deux Testaments, L'Ecclésiastique et l'Evangile selon Saint-Luc pour le caveau ouest, la Genèse, le Livre de Job et l'Evangile selon Saint-Jean pour le caveau est. Ces caveaux sont ornés des armes de la famille de Turc. Les inhumations se sont échelonnées durant une période couvrant sans doute près de deux siècles. On peut la situer entre la première moitié du XVIIe siècle, signalée par une iconographie de style baroque, et 1778, date de l'interdiction des inhumations dans des caveaux familiaux au sein des églises de Martigues.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center>
Eglise St Louis d'Anjou
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Eglise St Louis d'Anjou
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center>
Eglise St Louis d'Anjou
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center> Statue de la vierge qui était exposée dans la chapelle Notre-Dame de Miséricorde. Primitivement, elle était en en argent . Disparue dans la tourmente révolutionnaire, elle fut remplacée par la statue en bois ici présente. À l'occasion de la restauration de l'église Saint-Louis, la statue de la vierge, qui a retrouvé sa dorure d'origine, est désormais exposée dans une présentation contemporaine, mais qui rappelle celle du XIXe siècle et permet aux fidèles de continuer la pratique du culte marial.
Eglise St Louis d'Anjou
Statue de la vierge qui était exposée dans la chapelle Notre-Dame de Miséricorde. Primitivement, elle était en en argent . Disparue dans la tourmente révolutionnaire, elle fut remplacée par la statue en bois ici présente. À l'occasion de la restauration de l'église Saint-Louis, la statue de la vierge, qui a retrouvé sa dorure d'origine, est désormais exposée dans une présentation contemporaine, mais qui rappelle celle du XIXe siècle et permet aux fidèles de continuer la pratique du culte marial.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center>
Eglise St Louis d'Anjou
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center>
Eglise St Louis d'Anjou
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center> Saint Sébastien saint Roch, la Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne.
Eglise St Louis d'Anjou
Saint Sébastien saint Roch, la Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne.
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center>
Eglise St Louis d'Anjou
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<center>Eglise St Louis d'Anjou</center>
Eglise St Louis d'Anjou
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Ces deux ponts permettent de passer du quartier de Ferrières à delui de l'ïle.
Ces deux ponts permettent de passer du quartier de Ferrières à delui de l'ïle.
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En haut, la chapelle Notre-Dame des marins, en face, le quartier de Ferrières.
En haut, la chapelle Notre-Dame des marins, en face, le quartier de Ferrières.
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Sculpture en bronze installée sur le port de Martigues-Ferrières. Créée en 2010 par Sébastien Langloys. Elle représente un pêcheur et une remailleuse de filet du début du XX.
Sculpture en bronze installée sur le port de Martigues-Ferrières. Créée en 2010 par Sébastien Langloys. Elle représente un pêcheur et une remailleuse de filet du début du XX.
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Nous voici dans le quartier de l'Île.
Nous voici dans le quartier de l'Île.
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<center>Place Mirabeau.</center>
Place Mirabeau.
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<center>Place Mirabeau.</center> L'article 20 de l'union des trois quartiers, signé le 21 avril 1581, stipule : il sera bâti édifié une maison commune de la communauté au lieu-dit de l'Arénier. De 1604 à 1809, cet immeuble a accueilli les conseils et assemblées de la ville de Martigues. La place de l'Arénier a pris le nom de place Mirabeau en 1881.
Place Mirabeau.
L'article 20 de l'union des trois quartiers, signé le 21 avril 1581, stipule : il sera bâti édifié une maison commune de la communauté au lieu-dit de l'Arénier. De 1604 à 1809, cet immeuble a accueilli les conseils et assemblées de la ville de Martigues. La place de l'Arénier a pris le nom de place Mirabeau en 1881.
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<center>Place Mirabeau.</center>Au Moyen Age, trois bourgs apparaissent, chacun protégé par ses fortifications : Jonquières en 950, l'Ile du Pont Saint Geniès, fondation comtale datant de 1226 et la
Place Mirabeau.
Au Moyen Age, trois bourgs apparaissent, chacun protégé par ses fortifications : Jonquières en 950, l'Ile du Pont Saint Geniès, fondation comtale datant de 1226 et la "ville neuve" de Ferrières créée en 1250. La tour représente Jonquières, la clé l'Ile et le F Ferrières.
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<center>Place Mirabeau.</center> Fontaine du XVIIe siècle.
Place Mirabeau.
Fontaine du XVIIe siècle.
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Place comtale. Le palais comtal présente une façade romane avec des arcades appareillées, des fenêtres géminées et des colonnettes. Il est du XIIe siècle.
Place comtale. Le palais comtal présente une façade romane avec des arcades appareillées, des fenêtres géminées et des colonnettes. Il est du XIIe siècle.
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Place comtale. Gargouilles.
Place comtale. Gargouilles.
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<center>Le miroir aux oiseaux.</center> Le quai Brescon, dit Miroir aux oiseaux, est devenu lieu d'élection des peintres depuis la fin du XIXème siécle. C'est un plan d'eau longé par des maisons de pêcheurs.
Le miroir aux oiseaux.
Le quai Brescon, dit Miroir aux oiseaux, est devenu lieu d'élection des peintres depuis la fin du XIXème siécle. C'est un plan d'eau longé par des maisons de pêcheurs.
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<center>Le miroir aux oiseaux.</center> Ce serait les peintres du XIXe siècle habitués du lieu, tels que Corot, Delacroix, Loubon, Ziem, Picabia et Dufy qui auraient baptisé ainsi le plan d'eau.
Le miroir aux oiseaux.
Ce serait les peintres du XIXe siècle habitués du lieu, tels que Corot, Delacroix, Loubon, Ziem, Picabia et Dufy qui auraient baptisé ainsi le plan d'eau.
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<center>Le miroir aux oiseaux.</center> Les maisons colorées blotties au bord de l'eau sont les anciennes maisons des pêcheurs du 17e siècle.
Le miroir aux oiseaux.
Les maisons colorées blotties au bord de l'eau sont les anciennes maisons des pêcheurs du 17e siècle.
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<center>Le miroir aux oiseaux.</center>
Le miroir aux oiseaux.
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Fontaine (aux oiseaux).
Fontaine (aux oiseaux).
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<center> Eglise de la Madeleine </center>Eglise de la Madeleine vue du quai Aristide Briand.
Eglise de la Madeleine
Eglise de la Madeleine vue du quai Aristide Briand.
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<center> Eglise de la Madeleine </center>
Eglise de la Madeleine
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<center> Eglise de la Madeleine </center>Eglise de la Madeleine vue du quai Aristide Briand.
Eglise de la Madeleine
Eglise de la Madeleine vue du quai Aristide Briand.
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<center> Eglise de la Madeleine </center>Eglise de la Madeleine et son campanile.
Eglise de la Madeleine
Eglise de la Madeleine et son campanile.
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<center> Eglise de la Madeleine </center>Campanile en fer forgé. Les campaniles offrent peu de résistance aux vents.
Eglise de la Madeleine
Campanile en fer forgé. Les campaniles offrent peu de résistance aux vents.
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<center> Eglise de la Madeleine </center>Statue de st Sébastien.
Eglise de la Madeleine
Statue de st Sébastien.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> De style baroque marseillais, elle présente une haute façade à deux niveaux séparés par une corniche volumétrique à modillons. Sa partie inférieure est animée par quatre colonnes aux chapiteaux corinthiens, des pilastres cannelés et un fronton brisé. La partie haute est couronnée par un fronton triangulaire.
Eglise de la Madeleine
De style baroque marseillais, elle présente une haute façade à deux niveaux séparés par une corniche volumétrique à modillons. Sa partie inférieure est animée par quatre colonnes aux chapiteaux corinthiens, des pilastres cannelés et un fronton brisé. La partie haute est couronnée par un fronton triangulaire.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> L’église de la Madeleine
Eglise de la Madeleine
L’église de la Madeleine "La Cathédrale" achevée en 1680 est de style baroque provençal, de cette fin du 18e siècle qui, d’influence italienne. Vierge à l'enfant.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Le portail, remarquablement sculpté.
Eglise de la Madeleine
Le portail, remarquablement sculpté.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Longtemps appelée
Eglise de la Madeleine
Longtemps appelée "La Cathédrale" par les martégaux, la plus imposante des églises de la ville caractéristique de l'architecture et des décors baroques provençaux d'influence italienne est classée au titre des Monuments historiques depuis 1947.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Ce qui surprend dans cette église c'est que, malgré sa dédicace Sainte Madeleine, c'est Sainte Catherine d'Alexandrie qui est à l'honneur. Sa statue est présentée, avec la roue de son supplice. De plus, de chaque côté du cœur on retrouve d'une part sa décapitation, de l'autre les anges transportant son corps au monastère qui porte son nom au pied du Sinaï.
Eglise de la Madeleine
Ce qui surprend dans cette église c'est que, malgré sa dédicace Sainte Madeleine, c'est Sainte Catherine d'Alexandrie qui est à l'honneur. Sa statue est présentée, avec la roue de son supplice. De plus, de chaque côté du cœur on retrouve d'une part sa décapitation, de l'autre les anges transportant son corps au monastère qui porte son nom au pied du Sinaï.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Les peintures sont datées, et ont été faites au XIXè siècle. Les autels en marbre datent de la même époque, ce qu'on voit à leur forme. Les autels en bois sont du XVIIe siècle.
Eglise de la Madeleine
Les peintures sont datées, et ont été faites au XIXè siècle. Les autels en marbre datent de la même époque, ce qu'on voit à leur forme. Les autels en bois sont du XVIIe siècle.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Orgue du facteur montpelliérain Moitessier (1851).
Eglise de la Madeleine
Orgue du facteur montpelliérain Moitessier (1851).
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Buffet plat de style Charles X. 2e quart 19e siècle.
Eglise de la Madeleine
Buffet plat de style Charles X. 2e quart 19e siècle.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Pilastres à cannelures, chapiteau corinthien. Frise : à rinceaux, feuillage, denticules, feuille d'acanthe, marguerite, palmette. Trophée : instruments de musique, fleurs.
Eglise de la Madeleine
Pilastres à cannelures, chapiteau corinthien. Frise : à rinceaux, feuillage, denticules, feuille d'acanthe, marguerite, palmette. Trophée : instruments de musique, fleurs.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Plafonds plats en bois, aux arabesques polychromes de style Louis XIV.
Eglise de la Madeleine
Plafonds plats en bois, aux arabesques polychromes de style Louis XIV.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> L'autel avec son décor de faux marbre entouré de ses stèles de noyer. Le tableua représente une Crucifixion avec les Trois Maries ( Marie Madeleine, Marie Salomé et Marie Jacobé), XVIIe.
Eglise de la Madeleine
L'autel avec son décor de faux marbre entouré de ses stèles de noyer. Le tableua représente une Crucifixion avec les Trois Maries ( Marie Madeleine, Marie Salomé et Marie Jacobé), XVIIe.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> L'église de la Madeleine possède, outre une chapelle qui est consacrée à Sainte Catherine d'Alexandrie, 2 autres représentations de faits probablement légendaires, ce qui prouve sa très grande popularité. La décapitation est figurée sur le tableau à gauche du maître-autel. Dans le tableau situé à droite, les anges emportent le corps au monastère de Ste Catherine, en bas du Sinaï, monastère qui lui est dédié depuis sa fondation, au VIè siècle.
Eglise de la Madeleine
L'église de la Madeleine possède, outre une chapelle qui est consacrée à Sainte Catherine d'Alexandrie, 2 autres représentations de faits probablement légendaires, ce qui prouve sa très grande popularité. La décapitation est figurée sur le tableau à gauche du maître-autel. Dans le tableau situé à droite, les anges emportent le corps au monastère de Ste Catherine, en bas du Sinaï, monastère qui lui est dédié depuis sa fondation, au VIè siècle.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Statue : Vierge à l'Enfant, bois doré, XVIIIe. Toile marouflée, cintrée en haut et en bas, dans un encadrement en bois doré représentant la Décapitation de Sainte Catherine d'Alexandrie...
Eglise de la Madeleine
Statue : Vierge à l'Enfant, bois doré, XVIIIe. Toile marouflée, cintrée en haut et en bas, dans un encadrement en bois doré représentant la Décapitation de Sainte Catherine d'Alexandrie...
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<center> Eglise de la Madeleine </center> et transport de son corps par les anges. A droite, Ssatue de Sainte Marie Madeleine en bois taillé, peint, doré. 18e siècle.
Eglise de la Madeleine
et transport de son corps par les anges. A droite, Ssatue de Sainte Marie Madeleine en bois taillé, peint, doré. 18e siècle.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Les croix de Malte sur les pilastres sont à l’honneur de Gérard Tenque, né 1047 dans un hameau de pêcheurs de l'île de Martigues. C’est le fondateur de l'Ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, aujourd'hui appelé Ordre de Malte.
Eglise de la Madeleine
Les croix de Malte sur les pilastres sont à l’honneur de Gérard Tenque, né 1047 dans un hameau de pêcheurs de l'île de Martigues. C’est le fondateur de l'Ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, aujourd'hui appelé Ordre de Malte.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Chaire à prêcher en noyer (1694).
Eglise de la Madeleine
Chaire à prêcher en noyer (1694).
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Saint Honoré Saint Antoine, saint Michel. Œuvre de Michel Serre, peintre du XVIIè, membre de l’académie royale de Peinture, vivant à Marseille. Il reçoit commande des fourniers et boulangers de Martigues et exécute pour eux une œuvre importante. Evidemment, il représente St Honoré, évêque d'Amiens, (6è siècle), patron des boulangers.
Eglise de la Madeleine
Saint Honoré Saint Antoine, saint Michel. Œuvre de Michel Serre, peintre du XVIIè, membre de l’académie royale de Peinture, vivant à Marseille. Il reçoit commande des fourniers et boulangers de Martigues et exécute pour eux une œuvre importante. Evidemment, il représente St Honoré, évêque d'Amiens, (6è siècle), patron des boulangers.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Il place aussi dans le tableau St Michel dont il a fait son sujet de prédilection. Saint Michel est représenté sur des nuages entourés d'angelots, tenant la balance et le glaive. La présence de St Antoine, ermite du IIIè siècle en Haute-Egypte, est peut-être dû au fait que lors de sa visite à un autre ermite- St Paul - le corbeau qui apportait quotidiennement un pain à Paul en apportait deux ce jour-là. Tout en bas, à gauche, un boulanger au travail.
Eglise de la Madeleine
Il place aussi dans le tableau St Michel dont il a fait son sujet de prédilection. Saint Michel est représenté sur des nuages entourés d'angelots, tenant la balance et le glaive. La présence de St Antoine, ermite du IIIè siècle en Haute-Egypte, est peut-être dû au fait que lors de sa visite à un autre ermite- St Paul - le corbeau qui apportait quotidiennement un pain à Paul en apportait deux ce jour-là. Tout en bas, à gauche, un boulanger au travail.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> La vierge Marie remet le rosaire à Saint Dominique et à Ste Catherine de Sienne.
Eglise de la Madeleine
La vierge Marie remet le rosaire à Saint Dominique et à Ste Catherine de Sienne.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Le tableau représente une Vierge à l'Enfant remettant un rosaire de 150 grains à St Dominique, en présence de Ste Catherine de Sienne, dominicaine, autrement dit religieuse appartenant à un ordre religieux fondé par St Dominique de Guzman, saint d'origine espagnole très vénéré dans le sud de la France. La fleur de lys est symbole de pureté. Quant au chien, il est le résultat d'un jeu de mots sur le terme désignant un religieux dominicain, en latin Domini canis, traduisez le chien du Seigneur. Le chien porte le feu, symbole évangélique, dans le monde entier, figuré ici par un globe.
Eglise de la Madeleine
Le tableau représente une Vierge à l'Enfant remettant un rosaire de 150 grains à St Dominique, en présence de Ste Catherine de Sienne, dominicaine, autrement dit religieuse appartenant à un ordre religieux fondé par St Dominique de Guzman, saint d'origine espagnole très vénéré dans le sud de la France. La fleur de lys est symbole de pureté. Quant au chien, il est le résultat d'un jeu de mots sur le terme désignant un religieux dominicain, en latin Domini canis, traduisez le chien du Seigneur. Le chien porte le feu, symbole évangélique, dans le monde entier, figuré ici par un globe.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Le tableau représente la Virge intercédant pour les âmes du purgatoire. L'autel, avec sa forme et son alternance blanc/noir du XIXe siècle, étonne un peu dans cette église de style italien.
Eglise de la Madeleine
Le tableau représente la Virge intercédant pour les âmes du purgatoire. L'autel, avec sa forme et son alternance blanc/noir du XIXe siècle, étonne un peu dans cette église de style italien.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Le tableau porte la signature d'un peintre appartenant à une famille, dont certains membres ont œuvré à la décoration de la chapelle de l'Annonciade. Il représente le Christ et sa mère, la Vierge Marie, occupés à faire monter du purgatoire les âmes qui ont payé leur droit d'entrée au paradis. Les anges s'activent pour aider la manœuvre. Mais tous ne sont pas appelés ! La croix du Christ, bien mis en valeur, rappelle que le salut est dû au sacrifice de Jésus. Le rôle de Marie est une croyance attestée depuis fort longtemps. Elle est femme, sans doute plus attentive à la souffrance de ceux et celles qui attendent, et elle est Mère de Dieu, comme la nomme le concile d'Éphèse en 431, donc toute-puissante sur le cœur de son fils.
Eglise de la Madeleine
Le tableau porte la signature d'un peintre appartenant à une famille, dont certains membres ont œuvré à la décoration de la chapelle de l'Annonciade. Il représente le Christ et sa mère, la Vierge Marie, occupés à faire monter du purgatoire les âmes qui ont payé leur droit d'entrée au paradis. Les anges s'activent pour aider la manœuvre. Mais tous ne sont pas appelés ! La croix du Christ, bien mis en valeur, rappelle que le salut est dû au sacrifice de Jésus. Le rôle de Marie est une croyance attestée depuis fort longtemps. Elle est femme, sans doute plus attentive à la souffrance de ceux et celles qui attendent, et elle est Mère de Dieu, comme la nomme le concile d'Éphèse en 431, donc toute-puissante sur le cœur de son fils.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Chapelle de St Joseph. La mort de St joseph.
Eglise de la Madeleine
Chapelle de St Joseph. La mort de St joseph.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Mort de Joseph, avec la Trinité : Dieu le Père, le Saint-Esprit (colombe) et le Christ. 19e siècle
Eglise de la Madeleine
Mort de Joseph, avec la Trinité : Dieu le Père, le Saint-Esprit (colombe) et le Christ. 19e siècle
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Dans le marouflage gauche de l'autel, les douze étoiles sont sur la tête de la vierge sans Lune ni serpent.
Eglise de la Madeleine
Dans le marouflage gauche de l'autel, les douze étoiles sont sur la tête de la vierge sans Lune ni serpent.
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<center> Eglise de la Madeleine </center>
Eglise de la Madeleine
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<center> Eglise de la Madeleine </center>
Eglise de la Madeleine
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<center> Eglise de la Madeleine </center> La Vierge couronnée d''étoiles.
Eglise de la Madeleine
La Vierge couronnée d''étoiles.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Ce tableau emprunte au livre de la genèse. Après que le serpent est fait manger à la femme le fruit défendu, figuré dans la tradition par une pomme. Le serpent est foulé aux pieds par la Vierge face à une pomme, le tout sur un globe terrestre. Le tableau emprunte également à l'Apocalypse « un signe grandiose apparut dans le ciel. Une femme ! Le soleil l'enveloppe, la lune sous ses pieds et 12 étoiles couronnent sa tête ». La statue de la Vierge de l'autre côté à l'autel du milieu utilise également le thème apocalyptique sans les étoiles.
Eglise de la Madeleine
Ce tableau emprunte au livre de la genèse. Après que le serpent est fait manger à la femme le fruit défendu, figuré dans la tradition par une pomme. Le serpent est foulé aux pieds par la Vierge face à une pomme, le tout sur un globe terrestre. Le tableau emprunte également à l'Apocalypse « un signe grandiose apparut dans le ciel. Une femme ! Le soleil l'enveloppe, la lune sous ses pieds et 12 étoiles couronnent sa tête ». La statue de la Vierge de l'autre côté à l'autel du milieu utilise également le thème apocalyptique sans les étoiles.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> La remise des clés à St Pierre.
Eglise de la Madeleine
La remise des clés à St Pierre.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Saint-Pierre et Saint-Paul. Dans les deux côtés de l'arceau, figurent les apôtres Pierre et Paul. La statue de St Pierre rappelle la confrérie des mariniers et des pêcheurs, importante au XVIIè à Martigues, et encore bien vivante.
Eglise de la Madeleine
Saint-Pierre et Saint-Paul. Dans les deux côtés de l'arceau, figurent les apôtres Pierre et Paul. La statue de St Pierre rappelle la confrérie des mariniers et des pêcheurs, importante au XVIIè à Martigues, et encore bien vivante.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Pierre est à gauche et tient dans la main les clefs, reçues du Christ dans le tableau près de la sacristie, pour lui donner mission de gouverner son Église.
Eglise de la Madeleine
Pierre est à gauche et tient dans la main les clefs, reçues du Christ dans le tableau près de la sacristie, pour lui donner mission de gouverner son Église.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Paul est à droite et tient l'épée de son martyre : citoyen romain, le supplice normal dans son cas était la décapitation. Sa tête aurait roulé par 3 fois, donnant naissance à 3 fontaines. Une église de Rome porte le nom de St Paul aux 3 Fontaines.
Eglise de la Madeleine
Paul est à droite et tient l'épée de son martyre : citoyen romain, le supplice normal dans son cas était la décapitation. Sa tête aurait roulé par 3 fois, donnant naissance à 3 fontaines. Une église de Rome porte le nom de St Paul aux 3 Fontaines.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Statue : Vierge des marins en carton plâtré. La statue de la Vierge utilise également ici le thème apocalyptique sans les étoiles, debout sur un croissant de lune. 19e siècle.
Eglise de la Madeleine
Statue : Vierge des marins en carton plâtré. La statue de la Vierge utilise également ici le thème apocalyptique sans les étoiles, debout sur un croissant de lune. 19e siècle.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Sainte Catherine d'Alexandrie. Catherine est la patronne des philosophes et des filles célibataires, qui portent en son honneur un bonnet plus ou moins fantaisiste le jour de sa fête, 25 novembre. Mais à cause de la roue, Catherine est aussi la patronne des charrons, meuniers, rémouleurs, tourneurs. Le grand tableau représente le moment où l'empereur Maxence assiste médusé à l'intervention de la foudre sur la machine à roues armées de pointes et de lames coupantes, cependant que Catherine est en prières. Catherine est finalement décapitée. La statue sur l'autel montre la sainte tenant l'instrument de son supplice.
Eglise de la Madeleine
Sainte Catherine d'Alexandrie. Catherine est la patronne des philosophes et des filles célibataires, qui portent en son honneur un bonnet plus ou moins fantaisiste le jour de sa fête, 25 novembre. Mais à cause de la roue, Catherine est aussi la patronne des charrons, meuniers, rémouleurs, tourneurs. Le grand tableau représente le moment où l'empereur Maxence assiste médusé à l'intervention de la foudre sur la machine à roues armées de pointes et de lames coupantes, cependant que Catherine est en prières. Catherine est finalement décapitée. La statue sur l'autel montre la sainte tenant l'instrument de son supplice.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Statue de Saint Roch (1200-1237), né à Montpellier avec un enfant, le chien qui lui apporte le pain et les instruments du pèlerin. Tableau : Saint Roch et saint Sébastien, 17e siècle. Saint Sébastien (+ 300), capitaine de la garde impériale de Dioclétien, est livré aux archers qui le percent de flèches. Mais il en réchappe et est soigné et guéri par une chrétienne. Revenu devant Dioclétien à qui il reproche la persécution, il est tué à coups de bâton. Au-dessus de lui, un ange porte la couronne et la palme du martyre. Deux saints très populaires, invoqués tous deux contre la peste.
Eglise de la Madeleine
Statue de Saint Roch (1200-1237), né à Montpellier avec un enfant, le chien qui lui apporte le pain et les instruments du pèlerin. Tableau : Saint Roch et saint Sébastien, 17e siècle. Saint Sébastien (+ 300), capitaine de la garde impériale de Dioclétien, est livré aux archers qui le percent de flèches. Mais il en réchappe et est soigné et guéri par une chrétienne. Revenu devant Dioclétien à qui il reproche la persécution, il est tué à coups de bâton. Au-dessus de lui, un ange porte la couronne et la palme du martyre. Deux saints très populaires, invoqués tous deux contre la peste.
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<center> Eglise de la Madeleine </center> Baptême de Jésus par St Jean-Baptiste.
Eglise de la Madeleine
Baptême de Jésus par St Jean-Baptiste.
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La vitrine archéologique. Maison gauloise. du Ve siècle avant notre ère. Tracé des rues avec les objets là où ils ont été trouvés, et quatre maisons reconstruites selon des données archéologiques et ethniques..
La vitrine archéologique. Maison gauloise. du Ve siècle avant notre ère. Tracé des rues avec les objets là où ils ont été trouvés, et quatre maisons reconstruites selon des données archéologiques et ethniques..
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La vitrine archéologique. Maison gauloise. du Ve siècle avant notre ère. Tracé des rues avec les objets là où ils ont été trouvés, et quatre maisons reconstruites selon des données archéologiques et ethniques..
La vitrine archéologique. Maison gauloise. du Ve siècle avant notre ère. Tracé des rues avec les objets là où ils ont été trouvés, et quatre maisons reconstruites selon des données archéologiques et ethniques..
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<center>La Maison à chapeau de gendarme. </center> Construite au XVIIIe siècle, elle est caractéristique par la forme de son pignon
La Maison à chapeau de gendarme.
Construite au XVIIIe siècle, elle est caractéristique par la forme de son pignon "chantourné" et de son balcon en fer forgé. Gilles Grangier y tourna en 1963 La Cuisine au beurre, film comique qui réunissait Fernandel et Bourvil.
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Chenal de Caronte. A gauche, le troisième quartier de Martigues, Jonquières où se trouve l'église Saint-Geniès (ou Genest), installée le long du quai Alsace-Lorrain.
Chenal de Caronte. A gauche, le troisième quartier de Martigues, Jonquières où se trouve l'église Saint-Geniès (ou Genest), installée le long du quai Alsace-Lorrain.
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<center>Hôtel particulier Colla de Pradines</center>. Il a été construit au XVIIème s.sur un modèle aixois. Bien calé aux angles par des contreforts et des pilastres, la façade s'impose par des proportions équilibrées, par la répartition des baies. Plaque commémorative à la mémoire de Gérard Tenque, fondateur de l'ordre des Chevaliers de Malte. Hôtel de Ville de 1808 à 1983, l'édifice abrite le Tribunal d'Instance de Martigues.
Hôtel particulier Colla de Pradines
. Il a été construit au XVIIème s.sur un modèle aixois. Bien calé aux angles par des contreforts et des pilastres, la façade s'impose par des proportions équilibrées, par la répartition des baies. Plaque commémorative à la mémoire de Gérard Tenque, fondateur de l'ordre des Chevaliers de Malte. Hôtel de Ville de 1808 à 1983, l'édifice abrite le Tribunal d'Instance de Martigues.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> A droite, le clocheton de la chapelle de l'Annonciade. Geniès ou Genest. Il faisait office de greffier à Arles en Gaule et refusa d'enregistrer les édits qui ordonnaient de persécuter les chrétiens. Saisi par la police romaine, il fut décapité en 308, recevant ainsi le baptême du sang alors qu'il n'était encore que catéchumène.
Eglise Saint Geniès (Genest)
A droite, le clocheton de la chapelle de l'Annonciade. Geniès ou Genest. Il faisait office de greffier à Arles en Gaule et refusa d'enregistrer les édits qui ordonnaient de persécuter les chrétiens. Saisi par la police romaine, il fut décapité en 308, recevant ainsi le baptême du sang alors qu'il n'était encore que catéchumène.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Reconstruite au XVIIe siècle, très sobre, elle a été bâtie dans un
Eglise Saint Geniès (Genest)
Reconstruite au XVIIe siècle, très sobre, elle a été bâtie dans un "esprit contre-réforme", en réaction à l'époque baroque. La façade classique abrite la statue de Gérard Tenque, né à Martigues en 1040, fondateur de l'ordre des Hospitaliers dit de Malte.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Au premier registre, on peut voir deux colonnes engagées, encadrant le porte, quatre pilastres et quatre niches qui ont dues contenir des statues. Au-dessus, des triglyphes et des métopes. Au second regristre, quatre pilastres engagés surmontés de chapiteaux ioniques, encadrent la statue de Gérard Tenque, sculptée ens 1869 par un maçon de Martigues, Nazaire Bernard. Le tout est surmonté par un tympan en arc de cercle, décoré de denticules.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Au premier registre, on peut voir deux colonnes engagées, encadrant le porte, quatre pilastres et quatre niches qui ont dues contenir des statues. Au-dessus, des triglyphes et des métopes. Au second regristre, quatre pilastres engagés surmontés de chapiteaux ioniques, encadrent la statue de Gérard Tenque, sculptée ens 1869 par un maçon de Martigues, Nazaire Bernard. Le tout est surmonté par un tympan en arc de cercle, décoré de denticules.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> La statue de Gérard Tenque. Vers l'an 1100, le bienheureux Gérard Tenque (1040-1120), que la tradition veut originaire de Martigues, fonde l'hôpital Saint Jean de Jérusalem. Lors du siège de Jérusalem par les croisés de Godefroy de Bouillon, suspecté d'entente avec l'ennemi, il sera torturé par les Musulmans et, à la prise de la ville, il se met à la disposition de tous les blessés. Frère Gérard meurt à Jérusalem le 3 septembre 1120, il est considéré comme bienheureux par l’Église catholique.
Eglise Saint Geniès (Genest)
La statue de Gérard Tenque. Vers l'an 1100, le bienheureux Gérard Tenque (1040-1120), que la tradition veut originaire de Martigues, fonde l'hôpital Saint Jean de Jérusalem. Lors du siège de Jérusalem par les croisés de Godefroy de Bouillon, suspecté d'entente avec l'ennemi, il sera torturé par les Musulmans et, à la prise de la ville, il se met à la disposition de tous les blessés. Frère Gérard meurt à Jérusalem le 3 septembre 1120, il est considéré comme bienheureux par l’Église catholique.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> La statue de Gérard Tenque. Il fut le fondateur et le premier préposé de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Après l'expulsion des Croisés de Terre sainte (1291), l'Ordre s'installe à Chypre avant de conquérir l'île de Rhodes (1310). À la suite de la disparition de l'ordre du Temple en 1314, les Hospitaliers reçoivent les biens des Templiers. Expulsé de Rhodes en 1523 par la conquête turque, l'Ordre s'installe à Malte en 1530, dont il est considéré comme le souverain par décision de Charles Quint. Avec l'abdication du grand-maître Ferdinand de Hompesch en 1799 et la mort de Paul Ier en 1801, s'ouvre pour l'Ordre une période noire. Son principal successeur catholique est l'ordre souverain militaire hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte, fondé officiellement en 1961.
Eglise Saint Geniès (Genest)
La statue de Gérard Tenque. Il fut le fondateur et le premier préposé de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Après l'expulsion des Croisés de Terre sainte (1291), l'Ordre s'installe à Chypre avant de conquérir l'île de Rhodes (1310). À la suite de la disparition de l'ordre du Temple en 1314, les Hospitaliers reçoivent les biens des Templiers. Expulsé de Rhodes en 1523 par la conquête turque, l'Ordre s'installe à Malte en 1530, dont il est considéré comme le souverain par décision de Charles Quint. Avec l'abdication du grand-maître Ferdinand de Hompesch en 1799 et la mort de Paul Ier en 1801, s'ouvre pour l'Ordre une période noire. Son principal successeur catholique est l'ordre souverain militaire hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte, fondé officiellement en 1961.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Le clocher date de 1860. Sur le mur, l'ombre du clocheton de la chapelle de l'Annonciade
Eglise Saint Geniès (Genest)
Le clocher date de 1860. Sur le mur, l'ombre du clocheton de la chapelle de l'Annonciade
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Le clocher date de 1860.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Le clocher date de 1860.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Le clocher date de 1860.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Le clocher date de 1860.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Le clocher date de 1860.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Le clocher date de 1860.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center>
Eglise Saint Geniès (Genest)
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center>
Eglise Saint Geniès (Genest)
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center>Façade latérale.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Façade latérale.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center>
Eglise Saint Geniès (Genest)
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Les gargouilles de la façade latérale.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Les gargouilles de la façade latérale.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center>
Eglise Saint Geniès (Genest)
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> La porte latérale.
Eglise Saint Geniès (Genest)
La porte latérale.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> La porte latérale.
Eglise Saint Geniès (Genest)
La porte latérale.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Construite vers 1625, son intérieur comporte une nef sans transept flanquée de bas-côtés sous des voûtes en plein cintre. Les colonnes sont ornées de pilastres ioniques.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Construite vers 1625, son intérieur comporte une nef sans transept flanquée de bas-côtés sous des voûtes en plein cintre. Les colonnes sont ornées de pilastres ioniques.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center>
Eglise Saint Geniès (Genest)
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center>
Eglise Saint Geniès (Genest)
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Chapelle de la Vierge.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Chapelle de la Vierge.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Pilastres ioniques.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Pilastres ioniques.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> Les denticules sont des saillies à section carrée soutenant la corniche et formant une suite de dents. Piliers engagés avec des chapiteaux ioniques.
Eglise Saint Geniès (Genest)
Les denticules sont des saillies à section carrée soutenant la corniche et formant une suite de dents. Piliers engagés avec des chapiteaux ioniques.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> A gauche sainte Agathe avec un plateau sur lequel sont posés deux seins. A droite, ste Marguerite avec, à ses pieds le dragon.
Eglise Saint Geniès (Genest)
A gauche sainte Agathe avec un plateau sur lequel sont posés deux seins. A droite, ste Marguerite avec, à ses pieds le dragon.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> L'Annonciation du peintre marseillais Pierre Bainville, XVIIe siècle.
Eglise Saint Geniès (Genest)
L'Annonciation du peintre marseillais Pierre Bainville, XVIIe siècle.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> La Vierge à l’Enfant et saint François d’Assise.
Eglise Saint Geniès (Genest)
La Vierge à l’Enfant et saint François d’Assise.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> L'Apparition de Saint Claude, Saint Blaise et Saint Eutrope à un infirme.
Eglise Saint Geniès (Genest)
L'Apparition de Saint Claude, Saint Blaise et Saint Eutrope à un infirme.
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<center>Eglise Saint Geniès (Genest) </center> La Vierge délivrant les âmes du Purgatoire.
Eglise Saint Geniès (Genest)
La Vierge délivrant les âmes du Purgatoire.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Le portail, avec la porte en noyer. Si les contreforts sont en pierres taillées, les murs des travées sont en pierres non-taillées.
Chapelle de l'Annonciade.
Le portail, avec la porte en noyer. Si les contreforts sont en pierres taillées, les murs des travées sont en pierres non-taillées.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Le portail, avec la porte d'entrée principale en noyer, récupérée de la première chapelle. L'inscription du 4 juin 1636 marque la date de pose de cette porte sculptée, elle est signée Honoré Granier. A la fin du XVIIe siècle, la ville de Martigues présente un essor économique sans précédent et compte près de 13000 habitants. Cette prospérité s'accompagne d'une intense vie religieuse et artistique, comme partout en Provence. Dans le quartier de Jonquières, le projet d'agrandissement de l'église Saint Genest se fait simultanément à la reconstruction d'une chapelle pour la confrérie des pénitents blancs de l'Annonciade. Les travaux (1661-1734) vont faire de cette chapelle un des fleurons de l'art baroque martégal.
Chapelle de l'Annonciade.
Le portail, avec la porte d'entrée principale en noyer, récupérée de la première chapelle. L'inscription du 4 juin 1636 marque la date de pose de cette porte sculptée, elle est signée Honoré Granier. A la fin du XVIIe siècle, la ville de Martigues présente un essor économique sans précédent et compte près de 13000 habitants. Cette prospérité s'accompagne d'une intense vie religieuse et artistique, comme partout en Provence. Dans le quartier de Jonquières, le projet d'agrandissement de l'église Saint Genest se fait simultanément à la reconstruction d'une chapelle pour la confrérie des pénitents blancs de l'Annonciade. Les travaux (1661-1734) vont faire de cette chapelle un des fleurons de l'art baroque martégal.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center> 1619 Première mention de la chapelle de confrérie consacrée près de l'église St Genest par l'archevêque d'Arles. 1661. L'agrandissement de l'église de Saint Genest entraîne la démolition de la chapelle. Elle est reconstruite plus loin, à l'emplacement qu'on lui connaît aujourd'hui, selon le plan du premier édifice, rallongé d'une travée. Côté nord, une tribune s'ouvre sur la nef par deux baies en plein cintre 1666-1673. Les voûtes en pierre s'écroulent malgré les arcs-boutants et les contreforts. Elles sont remplacées par une charpente en bois. 1702-1703. Réalisation et installation du retable du maître- autel. 1754. Achèvement du décor mural signé Blaye et fils. 1792. Suppression des confréries par décret, la chapelle est désaffectée et utilisée comme lieu de réunion par l'Assemblée populaire de Jonquières. 1805. Rétablissement de la liberté du culte, les confrères reprennent possession de la chapelle 1910. Classement de la chapelle au titre des monuments historiques.
Chapelle de l'Annonciade.
1619 Première mention de la chapelle de confrérie consacrée près de l'église St Genest par l'archevêque d'Arles. 1661. L'agrandissement de l'église de Saint Genest entraîne la démolition de la chapelle. Elle est reconstruite plus loin, à l'emplacement qu'on lui connaît aujourd'hui, selon le plan du premier édifice, rallongé d'une travée. Côté nord, une tribune s'ouvre sur la nef par deux baies en plein cintre 1666-1673. Les voûtes en pierre s'écroulent malgré les arcs-boutants et les contreforts. Elles sont remplacées par une charpente en bois. 1702-1703. Réalisation et installation du retable du maître- autel. 1754. Achèvement du décor mural signé Blaye et fils. 1792. Suppression des confréries par décret, la chapelle est désaffectée et utilisée comme lieu de réunion par l'Assemblée populaire de Jonquières. 1805. Rétablissement de la liberté du culte, les confrères reprennent possession de la chapelle 1910. Classement de la chapelle au titre des monuments historiques.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>1934. Restauration partielle des fresques et des peintures. 1945. Mise hors d'eau de la chapelle après les bombardements de 1944. 1955-1966. Premières campagnes de restauration.<br> Campagne de restauration de 1995 à 2015. 1995- Étude préalable à la restauration du monument. 1996-2008. Recherches archéologiques. 1999-2002. Mise hors d'eau de la toiture, consolidation de la charpente et restauration du clocheton. 2005. Étude préalable à la restauration des décors et du mobilier. 2006. Restauration des façades. 2011-2015. Travaux de restauration intérieure : décors muraux, retable, peintures et stalles.<br> Architecte en chef des Monuments Historiques : François Botton Entreprise maçonnerie -pierres de taille : Vivian Entreprise restauration des stalles : Malbrel Restauration plafond et décors muraux : Catherine Laye Restauration peintures du plafond et peintures du retable : Claire Brochu Restauration retable : Daniel Haddad Restauration vitraux : atelier Bulard
Chapelle de l'Annonciade.
1934. Restauration partielle des fresques et des peintures. 1945. Mise hors d'eau de la chapelle après les bombardements de 1944. 1955-1966. Premières campagnes de restauration.
Campagne de restauration de 1995 à 2015. 1995- Étude préalable à la restauration du monument. 1996-2008. Recherches archéologiques. 1999-2002. Mise hors d'eau de la toiture, consolidation de la charpente et restauration du clocheton. 2005. Étude préalable à la restauration des décors et du mobilier. 2006. Restauration des façades. 2011-2015. Travaux de restauration intérieure : décors muraux, retable, peintures et stalles.
Architecte en chef des Monuments Historiques : François Botton Entreprise maçonnerie -pierres de taille : Vivian Entreprise restauration des stalles : Malbrel Restauration plafond et décors muraux : Catherine Laye Restauration peintures du plafond et peintures du retable : Claire Brochu Restauration retable : Daniel Haddad Restauration vitraux : atelier Bulard
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>La chapelle de s Pénitents Blancs de l’Annonciade offre l’expérience enveloppante d’un décor polychrome. Élément manquant jusqu’en 1754, les peintures murales constituent la part essentielle de ce déploiement baroque qui, de plus, est signé. « Blaÿ père et fils ». A Guillaume et Joseph Blaÿ, succéderont Joseph-Bernard Flaugier, Jean-André et Joseph-Antoine Bernard puis Joseph Hilaire, à Martigues, autour de l’Étang, en Provence et en Catalogne. Répondant précisément aux besoins en images d’une population croissante, ils nous ont laissé peintures monumentale «tapisseries»,
Chapelle de l'Annonciade.
La chapelle de s Pénitents Blancs de l’Annonciade offre l’expérience enveloppante d’un décor polychrome. Élément manquant jusqu’en 1754, les peintures murales constituent la part essentielle de ce déploiement baroque qui, de plus, est signé. « Blaÿ père et fils ». A Guillaume et Joseph Blaÿ, succéderont Joseph-Bernard Flaugier, Jean-André et Joseph-Antoine Bernard puis Joseph Hilaire, à Martigues, autour de l’Étang, en Provence et en Catalogne. Répondant précisément aux besoins en images d’une population croissante, ils nous ont laissé peintures monumentale «tapisseries»,
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center> Le XVIIe siècle est le théâtre de mouvements artistiques majeurs comme l'art classique et l'art baroque, qui cohabitent et que l'on oppose souvent. L'art baroque est la matérialisation de l'esprit de la Contre-Réforme catholique, faisant suite au Concile de Trente (1545-1563). En France, l'art baroque est empreint de classicisme au nord, il est naturellement plus exubérant dans le Midi. La chapelle de l'Annonciade semble cependant être un contre-exemple, du moins en apparence. En effet, l'extérieur discret et le plan en nef unique ne laissent en rien présager de la richesse des ornements et de la décoration intérieure.
Chapelle de l'Annonciade.
Le XVIIe siècle est le théâtre de mouvements artistiques majeurs comme l'art classique et l'art baroque, qui cohabitent et que l'on oppose souvent. L'art baroque est la matérialisation de l'esprit de la Contre-Réforme catholique, faisant suite au Concile de Trente (1545-1563). En France, l'art baroque est empreint de classicisme au nord, il est naturellement plus exubérant dans le Midi. La chapelle de l'Annonciade semble cependant être un contre-exemple, du moins en apparence. En effet, l'extérieur discret et le plan en nef unique ne laissent en rien présager de la richesse des ornements et de la décoration intérieure.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center> Les confréries de pénitents apparaissent en Provence au XIIIe siècle et forment des sociétés laïques indépendantes, leur principale vocation étant de remplir certains devoirs de dévotion et de charité de façon individuelle et collective. Ces confréries sont au nombre de quatre à Martigues à la fin du XVIIe siècle. Chaque paroisse dispose d'une compagnie de pénitents, détentrices d'un lieu de réunion distinct de l'église. La couleur de leurs habits détermine leur nom : pénitents blancs à l’île et à Jonquières, pénitents bleus à Ferrières. Quant aux pénitent noirs, on ne connaît pas leur lieu de réunion. Ces confréries disparaissent à la Révolution Française pour se reconstituer au XIXe siècle. La confrérie des pénitents blancs de Jonquières est placée sous l'invocation de la Vierge de l'Annonciade.
Chapelle de l'Annonciade.
Les confréries de pénitents apparaissent en Provence au XIIIe siècle et forment des sociétés laïques indépendantes, leur principale vocation étant de remplir certains devoirs de dévotion et de charité de façon individuelle et collective. Ces confréries sont au nombre de quatre à Martigues à la fin du XVIIe siècle. Chaque paroisse dispose d'une compagnie de pénitents, détentrices d'un lieu de réunion distinct de l'église. La couleur de leurs habits détermine leur nom : pénitents blancs à l’île et à Jonquières, pénitents bleus à Ferrières. Quant aux pénitent noirs, on ne connaît pas leur lieu de réunion. Ces confréries disparaissent à la Révolution Française pour se reconstituer au XIXe siècle. La confrérie des pénitents blancs de Jonquières est placée sous l'invocation de la Vierge de l'Annonciade.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center> La décoration des plafonds : 1677. Après l'écroulement des voûtes en 1664, on opte pour une simple couverture de tuile canal sur une charpente de bois. En 1677, est commandé à un menuisier aixois, Jean- Claude Boyer un somptueux plafond plat en bois de sapin peint et doré qui retombe en anse de panier sur les murs. Les décors peints auraient été exécutés d'après les dessins de Michel Daret, peintre aixois, fils du grand peintre baroque Jean Daret.
Chapelle de l'Annonciade.
La décoration des plafonds : 1677. Après l'écroulement des voûtes en 1664, on opte pour une simple couverture de tuile canal sur une charpente de bois. En 1677, est commandé à un menuisier aixois, Jean- Claude Boyer un somptueux plafond plat en bois de sapin peint et doré qui retombe en anse de panier sur les murs. Les décors peints auraient été exécutés d'après les dessins de Michel Daret, peintre aixois, fils du grand peintre baroque Jean Daret.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center> Ce plafond sert également de cadre à une série de 5 peintures à l'huile sur toile, ayant trait à la vie de Vierge et attribuées aux peintres Barthélémy Donneau de Martigues et Anthoine Ollivier de Marseille. Les toiles d'origine sont L'Assomption de la Vierge et Le Couronnement de la Vierge, le reste date de la campagne de restauration de 1966.
Chapelle de l'Annonciade.
Ce plafond sert également de cadre à une série de 5 peintures à l'huile sur toile, ayant trait à la vie de Vierge et attribuées aux peintres Barthélémy Donneau de Martigues et Anthoine Ollivier de Marseille. Les toiles d'origine sont L'Assomption de la Vierge et Le Couronnement de la Vierge, le reste date de la campagne de restauration de 1966.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>L'Assomption de la Vierge.
Chapelle de l'Annonciade.
L'Assomption de la Vierge.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Le plafond.
Chapelle de l'Annonciade.
Le plafond.
129
<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Le Couronnement de la Vierge. On y voit Jésus, la Colombe symbolisant le Saint Esprit et Dieu le père, donc la Trinité couronnat la Vierge..
Chapelle de l'Annonciade.
Le Couronnement de la Vierge. On y voit Jésus, la Colombe symbolisant le Saint Esprit et Dieu le père, donc la Trinité couronnat la Vierge..
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Le plafond. <br>Un ange tient une tour symbolisant Marie. Autour, des bouquets de pivoines et de roses.
Chapelle de l'Annonciade.
Le plafond.
Un ange tient une tour symbolisant Marie. Autour, des bouquets de pivoines et de roses.
131
<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Le plafond. <br>L'Assomption de la Vierge. la Vierge est emportée par des anges, intercesseurs entre le terrestre et le céleste, sous le regard des apôtres.
Chapelle de l'Annonciade.
Le plafond.
L'Assomption de la Vierge. la Vierge est emportée par des anges, intercesseurs entre le terrestre et le céleste, sous le regard des apôtres.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Le plafond.
Chapelle de l'Annonciade.
Le plafond.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>
Chapelle de l'Annonciade.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>
Chapelle de l'Annonciade.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>
Chapelle de l'Annonciade.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Fresques côté est, du fond vers l'autel. Les décors muraux : 1754. Le programme initial prévoyait de simples murs blanchis à la chaux, décorés par les stalles et les tableaux de la première chapelle. On a perdu la trace de ces premières œuvres, seules les stalles sont présentes. La décoration va être transformée au début du XVIIIe siècle. En 1754 sont achevées des fresques monumentales illustrant le cycle de la vie de la Vierge et du Christ. Elles sont signées Blaye père et fils, comme l'atteste l'inscription du mur ouest.
Chapelle de l'Annonciade.
Fresques côté est, du fond vers l'autel. Les décors muraux : 1754. Le programme initial prévoyait de simples murs blanchis à la chaux, décorés par les stalles et les tableaux de la première chapelle. On a perdu la trace de ces premières œuvres, seules les stalles sont présentes. La décoration va être transformée au début du XVIIIe siècle. En 1754 sont achevées des fresques monumentales illustrant le cycle de la vie de la Vierge et du Christ. Elles sont signées Blaye père et fils, comme l'atteste l'inscription du mur ouest.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Fresques côté est, du fond vers l'autel. Y sont représentés des pilastres à chapiteaux corinthiens, et sous la corniche, une rangée de denticules et une autre d'oves.
Chapelle de l'Annonciade.
Fresques côté est, du fond vers l'autel. Y sont représentés des pilastres à chapiteaux corinthiens, et sous la corniche, une rangée de denticules et une autre d'oves.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Fresques côté ouest, de l'autel vers le fond.
Chapelle de l'Annonciade.
Fresques côté ouest, de l'autel vers le fond.
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<center>Chapelle de l'Annonciade.</center>Fresques côté ouest, de l'autel vers le fond. De ces décors monumentaux ne subsistent que La dormition de la Vierge, Les noces de Cana, Jésus chez les docteurs et l'Immaculée conception sur le mur sud, à gauche.
Chapelle de l'Annonciade.
Fresques côté ouest, de l'autel vers le fond. De ces décors monumentaux ne subsistent que La dormition de la Vierge, Les noces de Cana, Jésus chez les docteurs et l'Immaculée conception sur le mur sud, à gauche.
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